Dictionnaire des rimes
Les rimes en : tavaïolle
Mots qui riment avec "ol"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "tavaïolle".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ol , ols , oll , ole , oles , olle , olles , aul , aule et aules .
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monticole
- (Ornithologie) Nom vernaculaire de plusieurs oiseaux passereaux de taille moyenne, montagnards, insectivores ou omnivores, proches du merle :
- le monticole merle-bleu ou monticole bleu (Monticola solitarius) couramment appelé merle bleu, européen, nord-africain et asiatique
- le monticole merle-de-roche (Monticola saxatilis) traditionnellement appelé merle de roche,
- le monticole à doigts courts (Monticola brevipes), habitant des savanes sèches du sud de l'Afrique
- etc.
- On y trouve l’aigle de Bonelli, le vautour percnoptère et le grand-duc d’Europe, mais aussi le monticole bleu ou le monticole de roche. — (Michel Vallance, Faune sauvage de France: Biologie, habitats et gestion, 2007)
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tavaïolle
- (Catholicisme) Linge garni de dentelles, et quelquefois fait tout entier de dentelle, dont on se sert à l’église pour offrir le pain bénit ou pour présenter des enfants au baptême.
- Une riche tavaïolle.
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consol
- (Marine) Procédé radioélectrique d’aide à la navigation.
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hypergol
- (Propulsion spatiale) Propergol dont les ergols réagissent spontanément entre eux, sans intervention d'un allumeur.
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épaule
- (Anatomie) Partie du corps qui attache au cou l’articulation du bras chez l’être humain et du membre antérieur chez les quadrupèdes ; articulation qui relie l'arrière-bras au tronc.
- Rien de gracieux comme ses mouvements d’épaules, lorsqu’elle attire le menton pour se cacher entièrement la figure, qui, par instants, se montre à la dérobée. — (Flora Tristan; Les Femmes de Lima, dans Revue de Paris, tome 32, 1836)
- Un long baiser rescella leur pacte. Aïssa, lourde de langueur, avait renversé sa tête sur l’épaule de son amant. — (Victor Margueritte, Un cœur farouche, Paris : Ernest Flammarion, 1921 page 61)
- Les cordelettes m’entraient dans la chair, les mains me faisaient mal et la position dans laquelle mes bras étaient maintenus me brisaient les épaules. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- Il tient volontiers sa tête courbée, les épaules un peu hautes, le dos rond, les bras ballants. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 208)
- Malgré les mouvements brusques, imprévisibles souvent du bateau, il restait debout à son poste, bien d’aplomb sur ses courtes jambes et il ne tressaillait même pas quand des paquets de mer s’abattaient sur ses vastes épaules. — (Georges Sim (pseudonyme de Georges Simenon), L’île des maudits, éditions J. Ferenczy et Fils, 1929, réédition 1980, chapitre VIII)
- […]; et le maréchal, avec son tablier de cuir et ses manches de chemise retroussées jusqu'à l’épaule, tenait le cheval par la bride, parce que le cheval était un peu nerveux. — (Gilbert Guisan, C.-F. Ramuz ou Le génie de la patience, page 43, E. Droz, 1958)
- (Par extension) (Au pluriel) Carrure.
- C’est un bel homme bien en chair, élégant en effet, quoique de massive encolure, avec de larges épaules, des joues pleines, de beaux yeux noirs caressans, […]. — (Ernest Duvergier de Hauranne, Huit mois en Amérique, Revue des deux mondes, Vol.2005, 1866, p. 495)
- C’était en somme, avec sa peau blanche, sa haute taille et ses larges épaules, un fort beau cavalier dans l’acception ordinaire du mot, […]. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre IV)
- (Familier) Symbole de la force de caractère.
