Dictionnaire des rimes
Les rimes en : etaule
Mots qui riment avec "ol"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "etaule".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ol , ols , oll , ole , oles , olle , olles , aul , aule et aules .
- lagardiolle
- bezolles
- recole
-
saule
- (Botanique) Genre d’arbres ou d’arbustes, à feuilles caduques, alternes, ovales ou lancéolées, aux fleurs réunies en chatons, mâles ou femelles, portés par des pieds différents (plantes dioïques) et qui croissent ordinairement dans les prés et le long des ruisseaux.
- Mais voilà-t-il pas que le saule, qui était creux et pourri dans le cœur, craque sous son poids et se brise avec un fracas épouvantable ! — (Charles Deulin, « Les Trentes-Six Rencontres de Jean du Gogué », in Cambrinus et autres Contes, XIXe siècle (1874?))
- Les odeurs forestières, senteurs adorées par les âmes friandes de poésie à qui plaisent les mousses les plus innocentes, les cryptogames les plus vénéneux, les terres mouillées, les saules, les baumes, le serpolet, les eaux vertes d’une mare, l’étoile arrondie des nénuphars jaunes ; toutes ces vigoureuses fécondations se livrent à vos narines en vous livrant toute une pensée, leur âme peut-être. — (Honoré de Balzac, Les Paysans, 1845, première partie, chapitre premier)
- Les bourgeons des saules avaient éclaté en projetant sur les branches rousses la poudre vert amande du feuillage naissant. — (Maurice Constantin-Weyer, Un homme se penche sur son passé, 1928, réédition Nelson, page 161)
- Le long des rivières se développe une végétation de Cannes de Provence qui s’encombre de Saules et de Peupliers jusqu’à donner des bois de ces arbres qui sont un autre climax. — (Henri Gaussen, Géographie des Plantes, Armand Colin, 1933, page 125)
- Dressé sur l’échelle légère et tremblante, en saule de marais, il cueillait sans relâche, leste comme un écureuil, promptement quoique sans se hâter. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 35)
- Les lentilles d’eau font de la roubine un chemin vert tendre entre saules et frênes. — (Lise Gros, Couleur dimanche, couleur Camargue, 2003, page 35)
- Bois du saule, utilisé en menuiserie, vannerie, ébénisterie, etc.
-
orbicole
- Susceptible de vivre sur nʼimporte quel point du globe.
- Il y a des animaux orbicoles et d'autres qui n'abandonnent pas certaines latitudes.
- Parmi les Cétacés, nous pouvons citer encore comme espèce orbicole, le Dauphin ordinaire, le Delphinus delphis, que lʼon a pu croire propre à la Méditerranée. — (Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique, Bulletin de lʼAcadémie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique, 1893)
- grignols
- cobol
-
matthiole
- Sous-genre de plantes (actuellement genre Matthiola) créé par Robert Brown et dédié par lui à Pierandrea Mattioli, médecin italien du XVIe siècle ; l’espèce principale est Matthiola incana, R. Brown, la matthiole blanchâtre, ou giroflée des jardins.
- champagnolles
-
étole
- (Christianisme) (Habillement) Ornement sacerdotal qui consiste dans une bande d’étoffe, chargée de trois croix et qui descend du cou jusqu’aux pieds.
- Puis passèrent trois vieux chantres dont l'un boitait, puis le serpent, puis le curé soulevant de son ventre pointu l'étole dorée, croisée dessus. — (Guy de Maupassant, Une vie, 1883, réédition Folio Classique Gallimard, 1974, page 65)
- Faut-il vous rappeler maintenant que la liturgie assigne à tous les vêtements, à tous les ornements de l’Église, un sens différent, selon leur usage et selon leur forme ?C’est ainsi, par exemple, que le surplis et l’aube signalent l’innocence ; […] ; l’étole : l’obéissance, le vêtement d’immortalité que nous rendit le baptême ; […]. — (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
- Le vieux prêtre apparut, au tournant des maisons, l’étole violette croisée sur sa poitrine. — (Émile Moselly, Terres lorraines)
- Le plus dur serait le froid. Poulpec, une fois de plus, palpa l'étole qui était suspendue dans le confessionnal. Ces broderies sèches ne peuvent même pas faire un cache-col ! — (Daniel Boulanger, Le chemin des caracoles, Laffont, 1966, réédition Le Livre de Poche, page 54)
- Dans le tohu-bohu de la sacristie m’échoyait l’honneur d’aider le prêtre à se vêtir des ornements. Je présentais l’amict, l’aube, l’étole. Je veillais à la pose de la chasuble. — (Yanny Hureaux, Bille de chêne : Une enfance forestière, Jean-Claude Lattès, 1996)
- (Habillement) Accessoire de mode, souvent en fourrure, ayant la forme d’une étole.
