Dictionnaire des rimes
Les rimes en : seille
Que signifie "seille" ?
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- Bassine, munie d’oreilles dans lesquelles on passe une corde en guise d’anse et qui sert à transporter les liquides, en particulier, le mout tiré du pressoir.
- La veille, parce qu’elle s’ennuyait à ne rien faire, elle avait rempli une seille. Et longuement y avait lavé le pantalon de velours de son mari. — (Jacques Ouvard, S.O.S. frère Boileau, Librairie des Champs-Élysées, 1971, chapitre II)
- La boutique, l’arrière-boutique, un appartement au quatrième, deux seilles d’eau pour la cuisine à remplir tous les matins ! — (Alphonse Daudet, Le petit Chose, 1868, rééd. Le Livre de Poche, page 159)
- […], çà et là un puits surmonté d’une potence à laquelle pend une seille, […]. — (Jules Verne, Le Château des Carpathes, J. Hetzel et Compagnie, 1892, page 30)
- (Suisse) Mesure de capacité d’environ 16 litres.
Mots qui riment avec "eille"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "seille".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : eille , eilles , eil et eils .
- gourvieille
-
ensoleille
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe ensoleiller.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe ensoleiller.
- À rebours, pour un temps, il arrive que l’on distingue mieux le but ; avec la distance, le quotidien dégrisaillé s’ensoleille ou s’enlune et à moins qu’il ne pleuve en nos cœurs, les creux et les bosses ressurgissent plus nettement. — (Jean-Pierre Compain, Ti-Jean Monjean, 1980)
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe ensoleiller.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe ensoleiller.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe ensoleiller.
- breteil
- lasseille
- bauzeil
-
abeille
- (Entomologie) Abeille à miel ; insecte porte-aiguillon, social et domestiqué pour la fabrication du miel et de la cire d’abeille.
- Vous savez que les abeilles ont été apportées en Amérique par les Blancs. […] les abeilles sont les sentinelles avancées de Blancs : au fur et à mesure que les Blancs s’enfoncent dans l’intérieur de l’Amérique, les abeilles partent en avant pour leur tracer la route et leur indiquer les défrichements. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858, page 185)
- […]; l’hydromel y était une boisson fort en usage ; ce qui prouve que l'art d'élever les abeilles y était pratiqué en grand, et qu'on savait enlever à ces industrieux travailleurs le miel qu'ils produisaient. — (François-Xavier Masson, Annales ardennaises, ou Histoire des lieux qui forment le département des Ardennes et des contrées voisines, Mézières : imprimerie Lelaurin, 1861, page 54)
- Puis nous passons à l’histoire naturelle et étudions les mœurs des abeilles, des fourmis, des sauterelles et les vertus de certaines plantes médicinales. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 123)
- Réclamation du lieutenant Viard, dont la compagnie est près d’un rucher, et qui a déjà deux hommes piqués. Mais interdiction formelle d’enfumer les abeilles avant le café. — (Jean Giraudoux, Retour d’Alsace – Août 1914, 1916)
- À l’école, à la maison, on nous répétait : « Ne faites pas de mal aux abeilles. » Nous pouvions tuer une mouche, un taon, une guêpe ; mais quand une abeille entrait dans la pièce, familière et pareille elle-même à une goutte de miel, nous la suivions d’un regard ravi. — ( Marcel Arland, Terre natale, 1938, réédition Le Livre de Poche, pages 178-179)
- Pour ce faire, il convient de ne pas perdre de vue le modèle empirique de l’abeille qui produit un excrétat nourricier, le miel, mais qui sécrète également du venin, substance toxique. — (Gilles Tétart, Le Sang des fleurs – une anthropologie de l’abeille et du miel, 2004, page 135)
- (Héraldique) Meuble représentant l’animal du même nom dans les armoiries.
- Abeille. Cet insecte est représenté montant, les ailes tantôt closes, tantôt étendues. Dans ce dernier cas, l’abeille est volante (I, 68). — (Johannes Baptist Rietstap, Armorial général : précédé d’un Dictionnaire des termes du blason, tome 1 (A–K), G. B. van Goor Zonen, Gouda, 1884)
- D’argent au flambeau au trait de sable, accosté de deux abeilles d’or ; à la champagne ondée d’azur chargée de trois trangles ondées d’argent, qui est de Verrieres → voir illustration « armoiries avec 2 abeilles »
- (Spécifiquement) Représentation symbolique du pouvoir et du règne de Napoléon.