- Dès l’Ite Missa est, la sacristine s’agita. Longue, plate et noire comme un staphyllin, desséchée par cinquante ans de célibat concentré, elle semble porter sur ses épaules étroites tout le deuil de la terre, expier tous les péchés du monde. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Il n’a pas les épaules assez fortes, il a les épaules trop faibles pour un tel emploi, pour soutenir une telle charge, pour mener à bien cette entreprise : Il n’a point assez de talent, assez de bien, de ressources.
- (Fortification) Partie saillante que forme la réunion des pans nommés flanc et face d’un bastion.
- Rieux réfléchissait. Par la fenêtre de son bureau, il regardait l’épaule de la falaise pierreuse qui se refermait au loin sur la baie. — (Albert Camus, La Peste, 1947)
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saule
- (Botanique) Genre d’arbres ou d’arbustes, à feuilles caduques, alternes, ovales ou lancéolées, aux fleurs réunies en chatons, mâles ou femelles, portés par des pieds différents (plantes dioïques) et qui croissent ordinairement dans les prés et le long des ruisseaux.
- Mais voilà-t-il pas que le saule, qui était creux et pourri dans le cœur, craque sous son poids et se brise avec un fracas épouvantable ! — (Charles Deulin, « Les Trentes-Six Rencontres de Jean du Gogué », in Cambrinus et autres Contes, XIXe siècle (1874?))
- Les odeurs forestières, senteurs adorées par les âmes friandes de poésie à qui plaisent les mousses les plus innocentes, les cryptogames les plus vénéneux, les terres mouillées, les saules, les baumes, le serpolet, les eaux vertes d’une mare, l’étoile arrondie des nénuphars jaunes ; toutes ces vigoureuses fécondations se livrent à vos narines en vous livrant toute une pensée, leur âme peut-être. — (Honoré de Balzac, Les Paysans, 1845, première partie, chapitre premier)
- Les bourgeons des saules avaient éclaté en projetant sur les branches rousses la poudre vert amande du feuillage naissant. — (Maurice Constantin-Weyer, Un homme se penche sur son passé, 1928, réédition Nelson, page 161)
- Le long des rivières se développe une végétation de Cannes de Provence qui s’encombre de Saules et de Peupliers jusqu’à donner des bois de ces arbres qui sont un autre climax. — (Henri Gaussen, Géographie des Plantes, Armand Colin, 1933, page 125)
- Dressé sur l’échelle légère et tremblante, en saule de marais, il cueillait sans relâche, leste comme un écureuil, promptement quoique sans se hâter. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 35)
- Les lentilles d’eau font de la roubine un chemin vert tendre entre saules et frênes. — (Lise Gros, Couleur dimanche, couleur Camargue, 2003, page 35)
- Bois du saule, utilisé en menuiserie, vannerie, ébénisterie, etc.
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carol
- (Christianisme) Chanson traditionnelle de Noël.
- A Christmas Carol
- Un chant de Noël
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terricole
- (Écologie) Qui vit sur la terre ou dans la terre.
- La Cystolépiote de Bucknal est un saprophyte terricole que l’on trouve dans les lisières, sur les banquettes des haies forestières et sur les bermes de routes. Ce taxon acidocline et nitrophile pourrait être plus répandu que ne le montre notre carte. Sa répartition semble cantonnée à l’étage collinéen dans le Nord-Est.— (Bernard Dangien, Pierre Lectard et Jean-Paul Maurice, Comment cartographier les champignons, Bulletin de la Société de sciences naturelles et d'archéologie de la Haute-Marne, avril 1993, p.124)
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roséole
- (Médecine) Sorte d’éruption cutanée, fièvre initiale élevée, caractérisée par de petites taches roses. — Note : Cette maladie survenant entre 6 et 36 mois, est bénigne avec guérison complète sans séquelle. Un épisode confère l'immunité complète.
- busseol
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virole
- Petit cercle de fer, de cuivre ou d’autre métal, qu’on met au bout du manche d’un couteau, au bout d’une canne, etc., pour tenir le bois en état, ou pour quelque autre usage.
