Dictionnaire des rimes
Les rimes en : chrémeau
Que signifie "chrémeau" ?
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- Petit bonnet blanc de linge fin, dont, après l’onction du saint chrême, on coiffe l’enfant baptisé.
- Linge dont l’évêque se sert pour essuyer le front de ceux qu’il confirme.
- L'usage du chrémeau nous conduit ainsi naturellement à celui du bandeau de lin que les confirmands tiennent à la main en s'approchant du Pontife et dont on leur bande le front après l’onction sacramentelle. — (D. L. J., « La Confirmation », dans Le Messager des fidèles, no 9 du 21 novembre 1887, Maredsous (Province de Namur) : Abbaye de Saint-Benoit , p. 452)
- Toile cirée qui sert à recouvrir un autel récemment consacré.
- Sur un autel fixe on met toujours une toile cirée ou chrémeau (chrismale). Il est louable d'en mettre une aussi sur les pierres consacrées. — (R.P Le Vavasseur, Cérémonial selon le rit Romain, d'après Joseph Baldeschi & l'Abbé Favrel, tome 1, Paris : Librairie Jacques Lecoffre, 1871, p. 63)
- Ensemble de deux vases cylindriques accolés, qui au Moyen Âge contenait respectivement l'huile des catéchumènes et le saint chrême, servant pour les onctions prébaptismales et postbaptismales.
- Les chrémeaux sont des récipients à couvercle qui conservent les huiles saintes, consacrées par l'évêque le jeudi-saint lors de la messe chrismale. Ces huiles sont utilisées pour conférer les sacrements de baptême et d’extrême-onction. Ils se présentent souvent sur un plateau. — (Bossan - Armand-Calliat : Musée des beaux-arts de Lyon, Palais Saint-Pierre, octobre-décembre 1986, éd. Le Musée, 1986, p. 15)
Mots qui riment avec "o"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "chrémeau".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : o , os , ot , ôt , ots , ôts , au , aux , aut , auts , eau , eaux et ho .
- rsquo
-
biseau
?- (Art) Extrémité ou bord coupé en biais, en talus. Note : se dit surtout du bord des glaces de miroir, des glaces de voiture, etc., et du tranchant de certains outils.
- C’est entre les biseaux et les barres du châssis que se mettent encore d'autres pièces de bois beaucoup plus courtes, taillées aussi en biseau, nommées les coins, qu’il chasse à coups de marteau, à l'aide d’un cognoir ou décognoir, qui est un véritable coin de bois. — (Dictionnaire raisonné universel des arts et métiers, tome 2, nouvelle édition, Lyon : chez Amable Leroy, 1801, page 497)
- Ces remarques, faîtes au sujet des biseaux d’affutage doubles, tels que ceux des haches, s'appliquent également, aux outils tranchants avec un seul biseau, comme les ciseaux à bois. — (Claude Dalois, Manuel de sciage et d'affûtage, chapitre 8 : Affûtage des outils manuels, Nogent-sur-Marne : Centre technique forestier tropical, 1990, page 137)
- Chose en biais.
- « On tourne ! Penchez une peu la tête, rentrez la pointe du pied. Souriez… Non, non, un sourire plus fermé, je vous prie. Ce que nous appelons le sourire en biseau. Souriez en biseau… Parfait ! » — (Henri Troyat, Le mort saisit le vif, 1942, réédition Le Livre de Poche, page 112)
- (Bijouterie) Principales faces qui environnent la table d’un brillant.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Horlogerie) Taille qui permet d’enchâsser dans le cercle d’ouverture le verre d’une montre ou d’une pendule.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Musique) Bec de l’embouchure de certains instruments, tels que la clarinette, le flageolet, et aussi de la partie terminale d’un tuyau d’orgue.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Imprimerie) Morceaux de bois entourant les pages de caractères, et dont un côté est taillé obliquement pour recevoir les coins qui servent à serrer la forme.
