Dictionnaire des rimes
Les rimes en : goménol
Mots qui riment avec "ol"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "goménol".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ol , ols , oll , ole , oles , olle , olles , aul , aule et aules .
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diaule
- (Musique) Double flûte.
- On peut voir un joueur de diaule sur la gauche du tableau La Paix au Musée Picasso de Vallauris.
- Les anciens employaient fréquemment la diaule sur leur théâtre. — (Aubin-Louis Millin, Dictionnaire des beaux-arts, 1838)
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épaule
- (Anatomie) Partie du corps qui attache au cou l’articulation du bras chez l’être humain et du membre antérieur chez les quadrupèdes ; articulation qui relie l'arrière-bras au tronc.
- Rien de gracieux comme ses mouvements d’épaules, lorsqu’elle attire le menton pour se cacher entièrement la figure, qui, par instants, se montre à la dérobée. — (Flora Tristan; Les Femmes de Lima, dans Revue de Paris, tome 32, 1836)
- Un long baiser rescella leur pacte. Aïssa, lourde de langueur, avait renversé sa tête sur l’épaule de son amant. — (Victor Margueritte, Un cœur farouche, Paris : Ernest Flammarion, 1921 page 61)
- Les cordelettes m’entraient dans la chair, les mains me faisaient mal et la position dans laquelle mes bras étaient maintenus me brisaient les épaules. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- Il tient volontiers sa tête courbée, les épaules un peu hautes, le dos rond, les bras ballants. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 208)
- Malgré les mouvements brusques, imprévisibles souvent du bateau, il restait debout à son poste, bien d’aplomb sur ses courtes jambes et il ne tressaillait même pas quand des paquets de mer s’abattaient sur ses vastes épaules. — (Georges Sim (pseudonyme de Georges Simenon), L’île des maudits, éditions J. Ferenczy et Fils, 1929, réédition 1980, chapitre VIII)
- […]; et le maréchal, avec son tablier de cuir et ses manches de chemise retroussées jusqu'à l’épaule, tenait le cheval par la bride, parce que le cheval était un peu nerveux. — (Gilbert Guisan, C.-F. Ramuz ou Le génie de la patience, page 43, E. Droz, 1958)
- (Par extension) (Au pluriel) Carrure.
- C’est un bel homme bien en chair, élégant en effet, quoique de massive encolure, avec de larges épaules, des joues pleines, de beaux yeux noirs caressans, […]. — (Ernest Duvergier de Hauranne, Huit mois en Amérique, Revue des deux mondes, Vol.2005, 1866, p. 495)
- C’était en somme, avec sa peau blanche, sa haute taille et ses larges épaules, un fort beau cavalier dans l’acception ordinaire du mot, […]. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre IV)
- (Familier) Symbole de la force de caractère.
- Dès l’Ite Missa est, la sacristine s’agita. Longue, plate et noire comme un staphyllin, desséchée par cinquante ans de célibat concentré, elle semble porter sur ses épaules étroites tout le deuil de la terre, expier tous les péchés du monde. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Il n’a pas les épaules assez fortes, il a les épaules trop faibles pour un tel emploi, pour soutenir une telle charge, pour mener à bien cette entreprise : Il n’a point assez de talent, assez de bien, de ressources.
- (Fortification) Partie saillante que forme la réunion des pans nommés flanc et face d’un bastion.
- Rieux réfléchissait. Par la fenêtre de son bureau, il regardait l’épaule de la falaise pierreuse qui se refermait au loin sur la baie. — (Albert Camus, La Peste, 1947)
- sardolles
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survole
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de survoler.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de survoler.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de survoler.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de survoler.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de survoler.
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torgnole
- (Populaire) Coup, généralement sur le visage ou sur la tête.
