Dictionnaire des rimes
Les rimes en : tétradactyle
Que signifie "tétradactyle" ?
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- (Zoologie) Qui a quatre doigts à chaque pied.
- Un rat à trompe tétradactyle ou pétrodrome à quatre orteils.
Mots qui riment avec "il"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "tétradactyle".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : il , ils , ille , illes , ill , ile , iles , yle , yles , ylle et ylles .
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infertile
- Qui n’est pas fertile.
- Si les engrais verts donnent de fort bons résultats dans les sols infertiles et épuisés, à plus forte raison sont-ils avantageux dans les sols fertiles et riches. — (Charles-Victor Garola, Engrais : Le matières fertilisantes, Paris : J.-B. Baillière & fils, 7e éd., 1925, p.184)
- (Sens figuré) — Un esprit infertile.
- (Par extension) Qualifie un sujet, une matière qui fournit peu de choses à dire.
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subfébrile
- (Médecine) Caractérise une température élevée mais non fiévreuse.
- Quand il est amené dans notre clinique, on constate mouvement subfébrile à 37,8 ; albuminurie légère. Au point de vue psychique, dépression avec anxiété et préoccupations hypocondriaques. — (C. I. Urechia, « Les psychoses grippales », dans les Annales médico-psychologiques, 14e série/91e année, tome 1 (janvier-mai 1933), Paris : chez Masson & Cie, 1933, p. 460)
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labile
- Qui n’est pas fixe ; mobile, changeant.
- [...] il n’existe pas de « civilisations ». Il n’y a que des sociétés, des groupes culturellement et historiquement labiles. — (Marie de Gandt, Sous la plume. Petite exploration du pouvoir politique, Paris, Éditions Robert Laffont, 2013, p. 255)
- (Biochimie) Amovible, non-fixé, facilement détachable, voire instable, notamment en raison de la chaleur. Se dit par exemple de certaines protéines, des vitamines, etc.
- (Psychologie) Se dit d’une humeur changeante, qui se modifie aisément.
- (Médecine) Se dit d’un état variable d’un moment à l’autre.
- (Par extension) Sujet à défaillance, chute.
- En Amérique latine, les frontières sont encore labiles.
- (Linguistique) Se dit d’un verbe qui peut être à la fois transitif et intransitif, sans changement de forme.
- En effet, les verbes labiles, ou diffus, sont susceptibles de participer à des constructions aussi bien transitives qu’intransitives sans pour cela qu’il y ait une transformation de voix active en voix passive. — (Nicolas Tournadre, L’Ergativité en tibétain, 1996)
- Il est difficile d’établir le nombre exact de verbes labiles. Actuellement ils représenteraient entre 10 et 15% de la totalité des verbes français. — (Daniel Lebaud, Catherien Paulin, Katja Ploog (éds.), Constructions verbales et production de sens, 2006)
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cheville
- (Construction) Morceau de bois ou de métal qu’on fait entrer dans un trou pour le boucher, pour faire des assemblages ou pour d’autres usages.
- Quand on veut que la cheville fasse tirage, on perce d’abord la mortaise de part en part, le tenon n’y étant pas ; on met le tenon en place, on marque les trous, on retire le tenon, on perce les trous un peu plus haut qu’ils ne doivent l’être ; […]. — (Alexandre-Edouard Baudrimont, Dictionnaire de l’industrie manufacturière, commerciale et agricole, tome 10, Baillière, 1841, page 593)
- (Métrologie) (Désuet) Unité de mesure du bois de charpente.
- a cheville, encore usitée aujourd’hui au Havre, fait la 144e partie du pied métrique cube ou la 300e de la marque, et vaut 12 pouces cubes métriques = 257 centimètres cubes. — (Horace Doursther, Dictionnaire universel des poids et mesures, anciens et modernes, M. Hayez, Bruxelles, 1840)
- Pièce, souvent en plastique que l’on enfonce dans un mur avant de fixer une vis.
- (Vieilli) Principal mobile, du principal agent d’une affaire.
- (Musique) Petit morceau de bois ou de métal qui, dans les instruments à cordes, servent à tendre ou à détendre les cordes.
- Il manque une cheville à ce violon.
- (Anatomie) Articulation qui relie la jambe et le pied, formant une saillie osseuse.
