Dictionnaire des rimes
Les rimes en : mangue
Mots qui riment avec "angue"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "mangue".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : angue , angues , ang et angs .
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orang
- Définition manquante ou à compléter. (Ajouter)
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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harfang
- (Ornithologie) Nom employé soit de façon générique (i.e. harfang des neiges), ou comme nom spécifique (comme dans chouette harfang), désignant un genre de grand-duc dépourvu d’aigrettes (la seule espèce de ce nom étant Bubo scandiacus) de la famille des strigidés, de plumage d’un blanc pur tacheté ou strié de marques plus sombres en plus ou moins d’étendue selon l’âge de l’oiseau ou la saison. → voir harfang des neiges
- Il avait vu cet être étrange [un mineur] rôdant dans la mine, toujours accompagné d’un énorme harfang, sorte de chouette monstrueuse… — (Jules Verne, Les Indes noires, 1877, XX « Le pénitent »)
- [...] qu’y at-il par delà ces îles de glaçons fracassés, qu’y a-t-il par delà la mer ultime et le dernier harfang, quel nord plus puissant que le nord leur dicte ce cri plus lointain que le cri ?... — (Geneviève Amyot, Je t’écrirai encore demain, « Lettre d’avril », Éditions du Noroît, Montréal, 1995, page 81)
- (Par ellipse) Harfang des neiges.
- Dans ce milieu qui ne m’est pas familier, l’appel du harfang prend un accent lugubre. — (Gérald Baril, Si près, si loin, les oies blanches, Montréal, XYZ, 2020, p. 128)
- minnesang
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sang
- (Anatomie) Organe liquide constitué de globules rouges, de cellules immunitaires (globules blancs) et de plaquettes sanguines, baignés dans le plasma sanguin et servant à l’oxygénation du corps animal ou humain.
- Les Naïs ont quelque analogie avec les Lombrics ; leur sang est rouge et leur circulation très-facile à observer. — (Dictionnaire Pittoresque d’Histoire Naturelle & des Phénomènes de la Nature, sous la direction de F.E. Guérin, tome5, 1837, page 581)
- Vuillet était la bête noire d’Aristide. Il ne se passait pas de semaine sans que les deux journalistes échangeassent les plus grossières injures. En province, où l’on cultive encore la périphrase, la polémique met le catéchisme poissard en beau langage : Aristide appelait son adversaire « frère Judas », ou encore « serviteur de saint Antoine », et Vuillet répondait galamment en traitant le républicain de « monstre gorgé de sang dont la guillotine était l’ignoble pourvoyeuse. » — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, G. Charpentier, Paris, 1871, chapitre III ; réédition 1879, page 99)
- D’un coup de rasoir, je lui coupai la tête, et le tronc, d’où un flot de sang s’échappait, gigota quelques secondes sur le parquet. — (Octave Mirbeau, La tête coupée)
- La sérine du sang ressemble beaucoup à l’albumine de l’œuf ; elle constitue également l’albumine pathologique des urines. — (Cousin & Serres, Chimie, physique, mécanique et métallurgie dentaires, 1911)
- Et Jourgeot, d’un œil hagard, dilaté, le rouge au front, le sang aux tempes, voyait tout cela, un étrange pincement au cœur. — (Louis Pergaud, La Vengeance du père Jourgeot, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- La respiration demeure calme, le cœur est encore bon, mais le sang lui dégouline du crâne sur le nez, dans les yeux, poisse la chemise. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- La plus récente causerie de Wambery portait sur l’existence d’un tyran walachien, le Voïvode Drakula (ou Vlad Drakul), réputé buveur de sang humain. Le tout-Londres ne parle bientôt plus que de vampires. — (François Rivière, Dracula, cent ans et toutes ses dents, dans Libération (journal), 31 décembre 1987)
- Le sang est un organe liquide du fait que, contrairement aux autres organes, il contient un pourcentage exceptionnel de tissu liquide. — (Katrin Tarnowski, Wolfgang Tarnowski, J. Laversanne, Notre corps, éditions Chanteclerc, 1975)
- (Sens figuré) Ce fluide qui coule dans les combats et les massacres.
