Dictionnaire des rimes
Les rimes en : koheul
Mots qui riment avec "eul"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "koheul".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : eul , euls , eule et eules .
- palaiseul
-
aïeule
- Grand-mère.
- Je ne bouge donc point, je me rensommeille, seulement voilà les crac-crac qui recommencent dans la souillarde, je veux me réveiller, j’arrive point à me réveiller et une voix tout-doux-tout-doux, mais mais si claire que je reconnais feu mon aïeule, donc une voix me fait : « Eustolia, où tu habites, à présent, Eustolia ? Déménage, ma fille, à Sosnovka. » — (Lettres soviétiques, 1969, page 121)
- larreule
-
cargneule
- (Pétrographie) Roche sédimentaire carbonatée, d’aspect carié et vacuolaire.
- Les roches à faciès de cargneules, d’origine tectonique se rencontrent souvent en interstratifications dans les argilites rouges. — (Gad-Francois Amberger, L’Autochtone de la partie Nord-Ouest du massif des Aiguilles Rouges : Haute-Savoie et Valais, 1960)
-
feule
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de feuler.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de feuler.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de feuler.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de feuler.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de feuler.
-
engueule
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de engueuler.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de engueuler.
- 'Arrêt pour manger, on rentre réceptionner le fioul (on chauffe au fioul une maison qui n’est pas isolée! pff) et premiers messages aux copines, je relance la chaudière et la voilà qui fume ! je ré-éteins tout d’urgence et appelle l’entreprise, le type m’engueule !!!!!!! — (Melly V., Ma vie chez un crustacé pas comme les autres, 2012, page 19)
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de engueuler.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de engueuler.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de engueuler.
- baroeul
- rieul
- nieul
- cojeul
- vesigneul
-
veule
- Qui manque d’énergie, de courage, d’entrain.
- Il était blême, sa moue haineuse et veule lui donnait un air de ressemblance avec sa sœur. — (Jean-Paul Sartre, L'âge de raison, 1945)
- Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! — (Charles Baudelaire, L'albatros,1859)
- Elle ne souffrait pas, mais son corps et sa chair étaient veules. — (Georges Simenon, Le Blanc à lunettes, chapitre IX, Gallimard, 1937)
- Elle l'eût encore préféré veule, comme cet après-midi, rendu de fatigue, anéanti, dormant, inerte, mais en songeant plus à rien.— (Jean Richepin, La Glu, édition de 2010 chez José Corti (originale de 1881), page 144)
- (Agriculture) Qualifie une terre trop légère pour la culture.
- (Jardinage) Qualifie des branches longues et faibles.
- (Textile) Qualifie des poils qui n'ont pas la possibilité de se feutrer.
- [...] car le poil veule ou naturel se feutre peu. — (Joseph Barberet, Le travail en France, Éd. Berger-Levrault)
-
bisaïeul
- Arrière-grand-père du côté paternel ou maternel.
- Mon père, mon aïeul, mon bisaïeul, mon trisaïeul, mon quadrisaïeul, mon quinquisaïeul ont toujours mangé, comme les rats, à la table d’autrui. — (Plaute, Le Persan, scène III)
- Appius Claudius Cécus qui fit venir à Rome les eaux Claudia. Ce fut en 771 ; mais ce censeur ne fut, ni le bisaïeul, ni même le trisaïeul, mais bien le quinquisaïeul d’Appius, si l’on me passe l’expression. — (Œuvres complètes de Cicéron, commentaire de Philip Aimé de Golbéry, en page 428, Panckoucke, 1833)
- Une partie de cette grande fortune fut dépensée à la cour de France par l’aïeul et le bisaïeul du comte Charles; son père en dissipa le reste, et ne lui laissa que des terres grevées d’obligations et d’hypothèques ; […]. — (Julie de Quérangal, Philippe de Morvelle, Revue des Deux Mondes, T.2,4, 1833)
- En outre, comme il ne se faisait plus de testaments, il n’y avait plus d’héritages, et les générations nouvelles ne possédaient rien en propre : tous les biens appartenaient de droit aux bisaïeuls et aux trisaïeuls, qui ne pouvaient en jouir. — (Charles Deulin, « Le Poirier de Misère », in Cambrinus et autres Contes, circa 1847–1875)
- Les vénérables personnages de la tapisserie gothique, remuée par le vent, se saluèrent l’un l'autre, et mon bisaïeul entra dans la chambre, — mon bisaïeul mort il y aura bientôt quatre-vingts ans ! — (Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit, 1842)
- coppegueule
-
seul
- Qui est sans compagnie ; qui n’est pas avec d’autres.