- Dès le premier jour, les chevilles tuméfiées par la pression du fer se déchirèrent. Une plaie se forma, sanieuse, putride, entourée d'une auréole d’inflammation violente. — (Georges Clemenceau, « À l’Île du Diable », dans L’Aurore, 9 juillet 1899 - En réunion dans Justice militaire, Stock, 1901, page 247)
- Il pressentait que l’eau triompherait des semelles sans résistance, et, sournoisement, s’infiltrerait jusqu’aux chevilles. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 9)
- Lo…, aidé d’un autre, m’attacha par les poignets et les chevilles avec des lanières de cuir fixées au bois. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- Sa silhouette montrait les contours d’une longue robe descendant jusqu’aux chevilles, une écharpe autour du cou et une épaisse tignasse tombant sur les épaules. — (Patrick Sant-Anna, Les Naufragés du destin, Publibook, 2011, page 109)
- (Anatomie, Médecine vétérinaire) Apophyse osseuse qui supporte les cornes chez les animaux.
- (Sens figuré) (Versification) Mots inutiles au vers que l’on rajoute pour obtenir le bon nombre de pieds ou la rime.
- Vers les âpres couloirs marchent d’un pas égalCes héros au front pur en quête du Graal,Montagnes ! Regardez passer là vos vainqueursTout (1) animés du feu d’une splendide ardeur…(1) C’est ce que nous autres appelons : une cheville. — (Samivel, L’amateur d’abîmes, 1940, réédition Le Livre de Poche, page 196)
- (Par extension) Industrie, activité du chevillard.
- (Au pluriel) (Chasse) (Vieilli) Andouillers.
- Sorte de clé en bois utilisée dans les anciennes serrures.
- — Si on fermait la porte à la cheville ? — (Hector Malot, En famille, 1893)
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deuil
- Affliction, douleur qu’on éprouve lors du décès de quelqu’un, ou suite à une autre perte importante.
- Suis-je heureux ? Oui ; je n’ai ni deuil, ni regrets, ni désir compliqué ; donc, je suis heureux. — (Henri Barbusse, L’Enfer, Éditions Albin Michel, Paris, 1908)
- Ici bas, quand le deuil fond sur nous, nous ne pouvons hélas! que nous arrêter un instant pour pleurer. Il nous faut très vite nous remettre en marche. — (Joseph Caillaux, Mes Mémoires, I, Ma jeunesse orgueilleuse, 1942)
- Oui, mon père à peine en terre, j’étais coupable, oubliant mon deuil, trahissant mon chagrin et son souvenir. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 33)
- Les deux compères se mirent à rire du fond de la gorge, laissant échapper des bouffées d’air saccadées, mais tout en maintenant leurs lèvres et leurs mâchoires en position de deuil, jusqu’à en être endolories. — (Amin Maalouf, Le rocher de Tanios, Grasset, 1993, collection Le Livre de Poche, page 102)
- (Par extension) Grande tristesse causée par une chose funeste, déplorable.
- Le jour où l’on apprit la mort de ce grand homme d’état fut un jour de deuil.
- (Poétique) Aspect triste de la nature pendant la mauvaise saison.
- Le deuil de la nature. – La nature est en deuil.
- (Par extension) Code vestimentaire qui caractérise la tristesse à l’occasion de la mort.
- La veuve de Henri II était vêtue de ce deuil qu’elle n’avait point quitté depuis la mort de son mari. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre VI)
- La mère de Zariffa, déjà prévenue, et la figure couverte de pâte bleue en signe de grand deuil, arriva en hurlant […] — (Out-el-Kouloub, « Zariffa », dans Trois Contes de l’Amour et de la Mort, 1940)
- (Funéraire) Décorum funéraire, marque extérieure de la douleur réglée par l’usage.
- Tendre une église de deuil. – Magasin de deuil. – Papier de deuil.
- Temps pendant lequel se porte le deuil.
- On a abrégé les deuils. – Le deuil des veuves ne dure plus qu’un an. – L’année de deuil.
- Cortège des parents qui assistent aux funérailles de quelqu’un.
- J’ai vu passer le deuil. – Mener, conduire le deuil.
