Dictionnaire des rimes
Les rimes en : pomport
Mots qui riment avec "or"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "pomport".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : or , ors , ort , orts , ord , ords , aur , aurs , aure , aures , orps , ore et ores .
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incorpore
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de incorporer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de incorporer.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de incorporer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de incorporer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de incorporer.
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collabore
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe collaborer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe collaborer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe collaborer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe collaborer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe collaborer.
- monfort
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omnicolore
- De toutes les couleurs.
- (Sens figuré) Cette foule de petits écrivassiers ignorants et indifférents qui peuplent presque tous les journaux et qui passent sans scrupule d’un journal impérialiste à un journal républicain, de là à un organe légitimiste, pour trouver ensuite un refuge assuré dans une feuille orléaniste ou omnicolore. - — (N. Nikoladzé, La presse de la décadence, IV ; E. Dentu libraire-éditeur, Paris, 1875, page 29)
- lagord
- isidore
-
mort
- (Biologie) Arrêt définitif des fonctions vitales (assimilation de nutriments, respiration, fonctionnement du système nerveux central).
- Enfin, dans tous les groupes étudiés jusqu’ici, l’individualité de chaque être se manifeste dès la première apparition du germe, dès les premiers rudimens de l’œuf, et persiste pleine et entière jusqu’à la mort. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, Les Métamorphoses et la généagénèse, Revue des Deux Mondes, 2e période, tome 3, 1856, pages 496–519)
- Ce n’est pas par lâcheté, c’est par une immense modestie que l’on renonce ce soir à la guerre, au carnage, à sa mort, à la mort surtout des autres, des camarades […] — (Jean Giraudoux, Retour d’Alsace - Août 1914, 1916)
- Ne plus s’aimer, c’est pire que de se haïr, car, on a beau dire, la mort est pire que la souffrance. — (Henri Barbusse, L’Enfer, Éditions Albin Michel, Paris, 1908)
- — Je ne connais que moi. La vie, c’est moi. Après ça, c’est la mort. Moi, ce n’est rien ; et la mort, c’est deux fois rien. — (Pierre Drieu La Rochelle, Le Feu follet (1931))
- Ton père est mort, d’une mort bête. Toutes les morts sont absurdes, d’ailleurs. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 42)
- J’avais l’impression de me noyer et une angoisse terrible, celle de la mort elle-même m’étreignit. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- Pourquoi dire que la mort viendra comme un voleur ? Tout nous y prépare. — (José Cabanis, Les cartes du temps, Gallimard, 1962, Le Livre de Poche, page 63.)
- Les mots usuels que nous trouvons [en parlant des paysans des années 1930 au Québec] pour dire la mort varient selon les réflexes des uns et des autres : « Il a perdu le souffle, il a défunté, il a trépassé, il a rendu l’âme… » Plus poétique : « Il est parti de l’autre bord, de l’autre côté; il était au bout de son fuseau. » Moins respectueux : « Il a levé les pattes, il a fini par crever. » — (Benoît Lacroix, Rumeurs à l'aube, Éditions Fides, 2015, page 213)
- Privatisée, laïcisée et comme aseptisée par la médecine depuis des décennies, la mort s’était effacée de notre imaginaire collectif ; elle resurgit soudain comme une réalité imprévisible, terriblement contagieuse et pour l’instant non maîtrisable par la science. — (Gérard Courtois, Emmanuel Macron face au Covid-19 : la revanche des passions tristes, Le Monde. Mis en ligne le 10 mai 2020)
- Moment ou lieu où cet arrêt des fonctions vitales se produit.
- La veuve de Henri II était vêtue de ce deuil qu’elle n’avait point quitté depuis la mort de son mari. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, C. Lévy, 1886)
- Cette chapelle renferme le tombeau de l’évêque Radulphe, dont l’inscription donne la date de 1266, comme étant celle de la mort du prélat. — (Eugène Viollet-le-Duc, La Cité de Carcassonne, 1888)
- (Soutenu) (Rhétorique) La mort peut être souvent personnifiée → voir Mort.
