Dictionnaire des rimes
Les rimes en : fondue
Que signifie "fondue" ?
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- (Cuisine) Mets à base de fromage fondu dans lequel on trempe des morceaux de pain.
- Au Biberon, on mange d'excellentes fondues, accompagnées d'un biberon de vin blanc. — (journal 20 minutes édition Paris, no 919 du 3 mars 2006)
- (Cuisine) (Par extension) Plat dans lequel chaque convive trempe des morceaux de nourriture dans un récipient commun.
- Dans la capitale chinoise de la fondue, Chengdu, les clients des restaurants plongent tranches de viande et légumes dans un bouillon épicé et huileux. — (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 24 novembre 2023, page 23)
- (Cuisine) (Belgique) Bouchée de fromage fondu pannée.
Mots qui riment avec "u"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "fondue".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : u , us , ut , uts , ûs , ût , ûts , ue et ues .
-
cubitus
- (Courant) Plus long des deux os de l’avant-bras, au côté du petit doigt, dont l’extrémité supérieure forme le coude.
- Une autre cause de cette plus grande flexibilité consiste dans la manière dont le triquetrum s'articule avec le cubitus. Le cubitus se termine en pointe et n'a par conséquent qu'un très petit point de contact avec le triquetrum qui est entièrement libre. — (« Recherches d'anatomie comparée sur le genre Stenops d'Illiger », par J.L.C. Schroeder van der Kolk & W. Vrolik, dans Bijdragen tot de dierkunde, vol. 2, part. 1, 1851, p. 43)
- La main était déviée vers le bord radial et repoussée en dehors par le cubitus qui s’accroissait normalement en longueur et dont la tête faisait une forte saillie en dedans et en arrière. — (Bulletin médical, Volume 44, 1930)
- Pièce de l'avant, la raquette a comme base osseuse les carpes, le radius, le cubitus, l'humérus, le scapulum. — (Collectif, Abattage et Transformation des viandes de boucherie: Les produits élaborés à base de viande, Educagri Editions, 2001, p. 15)
- (Désuet) (Anatomie) Ulna. Le mot cubitus était utilisé dans l’ancienne nomenclature anatomique.
-
courbatue
- Féminin singulier de courbatu.
-
true
- Vrai , vraie.
- Is this statement true or false?
- Véridique.
- It's a true story.
- Loyal, fidèle.
-
drue
- Féminin singulier de dru.
-
exclu
- À qui l’on interdit.
- Exclu du consulat par l’hymen d’une reine. — (Corneille, Sertorius, IV, 3)
- Pourquoi, de cette gloire exclu jusqu’à ce jour, M’avez-vous sans pitié relégué dans ma cour ? — (Racine, Britannicus, II, 3)
- Qu’avec lui ses enfants de ton partage exclus […] — (Racine, Athalie, IV, 3)
- Si un seul pécheur devait être exclu de la grâce. — (MASS. Car. F. conf.)
- Tout le sexe est exclu de ces solennités. — (Voltaire, Les Scythes, III, 1)
- Mis hors.
- Exclu de l’assemblée dont il faisait partie.
- (En particulier) (Mathématiques) Non inclus.
- Incompatible avec.
- La recherche dans le style exclue par le genre naïf.
- (Par extension) (Populaire) Impossible.
- Il est exclu que j’en passe par tes caprices.
-
branchue
- Féminin singulier de branchu.
-
grue
- (Ornithologie) Gros oiseau voyageur, de l’ordre des Échassiers, qui vole fort haut et par bandes.
- La grue a le bec et le cou fort longs.
- La grue craque, glapit, gruit ou gruine.
- Le petit de la grue est le gruau ou gruon.
- Du dehors, au ciel opaque, un bizarre cri rouillé pénétrait dans la chambre. Une sorte de roucoulement triste, qui semblait à la fois très proche et très lointain.– Qu’est-ce que c’est ? murmura Mme de Saint-Selve.– Les premières grues qui passent, dit Anne. L’hiver. — (Pierre Benoit, Mademoiselle de la Ferté, Albin Michel, 1923, Cercle du Bibliophile, page 113)
- À Saint-Genou on peut encore contempler les Dames Oiselles sculptées de l’église. Ce sont des grues serrant dans leurs pinces des pierres vivantes. Leurs cous sont noués, empêchant de la sorte le cri qui sort de leur gosier. — (Pascal Quignard, La haine de la musique, Gallimard, 1996, collection Folio, page 181)
- Rien n’égale le ballet aérien des grues, ces oiseaux vêtus de gris, aux ailes ornées de longues plumes flottantes, un aigrette rouge sur la nuque. Il y a dans leurs vols une sauvagerie et une langueur amoureuse qui se communiquent à toute la faune présente. — (Michel Tournier, Selma Lagerlöf, la grande dame qui venait du froid, dans Les vertes lectures, collection Folio, 2007, page 137)
- […] une grue à la patte relevée. « JE VEILLE », dit la devise. Une allusion au fait que ces oiseaux, pendant leur repos nocturne, désignent en leur sein des guetteurs qui doivent rester éveillés et pour cela tiennent un petit caillou dans leur patte : en cas d’endormissement sa chute les réveillerait. — (Diane Meur, « La carte des Mendelssohn », 2015, éd. Sabine Wespieser, Le Livre de Poche, page 171)
- (Technique) Machine de levage et de manutention réservé aux lourdes charges sur des chantiers.