- […] ; deux bandelettes serrant ses cheveux ondés sont prises sous l’étole et vont s’entrecroiser par-derrière à la chute des reins. — (Gustave Flaubert & Maxime du Camp, Nous allions à l'aventure par les champs et par les grèves, 1886, réédition Le Livre de Poche, 2012)
-
benzol
- (Chimie) Nom donné dans le commerce à la benzine du goudron de houille, un mélange de benzène, de toluène et de xylène.
- Le tableau suivant indique la correspondance entre la densité de la solution et sa teneur pondérale en tétrachlorure de carbone et en benzol. — (Ch. Berthelot, Épuration, séchage, agglomération et broyage du charbon, Paris : chez Dunod, 1938, p.23)
- Dès le début de la guerre, il y eut pénurie, aggravée après l’invasion des houillères du Nord et par le fait que le benzol était nécessaire à la fabrication des explosifs. — (Agnès D’Angio, Schneider & Cie et les travaux publics, 1895-1949, 1995)
- lafitole
-
furole
- Exhalaison enflammée qui paraît quelquefois sur le sol et aussi sur la surface de la mer.
-
épaule
- (Anatomie) Partie du corps qui attache au cou l’articulation du bras chez l’être humain et du membre antérieur chez les quadrupèdes ; articulation qui relie l'arrière-bras au tronc.
- Rien de gracieux comme ses mouvements d’épaules, lorsqu’elle attire le menton pour se cacher entièrement la figure, qui, par instants, se montre à la dérobée. — (Flora Tristan; Les Femmes de Lima, dans Revue de Paris, tome 32, 1836)
- Un long baiser rescella leur pacte. Aïssa, lourde de langueur, avait renversé sa tête sur l’épaule de son amant. — (Victor Margueritte, Un cœur farouche, Paris : Ernest Flammarion, 1921 page 61)
- Les cordelettes m’entraient dans la chair, les mains me faisaient mal et la position dans laquelle mes bras étaient maintenus me brisaient les épaules. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- Il tient volontiers sa tête courbée, les épaules un peu hautes, le dos rond, les bras ballants. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 208)
- Malgré les mouvements brusques, imprévisibles souvent du bateau, il restait debout à son poste, bien d’aplomb sur ses courtes jambes et il ne tressaillait même pas quand des paquets de mer s’abattaient sur ses vastes épaules. — (Georges Sim (pseudonyme de Georges Simenon), L’île des maudits, éditions J. Ferenczy et Fils, 1929, réédition 1980, chapitre VIII)
- […]; et le maréchal, avec son tablier de cuir et ses manches de chemise retroussées jusqu'à l’épaule, tenait le cheval par la bride, parce que le cheval était un peu nerveux. — (Gilbert Guisan, C.-F. Ramuz ou Le génie de la patience, page 43, E. Droz, 1958)
- (Par extension) (Au pluriel) Carrure.
- C’est un bel homme bien en chair, élégant en effet, quoique de massive encolure, avec de larges épaules, des joues pleines, de beaux yeux noirs caressans, […]. — (Ernest Duvergier de Hauranne, Huit mois en Amérique, Revue des deux mondes, Vol.2005, 1866, p. 495)
- C’était en somme, avec sa peau blanche, sa haute taille et ses larges épaules, un fort beau cavalier dans l’acception ordinaire du mot, […]. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre IV)
- (Familier) Symbole de la force de caractère.
- Dès l’Ite Missa est, la sacristine s’agita. Longue, plate et noire comme un staphyllin, desséchée par cinquante ans de célibat concentré, elle semble porter sur ses épaules étroites tout le deuil de la terre, expier tous les péchés du monde. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Il n’a pas les épaules assez fortes, il a les épaules trop faibles pour un tel emploi, pour soutenir une telle charge, pour mener à bien cette entreprise : Il n’a point assez de talent, assez de bien, de ressources.
- (Fortification) Partie saillante que forme la réunion des pans nommés flanc et face d’un bastion.
- Rieux réfléchissait. Par la fenêtre de son bureau, il regardait l’épaule de la falaise pierreuse qui se refermait au loin sur la baie. — (Albert Camus, La Peste, 1947)
-
girasol
- Pierre précieuse chatoyante, sorte d’opale.