- Stendhal dit quelque part que le soldat ne craint pas la mort, parce qu’il espère bien l’éviter par son industrie ; cela s’appliquait tout à fait à ce genre de guerre que nous faisions. — (Alain, Souvenirs de guerre, Hartmann, 1937, page 102)
- La mort fauche. Elle fauche à tort et à travers. Peu lui importe. Ceux qu’elle a visés, elle va les chercher là où ils semblent le plus en sécurité. — (Jacques Mortane, La Guerre des airs : Traqués par l’ennemi, Baudinière, 1929, page 40)
- L’impitoyable mort.
- Ce malheureux appelait la mort.
- (En particulier) Peine capitale, peine qui consiste dans la suppression de la vie. → voir peine de mort.
- Le régime antérieur avait été encore plus terrible dans la répression des fraudes, puisque la déclaration royale du 5 août 1725 punissait de mort le banqueroutier frauduleux […] — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, chap. VI, La Moralité de la violence, 1908, page 272)
- Deux jours après, je passai devant le conseil de guerre, qui, après plaidoirie d’un avoué allemand, me condamna à mort pour espionnage […] — (Jacques Mortane, Missions spéciales, 1933, page 31)
- Sentence, arrêt de mort : Condamnation qui porte la peine de mort.
- (Par hyperbole) Grandes douleurs.
- Cette cruelle maladie lui fait souffrir mille morts.
- Souffrir mort et passion.
- (Par hyperbole) Grands chagrins.
- La conduite de son fils lui a mis la mort dans l’âme.
- (Sens figuré) Fin, cessation d’activité.
- Seuls, dans un des versants caillouteux de la forêt, deux ou trois vieux hêtres accusaient, par quelques feuilles roussies prématurément, l’arrivée prochaine de l’automne et la mort de l’été. — (Louis Pergaud, Un satyre, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- (Sens figuré) Ruine, destruction.
- Les réquisitions forcées sont la mort du commerce.
- Le monopole est la mort de l’industrie.
- (Cartes à jouer) Treizième arcane du tarot de Marseille (aussi appelée « arcane sans nom »).
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sicomore
- Variante de sycomore.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
-
castor
- (Zoologie) Quadrupède mammifère rongeur semi-aquatique à queue plate, qui habite ordinairement dans les lieux aquatiques.
- Les castors se sont réfugiés par petits détachements sur les rives des plus lointaines rivières. — (Jules Verne, Le Pays des fourrures, J. Hetzel et Cie, Paris, 1873)
- Les castors avaient intercepté non seulement le cours de la rivière, au moyen de leur communauté industrieuse, mais encore tous les ruisseaux qui s’y jettent avaient leur cours arrêté, de manière à transformer le sol environnant en un vaste marais. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- Le castor fournit un pelage duveteux, très fin avec de longs poils brillants. C’est une matière textile de luxe qui vient de Sibérie ou du centre de l’Amérique. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature; 1re partie: Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
- (Par métonymie) Sa fourrure.
- Un manteau en castor.
- Le chapeau de castor ne vaut rien. Ce poil prend mal la teinture, rougit en dix minutes au soleil, et le chapeau se bossue à la chaleur. Ce que nous appelons castor est tout bonnement du poil de lièvre. — (Honoré de Balzac, Les Comédiens sans le savoir, 1846)
- (Argot des Gadz’Arts) Élève des classes préparatoires au concours des Écoles d’Arts et Métiers.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- Dans le monde du négoce en France, désigne un particulier qui construit son habitation largement seul selon le mode de l’autoconstruction.
- [...] le tout juste marié est accueilli par une haie d’honneur... composée de pelles et de pioches. Les 25 hommes qui les tiennent à l'unisson sont ses futurs voisins. Tous sont des « castors ». — (Le Parisien, Ces « castors » ont construit leur maison, 14 janvier 2015)
- (Héraldique) (Rare) Meuble représentant l’animal du même nom dans les armoiries. Il est généralement représenté passant. À rapprocher de bièvre, connil, écureuil, lapin et lièvre.