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allyle
- Groupe fonctionnel alcénique de formule semi-développée H2C=CH-CH2-
- Un glucoside, la sinigrine ou myronate de potasse, (...) se décompose en glucose, sulfate acide de potasse et cyanosulfure d’allyle (ou essence de moutarde). — (L. Plantefol, Cours de botanique et de biologie végétale, t. 2, 1931, p. 365)
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motogodille
- (Marine) Sorte de moteur hors-bord avec un long arbre d’hélice qui rentre dans l’eau à l’oblique, presqu’à l’horizontale.
- Au retour de la patrouille, Babourg relâcha la nuit dans le rach près de la pagode à cause d’un pépin de motogodille. — (Pierre Schoendoerffer, Le Crabe-tambour, 1976, p. 146)
- T’as cassé la motogodilleMaintenant t’as plus qu’à pagayer — (Antoine, La Motogodille, Barclay, 1980)
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fauteuil
- (Mobilier) Siège comportant des accoudoirs, et un dossier.
- Un fauteuil est là ; j’y tombe ; tout devient plus tranquille et plus doux. — (Henri Barbusse, L’Enfer, Éditions Albin Michel, Paris, 1908)
- Et quand je m'approchai du fauteuil de grand’mère pour lui baiser la main, elle se détourna et cacha sa main sous son mantelet. — (Léon Tolstoï, Souvenirs, 1851-1857, traduction de Ardève Barine, éd.1922)
- L’ameublement était sommaire : un bureau, un fauteuil de cuir, des classeurs métalliques, deux petites tables dont l’une supportait une presse à copier. — (Claude Orval, Un Sursis pour Hilda, Librairie des Champs-Élysées, 1960, première partie, chapitre premier)
- Il gagna la grande salle de réception aux fauteuils surmontés de dorures. — (Out-el-Kouloub, Zaheira, dans "Trois contes de l'Amour et de la Mort", 1940)
- La grand-mère, tellement vieille qu’on ne voyait plus ses yeux, dormait dans un antique fauteuil, au haut duquel perchait une pie. — (Erckmann-Chatrian, Histoire d’un conscrit de 1813, J. Hetzel, 1864)
- Ils vendirent leur mobilier sur place et ne ramenèrent de Termonde que leurs vêtements et leur linge de maison, leur plus belle vaisselle, le fauteuil d'osier de bon-papa et ce qui lui restait de livres ainsi que les ustensiles de cuisine de bonne-maman. — (Marie-José Hervyns, De zéro à vingt-et-un ans: Souvenirs, Éditions du Bélier, 1973, page 143)
- Siège pour permettre le déplacement de malades ou de personnes handicapées.
- […], Barbara chercha Martin dans les vestiaires, elle voulut lui parler mais il n'était pas seul : un petit myopathe à lunettes l'accompagnait dans un fauteuil électrique, Martin l'aidait à enfiler son tee-shirt. — (Claire Legendre, L'écorchée vive, Grasset, 2009)
- (Sens figuré) Place à l’Académie française.
- Présenter sa candidature au fauteuil vacant.
- Le siège du président dans une assemblée ou, figurément, la présidence.
- En ouvrant la séance, M. Hibon, président sortant, adresse ses remerciements pour le grand honneur, qui, dit-il, fut fait à un amateur de présider les travaux de la Société en 1936, puis il prie M. Allorge de lui succéder au fauteuil présidentiel. — (Bulletin de la Société botanique de France, tome 84, page 1, séance du 8 janvier 1937)
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aryle
- (Biochimie) Radical dérivé des composés benzéniques.
- Les groupes les plus enclins à migrer dans des intermédiaires radicalaires sont par exemple les aryles, les vinyles, les acyles ou d’autres substituants insaturés. — (Francis A. Carey, Richard J. Sundberg, Chimie organique avancée: Structures moléculaires et mécanismes réactionnels, 1990)
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éosinophile
- (Biologie) Qui a une affinité pour un colorant, l’éosine.
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ammophile
- (Zoologie) Insecte hyménoptère du genre Ammophila, voisin des sphex, qui chasse les chenilles et les paralyse pour nourrir ses larves.
- Une ammophile (Ammophila) ouvre et inspecte son terrier avant dʼy entraîner la chenille, qui servira à nourrir ses larves. — (Irenäus Eibl-Eibesfeldt, Éthologie: biologie du comportement, 1984)
- (Botanique) Graminée xérophytique de la famille des Poaceae (appartenant au genre Ammophila), croissant typiquement sur les dunes littorales, qu'elle contribue à stabiliser contre l'érosion.