- Hélas ! que sont devenues aujourd’hui ces glorieuses conquêtes enviées par l’Europe entière, où le sang des bourreaux s’est confondu avec le sang des victimes au profit de cette autre nation si fière. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- Le sang de ces chiens maudits, dit le grand maître, sera une offrande agréable et douce aux saints et aux anges qu’ils méprisent et qu’ils blasphèment. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- Étonnez-vous donc, après tout ça, que les Évêques aient chanté le Te Deum pour Napoléon III ; l’homme couvert de sang ne leur déplait pas ; c’est peut-être même à cela qu’ils reconnaissent le favori de Dieu. — (Émile Thirion, La Politique au village, Fischbacher, 1896, page 132)
- Admettre cette préséance, c’est léser l’esprit républicain, porter atteinte aux principes de 89, faire fi des sacrifices consentis par les révolutionnaires de 1830 à 1871, c’est accepter de voir rétablir les iniquités qu’ils ont combattues au prix de leur sang ! — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- (Par analogie) On peut même couper avec des ciseaux les deux antennes d’un Zygène sans troubler son repas, bien qu’une goutte de sang jaune vienne perler sur la surface de section. — (Paul Portier, La biologie des lépidoptères, Éditions P. Lechevalier, 1949, note 1 page 445)
- Race ; famille ; lignée ; lignage → voir liens du sang.
- Sa figure intelligente, dont les traits et le teint trahissaient une assez forte proportion de sang soudanais, […], prenait par moments une expression de grande affabilité. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 67)
- Elle était née à Pondichéry, d’un père philippin et d’une mère hindoue, l’un et l’autre de sang mêlé. — (Pierre Louÿs, Psyché, 1927, page 57)
- Par ailleurs, l’une de ses arrière-arrière-grand-mères étant née à La Nouvelle-Orléans dans une famille d’origine martiniquaise. John Lewis a aussi un peu de sang français... — (Thierry Lalo, John Lewis, Éditions du Limon, 1991, page 10)
- La psychanalyse pourrait expliquer et éclairer de nombreux mécanismes de la Mafia. Tuer le père pour un mafieux est presque naturel, car l’appartenance à l’organisation se base sur le sang. — (Roberto Saviano : « Tout ce que montre “Gomorra” est vrai » propos recueillis par Daniel Psenny publiés dans Le Monde le 24 septembre 2016)
- Essence d’un être définissant profondément le groupe auquel il appartient, comme à une race ou à une famille.
- – Bon, dit Monsieur, j’espère que le cardinal ne va pas nous allier avec les protestants.– Eh! dit M. le Prince, si c’était cependant, le seul moyen de contenir en Allemagne Wallenstein et ses bandits, pour mon compte je n’y mettrais point d’opposition.– Allons, fit Gaston d’Orléans, voilà le sang hugenot qui parle.– J’aurais cru, dit en riant M. le Prince, qu’il y avait bien autant de sang huguenot dans les veines de Votre Altesse que dans les miennes : de Henri de Navarre à Henri de Condé, la seule différence qu’il y ait, c’est que la messe a rapporté à l’un un royaume et à l’autre rien du tout. — (Alexandre Dumas, Le comte de Moret (Le sphinx rouge), 1865, II, 4)
- Enfants par rapport à leurs parents.
- C’est votre fils, c’est votre sang.
- La voix du sang, L’attrait secret qu’on prétend que la nature donne quelquefois pour une personne de même sang, quoiqu’on ne la connaisse pas.
- (Hippologie) Race, en parlant des chevaux.
- Si ce sont des chevaux de distinction, ayant une certaine dose de sang anglais, on les chausse avec de vieux fers à l’anglaise à leur passage à Nîmes ou tout autre ville, et on les dit originaires d’outre-Manche. — (Gabriel Maury, Des ruses employées dans le commerce des solipèdes, Jules Pailhès, 1877)
- Goûts, disposition innée.