- Envolons-nous, comme les abeilles du manteau impérial devant les exhortations hugoliennes! — (San-Antonio, Béru-Béru, Éditions Fleuve noir, 1970, chapitre 7)
- (Par extension) (Entomologie) Insecte hyménoptère ailé, appartenant à la super-famille des apoïdes, important pollinisateur qui se nourrit généralement de nectar.
- La majorité des abeilles sont solitaires.
- (Sens figuré) (Littérature) Écrivain dont on considère le style pur comme le miel [1].
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Par métonymie) (Au pluriel) Bourdonnement sonore provoqué par des décharges partielles à l’approche d’un orage.
- Les alpinistes français disent alors qu'ils ont entendu « les abeilles » : soudain, sur toutes les surfaces, se créent de petites décharges bruyantes. Après cette sensation sonore d'abeilles, une autre observation est que les cheveux se dressent droit au-dessus de la tête, et que des étincelles peuvent se former entre les dents quand on ouvre la bouche. — (Orage en montagne sur l’encyclopédie Wikipédia )
- (Vieilli) (Militaire) Durant la Première Guerre mondiale, désigne une balle.
- Les crêtes surtout sont périlleuses. Les mitrailleuses boches sont braquées sur elles à demeure. Par intervalles se déclenche leur tacata et les abeilles meurtrières bruissent au ras du sol. — (Daniel Mornet, Tranchées de Verdun, Nancy, Presses universitaires de Nancy, 1990)
- monteille
-
oseille
- (Botanique) Plante potagère de la famille des Polygonacées d’un goût acide.
- Les diverses espèces d’oseille semblent avoir, dès l’origine, poussé spontanément en Europe. Puis les Anciens les ont cultivées pour leur usage culinaire et c’est surtout à partir du XIVe siècle qu’on les trouve à la base de nombreuses sauces. — (Jacques Dubourg, Tout le Jardinage : potager, Éditions Jean-Paul Gisserot, 2008, page 136)
- Le saumon et l’oseille font un mariage classique, mais en papillote, c’est plus original ! — (Rosa Jackson, La cuisine des paresseuses, éditions Marabout, 2005)
- Lantier paraissait ne pas comprendre, mangeait lentement du veau à l’oseille. — (Émile Zola, L’Assommoir, chapitre VII)
- Aux environs de Paris, on sème l’oseille au printemps. — (Félix Boncenne, Cours élémentaire d’horticulture, 1861)
- (Familier) (Indénombrable) Argent.
- Une nénette enceinte, c’est pas l’Himalaya, et un contrôle fiscal, c’est pas un mardi noir à Wall Street. D’abord tu largues la nénette, je te file l’oseille en liquide pour les formalités. Ensuite, tu disparais du bureau, […]. — (Marie-Thérèse Cuny, Une Garce, Paris : Editions Fixot, 1987)
- En fait, il se trouvait beaucoup plus d’affinités avec Job, qui était davantage un homme de son style et de son monde, un type on ne peut plus respectable, plein d’oseille et tout. — (Tom Sharpe, Porterhouse ou la vie de collège, traduit de l’anglais par François Dupuigrenet-Desroussilles, dans Cancres Ltd Cie, Omnibus/Place Des Éditeurs, 2010, chapitre 25)
- Il a toujours eu horreur des pâtes, ce qui est un handicap certain quand on n’a pas d’oseille (ne pas écrire quand on a l’estomac vide : ça influence le style). — (Béatrice Kern, La blonde africaine, BoD/Books on Demand France, 2012, page 5)
- Dans les banques, y a pas qu’ de l’oseilleY a des employés qui font leur métierEt c’est bien comm’ c’est. — (Léo Ferré, T’en as, Barclay)
- (…) les mecs qui vont à Davos, ce sont ceux qui ont de l’oseille. — (Stéphanie Binet, «On votera pour contrer Sarko», Libération, 17 avril 2007)
-
bouteille
- Récipient à goulot étroit, destiné à contenir un liquide; le plus souvent fait de verre ou de plastique translucide.
- Une bouteille de Perrier entamée se dressait sur la table de la cuisine. — (Éric Neuhoff, La Petite Française, Albin Michel, 1997, page 14)
- Ils s’attablent dans de bons restaurants, se font déboucher des bouteilles de Châteauneuf-du-Pape, dégustent des liqueurs. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Une demi-heure plus tard, après avoir, suivant la tradition, placé dans une anfractuosité une bouteille cachetée contenant un document commémoratif que je leur passai, Moussard et Le François purent sauter de nouveau dans la baleinière […]. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- Mon lieutenant, faites-moi servir une bouteille de pommard… Du meilleur… — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 15)
- Devant une table, encombrée par un chanteau de pain, une demi-meule de gruyère et une innombrable quantité de bouteilles vides, les deux amis qu’on croyait morts devisaient paisiblement comme des sages. — (Louis Pergaud, La Disparition mystérieuse, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- (Par métonymie) Contenu d’une bouteille au sens premier.