- Les coins se placent entre les biseaux et le fer du châssis.
- (Par extension) Ces outils eux-mêmes.
- Un biseau de menuisier, de tourneur.
- (Travail) Période entre deux postes où les deux activités se cumulent partiellement.
- J'ai fait un biseau de 2 mois entre mon ancien poste et mon nouveau poste.
-
costaux
?- Pluriel de costal.
-
ado
?- (Familier) Adolescent.
- Car le risque est que l’ado s’identifie plus tard à son parent alcoolo-dépendant, en adoptant une conduite de dépendance similaire, imaginant inconsciemment que c’est le seul domaine où il pourra le « retrouver » adulte. — (Stéphane Clerget, Guide de l'ado à l'usage des parents, 2008)
- Ça hurle dans les magasins de vêtements pour ados comme dans leur sang, jusque dans la rue, pour les racoler : les corps de cet âge-là brûlent de se vêtir pour se dévêtir avec d'autres, et prennent de l'avance en ne se vêtant qu'à demi. La mode a compris cela : voyez le pantalon à demi baissé du gars, le chandail bedaine de la fille. — (François Hébert, Dans le noir du poème: les aléas de la transcendance, Fides, 2007, page 105)
- Les chanteurs que nous écoutions lorsque nous étions ados nous paraissent un peu nian-nian, nous sommes passées à autre chose tout en les conservant dans notre cœur. — (Sioux Berger, Ma to-do list pour bien m'organiser : 100 listes pour aller à l'essentiel, éditions Marabout, 2013)
- L'autre jour, un ado, dans les clichés de la mode débile des banlieues, parlait à base de « yo » et de « wesh », ne sachant exprimer sa douleur abdominale : le nouveau beauf en quelque sorte ! — (Patrick Pelloux, On ne vit qu’une fois, Le Cherche Midi, 2014)
-
conjungo
?- (Par plaisanterie) Mariage.
- Après neuf mois de conjungo,Digne fille de la Bourgogne,L'épouse allant vite en besogneLui donne un gras et gros marmot. — (Paul Parelon, Chansons folles et sages, Père et parrain ; Librairie de Frédéric Henry, Paris, 1864, page 65.)
- Il paraît que vous persistez dans votre entêtement de ce matin, dans votre idée fixe du conjungo. — (Eugène Chavette, La Chambre du crime, 1875)
- Je me sens, en face de vous, de l'humeur de ces moralistes, qui, hors du conjungo, ne voient dans le plaisir de la chair que péché et réprouvent toutes relations à l'exception des légitimes. — (André Gide, Corydon, Folio, 1924, page 31)
- Un type honnête, Charles. La preuve, c’est qu’il venait de lui proposer le conjungo. — (Raymond Queneau, Zazie dans le métro, Gallimard, Paris, 1959)
- Plus tard, il prit du plaisir à voir Olga, à l’ouïr discourir ; Olga, lui racontant son conjungo trop tôt rompu, lui disait sa passion pour Douglas Haig. — (Georges Perec, La Disparition, Gallimard, Paris, 1969)
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antihéros
?- (Moins courant) Personnage principal d’une œuvre de fiction dénué des caractéristiques positives du héros traditionnel.
- Le héros déceptif est un antihéros plus ancien et figure dans nombre de contes populaires ; c’est un héros qui, par sa propre faute ou du fait des circonstances, ne parvient pas à accomplir sa quête.
- Ce n’est pas parce que le roman est moderne qu’il se définit nécessairement comme un antihéros mais, rappelle G. Durand, c’est bien parce qu’il est au fond un antihéros que l’on parlera de roman moderne. — (Cécile Narjoux, Le Mythe, ou, La représentation de l’autre dans l’œuvre romanesque d’Aragon, 2001)
- Antihéros par excellence, il ne choisit pas la liberté : c’est elle, la garce, qui fait de lui son jouet, jusqu’à une improbable rédemption. — (F. C., La Voie aux Chapitres : Personne ne gagne, Le Canard enchaîné, 31 mai 2017, page 6)
-
équilatéraux
?- Masculin pluriel de équilatéral.
