Dictionnaire des rimes
Les rimes en : noce
Que signifie "noce" ?
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- (Au pluriel) Mariage.
- La cour célébrait les noces de madame Marguerite de Valois, fille du roi Henri II et sœur du roi Charles IX, avec Henri de Bourbon, roi de Navarre. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, vol. I, ch. I ; Calmann Lévy éditeurs, Paris, 1886, page 2)
- Cheikh Gaafar avait déjà deux épouses, et cinq filles. […] L’idée de convoler une troisième fois en noces lui plut : certes l’entente serait malaisée à son foyer. — (Out-el-Kouloub, Zaheira, dans « Trois contes de l’Amour et de la Mort », 1940)
- Le premier soir des noces, tout de suite il s’endormit. — (Les Charbonniers de l’enfer, "Au diable les avocats")
- (Sens figuré) — Quel profit le mâle de l’Astylosternus trouve-t-il, dans le moment des noces, à vêtir ses cuisses d’un caleçon de poils vasculaires ? — (Jean Rostand, La vie des crapauds, 1933)
- (Au singulier) ou (Au pluriel) Célébration d’un mariage, festivités, danse et autres réjouissances qui l’accompagnent.
- Les fêtes de la noce durèrent trois jours, au douar d’abord, ensuite en ville. — (Isabelle Eberhardt, Yasmina, 1902)
- Une noce au presbytère! Jamais mots ne furent moins faits pour être accolés. On voit là une antithèse qui sentirait l'huile si elle n'était amenée naturellement par la force des circonstances. — (Rodolphe Girard, Marie Calumet, Montréal, 1904, chapitre XX)
- Car ils sont, paraît-il, les fervents amateurs des « fricots » les plus savoureux : une noce, chez ces farauds, dure huit jours. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : Le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Ce fut en l’année 566 que la cérémonie des noces eut lieu, avec un grand appareil, dans la ville royale de Metz. — (Augustin Thierry, Récits des temps mérovingiens, 1er récit : Les quatre fils de Chlother Ier — Leur caractère — Leurs mariages — Histoire de Galeswinthe (561-568), 1833 - éd. Union Générale d’Édition, 1965)
- (Au singulier) Toute l’assemblée, toute la compagnie qui s’est trouvée à la célébration du mariage, et au festin.
- Il n’y avait que cette noce d’éveillée et qui tapageait de son mieux. — (Honoré de Balzac, Les Paysans, 1845, deuxième partie, chapitre neuvième)
- Quelques jours après, la noce était rassemblée au château : les seigneurs voisins s’y étaient rendus pour faire honneur au sire de Beaufort, il y avait une foule de gentilshommes, de valets, de chevaux ; les soldats de la garnison étaient sous les armes. — (George Mallet, Bonnivard à Chillon : Scènes de l’histoire de Genève dans les années 1535 et 1536, 1835)
- Comme nous arrivions à un village qui se trouve après Villejuif, nous préparant à chercher une place convenable pour notre représentation, nous passâmes devant la grande porte d’une ferme, dont la cour était pleine de gens endimanchés, qui portaient tous des bouquets noués avec des flots de rubans et attachés, pour les hommes, à la boutonnière de leur habit, pour les femmes à leur corsage : il ne fallait pas être bien habile pour deviner que c’était une noce. — (Hector Malot, Sans famille, 1878)
- (Au singulier) Partie de plaisir, voire de débauche.
- […] ; à la table voisine de la mienne, une petite blonde, déjà vieille, très animée, racontait je ne sais quoi, d’une voix cassée par la noce ; […] — (Octave Mirbeau, Le Calvaire, 1887)
- Elle vint bien des fois. Elle vint les jours où elle était triste, ayant un reste de noce dans ses jupes et les brutalités des marlous. — (Charles-Louis Philippe, Bubu de Montparnasse, 1901, réédition Garnier-Flammarion, page 164)
- Je me vois aimé de nouveau par de jeunes personnes faciles et généreuses, au moins par une, et tout à fait richement, cette fois. Quelle noce, alors ! — (Paul Léautaud, Le Petit Ami, 1903, réédition Le Livre de Poche, 1964, page 51)
- Si j'étais pas faignante je me mettrais à faire les boîtes de nuit, sérieusement, la noce sans m'amuser, j'y parviendrais : tendre ma joue à embrasser, comme un paillasse à la parade tend sa joue à claquer. — (Léon Frapié, La divinisée: roman d'une femme, éditions E. Flammarion, 1927, page 225)
Mots qui riment avec "osse"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "noce".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : osse , osses , oce et oces .
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gravosse
- (Argot) Grosse ; obèse.