- De gueules au castor d’argent, accompagné en chef de trois coquilles du même, qui est de Bibiche de Moselle → voir illustration « armoiries avec un castor »
- (Sens figuré) (Politique) (France) Personne appelant à « faire barrage » à un parti jugé extrémiste lors d’élections afin qu’il n’atteigne pas le pouvoir.
- Sur son barrage, le castor regarde passer la barque sur son ouvrage. Il faut le héler ! Hé, castor ! qui est resté sur la barque ? Le brave castor ! Je le plains. Il a cru faire barrage au Front national en votant Macron. — (Jean-Luc Mélenchon, Les castors dînent avec Le Pen. Mis en ligne le 2020-12-29, consulté le 2022-09-05)
- Pour Antoine Maurice, leader d’Europe Écologie-Les Verts (EELV) au conseil municipal de Toulouse, « les castors feront barrage, mais ils sont fatigués », pour reprendre la métaphore d’Éric Piolle, le maire EELV de Grenoble. — (Benjamin Keltz, Richard Schittly, Gilles Rof, Jean-Pierre Tenoux, Philippe Gagnebet et Benoît Floc'h, « Le front républicain, ce barrage qui recule », dans Le Monde, no 24036, 2022-04-16, page 2 [texte intégral]. Consulté le 2022-09-05)
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aurore
- Lueur brillante et rosée qui paraît dans le ciel avant que le soleil soit sur l’horizon.
- Ainsi, d’aurore radieuse en crépuscule mélancolique, la petite Yasmina avait vu s’écouler encore un printemps, très semblable aux autres, qui se confondaient dans sa mémoire. — (Isabelle Eberhardt, Yasmina, 1902)
- L’aurore se levait, l’aurore instable d’un navire en marche, née légèrement sur le dos d’une vague sans nom. — (Jules Supervielle, Le voleur d’enfants, Gallimard, 1926, réédition Folio, page 153)
- Mais déjà, en ces quelques instants, l’aube tropicale, qui est d’une brièveté saisissante, avait fait place à l’aurore. — (Joseph Kessel, Le Lion, Gallimard, 1958)
- (Par extension) Moment du matin où cette lumière apparaît.
- Les quatre hauts bâtiments, qui encadraient la cour, apparaissaient dans la brume d’aurore, vagues, blanchâtres, dominés par de grandes masses sombres de feuillages, derrière lesquelles l’aube blêmissante montait. — (Jules Case, La Fille à Blanchard, 1886)
- (Sens figuré) Évènement heureux qui annonce un plus grand bonheur.
- C’est l’aurore d’un beau jour.
- (Sens figuré) (Soutenu) Commencement de certaines choses.
- Nous avons nommé le Seizième siècle, la Renaissance, avec une admirable justesse d’expression. Ce siècle fut l’aurore d’un monde nouveau, […]. — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- O juges, vous jugez les crimes de l’aurore. — (Victor Hugo, Le procès à la révolution, in L’Année terrible, Michel Lévy frères, Paris, 1872)
- Plus loin, Marx nous fait voir comment l’aurore des temps modernes fut marquée par la conquête de l’Amérique, l’esclavage des nègres et les guerres coloniales : […]. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, chapitre V, La grève générale politique, 1908, page 243)
- (Rare) (Désuet) Le Levant, les pays qui sont à l’orient.
- Du couchant à l’aurore. Les climats de l’aurore.
- (Astronomie, Géophysique) (Par ellipse) Synonyme de aurore polaire.
- La molécule de diazote est beaucoup plus stable et intervient de ce fait beaucoup moins que l’oxygène dans la couleur des aurores ; elle peut toutefois produire du violet, du bleu et du rouge lorsqu’elle est électrisée par de fortes éruptions solaires. — (Michel Marcelin, Ciel, 2021, page 110)
- Sauce constituée d’une béchamel et de concentré de tomate.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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justaucorps
- (Habillement) Pourpoint, vêtement qui serre le corps.