-
ballot
?- Petite balle de marchandises.
- Tenez : faites donc faire un ballot de tout ce qui est envoyable, et me le jetez au roulage. — (L. Spach, Les professeurs de Français en Alsace, dans Revue d’Alsace, volume 14, 1863, page 207)
- Alors demeurait au fond de l’impasse Saint-Mittre, dans une masure dont les derrières donnaient sur le terrain des Fouque, un homme mal famé, que l’on désignait d’habitude sous cette locution, « ce gueux de Macquart. » Cet homme disparaissait pendant des semaines entières ; puis on le voyait reparaître, un beau soir, les bras vides, les mains dans les poches, flânant ; il sifflait, il semblait revenir d’une petite promenade. Et les femmes, assises sur le seuil de leur porte, disaient en le voyant passer : « Tiens ! ce gueux de Macquart ! il aura caché ses ballots et son fusil dans quelque creux de la Viorne. » — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, G. Charpentier, Paris, 1871, chapitre II ; réédition 1879, page 49)
- Voilà votre ballot : (Désuet) Voilà votre fait, ce qui vous est propre.
- Balle ou botte de foin, de paille.
- Treize employés étaient occupés à recouvrir de paille un champ de fraises, lorsqu’ils ont constaté qu’un ballot de paille était en feu. — (Champ de fraises détruit par le feu à Zizers (GR), lacote.ch, 24 avril 2019.)
- Ensemble de bûches de bois maintenu par des cordes, en forme de cylindre, pour en faciliter le transport. (correspond généralement à un stère de bois)
- (Familier) (Péjoratif) Personne peu éveillée.
- La même chose qu’à la catastrophe du Mans, prétendait un ballot qui n’avait pas pigé, à première vue, que la voiture du ténor roulait tout de même un peu moins vite que celle du malheureux pilote de course. — (Jo Barnais, Mort aux ténors, chapitre XI, Série noire, Gallimard, 1956, page 93)
- Le gros malin fait le ballot avec Martinguez, et un jour, il lui donne un peu d’alcool avec quelque chose dedans. — (Peter Cheyney, Les femmes s’en balancent, traduction de Michelle et Boris Vian, Gallimard, 1949, page 152)
- On appelait les copains qui ne pouvaient nous voir :« Où êtes-vous ?– Cherchez, petits ballots dubalandars… » — (Édouard Bled, J’avais un an en 1900, Fayard, 1987, Le Livre de Poche, page 110)
-
capot
?- (Jeu de cartes) Ne faire aucune levée.
- Être capot, (Jeu de cartes) N’avoir fait aucune levée.
- Faire quelqu’un capot, (Jeu de cartes) Ne lui laisser aucune levée à faire.
- Mettre quelqu’un capot, (Jeu de cartes) Ne lui laisser aucune levée à faire.
- – Je n'ai jamais eu une guigne pareille. La petite vient de me faire capot trois fois d'affilée. — (Pierre Benoit, Le Soleil de minuit, Albin Michel, 1930, réédition Le Livre de Poche, page 140)
- Demeurer capot, (Sens figuré) Demeurer confus et interdit auprès de quelqu’un.
- (Sens figuré) (Familier) Se voir frustré de son espérance.
- Il a été bien capot de se voir reconnu.
- Elle est demeurée capot.
- Deux hommes de la patrouille emmenèrent les prisonniers qui, maintenant, étaient capots. — (Jean Giono, Le hussard sur le toit, 1951, réédition Folio Plus, page 243)
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chenaux
?- Pluriel de chenal.
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carreaux
?- Pluriel de carreau.