- Elle se chargea de tout, prit le billet, fit enregistrer les bagages, installa la voyageuse dans un compartiment de dames seules. — (Émile Zola, Le Docteur Pascal, G. Charpentier, 1893, chapitre XI)
- — Il reconnaît que les âmes sont impénétrables aux âmes, et il en souffre. Il se sent seul quand il pense, seul quand il écrit. Quoi qu’on fasse, on est toujours seul au monde. C’est ce qu’il veut dire. Il a raison. On s’explique toujours, on ne se comprend jamais. — (Anatole France, Le Lys rouge, 1894, réédition Le Livre de Poche, page 87)
- Il se disait qu’il était seul au monde, affreusement seul, misérable. Cette idée l’affligeait. — (Francis Carco, Brumes, Éditions Albin Michel, Paris, 1935, page 58)
- Elle ne voulait pas être seule. Elle sentait déjà l’horreur de sa solitude, l’insomnie prolongée, le tête-à-tête décevant avec Dieu. — (Albert Camus, L’Envers et l’Endroit, Gallimard, 1958, page 41)
- De don Quichotte ferraillant seul contre les moulins à vent de la GroKo, Kevin Kühnert est devenu un pionnier. Et pourquoi pas, demain, l’alternative. — (Thomas Schnee, Kevin contre la GroKo, dans Marianne, n° 1092 du 16 au 22 février 2018, page 44)
- Orphelin, dans les expressions :
- Être seul au monde, être seul sur la Terre, n’avoir pas de famille, n’être uni à personne par les liens de l’affection, de l’amitié, vivre dans l’isolement.
- (Musique) En solo.
- Voix seule, Voix qui n’est pas mêlée à d’autres, qui chante pendant que les autres se taisent.
- À l’exclusion de tout autre ; unique. — Note : Dans cette acception, il se place généralement avant le nom, tandis qu’il se met ordinairement après dans le premier sens : Un seul homme, un homme unique. Un homme seul, un homme qui se trouve sans compagnie. Il est à noter qu’en emploi adverbial, le mot continue de s’accorder.[1]
- Ainsi, seuls, en médecine d’urgence, les masques permettent une administration d’oxygène efficace : […]. — (Pierre Carli, Urgences médico-chirurgicales de l’adulte, Wolters Kluwer France, 2004, p. 1 460)
- Seules la testostérone et la dihydrotestostérone sont des androgènes actifs qui se lient spécifiquement aux récepteurs des androgènes. — (Loïc Guillevin, Sémiologie médicale, 2e édition, Lavoisier, 2011, page 343)
- […], M. B. sortit de sa tente coiffé d’un superbe bicorne à plumes blanches. Il y avait là, paraît-il, une infraction flagrante au protocole, qui réserve cet ornement aux seuls chefs de mission. — (Frédéric Weisgerber, Au seuil du Maroc Moderne, Institut des Hautes Études Marocaines, Rabat : Les éditions de la porte, 1947, page 269)
- L’État a choisi le dossier Cofiroute et son tunnel de dix kilomètres à deux niveaux de circulation superposés réservé aux seuls véhicules légers : les poids lourds n’emprunteront pas l'ouvrage, ils auront le leur. — (Denis Lemarié, Chroniques de Versailles : Janvier à juillet 2005, Éditions Publibook, 2005, page 181)
- Elliptiquement,
- Le gouvernement d’un seul, la monarchie absolue.
- Le pouvoir, l’autorité d’un seul.