- Une grue de chantier.
- Ici des charrettes s’avançaient dans l’eau à reculons pour recevoir des chargements ; là, des palans enlevaient des fardeaux, tandis que des grues descendaient des pierres, et que des cure-môles creusaient des atterrissements. — (François-René de Chateaubriand, Mémoires d'outre-tombe, tome I, livre II, Garnier, 1910, page 119)
- Les usines débauchaient, les chantiers restaient une patte en l’air, les grues rouillaient, ramollissaient et finissaient par se casser la gueule en s’affaissant comme des merdes, avec le petit bonhomme qui roupillait là-haut dans la cabine. — (François Cavanna, Lune de miel, Gallimard, 2011, collection Folio, page 93)
- (Familier) (Sens figuré) Prostituée, femme dissolue.
- Il l’avait traitée de grue, et ce fut de son air aimable de beau vendeur qu’il l’arrêta. — (Émile Zola, Au Bonheur des Dames, 1883)
- Pour un prince syrien comme lui, la filiation se fait par les mères — et, en fait de mères, il y a autour de ce fils de cocher, nouveau-né, une pléiade de Julies — et qu’elles exercent ou non sur le trône, toutes ces Julies sont de hautes grues. — (Antonin Artaud, Héliogabale ou l’anarchiste couronné, 1934, réédition 1997)
- 12 octobre 1940 – Deux vieilles grues de cinquante ans sont encore là, parce qu’elles ont pris trop d’élan à vingt ans. — (Benoîte et Flora Groult, Journal à quatre mains, Denoël, 1962, page 93)
- (Héraldique) Meuble représentant l’animal du même nom dans les armoiries. Elle est généralement représentée de profil, ailes repliées, debout sur sa patte senestre, la dextre étant repliée et saisissant un globe ou une pierre sphérique appelée vigilance. À rapprocher de héron.
- D’azur à une grue d’argent tenant sa vigilance du même, qui est de Pellegue de Gironde → voir illustration « armoiries avec une grue »
-
cirrus
- (Météorologie) Nuage présent dans la couche supérieure de la troposphère (entre 6000 et 15000 mètres d’altitude), formé de cristaux de glace en forme de filaments blancs et qui ne génèrent pas de précipitations.
- Les traînées de condensation d’avions ne sont pas des cirrus : leur genèse et leur composition chimique sont différentes.
- Dans le premier cas l’apparition des cirrus annonce en effet la pluie et les coups de vent, mais dans le second cas elle signifie seulement qu’un système nuageux passe au large de la station. — (Comptes rendus hebdomadaires des séances de l’Académie des sciences, volume 174, 1922)
- – « Ouî…î…î, Madame Colê…ê…tte », chantait à droite une voix d’ange aigrelet, probablement branché sur le cirrus fusiforme qui naviguait à la rencontre de la jeune lune. — (Sidonie-Gabrielle Colette, Sido, 1930, Fayard, page 24)
- Sur le soir, tandis qu’à l’angle de la moraine surgissaient les caravanes montantes, on a vu déferler l’une après l’autre dans les ciel les vagues blanchâtres des cirrus. Ils venaient, très haut, de par-dessus le Mont-Blanc, comme de longues plumes flottant avec nonchalance au fil du vent. — (Samivel, L’Amateur d’abîmes, 1940, réédition Le Livre de Poche, page 115)
- Le crépuscule déjà descendu fut traversé, dans le haut du ciel, par un long cirrus qui recevait encore la lumière du soleil. — (Sidonie-Gabrielle Colette, Le Képi, Fayard, 1943 ; réédition Le Livre de Poche, 1968, page 89)
-
dut
- Troisième personne du singulier du passé simple de devoir.
- La vedette à nouveau repérée dut emprunter un rach et s’enfoncer dans une forêt de palétuviers. — (Jean Lartéguy, Le mal jaune, chapitre 3, éditions Presses de la Cité, page 272)
-
laïus
- (Péjoratif) Long discours, exposé, long développement verbeux et creux, baratin.