- J’ai cela dans le sang.
- Il avait dans le sang le besoin de prendre, de combiner, de mystifier, de duper, de s’amuser aux dépens d’autrui. — (Maurice Leblanc, La Comtesse de Cagliostro, 1924)
- Les deux mille hectares de Bernard ne l’avaient pas laissée indifférente. « Elle avait toujours eu la propriété dans le sang. » — (François Mauriac, Thérèse Desqueyroux, Grasset, 1927)
- (Familier) Personne à qui l’on fait confiance, que l’on peut considérer comme faisant partie de sa famille.
- Yasmine, c’est le sang.
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boomerang
- Arme d’attaque directe ou indirecte de vols d’oiseaux, apte à revenir à son lanceur si elle ne touche rien.
- Tout ce que fait la Vie, c’est de nous ramener au point de départ, comme un boomerang : nous sommes lancés, nous sommes rappelés. — (Placide Gaboury, Sérénité en 12 étapes, éditions de Mortagne, Boucherville (Québec), 2e édition, 2017, page 40.)
- Jeu sportif où l’on lance un objet analogue.
- (Sens figuré) Action qui se retourne contre son auteur.
- Son initiative militaire du 4 novembre 2020 contre un gouvernement régional rétif, rebelle, tenté par la sédition, voire la séparation, a fait complètement boomerang. — (François Brousseau, L’Éthiopie, « Yougoslavie d’Afrique »?, site ici.radio-canada.ca, 5 novembre 2021)
- Son attaque a fait boomerang, a eu un effet boomerang.
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slang
- (Linguistique) Argot anglophone.
- Twain fut un des premiers auteurs provenant des terres intérieures des États-Unis qui a su capturer la distinction, le slang comique et l’iconoclasme de sa nation.
- J’ai même dû prendre mes repas ailleurs qu’ici, pour la raison imprévue et amusante que l’Hôtel du Progrès est bondé d’Américains et d’Anglais, qu’on n’y parle que notre langue et tous les slangs de Londres, de Liverpool, […] — (Alfred Louis Edmond Vallette, Mercure de France, volume 200, 1927, page 613)
- nostang
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linsang
- (Zoologie) Une des espèces de viverridés arboricoles d'Asie ou d'Afrique, proches des civettes.
- Musang et linsang sont classés parmi les civettes, pour le premier, et très près des civettes pour le second. — (Robert Wolff, Oiseaux rares du monde animal, 1968)
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langue
- (Anatomie) Organe musculaire charnu et mobile, situé à l’intérieur de la bouche, et permettant de percevoir le sens du goût et d’articuler certains sons.
- Elle saisit le feuillage d’une façon très-singulière, faisant sortir pour cet effet une langue longue, rugueuse, très-étroite et noire, en l’entortillant autour de l’objet qu’elle convoîte. — (Étienne Geoffroy Saint-Hilaire, Quelques Considérations sur la Girafe, 1827)
- Elles étaient là, dévotement alignées, et à genoux, baissant la tête, tenant la nappe à deux mains. Melle Lerondeau, bien qu’elle eût soixante-dix an et fût un peu bavarde, était une bonne personne. Elle avait une jolie langue de jeune fille. Les dames Leboucher qui ne se mêlaient jamais à toutes les conversations que l’on peut tenir sur les gens, montraient de leur langue tout juste ce qu’il en faut pour communier. Les autres dames avaient d’assez belles langues, des langues de femme, à la vérité, un peu pointues. Mais la langue de Mme Béchangris était rouge, épaisse, rugueuse et, malgré vous, faisait penser à un caillou. — (Charles-Louis Philippe, Dans la petite ville, 1910, réédition Plein Chant, pages 58-59)
- La langue, sèche et rouge, devient souvent fuligineuse, c’est-à-dire qu’elle se couvre d’un enduit couleur de suie. — (Jules Guiard, Les Parasites inoculateurs de maladies, Flammarion, Paris, 1918, page 293)
- Sa langue, d’une mobilité étonnante, courait amoureusement sur ses lèvres comme si elle se promettait de goûter à toutes les félicités d’ici-bas. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 12)
- D’abord, tandis que le crapaud guette sa proie, il contracte les muscles rétracteurs de son système hyoglosse, en sorte qu’il ramène vers la glotte l’extrémité libre de la langue. — (Jean Rostand, La Vie des crapauds, 1933)
- « Quarante-trois jours chez les paras. Excuse-moi, j’ai encore du mal à parler : ils m’ont brûlé la langue », et il me montra sa langue tailladée. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- Sauf pour ces derniers arrangements, le décor était prêt. Et d’un tel faste que Toursène, pour habitué qu’il fût à ces rites, ne put s’empêcher de faire claquer sa langue à plusieurs reprises, d’approbation. — (Joseph Kessel, Les Cavaliers, Gallimard, 1967)
- (Par analogie) Chose qui a une forme longue, étroite et peu épaisse.
