Dictionnaire des rimes
Les rimes en : seroux
Mots qui riment avec "ou"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "seroux".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ou , ous , out , outs , oux , oup , oups , oût , oûts , oue et oues .
- bretenoux
-
vaudou
?- Religion animiste originaire de l’ancien royaume du Dahomey, répandue au Bénin et au Togo, aux Antilles et en Amérique latine, principalement.
- En Haïti, le vaudou mélange vaudou d’Afrique de l’Ouest et folklore religieux chrétien.
- Dieu de cette religion.
- Un vaudou trônant en divinité principale dans un sanctuaire n’est plus qu’une divinité secondaire dans le temple voisin.
- Adepte de ce culte.
- Les vaudous forment parmi les noirs [des États-Unis] une société secrète, une sorte de franc-maçonnerie placée sous l’invocation d’un être tout-puissant et surnaturel qui gouverne toutes les choses d’ici-bas. — (Lar. 19e)
- Les vaudoux parurent subitement pris de vertige et ils furent à l’instant agités de mouvements convulsifs dans lesquels la partie supérieure du corps, la tête et les épaules semblèrent se disloquer ; une exaltation fiévreuse s’empara de tous. — (Bernard Mouralis, L'Europe, l'Afrique et la folie, 1993)
-
croup
?- (Médecine) Sorte d’angine, commune chez les enfants, et se caractérisant par le développement de fausses membranes dans les voies respiratoires et par une toux singulière qu’on a comparé au cri d’un jeune coq.
- Le croup, monstre hideux, épervier des ténèbres,Sur la blanche maison brusquement s’abattit, Horrible, et, se ruant sur le pauvre petit, Le saisit à la gorge ; ô noire maladie ! De l’air par qui l’on vit sinistre perfidie ! Qui n'a vu se débattre hélas ! ces doux enfants Qu’étreint le croup féroce en ses doigts étouffants ? Ils luttent ; l’ombre emplit lentement leurs yeux d’ange, Et de leur bouche froide il sort un râle étrange, Et si mystérieux qu’il semble qu’on entend, Dans leur poitrine où meurt le souffle haletant, L’affreux coq du tombeau chanter son aube obscure.— (Victor Hugo, Les contemplations, III, 23)
- Deux enfants moururent. C’était d’une maladie de gorge. Les femmes commencèrent à murmurer qu’il allait y avoir une épidémie de croup. Elles se firent beaucoup de mauvais sang. Leurs visages s’embellirent de regards farouches et elles gardaient leurs enfants serrés contre la poitrine. Mais il n’y eut que quelques maux de gorge bénins. — (Jean Giono, Le hussard sur le toit, 1951, réédition Folio Plus, page 275)
- La pauvre femme, atteinte du croup, eut à subir une laryngotomie. Une fausse couche suivit, à laquelle l’infortunée ne survécut pas — (Marguerite Yourcenar, Souvenirs pieux, 1974, collection Folio, page 159)
-
bijou
?- Petit ouvrage de luxe d’un travail élégant et d’une matière précieuse, et qui sert de parure et d’ornement.
- Toutes avaient des bijoux en or et de lourds anneaux passés dans les oreilles. — (Isabelle Eberhardt, Yasmina, 1902)
- Corentin Hérubel est le digne héritier de sa mère, la créatrice de bijoux Marie-Laure Hérubel et de sa grand-mère, la sculptrice Florence Enders. — (Saint-Cloud magazine, novembre 2022, page 20)
- Pendant un long moment, Nazira regarda distraitement les bijoux que lui désignait sa mère. Ces breloques, ces bracelets, ces pendentifs, la laissait [sic : laissaient] froide. — (Out-el-Kouloub, Nazira, dans « Trois contes de l’Amour et de la Mort », 1940)
- Son regard s’arrêta sur une soixantenaire assise à sa droite et qui, en raison de tous les bijoux quelle portait à son cou, ses poignets et ses doigts, ne pouvait être qu'une « vieille bourgeoise pétée de thunes » (c'était ses mots). — (Fen, « Le temps, c'est de l'argent ! », dans le recueil Prix de la short Littérature : collection automne 2011, ShortEdition, 2012)
- C'était une fabrique de bijoux et Béatrice soudait l’or, l'argent, le cuivre, préparait les modèles pour les représentants. Elle était devenue une excellente monteuse en bijoux. — (Geb, Béatrice, tome 2, Éditions Publibook, 2007, page 77)
- (Sens figuré) Toute chose élégante et ornée.
- Mais, à part une série d’ouvrages géographiques, historiques, ethnographiques, parmi lesquels il y a des œuvres magistrales, et quelques bijoux littéraires sans prétention à l’exactitude scientifique, beaucoup de ces livres révèlent une connaissance insuffisante du sujet et n’ont souvent servi qu’à propager une foule de notions erronées […]. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, p.8)
- (En particulier) Petite maison élégante et commode.
