Dictionnaire des rimes
Les rimes en : gel
Que signifie "gel" ?
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- (Linguistique) Code ISO 639-3 de l’ut-ma’in.
Mots qui riment avec "el"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "gel".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : el , els , elle , elles , aile , ailes , èle et èles .
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duel
- Qui a deux aspects, qui exprime une dualité.
- Il est écartelé entre des pulsions duelles.
- Les relations duelles entre ordre et désordre, articulé et inarticulé.
- L’angélisme est un élément de base des personnalités paranoïaques qui vivent dans une compréhension duelle du monde : les bons, et les mauvais. — (Claude Olievenstein, L’Homme parano, Odile Jacob, 1992, page 144)
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anticonstitutionnel
- (Droit) Qui n’est pas conforme à la constitution d’un État.
- Une loi anticonstitutionnelle.
- De son côté, l’abject folliculaire Quintus Slide parle dans sa feuille, la Bannière du Peuple, de « l’agissement profondément anticonstitutionnel du Premier ministre de ce pays ». — (Denis Baranger, Parlementarisme des origines : essai sur les conditions de formation d’un exécutif responsable en Angleterre, des années 1740 au début de l’âge victorien, 1999)
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caramel
- Apparenté au catalan caramella (« chalumeau, flute »), à l’occitan caramella (« chalumeau, flute »), calamellar, caramelar (« jouer de la flute »), à l’espagnol[3] carámbano (« glaçon »), du latin calamellus[1], diminutif de calamus (« roseau »), par analogie de forme entre le sucre durci ou une stalactite de glace et une tige de roseau.Cette hypothèse est préférable[1] à celle qui fait de caramelo un descendant du latin cannamellis, cannamella (« canne à sucre ») ;
- De l’arabe كرة, kora (« boule ») et *mochalla (« chose douce, douceur »)[2] ou ملح, milḥ (« sel ») et le sens de « boule de sel, cristal, glaçon »[4][5][6][7].
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conventuelle
- Féminin singulier de conventuel.
- machiavel
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formelle
- Féminin singulier de formel.
- Encore faut-il s’entendre ici : la ruine de la philosophie est consommée lorsque la métaphysique étant déclarée morte et enterrée, la réflexion devient purement formelle ou seulement interrogative, puis totalement divagante. — (Jean-Louis Vieillard-Baron, Platon et l’idéalisme allemand (1770-1830), 1979)
- J’avais l’interdiction formelle de lui adresser la parole pendant qu’il jouait sous prétexte que je le déconcentrais. — (Marika Gallman, Le Ballet des ombres, Bragelonne, 2015, page 41.)
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flanelle
- (Textile) Étoffe de laine peignée ou cardée, à tissu peu serré.
- Les femmes, qui sont de taille moyenne et plutôt trapues, portent une robe en vadmel, sorte de flanelle tissée avec la laine qu'elles-mêmes ont cardée et filée. — (Anna Sée, L'Archipel des Féroé, dans la revue Le Tour du Monde, L.44, 1905)
- Chez Gap, je voudrais ce pantalon de flanelle à la Lauren Bacall, taille extra-small. — (Éric Neuhoff, La Petite Française, Albin Michel, 1997, page 113)
- Son ventre retombait en plis grassouillets sur une taillole de flanelle grège retenant le pantalon. — (Jean Siccardi, La Chênaie de Seignerolle, Presses de la Cité, 2010, chap. 17)
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ascensionnel
- (Didactique) Qui a rapport à l’ascension.
- (En particulier) Qualifie la force ou le mouvement par lequel un corps tend à s’élever
- Le docteur, d’après des calculs très exacts, trouva que, pour les objets indispensables à son voyage et pour son appareil, il devait emporter un poids de quatre mille livres ; il fallut donc rechercher quelle serait la force ascensionnelle capable d’enlever ce poids, et, par conséquent, quelle en serait la capacité. — (Jules Verne; Cinq semaines en ballon)
- Quelle ne fut pas ma surprise d’avoir en mains un avion qui ne demandait qu’à monter. Il était toujours assez pénible à piloter, parce qu’il était très lourd, mais sa vitesse ascensionnelle me surprenait. — (Dieudonné Costes & Maurice Bellonte, Paris-New-York, 1930)
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marelle
- Jeu d’enfants qui consiste en une sorte de rectangle divisé en cases tracées sur le sol, dans lequel on saute à cloche-pied en poussant avec le bout du pied une sorte de palet.