- Que penses-tu de ces laïus à perte de vue à la Chambre. — (Alain-Fournier, Corresp. [avec Rivière], 1906, page 144)
- À défaut du sens de ce discours, elle comprenait qu’il pouvait rentrer dans le genre commun des « laïus » et scènes de reproches ou de supplications dont l’habitude qu’elle avait des hommes lui permettait, sans s’attacher aux détails des mots, de conclure qu’ils ne les prononceraient pas s’ils n’étaient pas amoureux, que du moment qu’ils étaient amoureux, il était inutile de leur obéir, qu’ils ne le seraient que plus après. — (Marcel Proust, Un amour de Swann, 1913, réédition Le Livre de Poche, page 135)
- Ah ! Ce n’était que verbiage livresque et littérature que j’essayais de fignoler du fond même de ma misère, c’était du laïus ! Je reste là peut-être une demi-heure, hoquetant et marmonnant, cramponné à la porte. — (Knut Hamsun, La Faim, traduction de Georges Sautreau, 1961, page 202)
- À la fin de son laïus, Honecker demande s’il y a des questions. — (Olivier Guez et Jean-Marc Gonin, La Chute du Mur, Le Livre de Poche, 2011, ISBN 978-2-253-13467-1)
- (Péjoratif) Exposé un peu convenu, qui semble manquer de sincérité ou de vérité. Note : Souvent accompagné de l'adjectif petit.
- Le dimanche, un séminariste prononçait un petit laïus qui passait pour une méditation et quelquefois ne manquait pas de drôlerie. — (André Billy, Introïbo, 1939, page 78)
- En fait, j'ai vu des infopubs américaines doublées en français plus convaincantes que son petit laïus. — (Patrick Senécal, Malphas 1: Le cas des casiers carnassiers, Éditions Alire, Montréal, 2011, page 9)
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malotru
- Celui qui est mal élevé, grossier.
- Sur ce, je me vois dans l’obligation de vous prévenir que vous êtes un fier malotru, et que je vais déposer ma plainte chez le commissaire. — (Eugène Sue, Les Mystères de Paris, 1843)
- Beaucoup de gens sont venus à la rescousse, on me disait que j’avais tort de ne pas aller à Guermantes, que je me donnais l’air d’un malotru, d’un vieil ours. — (Marcel Proust, À la recherche du temps perdu, Du côté de chez Swann, 1913, Éditions Gallimard, Folio n° 1924, 1987, page 126)
- Un jour, j’expliquais que malotru, au XVIIe siècle, ne signifiait pas mal élevé, mais mal fait, mal bâti, du latin malum astrum, né sous un mauvais astre.Les mains de Caronet semblaient s’affairer sous la table. D’abord je fis semblant de ne pas le voir. Je lançais une première citation : Le chevalier de Lorraine est très malotru et très languissant : il aurait l’air d’être empoisonné, si Mme de Brinvilliers eût été son héritière. (Mme de Sévigné.) — (Paul Guth, Le mariage du Naïf, 1957, réédition Le Livre de Poche, page 31)
- Soudain, un malotru parut, arracha la bouteille de la bouche de Nicole, en but le quart, puis, d’une façon qu'on voit tout le temps au cinéma, se versa le reste sur la tête. — (Réjean Ducharme, L’hiver de force, Gallimard, 1973, page 88)
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insinue
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de insinuer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de insinuer.
- « Lorsque les scies peuvent parvenir directement, c’est-à-dire, parcourir toute la longueur de l’espace dans lequel elles doivent agir, on les insinue, si l’on peut, la lame étant de suite montée sur champ, ou dans le cas contraire, droite, pour la tourner, quand elle est parvenue au collet de la dent, où l’espace est toujours plus grand, surtout en avant ; s’il était impossible que cette lame pénétrât ainsi, on la démonterait pour la faire arriver par une de ses extrémités, sa dentelure regardant le côté opposé à la gencive ; puis on la tournerait et on la monterait ainsi dans la bouche ; mais il est rare qu’on en vienne là, parce que la dent que l’on veut déchapeler, suivant l’expression des anciens, devant être sacrifiée, on ne craint pas de frayer avec la lime, à ses dépens, une voie par laquelle la scie pénétrera jusqu’à son collet » (Nouveaux éléments complets de la science et de l’art du dentiste, par M. Désirabode et ses fils, tome IIe, page 417.) — (Jacques Lisfranc, Précis de médecine opératoire, 1845)
- L’Esprit visiteur, qui s’insinue en elle et commence à la spiritiser y lui apparaît donc avec les privilèges d’un familier, jusque dans la chambre qu’elle habite ; et là, ni son mari, ni les ouvriers qu’il occupe ne parviennent à l’apercevoir ou à l’entendre lorsqu’au contraire elle l’entend ou l’aperçoit. — (Gougenot des Mousseaux, Mœurs et pratiques des démons ou des esprits visiteurs du spiritisme ancien et moderne)
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de insinuer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de insinuer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de insinuer.