-
gueule
- Bouche chez les animaux carnassiers, chez certains poissons et certains gros reptiles.
- La rainette, atteinte en plein flanc, écartait les pattes et ouvrait la gueule en montrant son goitre blanc. — (Louis Pergaud, « Un sauvetage », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Gueule béante. — Le lion emportait sa proie dans sa gueule. — Il avait la gueule ouverte pour l’engloutir.
- (Sens figuré) — Tout d’un coup, lentement, comme une gueule, s’ouvrirent les deux battants des portes […]. — (Ivan Tourgueniev, L’Exécution de Troppmann, avril 1870, traduction française de Isaac Pavlovsky, publiée dans ses Souvenirs sur Tourguéneff, Savine, 1887)
- (Sens figuré) […] un récif au large, dragon gigantesque, la gueule terrifiante, l’épine dorsale et la longue queue hérissées de pointes, semble en interdire l’accès […] — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- (Populaire) (Méprisant) Bouche. Note : Utilisé dans des expressions.
- Être fort en gueule, parler beaucoup et en langage trivial.
- Fermer sa gueule, se taire. (Ferme) ta gueule, tais-toi. (Vulgaire)
- Il en a menti par la gueule, par sa gueule. (Désuet)
- Vous en avez menti par la gueule ! s’écria Marigny. — (Maurice Druon, Les Rois maudits, tome 2, « La Reine étranglée », 1955)
- Il a la gueule ferrée, c’est une gueule ferrée, se dit de quelqu’un qui a souvent l’injure à la bouche. On le dit aussi de celui qui mange avidement des mets très chauds.
- Dans ce dernier sens, on dit également avoir la gueule pavée.
- Gueule fraîche se dit d’une personne de bon appétit et toujours prête à manger.
- Mots de gueule, paroles brutales, vertes, populacières.
- Crever la gueule ouverte, se dit d'un attentisme flagrant d'une tierce personne.
- (Populaire) (Méprisant) Visage.
- — Deux fois l’falot, comprends-tu? et tel que j’te l'dis, condamné à mort pour avoir filé ma crosse dans la gueule de mon lieutenant. — (Francis Carco, Images cachées, Éditions Albin Michel, Paris, 1928)
- Seb le connaît un peu, il paraît que ce gars envoie des patates de forain, couche ses ennemis d’une tarte dans la gueule avant de leur faire danser la Macarena. — (Zarca, Paname Underground, chapitre 14, Paris : éditions Goutte d’Or, 2017)
- Donner sur la gueule à quelqu’un, lui donner un soufflet, lui donner un coup de poing sur le visage.
- Quoi ma gueule ?Qu’est-ce qu’elle a ma gueule ?Quelque chose qui ne va pas ?Elle ne te revient pas ? — (Ma gueule, chanson interprétée par Johnny Hallyday)
- On ment bien de la bouche, mais avec la gueule qu’on fait en même temps, on dit la vérité quand même. — (Friedrich Nietzsche, Par delà le bien et le mal, 1886)
- (Familier) (Péjoratif) Personne.
- Aller à la Brasserie ? Revoir toujours les mêmes gueules ? Zut ! — (Jehan Rictus, Journal quotidien, cahier 148, page 69, 31 janvier 1932)
- (Par analogie) Ouverture de certains objets.
- Enfin l’Othello, qui se trouvait alors à dix portées de fusil, montra distinctement les gueules menaçantes de douze canons prêts à faire feu. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
- […] on aperçoit, au fond de la baie, une longue ligne de murailles grises flanquées de tours et de bastions […] Elles sont garnies de vieux canons, presque inoffensifs aujourd’hui, mais à la gueule toujours menaçante braquée sur la mer […] — (Frédéric Weisgerber, Trois Mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, p. 20)
- Elles emplissent à ras la gueule un alambic de cuivre. — (Jean Suquet, Le Scorpion et la rose, page 178, 1970)
- (Vieilli) — La gueule d’un four. — La gueule d’une cruche. — La gueule d’un sac.