- Il mangeait des mûres le long des fossés, gardait les dindons avec une gaule, fanait à la moisson, courait dans le bois, jouait à la marelle sous le porche de l’église les jours de pluie, et, aux grandes fêtes, suppliait le bedeau de lui laisser sonner les cloches, pour se pendre de tout son corps à la grande corde et se sentir emporter par elle dans sa volée. — (Gustave Flaubert, Madame Bovary, 1857, première partie, chapitre I)
- Quelques enfants qui jouaient aux marelles se sont interrompus un instant et ont crié : Vivat. — (Victor Hugo, En voyage, tome II, Saint-Sébastien - 2 août, 1843)
- Dans certaines écoles on a peint le parcours d’une marelle. Est-ce que les enfants obéissent au tracé des concepteurs d’école ? On se doute bien que non, qu’ils ne se laissent pas imposer le trajet qui doit les mener de la terre au ciel. — (Philippe Delerm, La vie en relief, Seuil, 2021, page 165)
- Synonyme de jeu du moulin.
- La marelle est également un jeu de société qui se joue à deux joueurs sur un tablier en forme de figure géométrique régulière sur lequel on pose des pions aux intersections des lignes. — (Chantal, La marelle ou le moulin, Les Casse-Tête de Chantal)
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chancel
- Clôture de pierre ou de bois séparant le chœur liturgique de la nef.
- À l’intérieur, quatre colonnes corinthiennes et les colonnettes cannelées du chancel supportent le jubé de bois, orné de panneaux en bas-relief polychrome. — (Alain Stéphan, Guide du Finistère, Éditions Jean-Paul Gisserot, 2004, page 25)
- Au-dessus du chancel, face à la nef s’élève une grande crucifixion. Les croix du Christ et des larrons se dressent sur des monticules de terre truffés de crânes et d’ossements. — (Guy Leclerc, Les Enclos de Dieu, Éditions Jean-Paul Gisserot, 1996, page 55)
- Un chancel séparait désormais les deux groupes. L’accès au chœur n’était autorisé qu’au moment de la communion, y compris pour les femmes. — (Jean Heuclin, Hommes de Dieu et fonctionnaires du roi : En Gaule du Nord du Ve au IXe siècle, Presses Universitaires du Septentrion, 1998, page 114)
- Le chancel est destiné à isoler le chœur ou sanctuaire de la nef. Le chœur est réservé aux clercs, la nef aux fidèles. Ces derniers ne peuvent pénétrer dans le chœur et doivent suivre les offices à travers la clôture. — (Mémoires de la Société d’émulation des Côtes-du-Nord, volume 113–117, 1985, page 63)
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artel
- (Histoire) Coopérative russe de production ou d’exploitation (forêts, mines…) , antérieure au kolkhoze, et propriétaire de ses moyens de production.
- Sur 150 chaises vendues par un artel' coopérative, fournisseur de mobiliers, 46 se brisent dès qu’on veut s’y assoir. — (André Gide, Retouches à mon « Retour de l’U.R.S.S. », chap. 2, 1937)
- Les cinq cas résidant dans une maison rue Oktjabr’skaja sont tous membres d’une artel spécialisée dans la blanchisserie. — (Jean-Paul Depretto, Pouvoirs et société en Union soviétique, 2002)
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casuel
- (Peu usité) Qui se produit par suite de tel ou tel cas.
- (Droit) Qualifie la condition qui dépend du hasard, non de la volonté du créancier ou du débiteur.
- (Droit d’Ancien Régime) (Histoire) Qualifiait les droits, qui, sous l’Ancien Régime, donnaient des profits fortuits, dans les fiefs, comme le droit d’aubaine, etc.
- (Grammaire) Qui se rapporte aux cas des mots déclinés.
- Les flexions casuelles.
- (Rare) Occasionnel.