- Le financier la Cour avait fait un bijou d’un vilain lieu et d’une méchante maison que Chamillart lui avait donnée. — (Louis de Rouvroy, 222, 253)
- Cirey est charmant, c’est un bijou. — (Voltaire, Lettres, vers, 80)
- (Sens figuré) (Familier) Enfant aimable et docile.
- C’est un vrai bijou.
- Maman lui dit : « Pourquoi me fais-tu ces yeux-là, mon bijou? » — (Jean-Paul Sartre, L’Enfance d’un chef, 1938)
- (Sens figuré) (Histoire) Au XVIIe siècle, jeune fille issue de petite noblesse hébergée à La Salpêtrière et jouissant d’un traitement particulier.
- En 1661, écrit Silvio Dumas, « ce refuge abritait 1460 personnes ; on y recevait des filles de petits nobles pauvres ou gênés, lesquelles jouissaient d’un traitement particulier et qu’on appelait les “bijoux”. […] ». — (Jacques Lacoursière, Histoire populaire du Québec, vol. 1, « Des origines à 1791 », 2013, page 162)
- Organes sexuels.
- Les bijoux de famille.
- Les Bijoux indiscrets (titre d’un roman libertin de Diderot).
- (Argot) (XIXe siècle) Rogatons, assortiment de restes provenant de grands restaurants, triés et vendus au rabais à des consommateurs peu fortunés.
- Vous rappelez-vous ces restes achetés aux restaurants, qu’on triait avec soin pour en tirer les meilleurs morceaux, qu’on revendait sous le nom de bijoux ? L’arlequin est composé du reste de ces restes ! — (Eugène Chavette, Restaurateurs et restaurés, 1867)
- La misère devenant plus rude à l’approche de l’hiver, les pauvres gens, qui n’ont pas de quoi acheter du charbon pour faire la cuisine chez eux, se pressent aux alentours du marché aux arlequins (ou aux bijoux, selon les professeurs de langue verte). Là, pour deux sous, on a droit à deux morceaux de viande nageant dans une assiette de sauce brûlante.— (Le Voleur illustré : cabinet de lecture universel, 1872)
- baulou
-
caribou
?- (Canada) (Zoologie) Nom du renne sauvage.
- […] et ces rennes, — ou plutôt ces « caribous », pour leur restituer leur nom indien, — trompés par l’apparence, s’approchaient à portée des chasseurs, qui ne les manquaient point. — (Jules Verne, Le Pays des fourrures, J. Hetzel et Cie, Paris, 1873)
- Les habitats propices pour le caribou forestier se font plutôt rares au sud de Val-d’Or, en Abitibi, selon un rapport scientifique dévoilé par le Conseil de la nation Anishnabe de Lac-Simon. — (TVA Nouvelles, « Manque d’habitats propices pour le caribou forestier », Le journal de Montréal, 21 novembre 2020)
- (Botanique) Nom donné aux mousses dont le caribou se nourrit.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Canada) Boisson composée de vin rouge et d’alcool fort.
- Pour ceux qui prennent un petit coup, papa sort son caribou. — (La Bottine souriante, Dans nos vieilles maisons)
-
escout
?- Écoute, action d’écouter.
- Tuit li baron sont en escot — (Le Roman de Thèbes, édition de Constans, page 73, tome I)
- Tous les barons sont à l’écoute
- Espion.
- Par Deu ! ço dist l’escut, cist gab valt .iij. des altres — (Pèlerinage de Charlemagne, édition de Francisque Michel, page 26.)
- ciadoux
- laussou
-
miaou
?- Onomatopée qui exprime le cri du chat ; bruit du miaulement.
- Il y avait une sorte de supplication touchante et furieuse dans l’accent plaintif et rageur des sempiternels miaou qu’il poussait de seconde en seconde, tantôt s’étirant sur ses pattes comme pour assouplir son corps et pour aiguiser ses griffes, tantôt courbant l’échine à la manière de ces bons apôtres, qui pour obtenir quelque faveur, vous saluent obséquieusement en faisant le gros dos. — (Médéric Charot, Jacques Dumont, C. Lévy, 1876, page 145)
- Sans boire ni manger, elle faisait des retraites prolongées sur le haut des murs, immobile pendant des journées entières à la même place, ne répondant à tous nos appels que par des regards attendris et de plaintifs petits « miaou ». — (Pierre Loti, Le Livre de la pitié et de la mort, Calmann-Lévy, 1891, p. 134)
-
ajoux
?- Les deux lames de fer qui servent à retenir les filières du tireur d’or.