- L’ammophile des sables est un des noms vernaculaires de Ammophila arenaria (L.), l’oyat,.
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sautille
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de sautiller.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de sautiller.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de sautiller.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de sautiller.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de sautiller.
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épontille
- (Marine) Étai vertical qui soutient un pont de navire ou supporte un navire en construction dans un chantier.
- Fry et Craig, rampant sur les genoux, regagnèrent la partie de la coursive éclairée par le grand panneau, et remontèrent les entailles de l’épontille. — (Jules Verne, Les Tribulations d’un Chinois en Chine, J. Hetzel et Compagnie, 1879, page 157)
- Il se tenait raide sur son siège, sa grosse tête carrée vissée à son cou, comme une épontille de fer rivée au pont d’un navire. — (Liam O’Flaherty, Le Mouchard, traduction de Louis Postif, Le Livre de poche, numéro 506, 1965, page 19)
- Pilotis.
- […]: ce qui devient chez nous l’élément noble de la construction n’est qu’un rappel de l’architecture primitive, de la barbare maison de bois, maison soutenue par des épontilles. — (Jean de La Varende, Versailles, édition Henri Lefebvre, 1959, page 73)
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surfil
- (Couture) Sorte de couture à points espacés, exécutée sur le bord de l’étoffe pour éviter qu’elle ne s’effiloche.
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faucille
- (Agriculture) (Technique) Instrument dont on se sert pour couper de l’herbe, du fourrage et qui consiste en une lame d’acier courbée en demi-cercle, dentelée ou non et qui est emmanchée dans une poignée de bois.
- […] ; c'est le « fauchage » qui a succédé au procédé plus ancien du « soyage », alors que les blés étaient « sciés » à la faucille ou « voulan » (Bourbonnais), dont la lame en demi-cercle a de 40 à 50 centimètres d'ouverture. — (Pierre-Louis Menon & Roger Lecotté, Des moissons à la Noël, collection Au village de France, Éditions Bourrelier, 1954, page 8)
- Il y a très peu d'années encore, la faux, la faucille, la binette et la houe constituaient l'essentiel de l’outillage du paysan, qui possédait également et généralement une sulfateuse à main pour traiter sa vigne en limite de parcelles. — (Fabienne Wateau, Partager l'eau: Irrigation et conflits au nord-ouest du Portugal, Éditions de la Maison des sciences de l’homme/CNRS éditions, 2013, page 192)
- Comme elle était courbée sur son balai, le riz se précipita avec fracas dans la maison. Elle le frappa d’un coup de balai et il fut réduit en petits fragments. Grain de riz irrité dit : "À partir de ce moment, je ne viendrai que si l’on me coupe avec un manche de bois et une lame de fer (la faucille)". — (Le Courrier du Vietnam, Contes du temps d’avant, lecourrier.vn, 27 décembre 2020)
- (Ornithologie) Chacune des deux grandes plumes recourbées de la queue du coq.
- Les plumes de la queue du coq sont de deux types : les primaires, les faucilles, sont les deux grandes plumes recourbées ; les secondaires, les lancettes, sont les plumes tombantes.
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kil
- (Linguistique) Code ISO 639-3 du kariya.
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estampille
- Marque, empreinte qu’on applique, au lieu de signature, ou avec la signature même, sur des brevets, des commissions, des lettres, etc., pour mieux en assurer l’authenticité.
- Timbre d’estampille. — Avoir l’estampille officielle.
- (Sens figuré) — Son col bleu à liston blanc était mieux qu'une promesse : l’estampille même, le baiser d'adoption de la mer. — (Charles Le Goffic, Bourguignottes et pompons rouges, 1916, p.151)
- Marque servant à faire savoir d’où provient une marchandise, de quelle manufacture elle sort, ou à constater l’acquittement de certains droits.
- (Bibliothéconomie) Marque apposée à un livre pour indiquer la bibliothèque à laquelle il appartient, marque apposée sur des livres, pour leur permettre de circuler, d’être vendus.
- Instrument qui sert à faire ces sortes de marques.
- (Bases de données) Dans une base de données, marqueur de transaction.
- Ces données, accompagnées de leur estampille, sont acheminées vers le site distant. — (René J. CHEVANCE, Sauvegarde et Restauration des Données)
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futile
- Qui est frivole, qui est de peu de conséquence, de peu de considération.