- Le Saint-Esprit est descendu sur les apôtres en langues de feu.
- Une âpre langue de terre rattache l'Égypte au monde asiatique, […] — (Mohammed Essad Bey, Mahomet, 571-632, Payot, 1948, page 9)
- (Linguistique) Système d’expression orale ou écrite utilisé par un groupe de personnes (communauté linguistique) pour communiquer.
- Tandis que la langue française se formait laborieusement des débris de la langue latine […] l’Orient, ce vieux monde, berceau du nôtre, continuait de rouler dans son lointain orbite […] — (Jean-Jacques Ampère, La Littérature française dans ses rapports avec les littératures étrangères au Moyen Âge, tome 1, Revue des Deux Mondes, 1833)
- L’action des forces d’attraction des grandes langues est cumulative ; elle se poursuit, comme dans la chute des corps, avec une accélération constante. Plus les grandes langues prévaudront sur les petites, moins on sera tenté d’écrire ou de traduire dans ces dernières, moins on sera tenté de les apprendre avec soin et précision. — (H. G. Wells, Anticipations, 1901, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Société du Mercure de France, Paris, 1904)
- Je me décide à leur parler allemand : pour qu’ils comprennent mieux, j’emploie mon haut allemand le plus clair, la langue officielle des théâtres de Meiningen et de Weimar, le hanovrien saccadé des auteurs juifs qui déclament les traductions de Verlaine. — (Jean Giraudoux, Retour d’Alsace - Août 1914, 1916)
- L’un était […] probablement silencieux par ordre ; l’autre, gêné de trouver Mikkelsen et Münck parlant sa langue, était d'une loquacité un peu déconcertante. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- Les société humaines ont pour habitat leur langue. Ce ne sont pas les mers, les grottes, les cimes des montagnes ou les bois profonds qui les abritent : mais la voix qu’ils échangent entre eux et ses accents singuliers. Et tous les actes des métiers et des rites se font à l’intérieur de cette merveille sonore, invisible et sans distance, à laquelle tous obéissent. — (Pascal Quignard, La haine de la musique, Gallimard, 1996, collection Folio, page 39)
- Quoi qu’on fasse, la langue, pour l’immense majorité de ceux qui l’utilisent est un instrument véhiculaire qui favorise les rapports sociaux, les échanges mercantiles. — (Pol Vandromme, Belgique - La descente au tombeau, 2008)
- On n’écoute jamais assez la langue. Elle est pourtant très éloquente, toujours. De ce que disent ceux qui l’emploient, et de ce qu’ils veulent, et de ce qu’ils pensent, et de la famille d’esprits à laquelle ils appartiennent, elle nous apprend bien davantage, en général, qu’eux ne se soucient de nous en faire savoir, et même qu’ils n'en savent eux-mêmes, bien souvent. — (Renaud Camus, La Grande Déculturation, Paris, Fayard, 2008)
- Imposer sa langue, c’est imposer sa pensée. — (Claude Hagège)
- Car, nos ancêtres l'avaient bien compris, la langue est un bien collectif légué d'une génération à l'autre. C'est un lien immatériel qui transcende les siècles et qui unit les morts, les vivants et ceux encore à naître. Il nous incombe à nous, les vivants, de préserver et de transmettre cet héritage. — (Frédéric Lacroix, Pourquoi la loi 101 est un échec, Boréal, 2020, page 256)
- (En particulier) (Par ellipse) Langue vernaculaire.