- On peut compter sur le casuel, il est vrai, puisque le voyage est pour durer cinq jours encore. — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre XXII, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- (Ouest de la France) Fragile, cassable. [1] [2] [note : au Québec on parle d'une santé casuelle] [Ce régionalisme essentiellement nantais est souvent considéré comme fautif par les puristes de la langue française) [3].
- Elle attachait de longs crins à quelques pièces de vaisselle casuelle,[...]. — (Walter Scott, Auguste-Jean-Baptiste Defauconpret (traduction de ) La démonologie, Éd.Furne, Pagnèrre, Perrotin, Paris 1863)
- Mais on a donné, par abus, le sens de fragile, la porcelaine est casuelle, au lieu de dire la porcelaine est fragile. C'est une mauvaise locution qu'il faut éviter. — (Jean-Charles Laveau, Dictionnaire synonymique de la langue française, Éd. Alexis Eymery, Paris 1826)
- CASUEL. — FRAGILE. Je n'aime pas a employer la porcelaine , parce qu'elle est trop fragile, et cela devient coûteux. Casuel en ce sens n'est pas français, quoique l'Académie l'indique comme populaire. — (Benjamin Legoarant, Nouvelle orthologie française, Éd. Manssut fils, Paris 1832)
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cenelle
- Diminutif du latin acina (« baie »)[1], apparenté à açanèla en occitan. *L’acenelle est devenu la cenelle par déglutination de l’article.
- Avec aphérèse, du diminutif du latin coccinus (« écarlate »)[2] qui donne senelle en moyen français, cenele en ancien français. Le fruit est ainsi nommé à cause de sa couleur rouge → voir coccinelle et cochenille.
- Peut-être un mot gaulois[1] apparenté au breton kelenn (« houx ») mais cette hypothèse présente des difficultés phonétiques.
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bimensuelle
- Féminin singulier de bimensuel.
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glumelle
- (Botanique) Petite glume enveloppant la fleur des graminées.
- Une fleur complète comprend les glumelles (lemme et paléole) et la fleur proprement dite, constituée des lodicules, des étamines et du pistil: cette architecture de base se trouve souvent modifiée par réduction numérique des pièces florales. — (Pierre Poilecot, Les Poaceae du Niger, dans Boissiera: mémoires de botanique systématique, vol.56, publié par le Conservatoire et Jardin Botaniques de Genève, Editions CIRAD, 2009, page 61)
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instinctuel
- Relatif à l’instinct.
- L’homme occupe une position particulière dans le royaume animal. Au contraire des autres mammifères supérieurs, il ne possède pas d’environnement spécifique à son espèce, c’est-à-dire fermement structuré par sa propre organisation instinctuelle. — (Peter Berger, Thomas Luckmann, traduit par Pierre Taminiaux et Danilo Martuccelli, La Construction sociale de la réalité, Armand Colin, collection « Individu et Société », Malakoff, 2018, page 101)
- Les lois instinctuelles.
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irrationnel
- Qui n’est pas conforme à la raison.
- Il venait de songer, comme à un aspect spécial de l’injustice irrationnelle du destin, que ces deux hommes vivaient, alors que Kurt était mort. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 346 de l’édition de 1921)
- Nabet vit rouge et sentit monter en lui une colère irrationnelle. Pourtant il se contint, l'angoisse était plus forte que son ressentiment. — (Bernadette Boissié-Dubus, Sous les pavés, la plage... est rouge, éditions Clair de Plume 34, 2015, page 40)
- À l'inverse, le simple fait de prononcer « irrationnel » crée très souvent bien des remous, de la commotion, de l'insécurité. — (Jean Désy, L'irrationalité nécessaire, édition XYZ, page 130)
- (Mathématiques) Se dit des quantités qui n’ont aucune commune mesure avec l’unité, c’est-à-dire qui ne peuvent être représentées ni par des nombres entiers, ni par des fractions (les nombres rationnels).
- Nombre irrationnel.
- Quantité irrationnelle.
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cultuelle
- Féminin singulier de cultuel.
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culturel
- Relatif à la culture.
