Dictionnaire des rimes
Les rimes en : villesequelande
Mots qui riment avec "ande"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "villesequelande".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ande , andes , ende et endes .
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épande
?- Première personne du singulier du présent du subjonctif du verbe épandre.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif du verbe épandre.
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prébende
?- (Christianisme, Histoire) Revenu ecclésiastique, attaché ordinairement à un canonicat.
- […] le traitement dévolu par le Gouvernement aux chanoines n’existe plus depuis une loi de finance du 22 mars 1885 […]. Dans certains diocèses, l’on remplace ces subsides perdus par l’argent d’une fondation pieuse ou, si vous aimez mieux, d’une prébende. — (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
- Les vainqueurs de l’accession à l’Église et de la concurrence autour des prébendes ne sont ni les bourgeois ni les nobles, mais le clergé. — (Joseph Morsel avec la collaboration de Christine Ducourtieux, L’Histoire (du Moyen Âge) est un sport de combat…, 2007)
- (Par extension) Revenu attaché à quelque charge lucrative sans aucun caractère ecclésiastique.
- Ce retour, nous l'avons vu, n'est pas la simple rémanence d'un passé tribal et paysan, mais la reconstitution dans une société moderne de modes traditionnels de loyauté et d'exercice du pouvoir : alliances matrimoniales, solidarité des corporations, clientélisme, c'est-à-dire échange de la loyauté politique contre une prébende matérielle. — (Olivier Roy, L'échec de l'islam politique, Éditions du Seuil, 1992,)
- Je gagne mes galons de bon petit soldat en m’en prenant à l’un de ces oiseaux si menaçant de savoir et de prébendes, l’énarque du ministre, qui plus est inspecteur des Finances, déité jamais déifiée par les simples mortels. — (Marie de Gandt, Sous la plume. Petite exploration du pouvoir politique, Paris, Éditions Robert Laffont, 2013.)
- L’affaire de son appartement, survenue à point, l’a décrédibilisé d’entrée de jeu. Comment demander des sacrifices aux autres quand on bénéficie soi-même de prébendes ? Il y a là quelque chose qui cloche et que ne comprennent pas les Français, émus par les révélations de la presse sur les conditions avantageuses dont bénéficient les petits malins qui habitent des logements du domaine privé de la ville de Paris. — (Franz-Olivier Giesbert, La Tragédie du président : Scènes de la vie politique (1986-2006). Paris, éd. Flammarion, 2006. 414 p. ; 24 cm. ISBN 2-08-06-8948-7. La citation (qui évoque la polémique de 1995 sur lʼappartement parisien dʼAlain Juppé), se trouve en page 162 de cette édition.)
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cande
?- Pur, blanc, anche, clair, transparent, limpide, diaphane.
- aire cande
- air de candeur
- aiga canda
- eau claire
- de jorns candes
- des jours purs
- de candas amors
- des amours sans trouble
- Es cande come un liri. — (André Bru)
- il est pur comme un lis.
- Candide.
- de candas armas
- des âmes candides
- De bonne race, pur sang.
- feda canda
- brebis de race pure, de belle espèce
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repende
?- Première personne du singulier du présent du subjonctif du verbe rependre.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif du verbe rependre.
- orglandes
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normande
?- Race laitière de grand taurin, originaire de France (Normandie), à robe blanche avec plus ou moins de taches brunes ou bringées.
- Vache de race normande.
- La normande est issue principalement de la fusion de deux races locales au cours du XIXe siècle : la cotentine et l’augeronne.
- Les box disposés sur quatre rangées étaient presque tous occupés exclusivement par des vaches normandes, notai-je aussitôt. « Oui, c’est un choix, me confirma Aymeric, leur rendement est un peu moins bon que celui des Prim’Holstein, mais je trouve leur lait vraiment supérieur. — (Michel Houellebecq, Sérotonine, Flammarion, 2019, pages 149-150.)
- Race d’oies à rôtir originaires de France (Normandie), au plumage blanc, avec la tête, le cou et le dos gris chez la femelle.
- lalande
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tende
?- (Boucherie) → voir tende de tranche.
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guirlande
?- Chaîne, feston de fleurs ou de feuillage.
