Dictionnaire des rimes
Les rimes en : escroc
Que signifie "escroc" ?
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- Celui ou celle qui escroque, qui a l’habitude d’escroquer.
- Ce Mario Isolino, qui, simple escroc d’abord, était devenu, au moins par l’intention, un assassin. — (Pierre Souvestre et Marcel Allain, Fantômas, La Guêpe rouge, 1912, Éditions Robert Laffont, Bouquins, tome 5, page 684)
- De tout temps, en effet, la fille, héroïne de tant de vieux romans, fut la protectrice, la compagne, la consolation du grec, du voleur, du tire-laine, du filou, de l’escroc. — (Honoré de Balzac, Splendeurs et misères des courtisanes, 1838-1847, quatrième partie)
- Al Capin’s méritait son nom. Essayer de me vendre, à ce prix, un pin’s de chat ! Parole, en me prenant pour un pigeon, il tombait mal, cet escroc. — (Jean-Loup Craipeau, Pin's panique, Éditions Casterman, 1991, chap. 1)
Mots qui riment avec "oque"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "escroc".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : oque , oques , oc , ocs , ock , ocks , och et ok .
- bouloc
- asperjoc
-
block
- (Technique) (chemins de fer) Signalisation destinée à empêcher les collisions par rattrapage ou nez à nez.
- Après avoir expérimenté un système américain, il met au point avec un autre ingénieur de la Compagnie du Midi, M. Ducousso, l'un des premiers blocks automatiques, le block « PD ». — (Patrick Castan, Les liaisons ferroviaires entre Bordeaux et Toulouse: De la construction de la première ligne à la ligne à grande vitesse, 2008)
- mailloc
-
synecdoque
- (Rhétorique) Figure de style par laquelle on fait entendre le plus en disant le moins, ou le moins en disant le plus ; on prend le genre pour l’espèce ou l’espèce pour le genre, le tout par la partie ou la partie par le tout. C’est un cas particulier de métonymie.
- Un facteur particulier intervient ici : la synecdoque est dès l'antiquité sentie comme une figure "en liberté surveillée". C'est dans ce cadre qu'il convient d'apprécier la création et l'utilisation par d'Aubigné des synecdoques des parties du corps. — (Marie-Hélène Prat, Les mots du corps: un imaginaire lexical dans Les tragiques d’Agrippa d'Aubigné, Librairie Droz, 1996, p. 100)
- Une ou plusieurs synecdoques rassemblent et unissent nos croyances sur nous-mêmes pour en faire une identité. On remarquera au passage que les parties alcoolique et sobre qui représentent le conflit central chez le sujet alcoolique sont deux synecdoques. — (Michel Facon Face aux dépendances, le savoir-faire de la PNL, Lulu.com, 2011, p. 87)
-
méningocoque
- Bactérie pathogène pour l’homme, responsable de la méningite cérébrospinale.
- Un nouveau vaccin contre le méningocoque a été homologué.
- Dans un texte appelant les députés à refuser l’extension de l’obligation, plusieurs médecins généralistes pointent le cas de l’hépatite B, qui ne concerne pas les enfants ; celui du méningocoque C, si rare qu’il ne constitue pas une préoccupation de santé publique ; enfin, celui du pneumocoque, pour lequel le vaccin a facilité l’émergence de souches plus dangereuses, ce qui a nécessité un vaccin plus puissant ! — (Vaccination : L’obligation fait débat, Que choisir, janvier 2018, page 18)
-
broc
- Récipient portatif d’une assez grande capacité, communément de bois, garni de cercles de fer ou de cuivre, qui a une anse et un bec évasé et dont on se sert ordinairement pour tirer ou transporter de l’eau ou du vin.