- Othon […] se fit indiquer le tailleur le mieux assorti de la ville, changea ses habits de velours et de soie contre un justaucorps de drap vert serré avec une ceinture de cuir. — (Alexandre Dumas, Othon l’archer, 1839)
- Une fille en foulard et justaucorps sauta de la voiture, et se mis à secouer le portail à coups de poings dignes d’un homme. — (Nicolas Gogol, Les âmes mortes, 1842 ; traduit par Henri Mongault, 1949)
- La guerre de 1914 était responsable de quelques lacunes dans le vocabulaire de mon père, qui les transmit à plusieurs générations. Il nous disait par exemple qu’un autodidacte est un monsieur qui conduit lui-même son automobile ou que la grande surprise se manifeste par un justaucorps subit. — (Jean L’Hôte, La Communale, Seuil, 1957, réédition J’ai Lu, page 59)
- (Gymnastique) Vêtement moulant utilisé pour faire de la gymnastique, avec ou sans manche.
- Une femme en justaucorps faisait faire des jumping jacks à un groupe d’adhérentes. — (Sarai Walker, (In)visible, traduit de l’anglais américain par Alexandre Guégan, Gallimard, 2017, page 65)
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décore
- Première personne du singulier de l’indicatif présent de décorer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de décorer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent de décorer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent de décorer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de décorer.
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indolore
- Qui ne fait pas mal, qui ne cause pas de souffrance, sans douleur.
- Cet examen simple, indolore et faiblement irradiant permet d’analyser la solidité de l’os en mesurant la masse de calcium, la densité minérale osseuse (DMO), donnée en g/cm3. Plus la DMO est faible, plus le risque de fracture est élevé. — (France Mutuelle Magazine, n° 174, octobre-novembre-décembre 2022, page 23)
- Qui est le siège d’aucune souffrance.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- chalaure
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passiflore
- (Botanique) Genre de plantes grimpante dont le type est la grenadille.
- Les grenadilles ailées, les passiflores aux larges fleurs de pourpre striées d’azur et couronnées d’une aigrette d’un violet noir, retombent du faîte de la voûte comme de colossales guirlandes. — (Eugène Sue, Les Mystères de Paris, 1843)
- « Ah! mon Dieu! que c’est beau! et que l’homme se sent petit en face de ces merveilles de la nature, de ces géants qui datent des premiers âges du monde.! Entre ces troncs lisses ou couverts d’une mousse sombre se suspendent des milliers de plantes grimpantes, des lianes de toutes sortes, les passiflores laurifoliæ, les bignonies, les bromerias, les aristoloches, que sais-je accrochant leurs jeunes rameaux aux troncs noueux des vieux arbres. Les fleurs aux couleurs éclatantes tranchent sur le ton plus foncé de la verdure. Des fougères arborescentes, des lichens couvrent le sol. Une lumière diffuse et voilée filtre à travers l’épais rideau. On se croirait au crépuscule d’un beau jour. La chaleur n’est pas grande, mais l’air manque aux poumons. On respire avec peine.— (Charles Wallut, Sur les rives de l'Amazone : voyage d'une femme, Marthe Verdier, 1882, pages 144-145)
- Car je ne veux plus rien sinon laisser se cloreMes yeux couple lassé au verger pantelantPlein du râle pompeux des groseilliers sanglantsEt de la sainte cruauté des passiflores — (Guillaume Apollinaire, « L’Ermite », Alcools, in Œuvres poétiques, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1965, p. 103)
- (Botanique) (Par métonymie) Fleur de cette plante.
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discord
- (Vieilli) Discorde, ou plus précisément élément de discorde.
- Le discord religieux fournit aux représentants l'occasion , la tentation et le moyen de définir le corps politique indépendamment du roi et contre lui. — (Pierre Manent, Histoire intellectuelle du libéralisme, 1987)
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tors
- (Technique) Action de tordre les brins qui forment le fil, la laine, la corde…, torsion qu’on leur donne.
- Tors en Z, tors en S.