- Les jeunes gens qui venaient la voir l'appelaient Chrysé comme Aphrodite, dans les vers qu'ils mettaient à sa porte, avec des guirlandes de roses, le matin. — (Pierre Louÿs, Aphrodite, Mercure de France, Paris, 1896)
- (Sens figuré) — Et voici que des guirlandes de jeunes filles, fleurs rieuses dans leurs corolles couleur de ciel, couleur d'eau, couleur de feuille, essaient la cadence des rondes dont le cornemusiste joufflu guidera aigrement les temps. — (Marcel Brion, La reine Jeanne, Éditions Robert Laffont, 1944, chap. 1)
- Ce qui, par la manière dont elle est assemblée ou disposée, imite des festons, des guirlandes.
- Les pauvres bêtes apeurées, se refusaient à avancer. Deux femmes les tiraient par des guirlandes de papier de couleur dont on les avait enrubannés. — (Out-el-Kouloub, Nazira, dans "Trois contes de l'Amour et de la Mort", 1940)
- (Architecture) Ornements de feuillages, de fleurs ou de fruits dont les sculpteurs et les peintres décorent les bâtiments.
- rolande
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ramende
?- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe ramender.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe ramender.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe ramender.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe ramender.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe ramender.
- yvrandes
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gourmande
?- Femme gourmande.
- Or, le lendemain, la femme du savetier eut besoin d’être seule. C’était une gourmande qui, de temps en temps, moulait des gaufres qu’elle dissimulait dans une boîte et grignotait en cachette. — (Paul Crouzet, l’École et la Vie, volume 36, 1952, page 10)
- En sa qualité de gourmande, la Tonsard devint excellente cuisinière, et quoique ses talents ne s’exerçassent que sur les plats en usage dans la campagne, le civet, la sauce du gibier, la matelote, l’omelette, elle passa dans le pays pour savoir admirablement cuisiner un de ces repas qui se mangent sur le bout de la table et dont les épices, prodiguées outre mesure, excitent à boire. — (Honoré de Balzac, Les Paysans, 1845, première partie, chapitre troisième)
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pourfende
?- Première personne du singulier du présent du subjonctif de pourfendre.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de pourfendre.
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rebande
?- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe rebander.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe rebander.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe rebander.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe rebander.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe rebander.
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allemande
?- Espèce de danse vive et gaie, dont l’usage a passé de l’Allemagne dans d’autres pays.
- Danser l’allemande, une allemande.
- Airs sur lesquels on exécute cette sorte de danse.
- Jouer une allemande sur le piano.
- Recueil d’allemandes.
- (Théâtre) Répétition des déplacements et actions de jeu, sans s'attarder sur le texte, permettant aux acteurs de les mémoriser et de s'approprier l’espace scénique.
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télécommande
?- Transmission à distance d’un signal déclenchant l’exécution d’un ordre par un dispositif.
- Télécommande des aiguillages, des machines-outils, des avions.
- J’enclenche la cassette, je sirote du thé au jasmin. De temps en temps, je reviens en arrière, grâce à ce rosaire laïc qu’on appelle télécommande. — (Muriel Barbery, L’élégance du hérisson, 2006, collection Folio, page 118)
- Petit boîtier à boutons permettant de commander à distance un appareil.