- Deux ou trois bouteilles d’eau suffiront pour arroser les jardinières.
- Une bouteille de bière, de vin, d’eau-de-vie, de rhum.
- (Vieilli) Une bouteille d’encre, dans ce sens, il signifie toujours d’une bouteille de vin.
- Boire, vider une bouteille.
- Les pulsations des tempes s’alourdissaient. Des billes lui grouillaient dans la tête.– J’ai soif. Que dirais-tu d’une bouteille de supérieur?– Je t’en dirais le goût. — (Jules Romains, Les Copains, 1922, page 123)
- Récipient rigide servant à stocker un gaz sous pression.
- Le plongeur s’équipe de ses bouteilles d’air comprimé.
- (Colorimétrie) Couleur vert sombre, habituellement celle du verre d’une bouteille (sens 1). #096A09
- C’était un sous-sol étranglé, écrasé, mal éclairé par un vitrage d’une transparence grossière et couleur bouteille. — (Maurice Talmeyr, Histoires joyeuses et funébres, page 12, 1886, M. de Brunhoff)
- (Histoire, Marine) Saillie en charpente, sur les cotés arrières du navire, et qui servaient de latrines. [2]
- (Botanique) (Vieilli) Variété de courge. [2]
- Âge, expérience (par ellipse de avoir de la bouteille).
- Pinglet. — Ah ! mon vieux… vingt ans de bouteille !Paillardin. — Eh bien ! c’est une qualité.Pinglet. — Pour le vin !… pas pour les femmes !… Veux-tu que je te dise, la mienne sent le bouchon ! — (Georges Feydeau, L'Hôtel du libre échange, 1894)
-
meil
- Variante de mil.
- pereille
- calmeilles
-
salsepareille
- (Botanique) Plante du genre Smilax, de l’ordre des liliales et de la famille des smilacacées, dont la racine est souvent employée en médecine comme dépurative et sudorifique.
- La racine de salsepareille a de nombreuses vertus médicinales.
- Comme cependant l’état de ce malade tendait un peu lentement à la guérison, on associa, le 18 janvier, à l’usage de la liqueur de Van-Swiéten, celui d’un gramme d’iodure de potassium dissous dans la tisane de salsepareille. — (Revue médicale française et étrangère, 1846, page 530)
- La salsepareille est un arbuste à rhizome tubéreux, fauve, muni de très nombreuses radicelles longues et dures. — (Michel Pierre, Michel Lys, Secrets des plantes, 2007)
- verfeil
- ponteils
-
oreille
- (Anatomie) Appareil de l’audition divisé en trois parties.
- On distingue l’oreille externe, l’oreille moyenne et l’oreille interne.
- Organe de l’ouïe, placé de chaque côté de la tête.
- L’argent ! ce mot retentissait à mes oreilles, toutes les minutes. Je n’entendais jamais que le tintement de ce mot qui, à la fin, avait pris comme une sonorité d’écus remués. — (Octave Mirbeau, La tête coupée,)
- Et toutes celles qui sentaient leurs oreilles mûrir contre leur tête ainsi qu’un fruit délicieux ; toutes celles dont les grand’mères avaient cru amollir le lobe, depuis l’hiver, en le massant de leurs doigts maigres ; celles que les gamins embrassaient le soir, sous les oreilles ; et les oreilles qui ne voulaient plus être tirées, et les oreilles qui s’étalaient, nacrées, comme une coquille qui attend sa perle ; et toutes les petites filles, dont les aïeules étaient mortes dans l’année, leur léguant à jamais des boucles déjà trop minces, toutes se rangèrent par deux, tapotant les jupes. — (Jean Giraudoux, Provinciales, Grasset, 1922, réédition Le Livre de Poche, pages 89-90)
- Ôtez donc vos boutons en diamant, qui valent chacun cent mille francs ; cette singesse vous les demanderait ; et, pour les offrir à une fille, autant les mettre à mes oreilles. — (Honoré de Balzac, Splendeurs et misères des courtisanes, 1838-1847, première partie)
- L’ouïe, le sens qui perçoit les sons.