- Il savait qu’il était en Amérique, une grande et puissante nation, dont les citoyens avaient des manières sèches et humoristiques, se servaient à tout propos de revolvers et de couteaux à virole […] — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 380 de l’édition de 1921)
- On mettait des viroles aux fusils, aux pistolets, pour tenir la baguette.
- (Billard) Partie blanche de la queue juste après le procédé.
- (1765) Anneau d’acier dans lequel les monnaies se frappent.
- Sur la virole sont gravés les dessins et les caractères que l’on veut reproduire sur la tranche des monnaies.
- (Technique, Chaudronnerie) (Tôlerie) (Par extension) Toute tôle enroulée sur elle-même par roulage pour former de petits ou grands cylindres utilisés pour réaliser par exemple des tuyaux, des mats d’éoliennes, des cuves, etc.
- La bouche d’incendie est terminée par un pas de vis destiné à recevoir, soit un chapeau couvert , soit la virole du tuyau de cuir qui alimente les pompes à incendie. — (Raymond Genieys, Essai sur les moyens de conduire, d’élever et de distribuer les eaux, Carilian-Gœury, Paris, 1829, page 269)
- Chaque virole peut être rivée sur elle-même et sur ses voisines, soit par recouvrement, soit avec couvre-joint. La rivure par recouvrement est la plus usitée quoique, appliquée aux joints longitudinaux, elle ait l’inconvénient d’altérer un peu la forme circulaire, et beaucoup plus l’uniformité de la répartition des efforts près du joint. Elle doit toujours, du reste, être à deux rangs pour atténuer le désavantage de sa direction. Quant à la jonction de la virole ou des viroles intermédiaires, celles—ci peuvent être, soit emboîtantes ou emboîtées aux deux bouts (II, Pl. XXIV, fig. 4), soit emboîtantes d’un côté, emboîtées de l’autre (assemblage télescopique anglais ; exemple : machine américaine du Great Northern, II, Pl. LXXV, fig. 4). — (Charles Couche, Voie, matériel roulant et exploitation technique des chemins de fer, tome III, 1er fascicule, Dunod, Éditeur, Paris, 1874)
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limicole
- (Zoologie) Qui vit dans les marécages, les eaux dormantes.
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glycol
- (Chimie) Composé chimique organique caractérisé par un certain nombre de groupes hydroxyles, de formule générale CnH2n+2On.
- (Chimie) (En particulier) (Au singulier) Éthylène glycol.
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patafiole
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de patafioler.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de patafioler.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de patafioler.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de patafioler.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de patafioler.
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bestiole
- Petit animal[1][2].
- Soudain la vagabonde bestiole s’envolait, abandonnant dans mon giron, — ô horreur! — une larve monstrueuse et difforme à tête humaine! — (Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit, 1842)
- Bien qu’il s’attaque de préférence à d’assez grosses bestioles, le crapaud ne dédaigne pas, à l’occasion, de mobiliser sa langue pour engluer quelques pucerons. — (Jean Rostand, La vie des crapauds, 1933)
- (Par extension) (Sens figuré) (Ironique) (Désuet) Jeune fille sans esprit[2].
- grezolles
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sole
- (Anatomie) Partie inférieure creuse du sabot. [1]
- (Agriculture) Pièce de terre soumise à l’assolement.
- Comme tout le monde le sait , les terres à labour dans l'assolement de trois ans , sont divisées en trois parties , trois soles : une sole en jachère , une sole en blé, et une sole moitié en avoine , moitié en cultures fourragères, fèves et warrats. — (Léon de Rosny, Second rapport sur l'assolement triennal et l'assolement quadriennal comparés dans les Comptes rendus de la Société d'agriculture, du commerce et des arts de l'arrondissement de Boulogne-sur-mer, séance semestrielle du 19 maes 1853, page 4)
- Ce labour d'hiver, une fois abandonné à lui-même, permet de considérer la sole qui doit être occupée l'année suivante par l'avoine comme étant en partie jachérée. — (Gustave Heuzé, Les assolements et les systèmes de culture, Paris : chez Louis Hachette & Cie, 1862, vol. 1, p. 385)
- (Architecture) Pièce de bois posée à plat dans une charpente.