- J’en compte çà et là une quantité, filles, garçons, grands, petits, moyens, qui, sans erreur possible, — ont le visage modelé par les coups. En a-t-il fallu des brutalités depuis leur naissance ! Car la chair reprend sa forme après une torgnole, le sourire renaît après les pleurs. En a-t-il fallu des réitérations pour que des coins de visage restent de travers, pour que les joues gardent l’air giflé, pour que l’apparence de renifler des larmes s’installe définitivement, même quand l’enfant rit ! — (Léon Frapié, La maternelle, Librairie Universelle, 1908)
- Les torgnoles aplatissent au mur tout ce qui ne peut pas se défendre et riposter : enfants, chiens ou chats. — (Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, Denoël et Steele, Paris, 1932)
- Puisque les autres femmes les abandonnaient à elles-mêmes et ne se décideraient à intervenir que si elles se flanquaient des torgnoles, se jetaient des pierres à la figure, se tapaient sur le nez ou se tiraient les cheveux à main que veux-tu, la mère Gourvennec entreprit une attaque de nerfs. — (Henri Queffélec, Un Recteur de l'Île de Sein, chapitre 10, Cressé : Éditions des Régionalismes, 2014, page 58)
- Y m’a filé une beigneJ’lui ai filé une torgnoleY m’a filé une châtaigneJ’lui ai filé mes grolles — (Renaud, Laisse béton sur l’album Laisse béton, 1977)
- (Vieilli) Panaris, petit mal blanc qui fait le tour du doigt.
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arolle
- Nom usuel du pin cembro (Pinus cembra) qui croît dans les alpes et en moyenne montagne.
- C’est que l’arolle séculaire faisait partie du décor que l’on aimait retrouver tel quel au printemps. — (Christian Mollier, Foehn sur le Mont-Blanc, 1999)
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podzol
- (Agriculture, Pédologie) Type de sol au pH acide, lessivé dans sa partie supérieure, qui est infertile pour l’agriculture.
- […]; cependant, la pinède sur lande provoque une accélération de l'évolution podzolique, conduisant la lande sur podzol (…) ; celle-ci est particulièrement difficile à boiser, et se comporte comme un groupement stable : c'est la lande paraclimacique. — (Marcel Bournérias, Guide des groupements végétaux de la région parisienne, SEDES, 1968, page 199)
- Toutes les autres conditions étant égales, les formations argilo-siliceuses, argilo-loessiques ou molassiques, plus riches en zéolithes et sels minéraux podzolisent plus lentement et donnent des podzols moins prononcés que les formations sablonneuses. — (H.-H. Margulis, Aux sources de la pédologie (Dokoutchaïev-Sibirtzev), École Nationale Supérieure Agronomique, 1954, page 76)
- lampaul
- pentapol
- ferolles
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avicole
- Lié à l’aviculture.
- Le Québec est la seule province où les ventes de bœuf ont dépassé celles des viandes porcine et avicole, à 12 %. — (Sylvain Charlebois, Les Québécois aiment de plus en plus le bœuf, Le Journal de Québec, 13 février 2021)
- biol
- cestayrols
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tavaïolle
- (Catholicisme) Linge garni de dentelles, et quelquefois fait tout entier de dentelle, dont on se sert à l’église pour offrir le pain bénit ou pour présenter des enfants au baptême.
- Une riche tavaïolle.
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patafiole
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de patafioler.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de patafioler.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de patafioler.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de patafioler.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de patafioler.
- javols
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symbole
- Figure ou image qui sert à désigner une chose le plus souvent abstraite, une idée ou un concept.
- Les vieux symboles chrétiens, tant expliqués, tant traduits, présentent à l'esprit, dès qu'on les voit, une signification trop claire. Ce sont des symboles austères de mort, de mortification. — (Jules Michelet, Du prêtre, de la femme, de la famille, 3e éd., Hachette & Paulin, 1845, page 181)
- — Qu’est-ce qu’un symbole ? D’après Littré, c’est « une figure ou une image employée comme signe d’une autre chose » ; nous autres, catholiques, nous précisons encore cette définition en spécifiant, avec Hugues de Saint-Victor, que « le symbole est la représentation allégorique d’un principe chrétien, sous une forme sensible ». — (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
- Fierté des maîtresses de maison formées aux traditions familiales, la blanquette est, révérence gardée, à la cuisine française ce que Molière est au théâtre. Un symbole, un modèle éternel qui fait école, une sorte de mémoire collective. — (Sylvie Girard-Lagorce, Grandes et petites histoires de la gourmandise française: traditions et recettes, Plon, 2003, De Borée, 2005, page 95)
- (Numismatique) Figure qu’on voit sur les médailles et qui sert à désigner soit des hommes ou des divinités, soit des parties du monde, des royaumes, des provinces ou des villes.