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confondue
- Féminin singulier de confondu.
- – Oh ! … Ah !… bégayait Estelle, confondue. — (Colette Vivier, La maison des petits bonheurs, 1939, éd. Casterman Poche, page 186.)
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joufflue
- Féminin singulier de joufflu.
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foetus
- Variante par contrainte typographique de fœtus.
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déglue
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe dégluer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe dégluer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe dégluer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe dégluer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe dégluer.
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input
- (Anglicisme) Intrant.
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devenu
- Participe passé du verbe devenir.
- Il était moins gai que jadis, une inquiétude secrète semblait peser sur lui continuellement et il passait son temps de façon pitoyable à ramasser les bouts de cigares, étant devenu mégotier… — (Pierre Souvestre et Marcel Allain, Le Bouquet tragique, 1912, chapitre XVIII)
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chut
- Interjection dont on se sert pour avertir ou ordonner de faire silence.
- Chut ! quelqu’un vient. — (Théophile Gautier, Le Tricorne enchanté, 1845, scène 1)
- Chut ! ça ne te regarde pas ! — (Eugène Labiche, Le Mystère de la rue Rousselet, 1861, scène 1)
- Chut ! c’est la surprise ! pas un mot ! — (Georges Feydeau, Gibier de potence, 1883, scène 5)
- Chut ! Frédéric Larsan qui travaille !… Ne le dérangeons pas ! — (Gaston Leroux, Le Mystère de la chambre jaune, 1907, chapitre 5)
- De toutes parts autour d’eux, des chut ! se faisaient entendre et la salle commençait à protester quand l’ouvreuse est venue me trouver. — (Gaston Leroux, Le Fantôme de l'Opéra, 1910)
- — Mam’zelles ! Mam’zelles !De toute la force de ses poumons, Ernestine, qui ne connaît pas les usages du monde, appelle ses maîtresses.Quatre «chut ! » lui ordonnent de baisser la voix. — (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts, Plon, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 362)
- L’autre […] fait chut avec un doigt sur la bouche. — (Jean Giono, Colline, 1929, page 65)
- C’était une alternance de baisers, de murmures et de ricanements que combattait de temps à autre, venus de la salle, une vague de “chut” indignés. Les “chut” furent soudain couverts par les sirènes d’alarme dans la rue. — (Pierre Drieu la Rochelle, Gilles, Gallimard, Paris, 1939)
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farfelue
- Personne au comportement, aux idées fantasques.
- Il faut bien comprendre que s’il s’était agi d’une farfelue lambda, elle n’aurait pas eu la possibilité d’user et d’abuser de la patience des gardiens de la paix. — (Sihem Souid, Omerta dans la police, 2011)
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discourut
- Troisième personne du singulier du passé simple de discourir.
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convenu
- Conventionnel, banal.
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haïku
- (Poésie) Petit poème japonais de trois vers comportant respectivement 5, 7 et 5 mores (ou syllabes en français) et contenant un kigo (mot de saison).
- Il y a deux formes de poésie moderne dans le Japon : le haïku et le tanka.
- André Duhaime est un pionnier du haïku au Québec et par son écriture, et par ses initiatives pour encourager cette forme d'écriture. Dès 1981, il publie le premier de plusieurs recueils de haïkus, puis en 1990 un recueil de tankas. — (Nuit blanche n° 167, été 2022, p. 25)
- Ne décrivant ni ne définissant, le haïku (j’appelle ainsi finalement tout trait discontinu, tout événement de la vie japonaise, tel qu’il s’offre à ma lecture), le haïku s’amincit jusqu’à la pure et seule désignation. C’est cela, c’est ainsi, dit le haïku, c’est tel. — (Roland Barthes, L’empire des signes, Éditions du Seuil, 1970, page 114)
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interrompue
- Féminin singulier de interrompu.
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zut
- Crase[1] de zest et flûte ;
- Formé[1] d’un z de liaison et de ut/hut attesté en 1791 : Allons, allons, hut! pas de ça — (Le Véritable P. Duchesne f., Grand compliment), qu'il aille à Charenton, et hut. — (Martainville, Une Demi-heure de cabaret, 1804), Sais-tu la musique ? eh bien ut. Ut, zut serait une corruption du latin ut, formule de souhait dans l'argot des typographes : Ut […] C'est le premier mot du souhait que se faisoient en buvant les anciens imprimeurs […] : Ut tibi prosit meri potio (« Que grand bien vous fasse ce bon vin pur »). Par abréviation l'on se contenta ensuite du mot ut. — (Gattel, 1797)
- Littré[2] mentionne un plus ancien zot qui est dans diablezot.
- Il serait purement onomatopéique[3], comme pft, pfuit ; voir zou.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.