- Heureuse enfant, murmura le général, qu’une cause aussi futile a encore le pouvoir de chagriner. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- Qui s’attache à des choses de peu de conséquence.
- Ce qui rend les femmes particulièrement aptes à soigner, à élever notre première enfance, c’est qu’elles restent elles-mêmes puériles, futiles et bornées ; elles demeurent toute leur vie de grands enfants, une sorte d’intermédiaire entre l’enfant et l’homme. — (Arthur Schopenhauer, Essai sur les femmes, dans Pensées & Fragments, traduction par J. Bourdeau , Félix Alcan, éditeur, 1900 (16e éd.))
- Le duc d’Orléans était leur garant, leur pavillon, leur espoir. Ils le savaient futile, versatile, influençable, capable de se jeter à l’étourdie dans les entreprises les plus folles, docile à toutes les flagorneries, aussi dépourvu de sens critique que de sens pratique, joueur, débauché, dépensier, […] — (Auguste Bailly, Mazarin, Fayard, 1935, p.104)
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arille
- (Botanique) Partie charnue d’un fruit distincte du péricarpe.
- Il faut attendre juillet pour que les téguments se durcissent et que l’arille —la capsule charnue— se charge de substances mucilagineuses ; ce n’est qu’à l’automne suivant qu’il se colorera en rouge. — (Robert Bourdiu, L’If, Le nom de l’arbre, Actes Sud, 1997, page 24)
- (Botanique) Extension du cordon ombilical.
- (Botanique) Enveloppe de la graine qui n’adhère que par le style.
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antiamarile
- Féminin singulier de antiamaril.
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torpille
- (Zoologie) Espèce de poisson voisin des raies, au corps arrondi et ayant un appareil électrique qui a la propriété de donner une commotion électrique à celui qui le touche.
- Mais pour ces deux femmes initiées aux mystères de son amour, sa contenance, le son de sa voix, l’expression de ses regards, eurent un peu de la puissance attribuée à la torpille. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
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essorille
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe essoriller.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe essoriller.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe essoriller.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe essoriller.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe essoriller.
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titille
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif du verbe titiller.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif du verbe titiller.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif du verbe titiller.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif du verbe titiller.
- Deuxième personne du singulier du présent de l’impératif du verbe titiller.
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goupille
- (Art, Mécanique) Petit cylindre, petite cheville métallique, dont on se sert dans l’horlogerie, dans l’armurerie, dans les constructions mécaniques ou métalliques, pour arrêter quelques parties d’un assemblage mécanique.
- Ce dispositif consiste essentiellement en une goupille animée d’un mouvement périodique qui, pressant périodiquement sur le spiral, impose au balancier sa cadence. — (Raymond Chaléat, Recherches sur la synchronisation, 1954)
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cil
- (Anatomie, Ophtalmologie) Poil des paupières.
- C’étaient des yeux extraordinaires, bleus, mais foncés et brillants à la fois, humides, las, en pleurs et en feu, presque fermés sous le poids des cils et des paupières. — (Pierre Louÿs, Aphrodite, Mercure de France, Paris, 1896)
- Un soldat trapu, avec des cils blancs dans sa figure rubiconde coupée d’une balafre, apparut sur le seuil […]. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 247 de l’édition de 1921)
- Puis, mes cils battant, devant l’armoire à glace, je les coupai. Estelle d’ailleurs ne s’en est pas aperçue, car les siens lui sont inutiles. Qu’il pleuve ou qu’elle pleure, elle essuie ses yeux avec sa main. — (Jean Giraudoux, Provinciales, Grasset, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 42)
- Elle dérobait du kohl à sa mère pour s’en noircir les cils et donner à ses yeux agrandis la langueur du regard des gazelles. — (Out-el-Kouloub, « Zariffa », dans Trois Contes de l’Amour et de la Mort, 1940)
- (Botanique) Poil disposé en rang sur le bord d’une partie quelconque d’une plante.
- Ripartites helomorphus se distingue de ses congénères par le chapeau gibbeux et charnu, beaucoup plus épais que la largeur des lamelles, par l'absence de cils marginaux et par ses spores très petites à verrues basses et arrondies. — (H. S. C. Huijsman, « Observations sur le genre Ripartites », dans Persoonia, vol. 1, part. 3, 1960, page 337)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.