- A Saint-Ouen celles qui en avaient goûté, jeunes ou viocques, gravosses ou pucelles, en avaient la chagatte toute nostalgique pour le restant de leurs jours. Enfin ce qu'il disait, vous êtes au courant. — (Alphonse Boudard, Bleubite, éd. Gallimard, 1976, chap. 6)
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losse
- Lousseau.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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rosse
- (Hippologie) Cheval sans force, sans vigueur.
- C’était un vieux routier qui savait le train des affaires et qui les menait de routine, comme une rosse aveugle tourne la meule d’une brasserie. — (Charles Deulin, Martin et Martine)
- Combien de rosses, vendues à l’âge de 5 ans pour la modique somme de 300 francs, auraient valu, si on les avait élevées d’après les véritables principes zootechniques, 800, 1000, et 1200 francs. — (Jean Déhès, Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France, École impériale vétérinaire de Toulouse, Thèse de médecine vétérinaire, 1868 (avaient corrigé en avait))
- Les convois funèbres se succédaient, avec leurs escortes de sous-officiers boueux et de rosses efflanquées. — (Paul et Victor Margueritte, Le Désastre, Plon-Nourrit & Cie, 86e édition, page 451)
- Au Tchad, nous changerons nos chevaux de réquisition (qui sont d’insignes rosses) et nos bêtes de somme contre des chameaux pour continuer notre route dans la zone désertique d'Agadem. — (Louis Alibert, Méhariste, 1917-1918, Éditions Delmas, 1944, page 23)
- « Et attends-nous à cet endroit-là où je mets une croix. Je sais comment tu vas à cheval, toi, eh ! bien même si on te vend une rosse c’est à trois jours d’ici. » — (Jean Giono, Le hussard sur le toit, 1951, réédition Folio Plus, page 291)
- (Populaire) Personne maligne et dure, méchante.
- La rosse ! Il ne voulait rien savoir. Même chez nous, rien de rien. Seulement, la nuit porte conseil et quand je me suis amené, le matin, pour le cuisiner, à la flan, rapport à son complice, il a compris. « Ça va, m’a-t-il dit, c’est d’accord ! » — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
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cabosse
- Variante de caboche.
- Déverbal sans suffixe de cabosser.
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roce
- Variante de roche.
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buglosse
- (Botanique) Plante médicinale de la famille des boraginées.
- Ramassez de la buglosse (elle ressemble à la bourrache, mais ses feuilles sont arrondies) et faites la sécher dans un endroit sec et aéré. — (Sophie Lacoste, Ma bible des trucs de santé, 2012)
- — La « verdure » : choux, poirée, bonne-dame, buglosse, oseille, patience, bourrache, épinards, choux blancs, pancaliers et cabus. — (Daniel Meiller & Paul Vannier, Le grand livre des fruits et légumes: histoire, culture et usage, Éditions La Manufacture, 1991, page 165)
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panosse
- (Suisse) (Savoie) (Val d’Aoste, Est de la France) Serpillière.
- Passer la panosse.
- Ce matin, j’ai dû passer la panosse ; maintenant c’est tout propre.
- (Sens figuré) Drapeau suisse (Jargon militaire).
- La panosse pend au bout du mât.
- (Sens figuré) Femme de mauvaise vie.
- La Marie, c'est une vraie panosse.
-
tosse
- Première personne du singulier de l’indicatif présent de tosser.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de tosser.
- Première personne du singulier du subjonctif présent de tosser.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent de tosser.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif présent de tosser.
- labosse
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cosse
- Du latin cochlea (« escargot, coquille »)[1] devenu *coccia en bas-latin ; l’ancien français a aussi la forme intermédiaire cocle (« écorce ») ; il a peut-être été croisé avec coccum (« coque »).
- Selon Littré[2] d’origine germanique et apparenté à schosse en flamand, Schote en allemand.
- Déverbal de écosser et forme courte de écosse[3], écosser vient de l’ancien français escosser (« secouer, dépouiller »)[4] et, plus avant, du latin excutere (« faire sortir en secouant »).
- Forme collatérale de gousse, pour l’équivalence k/ɡ voir gossé (« cossu ») en ancien français. Voir caïeu.
- arengosse
- blanchefosse
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cynoglosse
- (Botanique) Genre de plante herbacée de la famille des Boraginacées comprenant plus d'une trentaine d'espèces, et également appelée langue-de-chien à cause de la forme de la feuille.
- Pilules de cynoglosse. — (Ambroise Paré, XXI, 2)
- A droite, montaient les fraxinelles légères, les centranthus retombant en neige immaculée, les cynoglosses grisâtres ayant une goutte de rosée dans chacune des coupes minuscules de leurs fleurs. — (Émile Zola, La Faute de l'abbé Mouret, 1875)
- Un autre genre d'agitation, des pleurs de joie, des épanchemens de coeur avec tout le monde, succèdent à ces prétendus chagrins. ( Potion purgative indiquée, pilulle de cynoglosse et de valériane.)— (P.-J. Mongellaz, De la nature et du siège de la plupart des affections convulsives, comateuses, mentales , telles que l'hystérie, l'épilepsie, le tétanos, etc ... Mémoire présenté le 4 avril 1826, à l'Académie royale de médecine de Paris, et inséré dans les Annales de la médecine physiologique en 1828. , 1828.)