- La question soulevée par Hoffman est plutôt celle de l’effondrement des barrières entre les sphères économiques, politiques et culturelles avec la militarisation de la vie elle-même. — (Vincent Bonnecase, Julien Brachet, Crises et chuchotements au Sahel, 2013, page 233)
- Respect inspiré par Godard et Duras. Est culturel ce qui provoque le respect. Aucun respect pour Bourvil, Fernandel autrefois, pour Coluche naguère. La mort rend aussi culturel. — (Annie Ernaux, Journal du dehors, 1993, réédition Quarto Gallimard, page 527)
- Pour des raisons culturelles, les légumes et la farine n'étaient pas vendus dans le souq. Les légumes étaient des produits considérés comme superflus. — (Ali Amahan, Mutations sociales dans le Haut Atlas: Les Ghoujdama, Paris : Éditions de la Maison des sciences de l’homme, Rabat : Éditions de la Porte, 2017, page 131)
- Relatif à l’industrie du même nom.
- S'il est un domaine dans lequel la Cinquième a tenu à se distinguer, à nous distinguer du « reste du monde », c'est bien celui de l'action culturelle. La culture comme exception par la place qu'elle tient dans les préoccupations de la République, mais aussi et surtout comme arme de « résistance ». — (Jean-Marie Colombani & Georgette Elgey, La Cinquième ou la République des phratries, Librairie Arthème Fayard, 1999, chapitre 7)
- Mission : pré-sélectionner un roman de langue française dans le cadre d'un prestigieux concours littéraire international. Entourés de vestons-cravates, Girard et moi détonnions dans nos vestes de denim fatiguées, arborées comme par défi à la barbe de cet obscur aréopage de diplomates culturels à la solennité empesée. — (Louis Hamelin, Écrire : L'humain isolé, Éditions Trois-Pistoles, 2006, page 69)
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informationnelle
- Féminin singulier de informationnel.
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gargamelle
- (Populaire) Gosier.
- Je vais me rafraîchir un peu la gargamelle.
- Et de sa propre alumelleIl se coupa la gargamelle, ancien dicton de trictrac pour signifier qu'un joueur a amené un dé qui l'a perdu.
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ascensionnelle
- Féminin singulier de ascensionnel.
- Les logements ainsi financés représentent, en effet, 40 % des mises en chantier en 1956. Aussi la diminution de 15 % qui les affecte entre 1956 et 1958 contribue-t-elle à inverser la courbe jusqu'alors ascensionnelle des mises en chantier. — (Sabine EFFOSSE, L'invention du logement aidé en France. L'immobilier au temps des Trente Glorieuses, Comité pour l'Histoire Économique et Financière de la France, 2003.)
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cuvelle
- Petite cuve.
- En effet, deux larges cuvelles en zinc s'emplissaient jusqu'aux bords d'une masse gluante, grouillant d'une vie lente et visqueuse. — (Jean Ray, Harry Dickson, Les Trois cercles de l'épouvante, 1932)
- … , Mathilde verse son broc dans une cuvelle et y ajoute le contenu de plusieurs récipients disséminés dans la pièce, placés çà et là pour recueillir les pluies qui percent par le toit. — (Bernard Turtiaux, Les sept couleurs du vent, Denoël, page 103)
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brocatelle
- Étoffe fabriquée à la manière du brocart, mais dont les fleurs ou figures sont beaucoup moins saillantes et de moindre valeur.
- Ce ne sont que menuiseries sculptées de noyer ou de chêne noir, portières de tapisserie ou de damas des Indes, rideaux de brocatelle à plis larges et puissants, tentures historiées, tapis de Perse, peintures à fresque. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, 1840, édition Charpentier, 1859)
- Environ six aunes de même brocatelle que celle des deux lits se trouvaient dans la chambre. — (F. Ellen Weaver, Mademoiselle de Joncoux: polémique janséniste à la veille de la bulle Unigenitus, 2002)
- La fenêtre qui donne sur le jardin, comme celle qui donne sur la cour, et toutes deux se correspondent, est croisée de pierres et à vitrages sexagones sertis en plomb, drapée de rideaux à baldaquins et à gros glands en une vieille étoffe de soie rouge à reflets jaunes, nommée jadis brocatelle ou petit brocart. — (Honoré de Balzac, Béatrix, 1838-1844, première partie)
- Sorte de marbre qui est jaune et violet, ou rougeâtre, ou de plusieurs couleurs.