- Il préférait la musique classique et les chemisettes à carreaux mais, pour attirer les concupiscences, il devait avoir la tenue wesh-wesh, l’allure racaille, la casquette Nike, visière retournée en prime. — (Antoine Gouguel, Chifoumi !, Éditions du Frigo, 2011, page 77)
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renouveau
?- Retour du printemps ; début du printemps.
- La nature se réveillait de son long sommeil […] L'effet de ce renouveau est peut-être plus sensible au milieu des contrées hyperboréennes qu’en tout autre point du globe. — (Jules Verne, Le Pays des fourrures, J. Hetzel et Cie, Paris, 1873)
- En tout cinq générations, un arbre humain qui, à cinq printemps déjà, à cinq renouveaux de l’humanité, a poussé des tiges, sous le flot de sève de l’éternelle vie ! — (Émile Zola, Le Docteur Pascal, G. Charpentier, 1893, chapitre V)
-
nasaux
?- Masculin pluriel de nasal.
-
barbeaux
?- Pluriel de barbeau.
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bordeaux
?- Couleur intermédiaire entre le rouge et le violet.
- Puis il appela la réception, questionna l’homme en veste bordeaux. — (Jean-Patrick Manchette, La Position du tireur couché, 1995)
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cardiaux
?- Masculin pluriel de cardial.
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chaudeaux
?- Pluriel de chaudeau.
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calot
?- (Désuet) Petite calotte.
- Calot d’enfant de chœur.
- Coiffure des soldats, de forme allongée, sans bords.Calot des troupes coloniales
- Or j’eus comme voisin de lit un aumônier du genre fier et silencieux, qui s’équipait en musulman pour les tirailleurs marocains. Le croissant sur son calot était un beau sujet de plaisanterie. — (Alain, Souvenirs de guerre, Hartmann, 1937, page 43)
- Un edelweiss séché glissa d’une des enveloppes de rhodoïd et M. Abel le replaça avec des gestes précautionneux sur la photo aux vilaines couleurs qui lui servait de support : sur un vague fond de mosquée, trois militaires en calot et treillis se tenaient par l’épaule. — (Alain Demouzon, Monsieur Abel, 1979, section Dimanche, 16 heures)
- Coiffure plate de drap portée par les étudiants, les conscrits, les anciens combattants, les membres de divers corps ou de diverses associations.
- L’adolescent se tenait debout, son calot à la main. Il avait l’air songeur, préoccupé : une ride lui sillonnait douloureusement le front. — (Francis Carco, Les Hommes en cage, Éditions Albin Michel, Paris, 1936, page 121)
- Coiffe féminine en forme de bonnet ou de toque.Petit calot noir.
- Sa petite silhouette de gargouille, coiffée jusqu’aux sourcils d’un de ces calots « à la mode ». — (Colette, La Vagabonde, 1910)
- (Argot) (Désuet) Teigneux.
- Callots sont ceux qui sont teigneux, véritables ou contrefaits.
- Daignez me recevoir au moins en qualité de monstre, de phénomène, de calot propre à faire amasser la foule. — (Gérard de Nerval, Les Filles du feu, Dédicace à Alexandre Dumas, 1854)
- (Nouvelle-Calédonie) (Familier) Testicule[3].
-
bouleaux
?- Pluriel de bouleau.
- Les versants bas des montagnes sont couverts d’une forêt mixte d’épicéas, sapins, érables, bouleaux et hêtres. — (FAO, Ėvaluation des ressources forestières mondiales 2000: Rapport principal, 2002)
-
colineaux
?- Pluriel de colineau.
-
binationaux
?- Masculin pluriel de binational.
-
boyaux
?- Pluriel de boyau.
- J’y ai vu passer des types que j’ai pas souvent rencontrés dans les boyaux, tiens ! Tous ceux qui n’en ont jamais foutu une secousse défilaient, et au complet, et pas abîmés ! — (Roger Vercel, Capitaine Conan, Albin Michel, 1934, page 37 dans la collection Le Livre de Poche)
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asociaux
?- Masculin pluriel de asocial.