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anaphore
- (Grammaire, Linguistique) Mot ou syntagme qui, dans un énoncé, assure une reprise sémantique d’un précédent segment appelé antécédent ou, plus simplement, rappelle par un moyen grammatical une idée déjà exprimée ou un fait qui s’est déjà produit.
- Dans la phrase « Jean n’avait pas de stylo : je lui ai prêté le mien. », « le mien » est une anaphore dont l’antécédent est « stylo ». De même dans la phrase « Oui, vous êtes déjà venu lundi, je le sais…», « le » forme une anaphore dont l’antécédent est « vous êtes déjà venu lundi ».
- (Littérature) (Rhétorique) Figure de style consistant en la répétition, la reprise d’un même segment ou d’un même mot, en tête de vers, ou en tête de phrase.
- Son anaphore, qui reflète probablement les traditions pré-nicéennes de la Cappadoce, comporte une préface dont la partie finale ne se distingue pas vraiment du type représenté par la préface déjà citée des Constitutiones Apostolorum VIII : la cour céleste chante le trisagion. — (Cinquante années d'études médiévales à la confluence de nos disciplines : actes du colloque organisé à l’occasion du cinquantenaire du CESCM, Poitiers, 1er-4 septembre 2003, Université de Poitiers : Centre d’études supérieures de civilisation médiévale, Éditions Brepols, 2005, p. 359)
- Comme dans la phrase suivante l’auteur utilise une anaphore en répétant le mot Paris : "Paris, Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! mais Paris libéré !..." — (Charles de Gaulle Discours)
- hautefort
- chambors
- montaure
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commodore
- (Marine) Dans certaines marines, grade intermédiaire entre celui de capitaine de vaisseau et celui de contre-amiral.
- Le vieux commodore, complètement rallié à cet homme étrange, réclama l’insertion « intégrale » du discours Fergusson dans « the Proceedings of the Royal Geographical Society of London ». — (Jules Verne, Cinq semaines en ballon, J. Hetzel et Cie, Paris, 1863)
- En face, une sorte de commodore américain, boulot et trapu, les chairs boucanées et le nez en bulbe, s’endormait. — (Joris-Karl Huysmans, À rebours, 1884)
- (Par extension) Titre de certains dirigeants de clubs nautiques.
- Je quittai l’embarcadère, remorqué par Bob Schultz et son yacht à moteur We Two, escorté par une vedette de la police américaine, et par le commodore du Morris Yacht Club dans son yacht à moteur. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil ; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- Elle est sportive, et jetant sur ses épaules un peignoir chatoyant comme un oiseau de paradis, elle remonte le promenoir en plein air, vers la chaussée des élégances, où l’attend sa raquette en bois courbé de dix livres sterling, auprès d’un mari à mine de commodore, rose et appétissant, tel un jambon d’York. — (Léon Daudet, Souvenirs des milieux littéraires, politiques, artistiques et médicaux/Vingt-neuf mois d’exil, Grasset, réédition Le Livre de Poche, page 492)
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altiport
- Aérodrome en montagne.
- L’altiport a permis à un certain nombre d’agences, en majorité sherpa, d’y installer des magasins où elles peuvent déposer le matériel et les denrées non périssables pour toute la durée de la saison touristique. — (Christian Jamot, Pierre Vitte, Le tourisme diffus, 1995)
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ribord
- Bordage que l'on confond souvent avec le gabord, et que Romme définit bordage qui est le plus voisin de la quille, et dont le bord inférieur est reçu dans la rablure de la quille.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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ichor
- (Médecine) Sang aqueux mêlé de pus âcre, qui est le produit d’une inflammation.
- On doit, sans perdre un instant, extirper la tumeur : opération qui exige la main d’un anatomiste, et qui n’est pas sans danger pour celui qui la pratique, l’inoculation de l’ichor gangreneux pouvant causer la mort. — (Mémoires d’agriculture, d’économie rurale et domestique, 1831, page 423)
- (Mythologie grecque)[2] Chez Homère, liquide qui coule dans les veines des dieux et leur sert de sang.
- (Géologie)[1] Substance minérale émanant du magma puis se solidifie et métamorphise certaines roches.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.