- Tournesol.
- Sur le devant on a représenté cette fleur que l’on nomme girasol (tournesol), qui regarde sans cesse le soleil. — (Gérard Sabatier, Versailles, ou, La figure du roi, Éditeur Albin Michel, 1999).
- fauguerolles
-
allopurinol
- (Médecine) Médicament hypo-uricémiant utilisé contre la goutte et contre la lithiase urinaire ou urolithiase (calculs urinaires).
- Le diagnostic de crise de goutte est posé et un traitement à base d’allopurinol et de colchicine est instauré. — (Bernard Weill, Frédéric Batteux, Immunopathologie et réactions inflammatoires, 2003)
-
décapole
- Contrée où il y a dix villes principales.
- Confédérée avec neuf autres villes libres d’Alsace en une décapole dont elle était le chef-lieu, la ville était une puissance en situation d’obtenir, même des empereurs, des concessions en échange de son amitié. — (G. Huffel, La forêt sainte de Hagenau, 1920)
- tarendol
- postolle
-
arénicole
- (Zoologie) Qui vit dans le sable.
- Les vers arénicoles sont psammivores, c’est-à-dire qu’il se nourrissent des organismes du sable.
-
hyperbole
- (Littéraire) Figure de style qui consiste à augmenter la vérité des choses, exagération volontaire dans le but de produire un effet.
- Moy-mesme, qui faicts singuliere conscience de mentir et qui ne me soucie guiere de donner creance et authorité à ce que je dis, m’apperçoy toutesfois, aux propos que j’ay en main, qu’estant eschauffé ou par la resistance d’un autre ou par la propre chaleur de la narration, je grossis et enfle mon subject par vois, mouvemens, vigueur et force de parolles, et encore par extention et amplification, non sans interest de la verité nayfve. Mais je le fais en condition pourtant, qu’au premier qui me rameine et qui me demande la verité nue et crue, je quitte soudain mon effort et la luy donne, sans exaggeration, sans emphase et remplissage. La parole vive et bruyante, comme est la mienne ordinaire, s’emporte volontiers à l’hyperbole. — (1595, Montaigne, Essais, Livre III, Chapitre 11, P. U. F., 1965)
- Il y a un tour de Fiction, au moyen duquel la penſée ne doit pas être entendue littéralement comme elle eſt énoncée, mais qui laiſſe apercevoir le véritable point de vûe en le rendant ſeulement plus ſenſible & plus intéreſſant par la Fiction même. De là naissent l’Hyperbole, la Litote, l’Interrogation, la Dubitation, la Prétérition, la Réticence, l’Interruption, le Dialogiſme, l’Épanorthoſe, l’Épitrope, & l’Ironie ; celle-ci ſe ſoudiviſe, à raison des points de vûe ou des tons, en ſix eſpèces ; ſavoir, la Mimèſe, le Chleuaſme ou Perſifflage, l’Aſtéiſme, le Charientiſme, le Diaſirme, & le Sarcaſme. — (Encyclopédie méthodique : Grammaire et Littérature, tome second, Panckoucke / Plomteux, Paris / Liège, 1784)
- Il était exaspéré, parlait très-haut, et pour la première fois peut-être de sa vie mettait des hyperboles là où sans cesse il employait des diminutifs de mots ou d’idées. — (Eugène Fromentin, Dominique, L. Hachette et Cie, 1863, réédition Gründ, pages 194-195)
- Ils ne sont pas en peine d’être gouailleurs et d’employer avec la pratique un langage ambigu, la métaphore et l’hyperbole. — (Gabriel Maury, Des ruses employées dans le commerce des solipèdes, Jules Pailhès, 1877)
- Telle est, fleurie de métaphores et d’hyperboles, la beauté de la femme arabe vue par son poète ; […] — (Pierre Louÿs, La femme dans la poésie arabe, dans Archipel, 1932)
- Vossius justifie son hypothèse par des remarques d’ordre philologique : les paroles de Moïse ne doivent pas nécessairement être prises dans un sens absolu, mais elles doivent être entendues d’après le génie propre des langues orientales, qui ont souvent recours à l’hyperbole, aussi bien dans les écrits historiques que dans les textes poétiques. — (Seguin, Maria Susana. « Déluge et déluges : de la pluralité des mondes au polygénisme », Dix-septième siècle, vol. 221, no. 4, 2003, pp. 685-694.)