- (Par analogie) Ouverture d’un terrier.
- Il s’attardait aux gueules ténébreuses des terriers […] — (Maurice Genevoix, Raboliot, 1925, quatrième partie, chapitre 1, page 205 de l'édition du Livre de Poche)
- (Botanique) Labié.
- Fleur, corolle en gueule.
- Appétit, voire goinfrerie.
- Bouilloux et Labbé, curiosités gargantuesques, font assaut de gueule, chez les Septmance comme partout où l’on se marie. Labbé boit le vin blanc dans un seau à traire les vaches, Bouilloux se voit apporter un gigot entier dont il ne cède rien à personne, que l’os dépouillé. — (Sidonie-Gabrielle Colette, La Maison de Claudine, Hachette, 1922, collection Livre de Poche, 1960, pages 61-62)
- L’Adélaïde lui fit observer que le litre de vin était à sept sous et qu’il fallait faire durer le tonneau jusqu’aux prochaines vendanges. Elle ajouta que les hommes étaient tous pareils. Ils ne pensaient qu’à leurs gueules. — (Marcel Aymé, La Jument verte, Gallimard, 1933, collection Le Livre de Poche, page 35)
- houvigneul
- aubencheul
- eriseul
- choiseul
-
tilleul
- (Botanique) Tilia, genre d’arbres de la famille des malvacées dont les fleurs odorantes et les bractées sont utilisées en infusions apaisantes.
- On prit l’habitude de passer les soirées sous un immense tilleul à quelques pas de la maison. — (Stendhal, Le rouge et le noir, 1830, réédition Gallimard, 2020, page 105)
- En été, la feuille, sorte de carte d’identité, permet d’identifier l’arbre. Celle du tilleul est simple… Son pourtour finement denté dessine une forme plus ou moins parfaite de cœur à la base et se termine en pointe au sommet. A cause de cette base échancrée, la feuille est dite cordée ou encore cordiforme… de manière alterne… distiques. — (Tordjman Nathalie, Le tilleul, 96 p., page 21, 1995, Actes Sud, Le nom de l’arbre)
- Une allée de tilleuls.
- (Par métonymie)
- Inflorescence séchée de l’arbre servant à faire les tisanes.
- Une infusion de tilleul.
- (Par métonymie) Boisson, infusion préparée à partir de ces inflorescences.
- Mets-en dix. Dans son tilleul. Dix cachets de gardénal. Mais tu n’oseras pas. — (Jean Genet, Les Bonnes, 1947. Édition Folio, 2010, p. 64)
- (Menuiserie) Bois issu de l’arbre du même nom, très apprécié pour son homogénéité et son travail facile.
- Dans l’art sacré orthodoxe, le tilleul est le seul bois autorisé pour les icônes.
-
bisaïeule
- Féminin singulier de bisaïeul.
- ecajeul
-
filleul
- Fils spirituel d’un parrain ou d’une marraine; enfant pour lequel une cérémonie de parrainage a eu lieu.
- Cet enfant est mon filleul.
- Plus jeune d’ailleurs,après des vacances à Monaco chez Yella et Numa, ébloui par la futilité de la relève de la garde d’opérette, j’avais raconté à mes rares amis rémois que j’étais le filleul de Rainier. — (Olivier Poivre d’Arvor, Frères et sœur, 2004)
- La formule préconisée par Maréchal : « Je promets et m’engage d’élever mon fils dans les seuls principes de la Raison, dans les seules pratiques de la Vertu », est très proche, par exemple, de l’engagement pris par des parrains vis-à-vis de leur filleul, lors d’un baptême civil à Lagny, le 12 septembre 1909 : « Ils prennent l'engagement de l’élever dans le seul culte de la Raison, du bon sens et de l’honnêteté et aussi dans l’amour de l’humanité, de la fraternité et de la solidarité ». — (Maurice Agulhon, Le XIXe siècle et la Révolution française, Créaphis, 1992 → lire en ligne)
- (Par extension) Celui qui bénéficie d’une protection spéciale.
- Filleul des fées.
- vigneul
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.