- D’emblée, monsieur Spitzweg s’est senti bien avec son magnétoscope. Les petites lettres bleues qui défilent sur l’écran de contrôle, les hoquets tranquilles des ressorts quand on introduit la cassette. La télécommande, surtout. Ah ! oui, ce petit geste du bras dominateur qui se tend vers l’appareil, de la main qui se penche avec une autorité condescendante : obéis-moi, ma chose, soumets-moi tes fonctions. Monsieur Spitzweg a rarement senti tant de docilité. Il n’a pas de chien, pas de jardin, pas de voiture : ce qui lui obéit, c’est son magnétoscope. — (Philippe Delerm, Il avait plu tout le dimanche, Mercure de France, 1998, page 47)
- Ça me fait penser à allumer la téloche pour regarder les infos de 9 h. J’attrape la télécommande et je mets la dix. — (Boris Tzaprenko, Noti Flap, vol.2 : Tribulations détectivesques méziguifères, (autoédition), 2013, page 96)
- Nous nous affalons côte à côte dans le grand canapé blanc, moelleux comme un marshmallow géant ; mon corps s'enfonce confortablement dans les coussins tandis que Damen attrape la télécommande et se blottit contre moi. — (Alyson Noël, Éternels, tome 5 : Une étoile dans la nuit, traduit de l'anglais (États-Unis) par Maud Desurvire, 2012, chapitre 2)
- Quand la jeune femme appuya sur la télécommande pour verrouiller sa voiture, les clignotants bipèrent en rythme avec les lointains échos de musique et de rires. — (Terry Goodkind, Les Sanctuaires du Mal, traduit de l’anglais (États-Unis) par Jean Claude Mallé, éditions Bragelonne, 2017, chapitre 30)
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appende
?- Première personne du singulier du présent du subjonctif du verbe appendre.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif du verbe appendre.
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dépende
?- Première personne du singulier du présent du subjonctif de dépendre.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de dépendre.
- Je veux vivre assez intimement avec une créature pour que notre affection ne dépende pas d’un oui ou d’un non, d’une situation où le plus joli homme cause des désillusionnements à l’amour. — (Honoré de Balzac, Le Contrat de Mariage, écrit en 1835 sous le titre de La Fleur-des-pois)
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mende
?- Siècle.
- XXI. mendea zain dugu.
- Nous attendons le XXIe siècle.
- Existence, vie, époque.
- Zure mendean egin dituzun faltak.
- Les erreurs que vous avez faites dans votre vie.
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confirmande
?- (Religion) Celui qui se présente pour recevoir le sacrement de confirmation, dans l’Église catholique romaine ou la cérémonie protestante homonyme (qui n’est pas alors considérée comme sacrement).
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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blende
?- Minerai de zinc, composé essentiellement de sulfure de zinc et renfermant souvent du plomb et du cadmium.
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légende
?- Inscription gravée circulairement près des bords et quelquefois sur la tranche d’une pièce de monnaie, d’un jeton, d’une médaille.
- Les anciennes pièces de cinq francs portaient pour légende « Dieu Protège La France ».
- Âme d’une devise, de ce qu’on y peut lire.
- Louis XIV avait pour devise le soleil avec cette légende : « Nec Pluribus Impar ».
- Liste placée sur un plan d’architecture, sur une carte topographique, géographique (mappemonde ou autre), etc., pour expliquer les lettres, les signes, les couleurs par lesquels on indique les différentes parties ou les endroits remarquables.
- Paroles qu’on trouve inscrites dans un tableau, ou dans une estampe, et qui semblent parfois sortir de la bouche des personnages.
- Une légende de Daumier.
- Notice explicative mise au bas ou au-dessous d’un tableau, d’un dessin.
- […], il fit une seconde halte pour lire ces mots : À la Belle-Étoile, écrits en légende sous une peinture qui représentait le simulacre le plus flatteur pour un voyageur affamé : c’était une volaille rôtissant au milieu d’un ciel noir, […]. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre IV)
- En 1866, M. l'abbé Jeuffrain, nommé récemment curé de Graville-Sainte-Honorine, remarqua dans la chapelle de sainte Honorine une pierre tombale de grande dimension, sans légende, mais chargée de traces d'incrustations héraldiques, au nombre de douze ou quatorze, et présentant les effigies d'un chevalier et de sa femme. — (Bulletin de la Commission des antiquités de la Seine-Inférieure, vol. 5, chez H. Boissel, 1882, page 293)
- Récit populaire, plus ou moins fabuleux, qui s’est transmis par la tradition.