- Que voulez-vous, Monsieur ? demanda- t-elle au jeune homme d’une voix qui bruit à ses oreilles comme une musique délicieuse. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre V)
- Dans dix ans, parmi les vestiges de Beaumat, les souffles du vent, les croassements des corbeaux et la chute des pierres retentiront seuls ; nulle oreille humaine ne les entendra et la cloche du village elle-même se taira, fatiguée de tinter seulement pour les morts. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Depuis l'Argonne de 1914, […] je n'ai pas l’oreille si mal bâtie que d'avoir, en vingt et un ans, oublié l'art d'apprécier au son la trajectoire d'un obus et le point de chute probable. — (Marc Bloch, L'étrange défaite : La déposition d'un vaincu, 1940, FolioHistoire Gallimard, 1990, page 86)
- Appréciation de la justesse des sons musicaux, de la régularité de la mesure.
- Sans prévenir, il se mit à chanter, opératiquement, dans le registre ténor et en italien, même si Kit savait parfaitement que Reef n'avait aucune oreille, et était incapable de chanter en entier For He's a Jolly Good Fellow sans changer de ton. — (Thomas Pynchon, Contre-jour, traduit de l'anglais (USA) par Claro, Le Seuil, 2014)
- Le pavillon, la partie externe qui est autour du trou de l’oreille (sens 2).
- Tavannes remit la pie sur son bâton, et s’amusa à rouler et à dérouler les oreilles d’un lévrier. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre VI)
- Toutes avaient des bijoux en or et de lourds anneaux passés dans les oreilles. — (Isabelle Eberhardt, Yasmina, 1902)
- Plusieurs n'utilisent pas les oreilles pour écouter. Au moins, maintenant, elles servent à tenir le masque — (Michel Beaudry, Pas le temps de lâcher, Le Journal de Montréal, 28 novembre 2020)
- (Par extension) (Cuisine) Cet organe apprêté en cuisine.
- Les oreilles de veau ont de commun avec les pieds et les cervelles, l'avantage de pouvoir être frites ou mangées à la poulette ; et de plus elles se laissent farcir , accommoder aux pois, aux oignons, au fromage, etc. — (Alexandre Balthazar Laurent Grimod de La Reynière, Almanach des gourmands: servant de guide dans les moyens de faire la bonne chère, Maradan, Paris, an XII, page 12)
- (Sens figuré) (Désuet) Attention ; intérêt ; confiance.
- C’est un avantage d’avoir l’oreille du conseil d’administration.
- — Adieu, assassin à robe grise : je retrouverai l’oreille du Cardinal en ton absence. — (Alfred de Vigny, Cinq-Mars, Michel Lévy frères, 1863)
- (Par métonymie) Personne qui entend ou écoute ce que l'on dit.
- Se pourrait-il que lui, prêtre, pasteur d’âmes, s’oubliât à proférer des paroles imprudentes, des mots qui pourraient choquer ces oreilles innocentes, éveiller des pensers mauvais […]. — (Louis Pergaud, Le Sermon difficile, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Pour commencer, tu devrais fermer la porte. Inutile que des oreilles indiscrètes nous entendent nous disputer. — (Cathy Williams, Trompeuse séduction, éd. Harlequin, 2015)
- Ce qui évoque, par sa forme ou par sa position, l’auricule d’un humain ou d’un animal :
- anse ou poignée en excroissance sur les cotés d’un récipient ou d’un instrument.
- Elle saisit précieusement la tasse par l’oreille.
- (Vieilli) Corne, petite partie du haut ou du bas d’un feuillet d’un livre qu’on a plié pour marquer une page.
- […] prenait-elle un livre ? elle le renversait sens-dessus-dessous, tout ouvert, sur la première table, au risque de le tacher, ou bien elle en pliait les pages en y faisant des oreilles, chose qui casse le papier et déplaît souverainement à ceux qui connaissent les livres. — (Sophie de Renneville, Charles et Eugénie, ou la Bénédiction paternelle, Genets jeune, 1822, tome 2, page 8)
- (Vieilli) Partie de toile d’emballage qu’on laisse aux quatre coins d’un ballot pour pouvoir le saisir, le soulever, le transporter plus facilement.
- (Vieilli) Chacune des deux dents d’un peigne qui sont placées aux extrémités, et qui, étant plus fortes que les autres, servent à les maintenir et à les préserver.