- Pièce de bois soutenant les étais d’une mine.
- Paroi inférieure (le « plancher ») d’un four.
- Les scories du premier décrassage sont les plus caverneuses. Elles retiennent souvent de la brasque enlevée à la sole, et quelques fragmens de paille carbonisée. — (M. H. Margerin, « Mémoire sur le traitement métallurgique du cuivre carbonaté et du cuivre oxidulé de Chessy », dans les Annales des mines, 2e série, vol. 7, Paris : chez Treuttel & Würtz, 1830, page 332)
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formol
- (Médecine, Pharmacie, Chimie) Solution aqueuse contenant 37% (masse/masse) d’aldéhyde formique (formaldéhyde), employée comme antiseptique et désinfectant.
- Le formol se présente à l'état de dissolution aqueuse sous forme d'un liquide incolore sirupeux,doué d'une odeur très piquante, mais dont l'impression sur les muqueuses disparaît rapidement. Généralement la solution contient 30 à 40 % de formol, une plus grande concentration provoque la formation de trioxyméthylène qui se dépose sous forme de poudre amorphe. — (Auguste Trillat, Le formol in Le Moniteur scientifique du Doctor Quesneville n°601, janvier 1892)
- Par la suite, mon cousin Chandeleur eut trois doigts arrachés par coup de feu militaire. Si vous ne me croyez pas, je vous les montrerai à l’occasion. Nous les avons conservés dans le formol ; ils sont au musée de Fontenay-aux-Roses… — (Antoine Blondin, Monsieur Jadis ou l'École du soir, 1970, réédition Folio, 1972, page 83)
- Arthur ? C'est moi... Justine. Je craque, envie de te voir, plus possible ces ouikendes. Six mois que ça dure, me sens comme une back-street vieillissant dans le formol. — (Odile Cuaz, Faut-il s'embrasser sur la bouche... et sinon quand ?, Éditions Robert Laffont, 1989, chapitre 3)
- Dans cet immeuble de sursis, de murmures, de chaises et de lits, au fond d’un dédale de couloirs et d’ascenseurs qui sentent le formol et la douleur, se cache une salle noyée de lumière. — (Ollivier Dyens, La Condition inhumaine. Essai sur l’effroi technologique, Flammarion, 2008, page 19)
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paul
- Monnaie d’argent des États du pape, valant 52 centimes, ainsi dite de Paolo, nom d’un pape.
- — Il n’est question que de cela ; seulement les uns lui accordent des millions, les autres prétendent qu’il ne possède pas un paul. — (Alexandre Dumas, Le Comte de Monte-Cristo, chapitre 66, édition de C. Levy)
- Our table was plentifully furnished by the landlord for two and thirty pauls, being equal to sixteen shillings. — (Tobias Smollett, Travels through France and Italy)
- Notre table était amplement approvisionnée par le propriétaire, pour trente-deux pauls, soit quelque seize shillings..
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gaïacol
- (Pharmacie) Phénol extrait de la résine du gaïac. On peut l'extraire de différents bois comme par exemple l'acacia à cachou (acacia catechu.
- Le gaïacol C6H4.OH.OCH3 est un éther monométhylique d'un phénol diatomique la pyrocatéchine C6H4(OH)2. — (Cousin & Serres, Chimie, physique, mécanique et métallurgie dentaires, 1911)
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aéricole
- (Biologie) Qui vit dans les airs, en parlant des plantes et des animaux.
- On peut obliger cette espèce à passer du régime aéricole au régime aquicole ou réciproquement, sans trouble grave de l’organisme. — (Société scientifique de Bruxelles, Union catholique des scientifiques français, Revue des questions scientifiques: Volume 95, 1930)
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indophénol
- (Chimie) Nom générique de diverses matières colorantes bleues.