-
grosse
- (Commerce) Une douzaine de douzaines.
- Une grosse de plumes.
- Une grosse de soie, c'est douze douzaines d’écheveaux de soie.
- — Tout de même, protesta Hélène… Moi, je tiens la comptabilité de notre affaire. Je connais les besoins de la clientèle. Je n’arriverais pas à vendre trois grosses de carrosses par an. — (Roger Vailland, 325.000 francs, 1954, réédition Le Livre de Poche, page 183)
- (Droit) Expédition, par un notaire, d’une obligation, d’un contrat, etc., ou, par un greffier, d’un jugement, d’un arrêt, qui est délivrée en forme exécutoire et qui était ordinairement écrite en plus gros caractères que la minute. Appelée aujourd’hui dans le droit français copie exécutoire (décret du 26 novembre 1971).
- La remise de la grosse à un huissier doit être accompagnée d’un certificat du greffier de la juridiction qui l’a rendue. - Le notaire garde la minute et m’en a délivré une grosse.
- — J'ai gagné ! Et maintenant, on fait quoi ?Attendez de recevoir la grosse, vous ne pouvez rien faire sans elle. — (Maître Eolas, Au fait, comment on fait un procès ? 3ème et dernière partie, 22 juillet 2005 → lire en ligne)
- (Vieilli) Écriture en gros caractères pour les copies des actes.
- Très au courant du formulaire il écrivit d'une plume alerte, d'abord en grosse : […], puis en minute : […], et la suite à l'avenant. — (Nicolas Gogol, Les âmes mortes -1842 ; traduction de Henri Mongault -1949)
- (Vulgaire) Personne en surpoids.
- La grosse laide — (La grosse laide, Renaud-Bray, 2021 → lire en ligne)
- tyrosse
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brosse
- Ustensile servant à nettoyer les vêtements, les meubles, etc., et fait ordinairement d’un assemblage de poils de cochon ou de sanglier, quelquefois de crins de cheval, de brins menus de bruyère ou de chiendent, etc.
- Frotter vingt ou trente fois un soulier avec une brosse, que peut-il y avoir de plus stupide ? — (Pierre Kropotkine,, La Conquête du pain : Le travail agréable)
- J’ai, comme elle, frotté les meubles à l’eau japonaise, collectionné toutes sortes de cires, rangé de façon presque maniaque les différentes brosses ou plumeaux par tailles ou selon l'usage auquel ils étaient réservés. — (Catherine Guillebaud, Les Souliers lilas, 2009)
- Ah ! j’en ai étouffé des soupirs sous le bruit de la brosse de chiendent ! Ah ! le besoin de parler avec intelligence et tendresse, j’en ai flanqué de la potasse là-dessus ! — (Léon Frapié, La maternelle, Librairie Universelle, 1908)
- En fermant les yeux, Jeanne revoit cette boutique minuscule où s'entassent les jarres d’huile et les sacs de farine, où pendent, au plafond, des balais et des brosses, des salamis et des cordes à sauter. — (Jean-Michel Olivier, Notre Dame du Fort-Barreau : récit, éditions L'Âge d'Homme, 2008, page 30)
- (En particulier) (Apiculture) Outil destiné à chasser les abeilles d’une surface.
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aglosse
- (Anatomie) Qui n’a pas de langue ou de trompe.
- Lorsqu’il a attrapé sa proie, le xenope le pousse dans sa bouche a l’aide de ses pattes avant. C’est un animal aglosse c’est-à-dire qu’il est dépourvu de langue, il avale ainsi ses proies à la manière d’un serpent. — (Fiches de maintenance animale : Xenopus laevis)
-
poce
- (Anatomie) Pouce.
- thiefosse
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boce
- (Vieilli) Petit bouclier rond attaché à une épée, en usage pour le combat corps à corps chez les fantassins des XIVe et XVe siècles en complément du pavois.
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isoglosse
- (Linguistique) Ligne imaginaire séparant deux zones géographiques qui se distinguent par un trait linguistique (dialectal) particulier, celui-ci pouvant être de nature lexicale, sémantique, phonologique, phonétique, ou de quelque autre type.
