Dictionnaire des rimes
Les rimes en : diamidophénol
Que signifie "diamidophénol" ?
Afficher la définitionMasquer la définitionwiktionary.org
- (Chimie) Corps dérivé du phénol, employé comme révélateur en photographie.
- Nous avons fait des essais avec le révélateur au diamidophénol proposé par lʼéquipe de l’U.L.B. ainsi quʼavec la variante de Bristol, qui ne contient pas de KBr (m). — (Société scientifique de Bruxelles, Sciences mathématiques, astronomiques et physiques, volumes 64 à 65, 1950)
- Je gagnais peut-être moins quand je tirais des cartes postales pour Chapuis, mais au moins ça ne sentait que le diamidophénol ! — (Maurice-Charles Renard, L’Inconnu des îles, Librairie des Champs-Élysées, 1954, chapitre VIII)
Mots qui riment avec "ol"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "diamidophénol".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ol , ols , oll , ole , oles , olle , olles , aul , aule et aules .
- sardolles
-
extrasystole
- (Médecine) Contraction supplémentaire du cœur avant le moment normal de la systole.
- L’irruption, au cours du rythme sinusal, de battements prématurés d’origine ventriculaire définit l’extrasystole ventriculaire. — (Xavier André-Fouët, Cardiologie, 1999)
-
diphénol
- (Biochimie) Composé chimique aromatique portant deux fonctions hydroxyle -OH.
- Ils conduisent à des colorations différentes suivant que le diphénol est en ortho, méta ou para. — (Jean-Louis Burgot, Chimie analytique et équilibres ioniques, 2006)
-
étiole
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe étioler.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe étioler.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe étioler.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe étioler.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe étioler.
-
algol
- Langage de programmation utilisé en calcul scientifique, et facilitant l'écriture des algorithmes.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
-
symbole
- Figure ou image qui sert à désigner une chose le plus souvent abstraite, une idée ou un concept.
- Les vieux symboles chrétiens, tant expliqués, tant traduits, présentent à l'esprit, dès qu'on les voit, une signification trop claire. Ce sont des symboles austères de mort, de mortification. — (Jules Michelet, Du prêtre, de la femme, de la famille, 3e éd., Hachette & Paulin, 1845, page 181)
- — Qu’est-ce qu’un symbole ? D’après Littré, c’est « une figure ou une image employée comme signe d’une autre chose » ; nous autres, catholiques, nous précisons encore cette définition en spécifiant, avec Hugues de Saint-Victor, que « le symbole est la représentation allégorique d’un principe chrétien, sous une forme sensible ». — (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
- Fierté des maîtresses de maison formées aux traditions familiales, la blanquette est, révérence gardée, à la cuisine française ce que Molière est au théâtre. Un symbole, un modèle éternel qui fait école, une sorte de mémoire collective. — (Sylvie Girard-Lagorce, Grandes et petites histoires de la gourmandise française: traditions et recettes, Plon, 2003, De Borée, 2005, page 95)
- (Numismatique) Figure qu’on voit sur les médailles et qui sert à désigner soit des hommes ou des divinités, soit des parties du monde, des royaumes, des provinces ou des villes.
- Les symboles sont ordinairement placés sur le revers des médailles.
- La ville de Paris a un vaisseau pour symbole.
- (Chimie) Lettre ou ensemble de lettres, qui sert à désigner un corps simple.
- Le symbole de l’oxygène est O, celui du sodium est Na.
- (Religion) Formulaire qui contient les principaux articles de la foi.
- Les trois symboles de la foi sont le symbole des apôtres, le symbole de Nicée et le symbole attribué à saint Athanase.
- (Cartographie) Figuration graphique, colorée et/ou alphanumérique, affectée à un phénomène pour le représenter sur la carte[1].
- (Éducation) Outil d'humiliation publique de la politique linguistique d'État afin de forcer les élèves à parler la langue d’enseignement. Sous la forme d'un objet à porter autour du cou, il est spécifiquement utilisé dans les écoles primaires francophones aux XIXe et XXe siècles pour interdire l'usage des langues maternelles régionales.
- D’où l’usage, dans les classes, du légendaire « symbole », sou, médaille ou sabot, que le maître donnait au premier enfant surpris à parler occitan ou breton, à charge pour celui-ci de le repasser à un autre fautif, de sorte que le dernier possesseur de l’objet infamant soit puni. — (Mona Ozouf, Composition française, Gallimard, 2009, collection Folio, pages 234-235)
-
espagnol
- (Géographie) Relatif à l’Espagne, ses habitants, sa culture, sa langue.
- Voilà pourquoi la Haute-Saintonge a toujours attiré des populations venues d’ailleurs, défricheurs poitevins, tâcherons auvergnats, éleveurs vendéens, résiniers landoux ou réfugiés espagnols. — (François Julien-Labruyère, Jean-Louis Neveu, La Haute-Saintonge, 2007)
- Je trouvais que cette Athalie de Cuba était trop emphatique, qu’elle manquait d’expression, et parlait le français comme une… fauvette espagnole. — (Alphonse Daudet, Le petit Chose, 1868, réédition Le Livre de Poche, page 223)
- Tous espèrent atteindre l’autre continent, soit en traversant le détroit de Gibraltar, notamment via les enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla, soit en empruntant des barques motorisées (pateras ou feloukas) depuis les côtes atlantiques vers les îles Canaries (espagnoles). — (Karine Bennafla, Le Maroc : changements et faux-semblants, L’Harmattan, 2011, page 14)
- (Géographie) Relatif à Montigny-le-Guesdier, commune française située dans le département de la Seine-et-Marne.