- Guenièvre : Vous savez même pas comment elle s’appelle.Angharad : Laissez, c’est une esclave grecque… Elle parle même pas la langue ! — (Alexandre Astier, Kaamelott, Livre 2, épisode La Joute Ancillaire)
- (Par extension) Langage (pas forcément parlé).
- Personne n’a mieux parlé que lui la langue des sentiments amoureux.
- (En particulier) Vocabulaire ou syntaxe propres à tel ou tel écrivain ou telle ou telle personne.
- C’est un garçon fort agréable que Bernard. Soigné, rasé de près, le teint clair, il s’exprime dans une langue choisie et ne fait usage de l’argot qu’en d’exceptionnelles circonstances. — (Francis Carco, Images cachées, Éditions Albin Michel, Paris, 1928)
- (Canada) (Ichtyologie) Synonyme de plie cynoglosse (poisson).
- (Glaciologie) Bande de glace descendant d’un glacier.
- Actuellement, les glaciers reculent de plusieurs mètres par année, mais certains glaciers, comme les « langues », peuvent perdre plusieurs dizaines de mètres par an. [...] — (Vincent Charpentie, Le piège de cristal : l'archéologie révélée par la fonte des glaciers, Carbone 14, France culture 9 octobre 2021)
- (Cartographie, Toponymie) Langue dans laquelle est réputée rédigée une carte, normalement mise en évidence par le titre et la légende[1].
- (Miroiterie) Longue fêlure sur une vitre ou un miroir, une fêlure courte se nomme une ammorce.
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kiang
- (Zoologie) Âne sauvage du plateau tibétain où il se nourrit de plantes salées.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- grangues
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métalangue
- (Linguistique) Partie de la langue qui exprime la métalinguistique, c’est-à-dire qui permet de produire un discours sur la langue en question.
- La métalangue de signe est un énoncé qui parle du signe, éventuellement en informant sur le contenu du signe. — (Josette Rey-Debove, Étude linguistique et sémiotique des dictionnaires français contemporains, 1971)
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écangue
- Variante de écang.
- On travaille ainsi le lin sur toute sa longueur, passant successivement d’une portion écanguée à une portion qui ne l’est pas. Après cette opération on le remet en bottes qui ont perdu de leur volume ; de cent bottes dépouillées par l’écangue, il en reste au plus une quarantaine du poids chacune de 3 liv. 1/4 ou de quatorze onces. — (Louis de Jaucourt, Lin, L’Encyclopédie, première édition, tome 9, 1751, page 550)
- Le lin, étant ainsi broyé est ensuite écangué. Cette opération s’exécute en passant une poignée de lin dans une découpure pratiquée dans une planche verticale, et l’ouvrier le bat avec l’écangue, qui est une batte formée d’un manche court et d’une planchette mince. — (D. B. F., Méthode de culture et de travail du lin en Belgique, essayée en Silésie, Bulletin des sciences agricoles et économiques, 1826, page 357)
- La planche verticale qui protège la main gauche de l’ouvrier et son échancrure sur le bord inférieur de laquelle repose le lin, existent toujours, mais l’écangue a été remplacée par une sorte de roue sans jante dont les rayons sont prolongés par des lames de bois. — (Georges Ovigneur, Du blanchiment du lin, Revue textile et des arts industriels, août 1909, page 174)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.