- (Botanique) Appendice qui se trouve, par paire, à la base de certaines feuilles et de quelques pétales. — Note : On les nomme aussi oreillon ou oreillette.
-
déconseille
- Première personne du singulier de l’indicatif présent de déconseiller.
- Certaines personnes ont même essayé de s’autogreffer à la maison, mais c’est une procédure que je vous déconseille vivement. — (Michael Mosley, L’intelligence naturelle de l’intestin, 2019, page 70)
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de déconseiller.
- Première personne du singulier du subjonctif présent de déconseiller.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent de déconseiller.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de déconseiller.
- chomeil
- creysseilles
- carneille
-
oeille
- Brebis.
- Lions paisibles com hoeilles — (Partenopeus de Blois)
- (Sens figuré) Brebis (celui qui est sous la conduite de son pasteur).
- Ses oeilles mist hors del toit — (Vie de sainte Marie l’Égyptienne, ms. 23112 de la BnF, f. 339v. a. L’abbé parle de ses moines.)
-
merveille
- Chose qui cause une grande admiration.
- Pic de la Mirandole fut regardé comme la merveille de son siècle.
- À l’agrégation d’histoire, un candidat a fait l’histoire ancienne et moderne de cent cinquante îles de la Méditerranée ; un autre, douze pages sur le Concile de Florence avec citation des calembours latins du temps. Ce candidat-merveille est resté un homme de sixième ordre. Voilà les fruits du concours : des médiocrités et des monstruosités. — (Hippolyte Taine, Carnets de voyage : Notes sur la province, 1863-1865, Hachette, 1897)
- La moindre photographie nous apprend cent fois plus sur le Parthénon qu'un volume consacré à vanter les merveilles de ce monument. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, Chap.IV, La grève prolétarienne, 1908, page 195)
- L'œuvre est imprimée à Genève : à quelques lieues de là, sur les rives du même lac, les notables de Vevey siègent sous un miroir hémisphérique, une merveille qui nous est conservée et qui suscite la rêverie. — (Denis Hüe, « Miroir de mort, miroir de vie, miroirs du monde », dans Miroirs et jeux de miroirs dans la littérature médiévale, sous la direction de Fabienne Pomel, Presses universitaires de Rennes, 2016, page 60)
- (Familier) Ce n’est pas grande merveille, ou, par ironie, Voilà une belle merveille, se dit pour rabaisser une chose, une action que quelqu’un veut faire passer pour admirable.
- (Pâtisserie) (Sud-ouest de la France) Beignet.
- Les merveilles ne sont pas particulières à Genève ; on en fait aussi dans la Dordogne. — (Littré)
- casteil
-
méteil
- Froment et seigle mêlés ensemble.
- Le pain de méteil, c'est-à-dire, moitié froment, moitié seigle est moins nourrissant ; cependant les gens de la campagne en usent ordinairement. — (L'agronome ou dictionnaire portatif du cultivateur, Rouen, 1787)
- L'état des céréales est toujours satisfaisant. Les fortes gelées de la fin décembre ont été favorables aux blés en détruisant les abondantes touffes de moutardon, et aux méteils et seigles en enrayant les dégâts des limaces. — (Journal officiel de la République française, 12 janvier 1914, page 363)
- Des mélanges constitués de céréales, de légumineuses et de crucifères sur l’exemple des couverts d’interculture utilisés par l’agriculture de conservation ou bien des mélanges comparables à ceux des méteils utilisés par les exploitations d’élevage seraient plus adaptés. — (Jean-Noël Cardoux et Alain Péréa, Restaurer l’équilibre agro-sylvo-cynégétique pour une pleine maîtrise des populations de grand gibier et de leurs dégâts à l’échelle nationale, mars 2019 → lire en ligne)
-
éveil
- Action d’éveiller ou de s’éveiller.
- (Par extension) (Militaire) Alarme.
- Une fois l’éveil donné, tout le camp fut sur pied.
- (Plus courant) (Militaire) (Sens figuré) Avertissement que l’on donne de bien veiller, d’être sur ses gardes.
- Donner l’éveil.
- Je n’en ai eu l’éveil que tout à l’heure.
- (Sens figuré) Action d'éveiller son esprit, son intelligence, sa pensée.
- L’éveil de l’intelligence, de la sensibilité, des sens, de la nature.
- Ce qui s’auto-détermine, à savoir l’éveil à soi, doit se trouver derrière tout ce qui est pensé comme plan de la conscience. — (Revue philosophique de Louvain, volume 97, 1999)
- L’éveil du Bouddha.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.