-
cuisseau
?- Partie de la chair qui entoure le bassin d’un veau dépecé pour la boucherie.
- Cuisseau de veau.
- Le chemineau est au cheminot des chemins de fer ce que le cuisseau de veau est au cuissot de chevreuil... — (Bernard Pivot, 100 mots à sauver, 2004)
- (Venaison) → voir cuissot ; (orthographe traditionnelle)
-
bateau
?- (Navigation) Construction, ouvrage flottant, parfois submersible, destiné à la navigation fluviale et maritime, et pouvant transporter des personnes ou des marchandises, souvent muni d’un gouvernail, et propulsé par la force humaine (barque, canoë…), le vent (bateau à voile) ou par propulsion mixte ou motorisée.
- Le mât de flèche plie sous l’effort et à sec de toile, le bateau roule terriblement. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- La viticulture auvergnate fut à son apogée vers le milieu du XIXe siècle. […] Les bateaux qui descendaient l’Allier emportaient des vins d’Auvergne jusqu’à Paris. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Pour changer d’atmosphère, le bateau libère des poignées de croisiéristes dès son arrivée, pressés par le temps pour visiter La Rochelle. — (journal Sud-Ouest, supplément C’est l’été au n° du 11 juillet 2022, page 4)
- J’étais un grand bateau descendant la GaronneFarci de contrebande et bourré d’EspagnolsLes gens qui regardaient saluaient la MadoneQue j’avais attachée en poupe par le col. — (Léo Ferré, Le Bateau espagnol)
- (Par métonymie) Son contenu, sa cargaison.
- Bateau de sel, de foin, de bois, etc.
- Partie surbaissée d’une bordure de trottoir destinée à faciliter son franchissement par des véhicules.
- S. se gara sur le bateau, empêchant les voitures d’entrer ou de sortir. — (Katherine Pancol, Les Yeux jaunes des crocodiles, LdP, page 123)
- La VW était garée sur un bateau. — (Éric Neuhoff, La Petite Française, Albin Michel, 1997, page 183)
- Chaussures larges, faites pour supporter la pluie.
- Les pieds nageant dans des bateaux cuirassés de clous formidables, et les yeux ensevelis sous un chapeau tromblon rougi par les années et les outrages des éléments : voilà ma tenue. — (Hippolyte de Villemessant, Mémoires d'un journaliste, tome 1, 1867)
- C’est le contrefort qui m’a écorché le talon… Mes autres souliers s’en allaient, et j’ai eu la bêtise, à Reims, d’acheter ceux-ci, qui me chaussaient bien. J’aurais dû choisir des bateaux. — (Émile Zola, La Débâcle, 1892)
- (Héraldique) Meuble représentant une embarcation dans les armoiries. Il s’agit d'un terme générique dont la représentation n’est pas vraiment fixée. Il est généralement représenté de profil, proue à dextre. Il se blasonne comme le navire. À rapprocher de drakkar, flobard, gabarot, galère, navire, nef et vaisseau.
- Écartelé : au premier d’or au manteau gonfaloné d’azur chargé d’une épée du champ, au deuxième de gueules à la chapelle campanée d’argent, ouverte et ajourée de sable, au troisième de gueules au bateau de sable, habillé et flammé d’argent, au quatrième d’or à la grappe de raisin de gueules, tigée et feuillée de sinople, qui est de la commune de Brem-sur-Mer de Vendée → voir illustration « armoiries avec un bateau »
- Plat utilisé pour présenter et servir les hors-d'œuvre.
- Auguste, suant, soufflant, mettait le couvert, courait pour avoir de l’eau fraîche pour rafraîchir le vin, pour embellir l’aspect du couvert avec des bateaux de radis, de cornichons, de sardines, d’olives. — (Comtesse de Ségur, Mémoires d’un âne, 1860)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.