- Les symboles sont ordinairement placés sur le revers des médailles.
- La ville de Paris a un vaisseau pour symbole.
- (Chimie) Lettre ou ensemble de lettres, qui sert à désigner un corps simple.
- Le symbole de l’oxygène est O, celui du sodium est Na.
- (Religion) Formulaire qui contient les principaux articles de la foi.
- Les trois symboles de la foi sont le symbole des apôtres, le symbole de Nicée et le symbole attribué à saint Athanase.
- (Cartographie) Figuration graphique, colorée et/ou alphanumérique, affectée à un phénomène pour le représenter sur la carte[1].
- (Éducation) Outil d'humiliation publique de la politique linguistique d'État afin de forcer les élèves à parler la langue d’enseignement. Sous la forme d'un objet à porter autour du cou, il est spécifiquement utilisé dans les écoles primaires francophones aux XIXe et XXe siècles pour interdire l'usage des langues maternelles régionales.
- D’où l’usage, dans les classes, du légendaire « symbole », sou, médaille ou sabot, que le maître donnait au premier enfant surpris à parler occitan ou breton, à charge pour celui-ci de le repasser à un autre fautif, de sorte que le dernier possesseur de l’objet infamant soit puni. — (Mona Ozouf, Composition française, Gallimard, 2009, collection Folio, pages 234-235)
- tarendol
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mongole
- Féminin singulier de mongol.
- chamesol
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hyperbole
- (Littéraire) Figure de style qui consiste à augmenter la vérité des choses, exagération volontaire dans le but de produire un effet.
- Moy-mesme, qui faicts singuliere conscience de mentir et qui ne me soucie guiere de donner creance et authorité à ce que je dis, m’apperçoy toutesfois, aux propos que j’ay en main, qu’estant eschauffé ou par la resistance d’un autre ou par la propre chaleur de la narration, je grossis et enfle mon subject par vois, mouvemens, vigueur et force de parolles, et encore par extention et amplification, non sans interest de la verité nayfve. Mais je le fais en condition pourtant, qu’au premier qui me rameine et qui me demande la verité nue et crue, je quitte soudain mon effort et la luy donne, sans exaggeration, sans emphase et remplissage. La parole vive et bruyante, comme est la mienne ordinaire, s’emporte volontiers à l’hyperbole. — (1595, Montaigne, Essais, Livre III, Chapitre 11, P. U. F., 1965)
- Il y a un tour de Fiction, au moyen duquel la penſée ne doit pas être entendue littéralement comme elle eſt énoncée, mais qui laiſſe apercevoir le véritable point de vûe en le rendant ſeulement plus ſenſible & plus intéreſſant par la Fiction même. De là naissent l’Hyperbole, la Litote, l’Interrogation, la Dubitation, la Prétérition, la Réticence, l’Interruption, le Dialogiſme, l’Épanorthoſe, l’Épitrope, & l’Ironie ; celle-ci ſe ſoudiviſe, à raison des points de vûe ou des tons, en ſix eſpèces ; ſavoir, la Mimèſe, le Chleuaſme ou Perſifflage, l’Aſtéiſme, le Charientiſme, le Diaſirme, & le Sarcaſme. — (Encyclopédie méthodique : Grammaire et Littérature, tome second, Panckoucke / Plomteux, Paris / Liège, 1784)
- Il était exaspéré, parlait très-haut, et pour la première fois peut-être de sa vie mettait des hyperboles là où sans cesse il employait des diminutifs de mots ou d’idées. — (Eugène Fromentin, Dominique, L. Hachette et Cie, 1863, réédition Gründ, pages 194-195)
- Ils ne sont pas en peine d’être gouailleurs et d’employer avec la pratique un langage ambigu, la métaphore et l’hyperbole. — (Gabriel Maury, Des ruses employées dans le commerce des solipèdes, Jules Pailhès, 1877)
- Telle est, fleurie de métaphores et d’hyperboles, la beauté de la femme arabe vue par son poète ; […] — (Pierre Louÿs, La femme dans la poésie arabe, dans Archipel, 1932)
- Vossius justifie son hypothèse par des remarques d’ordre philologique : les paroles de Moïse ne doivent pas nécessairement être prises dans un sens absolu, mais elles doivent être entendues d’après le génie propre des langues orientales, qui ont souvent recours à l’hyperbole, aussi bien dans les écrits historiques que dans les textes poétiques. — (Seguin, Maria Susana. « Déluge et déluges : de la pluralité des mondes au polygénisme », Dix-septième siècle, vol. 221, no. 4, 2003, pp. 685-694.)