- Pour l’automatisation du dosage au bleu d’indophénol en milieu marin, les conditions opératoires optimales se définissent finalement de manière empirique en vue d’obtenir une sensibilité suffisante. — (Alain Aminot, Roger Kérouel, Dosage automatique des nutriments dans les eaux marines, 2007)
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viole
- (Musique) Instrument de musique à six ou sept cordes, dont on joue avec un archet.
- Une viole de gambe.
- Comme il aimait la musique, il acheta une viole pour charmer ses ennuis et essaya d’en jouer sans avoir jamais appris. — (Charles Deulin, Cambrinus)
- Pauvre M Hyacinthe ! je ne le vois pas en pourpoint brodé, une viole à la main ! — (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts, Plon, 1922, collection Le Livre de Poche, page 284.)
- Madeleine vint embrasser Marin Marais qui lui dit, tout en disposant sa viole entre ses jambes et en cherchant l'accord, qu'il avait joué devant le roi à la chapelle. — (Pascal Quignard, Tous les matins du monde, Gallimard, Folio, 1991, page 65)
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symbole
- Figure ou image qui sert à désigner une chose le plus souvent abstraite, une idée ou un concept.
- Les vieux symboles chrétiens, tant expliqués, tant traduits, présentent à l'esprit, dès qu'on les voit, une signification trop claire. Ce sont des symboles austères de mort, de mortification. — (Jules Michelet, Du prêtre, de la femme, de la famille, 3e éd., Hachette & Paulin, 1845, page 181)
- — Qu’est-ce qu’un symbole ? D’après Littré, c’est « une figure ou une image employée comme signe d’une autre chose » ; nous autres, catholiques, nous précisons encore cette définition en spécifiant, avec Hugues de Saint-Victor, que « le symbole est la représentation allégorique d’un principe chrétien, sous une forme sensible ». — (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
- Fierté des maîtresses de maison formées aux traditions familiales, la blanquette est, révérence gardée, à la cuisine française ce que Molière est au théâtre. Un symbole, un modèle éternel qui fait école, une sorte de mémoire collective. — (Sylvie Girard-Lagorce, Grandes et petites histoires de la gourmandise française: traditions et recettes, Plon, 2003, De Borée, 2005, page 95)
- (Numismatique) Figure qu’on voit sur les médailles et qui sert à désigner soit des hommes ou des divinités, soit des parties du monde, des royaumes, des provinces ou des villes.
- Les symboles sont ordinairement placés sur le revers des médailles.
- La ville de Paris a un vaisseau pour symbole.
- (Chimie) Lettre ou ensemble de lettres, qui sert à désigner un corps simple.
- Le symbole de l’oxygène est O, celui du sodium est Na.
- (Religion) Formulaire qui contient les principaux articles de la foi.
- Les trois symboles de la foi sont le symbole des apôtres, le symbole de Nicée et le symbole attribué à saint Athanase.
- (Cartographie) Figuration graphique, colorée et/ou alphanumérique, affectée à un phénomène pour le représenter sur la carte[1].
- (Éducation) Outil d'humiliation publique de la politique linguistique d'État afin de forcer les élèves à parler la langue d’enseignement. Sous la forme d'un objet à porter autour du cou, il est spécifiquement utilisé dans les écoles primaires francophones aux XIXe et XXe siècles pour interdire l'usage des langues maternelles régionales.
- D’où l’usage, dans les classes, du légendaire « symbole », sou, médaille ou sabot, que le maître donnait au premier enfant surpris à parler occitan ou breton, à charge pour celui-ci de le repasser à un autre fautif, de sorte que le dernier possesseur de l’objet infamant soit puni. — (Mona Ozouf, Composition française, Gallimard, 2009, collection Folio, pages 234-235)
- lampaul
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.