- Les astrologues n’ont jamais fourni d’explication satisfaisante à la question suivante : pourquoi les astéroïdes et les satellites ne sont-ils pas pris en compte dans l’élaboration d’un horoscope ? Les réponses que l’on entend habituellement relèvent davantage de l’hyperbole que de la logique. — (Barry Williams (traduit par Claude Lafleur), L’astrologie confrontée aux progrès de l’astronomie, dans Le Québec sceptique, n°24, p.41, décembre 1992)
- Dans la vie, y’a le Superbowl, et l’hyperbole — (2017, Fares C. aka John Mitzewich) Les deux hyperboles (2) (rouge).
- (Géométrie) Section faite dans un cône du second degré par un plan qui, étant prolongé, rencontre les deux nappes de cette surface.
- Toute vie signifie, fût-ce celle d’un insecte, et le sentiment de son importance, énorme en tout cas pour celui qui l'a vécue, ou du moins de son unique singularité, augmente au lieu de diminuer quand on a vu la parabole boucler sa boucle, ou, dans des cas plus rares, l’hyperbole enflammée décrire sa courbe et passer sous l'horizon. — (Marguerite Yourcenar, Souvenirs pieux, 1974, collection Folio, page 157)
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mariolle
- Variante orthographique de mariole.
- [...] car c’est drôle, mais aussi mariolle que puisse se croire un escroc, il commet toujours une erreur à un moment donné, et c’est pourquoi il finit automatiquement par perdre la partie [...]. — (Peter Cheyney, La Môme vert-de-gris, chapitre XI, traduction de Marcel Duhamel, Gallimard, 1945)
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obole
- (Antiquité) (Numismatique) Nom d’une ancienne monnaie de peu de valeur, employée dans l’antiquité grecque.
- La chanteuse tendit la main aux passants qui faisaient cercle autour d'elle, et recueillit quatre oboles qu'elle glissa dans sa chaussure. — (Pierre Louÿs, Aphrodite, Mercure de France, Paris, 1896)
- (XVIIe siècle) (Numismatique) Monnaie de cuivre valant un demi-denier.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Par extension) Petite somme d’argent.
- Quel est le Grec qui, sans déplaire à Dieu, pourrait dire qu’une obole en numéraire lui a été ravie depuis que je gouverne la Crète ? — (Anonyme, Turquie - insurrection de Candie, Revue des Deux Mondes, 1829, tome 1)
- J’ai songé effectivement que si vous goûtiez de ce que j’ai dans ma bague, je ne donnerais pas une obole de votre immortalité. — (Alexandre Dumas, Le Collier de la Reine, Prologue Chapitre II)
- (Par extension) Modeste offrande ou don peu important.
- Le lendemain, nous voulûmes y retourner, porter une dernière obole, et mon père, à qui nous l'avions dépeint, nous accompagna. — (Pierre-Henri Simon, Celle qui est née un dimanche, 1952)
- Les syndicats n’accepteront pas l’obole du ministre.
- je n’en donnerais pas une obole, je ne fais aucun cas de cela, je n’en donnerais pas le moindre prix.
- Les fonctionnaires voient leurs salaire défalqué d’une contribution, des collectes sont même organisées auprès des écoliers invités à donner « librement » une obole. — (Mikal Hem, Et si je devenais dictateur, traduit du norvégien par Jean-Baptiste Coursaud, Gaïa, 2017, page 172)
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créole
- Originellement, personne de famille européenne, née dans une des anciennes colonies des régions tropicales d'Amérique et de l'océan Indien, et plus particulièrement des Antilles.
- On ne peut nier que les créoles portaient quelque envie aux immenses richesses des Espagnols, qui, par la supériorité de leurs connaissances et le genre de vie aristocratique qu’ils avaient menée jusqu’alors, s’étaient attiré l’inimitié des classes inférieures. — (Mexique.- Situation des partis, Revue des Deux Mondes, 1829, tome 1)
- Après le dîner, les dames restèrent assises autour de la table dans un doux far-niente, s'entretenant, à la mode des créoles oisives, de tous les petits événements arrivés dans le pays. — (Claude Ahlvan, « L'habitation Kernandec », dans La Revue Nouvelle, tome 8, 2e année, Paris, 1846, page 308)
- Les créoles détiennent la presque totalité des richesses et sont responsables de l’essor de la région de Caracas très marqué depuis le dernier tiers du XVIIIe s. — (Encyclopédie Larousse en ligne, article Simon Bolivar)
- L'impératrice Joséphine était une créole.
- (Par extension) Toute personne née dans ces régions quelle que soit son ascendance.
- Un Noir créole : né dans ces colonies et non en Afrique.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.