- Les astrologues n’ont jamais fourni d’explication satisfaisante à la question suivante : pourquoi les astéroïdes et les satellites ne sont-ils pas pris en compte dans l’élaboration d’un horoscope ? Les réponses que l’on entend habituellement relèvent davantage de l’hyperbole que de la logique. — (Barry Williams (traduit par Claude Lafleur), L’astrologie confrontée aux progrès de l’astronomie, dans Le Québec sceptique, n°24, p.41, décembre 1992)
- Dans la vie, y’a le Superbowl, et l’hyperbole — (2017, Fares C. aka John Mitzewich) Les deux hyperboles (2) (rouge).
- (Géométrie) Section faite dans un cône du second degré par un plan qui, étant prolongé, rencontre les deux nappes de cette surface.
- Toute vie signifie, fût-ce celle d’un insecte, et le sentiment de son importance, énorme en tout cas pour celui qui l'a vécue, ou du moins de son unique singularité, augmente au lieu de diminuer quand on a vu la parabole boucler sa boucle, ou, dans des cas plus rares, l’hyperbole enflammée décrire sa courbe et passer sous l'horizon. — (Marguerite Yourcenar, Souvenirs pieux, 1974, collection Folio, page 157)
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vole
- (Cartes à jouer) Aux cartes, coup où l’un des joueurs fait toutes les levées.
- Et avec une partie de tric-trac mortifier mon âme,Qui aspire après la mouche ou palpite à la vole. — (Sheridan, traduction de René Huchon, L'École de la médisance, Aubier Flammarion, 1969, page 295)
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encolle
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe encoller.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe encoller.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe encoller.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe encoller.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe encoller.
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entresol
- (Architecture) Appartement pris sur la hauteur d’un étage.
- J’avais laissé Reykjavik, un grand village ; les maisons en bois étaient toiturées de tôle ondulée ; les plus importantes s’enorgueillissaient d’un étage surmontant l’entresol ; […]. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- Elle était au premier étage, à côté de l’appartement de sa mère, mais il y avait un grand entresol. — (Stendhal, Le Rouge et le Noir)
- (Spécialement) Appartement pratiqué entre le rez-de-chaussée et le premier étage.
- Thommereux. — (Il enjambe la fenêtre.) Eh bien ! voilà, je joue les Roméo, moi… j’escalade les fenêtres… je les escalade quand elles ne dépassent pas les rez-de-chaussée… parce qu’au-dessus, dame !… Ah ! avec ça que Roméo se serait amusé si Juliette avait eu son balcon au cinquième au-dessus de l’entresol… — (Georges Feydeau, Le Système Ribadier, 1892, acte II, scène 2)
- À quatre mètres de hauteur sur le second siège, une dame a jeté les yeux dans un entresol sans défiance, paisiblement ouvert en face d’un terrain vague, et elle t’a vue ma chère, […]. — (Pierre Louÿs, Psyché, 1927, page 85)
- Un entresol est souvent obscur.
- Entresol bien éclairé.
- Il habite à l’entresol.
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humicole
- Qui vit dans l’humus.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.