- […] il lui fallut absolument supplier son pieux amphitryon de lui fournir un breuvage quelconque ; celui-ci répondit à la prière en plaçant devant le chevalier un grand broc rempli de l’eau la plus pure. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- La belle MargotonTant matin s’est levée,A pris son broc d’argent,À l’eau s’en est allée… — (Alphonse Daudet, « Les Deux Auberges », in Lettres de mon moulin, 1887)
- À la vérité, il n’avait pas l’esprit tourné aux désirs charnels, et il lui en coûtait plus de renoncer aux brocs qu’aux dames. Car, sans manquer à la sobriété, il aimait à boire quand il faisait chaud. — (Anatole France, L’Étui de nacre, 1892, réédition Calmann-Lévy, 1923, page 74)
- Alors les enfants d’aujourd’hui devenus adultes se souviendront peut-être avec mélancolie des courses du samedi à l’Hyper U, comme les plus de cinquante ans gardent en mémoire les épiceries odorantes d’hier où ils allaient « au lait » avec un broc de métal. — (Annie Ernaux, « Regarde les lumières mon amour », Seuil, 2014, page 72)
- (Métrologie) (Désuet) Ce qu’un broc peut contenir.
- Le broc, ⅓ du setier, = 10 pots ou mass = 100 verres ou becherlein = 500 pouces cubes de Vaud = 680.57 pouces cubes de Paris = 2.971 gallons = 13.5 litres. — (Horace Doursther, Dictionnaire universel des poids et mesures, anciens et modernes, M. Hayez, Bruxelles, 1840)
- Deux hommes à figure sinistre, à barbe hérissée, vêtus presque de haillons, touchaient à peine au broc de vin qu’on leur avait servi, — (Eugène Sue, Les Mystères de Paris, première partie, 1842)
- Je lançai à la tête de Rouletabille un broc d’eau. — (Gaston Leroux, Le Mystère de la chambre jaune, chapitre XXII, 1907)
- (En Picardie, en Champagne-Ardenne) Cruche en métal servant dans les cantines pour l’eau.
- Note : Cet emploi lui donne un caractère légèrement péjoratif.
-
cloc
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de cloure.
-
loque
- Étoffe réduite en lambeaux par suite de l’usure.
- De l’autre côté de la chaussée, le poste de police dont le drapeau pendait obliquement, comme une loque, mal éclairé par la lanterne, avait un air peu engageant. — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- Seul, Hornus avait encore confiance. Sa loque tricolore lui tenait lieu de tout, et tant qu’il la sentait là, il lui semblait que rien n’était perdu. — (Alphonse Daudet, Le porte-drapeau, dans Contes du lundi, 1873, Fasquelle, collection Le Livre de Poche, 1974, page 97)
- (Par extension) (Horticulture) Bande de tissu utilisée pour palisser les arbres en espalier.
- ... Dans les espaces replantés à l'identique, les pêchers poussent le longs des parois des murs, retenus par des loques clouées dans l'enduit .— (Juliette Démas Le passé horticole de Montreuil s'effrite – journal La Croix, 28 juillet 2017, page 22)
- (Belgique) Serpillière, chiffon.
- En Belgique la loque à reloqueter est une serpillière, mais la loque à poussière est un chiffon.
- (Sens figuré) Personne incapable de réagir, sans énergie.
- Maintenant, Yasmina n’était plus qu’une loque de chair abandonnée à la maladie et à la mort, sans résistance... — (Isabelle Eberhardt, Yasmina, 1902)
- Il n’était plus qu’une loque humaine anéantie par la nausée. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 252 de l’édition de 1921)
- L’Aït Méziane qui se morfond au salon n’a rien à voir avec le saltimbanque qui absorbait, à lui seul, tous les feux de la rampe. Loque pitoyable aussi décontenancée que son ombre, il a la nuit sur sa figure. — (Yasmina Khadra, Morituri, éditions Baleine, 1997, page 32)
- (Botanique) Douce-amère.
- chamaloc
-
chnoque
- (Familier) Variante orthographique de schnock.
- Un chnoque de cinquante balais la serre de près. — (Alain Babanini, Le collecteur des quotidiens, 2011)
-
toc
- (Linguistique) Code ISO 639-3 du totonaque de Coyutla.
-
pébroc
- (Argot) Parapluie.