- Les quatre colonnes étaient formées d'admirables monolithes en brocatelle d'Espagne antique, [...]. — (Marie-Louise et Paul Biver ·, abbayes, monastères et couvents de paris , tome 2, Éd. d'histoire et d'art, Paris 1970)
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appel
- Action d’appeler par la voix, par un geste ou par tout autre signal.
- — Reviens, reviens, criaient les camarades ; reviens vite ! Lebrac, aux trois quarts enlisé, céda à leurs appels et voulut tourner bride. — (Louis Pergaud, « Un sauvetage », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Bientôt tes appels ne seront plus que rauquements de plus en plus sourds, beuglements de désespoir si fatigués qu’ils ne dépasseront plus ta gorge, étranglée de terreur […] — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- En contrebas du hameau, une voix féminine a retenti : “Plume !” Obéissant à l’appel de sa propriétaire, la chienne est repartie fissa. Mais nous avions un nom. — (Martin Duru, « Carnet de la drôle de guerre », dans la newsletter du 25/03/220 de Philosophie Magazine.)
- (En particulier) (Foresterie) Lors d’une progression en virée, annonce à haute voix des arbres marqués afin qu’ils soient enregistrés par le pointeur et que les autres membres des virées soient informés du marquage effectué.
- On a donc inventé des compteurs plus ou moins perfectionnés, tel le compteur français DUBOZ — qui améliore sensiblement l'exactitude des appels, et reste croyons-nous le seul capable, par ses 3 ou 4 touches, d'enregistrer plusieurs essences, ou des catégories différentes. — (J. Pardé, Une amélioration du griffage en forêt, Revue forestière française, 1960 → lire en ligne)
- (Par extension) (Téléphonie) Entrée en communication par l’intermédiaire du téléphone.
- Le téléphone d’où est passé l’appel est immédiatement localisé. La communication a été émise depuis une cabine téléphonique située au lieu-dit La Commodité, sur la RN 7 à Solterre dans le Loiret. — (Élise Galand et Romain Icard, Suzy contre mon gros loup, Privé, 2005, page 67)
- Action d’appeler au moyen d’un signal des hommes à s’assembler.
- Battre, sonner l’appel.
- Les paysans répondirent à l’appel du tocsin.
- Action de réclamer, d’invoquer.
- Je fais un appel à votre générosité.
- L’appel du pouvoir corrompt tout.
- (Sport) Élan que l’on prend en appuyant sur le sol le pied qui va assurer la projection du corps.
- (Escrime) : Battement du pied fait sur place pour commencer l’attaque.
- Sa rapière, vivant serpent, sifflait dans sa main. Son pied battait des appels, il les provoquait, les menaçait de la voix, du regard, de tout son être tendu comme un ressort. — (Michel Zévaco, Le Capitan, 1906, Arthème Fayard, collection « Le Livre populaire » no 31, 1907)
- Action d’appeler à haute voix des personnes qui doivent se trouver dans une classe, un groupe, etc., afin de s’assurer qu’elles sont présentes.
- Nous sortîmes sur la grande cour de la prison et là, dans un coin à gauche, devant la porte entrouverte, on fit quelque chose comme un appel nominal. — (Ivan Tourgueniev, L’Exécution de Troppmann, avril 1870, traduction française d’Isaac Pavlovsky, publiée dans ses Souvenirs sur Tourguéneff, Savine, 1887)
- Lidoire.– Silence à l’appel ! — Manque personne, mon lieutenant. — (Georges Courteline, Lidoire, 1891)
- (Droit) Demander à ce qu’une affaire soit rejugée en seconde instance.
- L’exécution de la sentence est suspendue car il a fait appel.
- Action d’appeler à haute voix chaque membre d’une assemblée parlementaire pour qu’il exprime son opinion ou donne son vote.
- (Vieilli) Provocation en duel, un cartel. On dit plus ordinairement défi.
- Les appels sont défendus comme les duels.
- (Militaire) Action d’appeler des conscrits sous les drapeaux.
- Il n’y a pas eu de réfractaires, tous les jeunes gens ont répondu à l’appel qui leur a été fait.
- (Programmation) Utilisation d'une variable connue ou exécution d’une fonction connue.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.