- Selon une légende qui a longtemps eu cours dans le Midi, des Hébreux seraient venus se fixer à Narbonne au temps du roi David, soit au XIe siècle avant l’ère chrétienne. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours - Avant-propos, 1937)
- Il n’y a rien d’étonnant à ce que les Féroë aient été considérés comme le domaine du dieu Thor et que les vieux se racontent les légendes des poulpitecs, du Kraken et des sirènes. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- Un autre capitaine […] se promenait avec une Bible et exploitait le goût des indigènes pour le merveilleux et leur penchant à discuter les légendes bibliques, qui par certains côtés ressemblent à leurs légendes païennes, […]. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil, tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- « Des légendes? dit Natalie, qu’est-ce que c’est, des légendes?— Eh bien, dit Martin Paul, ce sont des fables, des contes; c’est ce qu’on fait semblant de croire vrai, tout en sachant que c’est faux; ce sont des illusions qu’on a quand la nuit est douce, que ça sent bon, que ça chante dans les herbes… » — (Maurice Bedel, La nouvelle Arcadie, 1934)
- Il se fabriquait une étrange réputation, personnage de légende qui voyait à travers le brouillard, savait se rendre invisible aux gabelous, capable de tout ! — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- « Rien qu’une légende, dis-tu ? Tu ne veux que des faits ? Les faits sont périssables, crois-moi, seule la légende reste, comme l’âme après le corps, ou comme le parfum dans le sillage d’une femme. » — (Amin Maalouf, Le rocher de Tanios, Grasset, 1993, collection Le Livre de Poche, page 290)
- (Par hyperbole) Récit mythique.
- Le biniou de Jozon Thoraval! Il avait sa légende, comme tout biniou qui se respecte; j’en puis faire aujourd’hui l’histoire […]. — (Charles Le Goffic, Le biniou du mobilisé (1871), dans Bourguignottes et pompons rouges, 1916, page 227)
- Ouvrage contenant le récit de la vie des saints.
- Des compositions d’un autre genre, appartenant de même à la littérature théologique, se sont continuées en latin, et en même temps ont commencé à être écrites en français; telles sont les légendes, traduites en général d’après un original latin, […]. — (Jean-Jacques Ampère, La Littérature française au moyen-âge, Revue des Deux Mondes, 1839, tome 19)
- Ce saint-là n’est pas dans la légende.
- Note : Cette acception qui en ferait un synonyme de synaxaire n’est guère attestée que dans l’expression « légende dorée ».
- (Par extension) Histoire fausse ; mensonge ; racontar ; idée reçue.
- Mais Estivareilles est surtout connu pour posséder plusieurs « menhirs christianisés », et il nous faut combattre une légende, celle de l’origine préhistorique de ces pierres levées. — (Histoire des communes de l'Allier, tome 2 : Arrondissement de Montluçon, ouvrage dirigé par André Leguai, Éditions Horvath, 1986, page 270)
- (Sens figuré) Personne célèbre, talentueuse ou héroïque qui a atteint un certain succès, une certaine notoriété dans un domaine, un milieu.
- Je suis une légende vivante. Cette chanteuse s’est hissée au rang des légendes de la pop. Ce footballeur est une légende.
- [S'adressant à Arthur.] Des chefs de guerre, il y en a de toutes sortes. Des bons, des mauvais, des pleines cagettes, il y en a. Mais une fois de temps en temps, il en sort un. Exceptionnel. Un héros. Une légende. Des chefs comme ça, il y en a presque jamais. Mais tu sais ce qu’ils ont tous en commun ? Tu sais ce que c’est, leur pouvoir secret ? Ils ne se battent que pour la dignité des faibles. — (Pierre Mondy, Kaamelott, Livre VI, 6 : Nuptiæ, écrit par Alexandre Astier.)
- (Cartographie) Tableau descriptif, non nécessairement complet, des conventions cartographiques permettant la lecture de la carte[1].
- (Cartographie) Mention dans le champ de la carte explicitant ou complétant un signe conventionnel ou fournissant un renseignement particulier[1].
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défende
?- Première personne du singulier du présent du subjonctif de défendre.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de défendre.
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révérende
?- (Religion) Titre donné aux religieuses.
- Ce sont, en effet, les révérendes Sœurs religieuses Marie de l’Incarnation, Saint-Ignace, Sainte-Hélène, et la révérende Sœur Marie Morin, dont la mère était la filleule du gouverneur d’Ailleboust, qui furent les doyennes de notre littérature féminine. — (Georges Bellerive, Brèves apologies de nos auteurs féminins, page 9, 1920)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.