- On trotte cahin et surtout caha pour aller au collège avec Jasounette en serrant nos pébrocs au-dessus de nos têtes quand je lui sors : – Ma capilotade de cœur me confère une nouvelle dignitude.. — (Louise Rennison, Le journal intime de Georgia Nicolson, tome 5 : Syndrome allumage taille cosmos, traduit par Catherine Gibert, Gallimard Jeunesse, 2011)
- […], Byron, peut ouvrir mille fois son petit parapluie avec une tête de lapin dans le magasin ou le salon, elle ne se sent pas du tout effleurée par l'aile de la catastrophe, du moment que le pébroc est sec. — (Danièle Saint-Bois, Marguerite, Françoise et moi, Éditions Julliard, 2014)
-
croc
- Instrument de fer, de bois, etc., à une ou plusieurs pointes recourbées, dont on se sert pour y pendre ou pour y attacher quelque chose.
- Pendre de la viande au croc.
- Un froid mouillé touchait sa paume, le mince corps se tordait au béement de la gueule translucide, si fragile que l'hameçon dont elle était percée semblait un croc de bronze monstrueux. — (Maurice Genevoix, La Boîte à pêche, Paris : éd. B. Grasset, 1926, page 29)
- Instrument de fer dont on se sert pour attraper ou cueillir quelque chose.
- Ils se tenaient par la main – Glaoda était devenu aveugle – et Corentine s’était munie d’un pot à lait et d’un croc pour la cueillette des mûres. C’est pour lui faire de la confiture, disait-elle. — (Mona Ozouf, Composition française, Gallimard, 2009, collection Folio, pages 55-56)
- Longue perche au bout de laquelle il y a une pointe de fer avec un crochet.
- Le croc des bateliers se nomme une gaffe.
- Tirer avec un croc.
- A l'arrière, se tient une jeune recrue, poupine et rose, mais maniant fort bien la perche à croc, et soufflant à tout va dans un sifflet à roulette, pour prévenir les riverains. — (Hervé Bazin, Cri de la chouette, Grasset, 1972, réédition Le Livre de Poche, page 10)
- (Par analogie) Façon de porter les moustaches recourbées en forme de crochet.
- Pour se donner l’air plus terrible, chaque franc-tireur laissait pousser sa barbe et ses moustaches, si bien qu’à la promenade le monde ne se connaissait plus. De loin vous voyiez un brigand des Abruzzes qui venait sur vous, la moustache en croc, les yeux flamboyants, avec un tremblement de sabres, de revolvers, de yatagans ; et puis, quand on s’approchait, c’était le receveur Pégoulade. — (Alphonse Daudet, La défense de Tarascon, dans Contes du lundi, 1873, Fasquelle, réédition Le Livre de Poche, 1974, page 63)
- Chacune des quatre grandes canines pointues des animaux carnivores.
- L'air maussade, il portait un jean et un tee-shirt orné d'un vélociraptor qui montrait les crocs, à cheval sur un chat géant arborant lui-même un tee-shirt sur lequel était écrit « XPTDR ». — (Chloe Neill, Les Vampires de Chicago, tome 7 : Permis de mordre, traduit de l'anglais (États-Unis) par Sophie Barthélémy, Paris : éditions Milady, 2013)
- Ce mâtin a de grands crocs. — Les crocs d’un tigre.
- (Argot) Dent humaine.
- Ils avaient plus de crocs pour bouffer, tellement qu’ils étaient vermoulus, ils avaient fourgué leurs lunettes… — (Louis-Ferdinand Céline, Mort à crédit, Denoël, Paris, 1936)
- La quarantaine et plus un croc à lui, si mes souvenirs ne me trahissaient pas. — (Léo Malet, Les rats de Montsouris, Robert Laffont, Paris, 1955)
- (Désuet) Personne qui triche aux jeux (de nos jours on utilise plutôt escroc).
-
trisoc
- (Agriculture) Qualifie un instrument aratoire qui est doté de trois socs.