-
carcajou
?- (Zoologie) Nom donné en Amérique du Nord au mammifère carnivore appelé aussi glouton.
- Mes propres malles parties, la batterie de cuisine démontée ; les provisions souillées, comme par une demi-douzaine de carcajous ; plus de draps ni de couvertures au lit ; les écuries vides d’animaux et de harnais ; l’image la plus parfaite d’une habitation pillée par les barbares et abandonnée par eux. — (Maurice Constantin-Weyer, Un homme se penche sur son passé, 1928, réédition Nelson, page 237)
- Front pâle, large tête, petites oreilles rondes, yeux noirs, museau allongé… pas de doute, c’est bien le carcajou, ce mal aimé. — (Association forestière québécoise, Forêt conservation, Volume 57, 1990)
-
choux
?- Pluriel de chou.
- On laboure d’hiver pour débillonner la terre qui a porté les choux. — (Journal d’agriculture pratique, 1891)
-
genoux
?- Pluriel de genou.
- Il balbutia quelques mots, puis tira son couteau de sa poche, un eustache à manche de corne, coupa son pain par le milieu et en mit la moitié sur les genoux de la jeune mère, qui regarda étonnée ; mais il avait déjà tourné le coin de la rue. — (Anatole France, Les dieux ont soif, Calmann-Lévy, 1912, chapitre 6)
- Devant la porte, étaient réunies à genoux vingt-quatre jeunes filles, appartenant aux familles les plus distinguées de Verrières. — (Stendhal, Le Rouge et le Noir, 1830)
-
houp
?- Sert pour appeler ou houper quelqu'un, ou pour exciter un cheval.
- — Fichtre ! ça n’a pas été sans peine ! murmura madame Gabin. Allons, houp ! maintenant que le plancher est débarrassé ! — (Émile Zola, La Mort d’Olivier Bécaille, 1879)
- Au coin de la rue il y eut un tout petit gosse. Berthe, aux trois quarts en danse, faisait le balancier comme un danseur à la corde. Elle lui passa la jambe par-dessus la tête en disant : Et houp ! Le gosse se mit à rire, Berthe se baissa pour l’embrasser et dit : Qu’il est gentil ! — (Charles-Louis Philippe, Bubu de Montparnasse, 1901, réédition Garnier-Flammarion, page 174)
- Enfin mettez-vous autour du cou ce serpent floconneux qui vous donne l’air d’avoir passé la tête à travers un édredon. Et houp ! — (Paul-Jean Toulet, Mon Amie Nane, 1922)
-
troue
?- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de trouer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de trouer.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de trouer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de trouer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de trouer.
-
dévoue
?- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de dévouer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de dévouer.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de dévouer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de dévouer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de dévouer.
- grateloup
- capoue
- ambillou
- auboue
- vintrou
- champenoux
-
hibou
?- (Ornithologie) (Génériquement) (Familier) Nom ambigu désignant de façon générale tout rapace nocturne de l'ordre des strigiformes, caractérisé par de grands yeux frontaux entourés par un cercle de plumes, et qui porte notamment des aigrettes (faisceaux de plumes) sur la tête, caractéristique le distinguant principalement des chouettes, qui est également un substantif ambigu désignant plusieurs genres de rapaces nocturnes peu apparentés les uns aux autres.
- […], cela me serait insupportable, d’autant plus que, la nuit venue, je ne verrai rien, n’étant point nyctalope comme les hiboux, les chouettes, les hulottes et les chats de gouttière. — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre II, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- Le hibou ulule, tutube et bouboule (ou bubule).
- (Ornithologie) (Spécifiquement) Nom normalisé désignant trois genres de rapaces nocturnes (Nesasio, Pseudoscops et Asio) comportant un total de neuf espèces, dont des espèces familières répandues dans l'Ancien Monde comme dans le Nouveau Monde telles le hibou des marais (Asio flammeus) et le hibou moyen-duc (Asio otus), caractérisées par la présence d'aigrettes de taille variable et une taille moyenne.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Sens figuré) (Familier) Homme mélancolique et qui fuit la société.
- Vous nous voyez chagrins ainsi que des hiboux, et vous vous amusez à faire les yeux doux. — (François Le Métel de Boisrobert, La Belle plaideuse, 1655)
- C’est un hibou, un vrai hibou.
- (Sens figuré) (Familier) Homme qui, dans une compagnie, se tient à l’écart sans rien dire.
- (Entomologie) Synonyme de fiancée (papillon Noctua pronuba).
- (Héraldique) Meuble représentant l’animal du même nom dans les armoiries. Il est généralement positionné comme la chouette dont il se distingue par les oreilles. À rapprocher de chouette et hulotte.
- De gueules au hibou d’argent, qui est de Village-Neuf → voir illustration « armoiries avec un hibou »
- fourtou
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.