- Mais il est très possible de tracer ce que les linguistes appelleraient les isoglosses d'un mythe, les lignes qui définissent le lieu social où il est parlé. — (Roland Barthes, Mythologies, édition du Seuil, 1957, p. 261)
- L’évolution du mot latin PORTA permet d’illustrer ce phénomène: en langue d’oïl, c’est devenu un mot monosyllabique, « porte », et en francoprovençal un dissyllabique, « porta ». La limite nord du francoprovençal par rapport à la langue d’oïl est constitué par cette isoglosse de l’oxytonisme généralisé: toute voyelle finale est amuïe en langue d’oïl. Cette frontière passe par les villes suivantes: Roanne, Mâcon, Louhans, Arbois, Pontarlier et Neuchâtel ([…]). — (Sophie-Anne Wipfler, Le gaga: Langue d'autrefois? Une étude linguistique synchrone (Das gaga: Sprache von damals? Eine synchrone linguistische Analyse), thèse de doctorat de philosophie, Universität Mannheim, 4 novembre 2019, p. 60)
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crosse
- (Religion) Bâton pastoral d’évêque ou d’abbé, dont l’extrémité supérieure se recourbe en volute.
- La mitre et la crosse sont les symboles du pouvoir épiscopal.
- Je trouvai mon père sur la terrasse : il redressait l’équerre d’une porte gonflée par l’hiver, et des copeaux en crosse d’évêque montaient s’enrouler jusque sous son menton. — (Marcel Pagnol, Le temps des secrets, 1960, collection Le Livre de Poche, page 7)
- (Armement, Chasse) Partie postérieure d'une arme à feu portative, servant à tenir ou appuyer l’arme, lors du tir.
- Dafny, après avoir tiré son fusil, en avait brisé la crosse en se défendant contre les massues des sauvages. — (Dillon, Voyage dans la mer du sud, Revue des Deux Mondes, 1830, tome 1)
- Les deux malandrins alors ont essayé de l’achever avec leurs crosses d’armes et leurs poignards. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- (Spécialement) Manche d’une arme de poing.
- Que l’on zyeute le canon d'une carabine ou la crosse du moindre bulldog, et vous êtes fait. Coupé cabèche ! — (Françoise d'Eaubonne, La couronne de sable, Flammarion, 1968, page 26)
- (Linguistique) Diacritique suscrit à une lettre.
- (Vieilli) Béquille, bâton recourbé sur lequel s’appuient pour marcher les infirmes, les blessés, etc.
- Mais ceux-ci, tiraillant ses grègues noires et mordant ses bas rouges, le culbutèrent comme un goutteux sur ses crosses. — (Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit, 1842)
- (Hockey sur glace, Sport) Bâton courbé à son extrémité, utilisé dans certains sports comme le golf, le hockey sur glace, pour pousser la balle ou le palet.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Par métonymie) (Canada) (Sport) Sport collectif opposant deux équipes de dix joueurs chacune, où les joueurs se servent d’une crosse, munie d’un filet, pour mettre une balle dans le but adverse.
- La crosse est un sport enseigné aux enfants iroquois dès leur plus jeune âge et est considérée comme un des plus vieux sports en Amérique du Nord. — (Radio-Canada, Les Iroquois participent au Championnat mondial junior de crosse, ici.radio-canada.ca, 13 août 2022)
- (Par analogie) Bout recourbé d’un objet.
- À droite du piano, le violoncelliste émergeait de la fosse, la tête appuyée contre la crosse de son instrument dont il pinçait les cordes en regardant fixement devant lui. — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- (Anatomie) Crosse de l’aorte.
- D'autant qu'elle est au niveau de la crosse, un endroit difficile à opérer. — (Yasmina Reza, Serge, éditions Flammarion, 2021, page 194)
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féroce
- Qui est cruel par instinct, en parlant des bêtes.
- On exposait les martyrs aux bêtes féroces.
- Les lions, les tigres sont des animaux féroces.
- (Sens figuré) …
- C’est une bête féroce : Se dit d’un homme brutal et cruel.
- Qui est porté à la cruauté, en parlant des hommes.
- Un despote féroce.
- Une peuplade féroce.
- (Par extension)
- Cœur féroce.
- Caractère féroce.
- Humeur féroce.
- (Sens figuré) Qualifie ces sentiments ou ces attitudes cruels.
- Je ne pus réussir à attraper un seul requin […]. Et cependant, lorsque je tuais l'un d'entre eux avec ma carabine sprinfield, c'était aussitôt une bataille féroce autour du festin cannibale. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- Un regard féroce.
- Un air féroce.
- Des mœurs féroces.
- Une joie féroce.
- biscarrosse
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ophioglosse
- Plante du genre Ophioglossum, fougère de la famille des Ophioglossacées, à petit rhizome souterrain, dont la fronde est constituée d’un pétiole cylindrique portant un limbe végétatif entier et un épi fructifère simple et longuement pédonculé, formé de deux rangs de sacs soudés par leurs faces inférieures et supérieures.
- (En particulier) Ophioglosse commun.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.