- On se sert de la charrue trisoc (…) de M. Bentall (Angleterre) pour opérer le déchaumage, détacher les racines et détruire les mauvaises herbes, avant de procéder aux labours destinés à préparer les ensemencements. — (Victor Borie, Les machines agricoles nouvelles, dans le Journal d'Agriculture Pratique, 4e série, t. 5, p.248, 1856)
-
bicoque
- (Familier) Très petite maison.
- Cette chancelante bicoque bâtie en moellons était revêtue d'une couche de plâtre jauni, […]. — (Honoré de Balzac, Un épisode sous la Terreur, 1831)
- À une petite distance de la bicoque de Dieu le père, le Pape-Dieu rencontra une troupe folâtre de femmes et de jeunes filles, parées d’étoffes voyantes et bigarrées. — (Paul Lafargue, Pie IX au Paradis - 1890)
- Pendant de longs siècles, la maison resta bien fragile. A peine différente d'une cabane de bois dans les forêts, bicoque de limon très souvent, elle brûlait ou elle fondait pour un rien. — (Octave Guelliot, Villages et maison des Ardennes, dans la Revue de folklore français et de folklore colonial, Librairie Larose, 1937, vol. 8, p. 188)
- Rares et maigres, pauvres et silencieuses étaient les localités traversées et, dans celles-ci, nombreuses étaient les demeures manifestement abandonnées, les bicoques délabrées où tout en fait des ruines. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- (Par extension) Maison.
- Pourquoi mont-ils enfermée dans cette sale bicoque? — (Georges Bernanos, Journal d’un curé de campagne, 1936, réédition Le livre de poche, 1968, page 163)
- T'as vu un peu c'te bicoque?
- (Histoire, Militaire) Petite ville ou place de peu d’importance et de peu de défense.
- Le fort de Bard a tenu tout ce qu'on était eu droit d'exiger d'une bicoque; il a arrêté l'armée française pendant plusieurs jours, et a failli faire avorter misérablement la plus grande et la plus belle expédition des temps modernes. — (P. A. Huybrecht, Considérations sur le système de défense et sur l'organisation de l'armée en Belgique, page 27, 1851)
- Celle qui tient le second rang après Quebec, se nomme Montreal, quoiqu'avant d'y arriver, il faille passer par une autre, que l'on appelle les Trois-Rivières : mais cette dernière n'est qu'une Bicoque, qui à peine mérite le nom de Ville., — (Claude Le Beau, Avantures du Sieur Claude Le Beau. Voyage curieux et nouveau parmi les Sauvages de l'Amerique septentrionale, 1738)
-
salicoque
- Nom vulgaire des crevettes.
-
troque
- (Zoologie) Variante de troche (gastéropode).
-
réciproque
- Se dit en parlant de deux personnes ou de deux choses dont chacune exerce sur l’autre une action équivalente à celle qu’elle en reçoit.
- Le fragile édifice du crédit, – qui avait des proportions que nul n’avait prévues, et qui avait tenu dans une dépendance réciproque des centaines de millions d’hommes, sans que personne s’en rendît clairement compte, – s’effondra dans la panique. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 249 de l’édition de 1921)
- […] et nous nous quittâmes, sur des amabilités réciproques, devenus à travers l'espace les meilleurs amis du monde. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- L’action, l’influence réciproque des lois sur les mœurs, et des mœurs sur les lois.
- (Grammaire) Qualifie les verbes pronominaux qui expriment l’action réciproque de plusieurs objets les uns sur les autres.
- Dans les phrases : « Ces deux propositions se contredisent » et « Ces quatre hommes se battaient et se disaient des injures », les verbes sont réciproques.
- (Logique) Qualifie deux propositions telles que le sujet de l’une peut devenir l’attribut de l’autre, et réciproquement.
- Ces deux propositions : « L’homme est un animal raisonnable, l’animal raisonnable est un homme », sont réciproques.
- (Par extension) Qualifie les termes qui ont la même signification et qui peuvent se prendre l’un pour l’autre.
- Les mots « homme » et « animal raisonnable » sont des termes réciproques.
- (Analyse) Qualifie, pour une bijection ou une fonction, l’application qui accomplit la transformation inverse.
- On a la fonction
- f
- :
- y
- =
- f
- (
- x
- )
- =
- x
- 5
- {displaystyle f:y=f(x)=x^{5}}
- (puissance 5). La fonction
- g
- :
- x
- =
- g
- (
- y
- )
- =
- y
- 5
- {displaystyle g:x=g(y)={sqrt[{5}]{y}}}
- (racine cinquième) est la fonction réciproque de
- f
- {displaystyle f}
- (ou simplement sa réciproque).
-
streptocoque
- (Bactériologie) Bacille pathogène, commensal ou saprophyte, ubiquitaire. → voir Streptococcus
- Breese, en 1969, montre l'absence de portage de streptocoque A chez 100 enfants traités par la lincomycine, alors que 12/102 enfants traités par pénicilline en sont porteurs. — (Pierre Gehanno, La colonisation microbienne des voies respiratoires, John Libbey Eurotext, 1995, page 165)
- Le streptocoque B est un cocci Gram positif aéro-anaérobie, souvent retrouvé au niveau de l'intestin, du vagin, du rhino-pharynx et des glandes mammaires. — (Joseph Haddad & Bruno Langer, Médecine fœtale et néonatale, Springer, 2e éd., 2004, p.395)
- guenroc
-
staphylocoque
- (Biologie) Microbe pouvant être pathogène, présentant au microscope l’aspect de grappes de raisin. → voir Staphylococcus
- La culture du bouillon est ensemencée sur un tube de gélose; vingt-quatre heures après, on voit des traînées de coli, semées de colonies rondes de staphylocoques. — (Comptes rendus des séances de la Société de biologie de Paris, volume 51, page 572, Masson, 1899)
- Soit les assauts du conquistador s'arrêtaient au seuil de la couche, soit, si la consommation avait lieu, se déchaînaient ensuite une succession interminable d'examens médicaux : sida, syphilis, gonocoque, staphylocoque et j'en passe... — (Jean-Richard Freymann, Passe, Un Père et Manque, éd. Erès, 2012)
-
silentbloc
- (Technique) Support élastique destiné à absorbé les vibrations.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
-
moque
- Verre à boire.
- Le cidre est consommé dans un verre, ou une moque en terre vernissée habituellement cylindrique... — (Delahaye Thierry, Vin Pascal, Le pommier, 95 p., page 62, 1997, Actes Sud, Le nom de l’arbre)
- Mug.
- (Marine) Pièce de bois ou en métal ayant la forme d'un cœur, et possédant un trou en son centre pour y faire passer une corde et éviter les frottements.
-
broque
- Rejeton d’un chou frisé → voir brocoli.
- (Argot) Liard, sou, centime, pièce de monnaie de peu de valeur.
- Des balles, des ronds ou des broques. — (Victor Hugo, Les Misérables, tome 2, 1862, page 230)
- (Par extension) Pacotille, chose sans valeur.
- Son œil enregistra des boiseries […] des tableaux, et pas de la broque. — (Auguste Le Breton, Razzia sur la Chnouf, Gallimard, 1954, page 30)
- (Avec une négation) Rien.
- Ne pas valoir une broque : Ne rien valoir.
- (Théâtre) Ne pas en savoir une broque : Ne pas connaître un seul mot de son texte.
- [...] car tous ces assassinats dans sa baraque l’ont un peu excité, et je ne crois pas qu’il s’en fasse une broque pour ça, parce qu’il a dans l’idée que ça va donner à un tas de caves l’envie de venir voir l’endroit où les bonshommes se sont fait descendre [...]. — (Peter Cheyney, La Môme vert-de-gris, chapitre III, traduction de Marcel Duhamel, Gallimard, 1945)
- Mon texte, elle me l’a volé… elle l’a avalé… elle veut pas que je puisse en débiter une broque, ce soir, je l’ai bien vu… elle me l’a sorti de la cervelle… pas un mot, non, pas un mot qui me reste à moi… mon déshonneur, ma perte… — (Alexandre Arnoux, Zulma l’infidèle, 1960, page 305)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.