-
école
- Lieu dédié à l’apprentissage.
- Comme dans les prépas scientifiques, il est tout à fait possible de la redoubler (on dit « cuber ») en espérant être accepté dans une école plus prestigieuse. — (Philippe Mandry, Bien choisir son école de commerce et sa filière d'économie-gestion à la fac, Éditions l’Étudiant, 2007, page 20)
- […], il semble que l’on assiste à une recrudescence et un « durcissement » des bizutages, en médecine, mais plus encore dans les classes préparatoires, les écoles d’ingénieurs ou de commerce, et les IUT. — (Emmanuelle Godeau, « Le baptême », chapitre 3 de L’« esprit de corps » : Sexe et mort dans la formation des internes en médecine, Ethnologie de la France, no 29, Éditions de la Maison des sciences de l’homme, 2007, page 95)
- (En particulier) Établissement où l’on enseigne les savoirs fondamentaux comme la lecture et l’écriture et qui est aussi désigné sous le nom d’école primaire.
- À l’époque dont je parle, il y avait un grand nombre de communes en France qui n’avaient pas d’écoles, et parmi celles qui existaient, il s’en trouvait qui étaient dirigées par des maîtres qui, pour une raison ou pour une autre, parce qu’ils ne savaient rien, ou bien parce qu’ils avaient autre chose à faire, ne donnaient aucun enseignement aux enfants qu’on leur confiait. — (Hector Malot, Sans famille, 1878)
- Sans compter que, dans le pays où la chose s’est passée, il y a deux écoles de garçons : une laïque et une congréganiste. — (Émile-Ambroise Thirion, La Politique au village, Fischbacher, 1896, page 225)
- À l’école, on lui avait enseigné, avec le calcul, les éléments du dessin, et il en savait assez pour se débrouiller en géométrie. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 151 de l’édition de 1921)
- […], on avait établi, dans toutes les rues en pente avoisinant l’école, de superbes glissades. […]. Mais la plus belle était celle de devant la cour où, selon une coutume immémoriale, on allait « luger » à toutes les sorties. — (Louis Pergaud, Deux Veinards, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Mêmes les gamines grandelettes peuvent prier en se rendant à l’école et au retour : ça leur fera oublier les prônes du maître d’école, ce suppôt de Satan-là. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Tous les élèves d’un tel établissement, ou l’ensemble de ses professeurs et de ses employés.
- Cela mit toute l’école en rumeur.
- Cette école a été transférée dans de nouveaux bâtiments suite à la construction d'une autoroute.
- (Sens figuré) Ce qui est propre à former, à donner de l’expérience en quelque chose, à instruire.
- Après avoir reçu une instruction générale très complète, il fut dressé par son père à la rude école de la chasse à la baleine. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- Élevé à la rude école du malheur, il y remportait tous les prix. — (Alphonse Allais, Les Pensées )
- […] : ce « centre de tri » n’était pas seulement un lieu de tortures pour les Algériens, mais une école de perversion pour les jeunes Français. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- Loin de favoriser la conception des femmes, le mariage n’est souvent qu’une école mutuelle de stérilité volontaire. — (Pierre Louÿs, Liberté pour l'amour et pour le mariage, 1900, dans Archipel, 1932)
- La caserne est l’école de toutes les aberrations. Elle est également le terrain le plus propice à l’éclosion des révoltes. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 28)
- (Histoire) Enseignement de la théologie et de la philosophie, suivant la méthode et les principes reçus dans la plupart des anciennes universités.
- C’était en vain que j’avais essayé contre un athée les subtilités de l’école ; il avait même tiré de la faiblesse de ces raisonnements une objection assez forte. — (Denis Diderot, Pensées philosophiques, Texte établi par J. Assézat, Garnier, 1875-77)
- Dans tout l’Occident latin, les Écoles étaient en rapport les unes avec les autres, échangeaient leurs professeurs et leurs étudiants ; elle constituaient une sorte d’intelligentsia qui s’étendait sur toute la Romania. — (Louis Rougier, Histoire d’une faillite philosophique: la Scolastique, 1966)
- Mouvement ou doctrine d’un philosophe ou d’un savant.
- En même temps, les idées socialistes se propageaient grâce à Louis Blanc et à Proudhon, et il allait falloir tenir compte des revendications de ces différentes écoles. — (Alfred Barbou, Les Trois Républiques françaises, A. Duquesne, 1879)
- Le charlatanisme des saints-simoniens fut aussi dégoûtant que celui de Murat; d’ailleurs l’histoire de cette école est inintelligible quand on ne la rapproche pas des modèles napoléoniens. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, chapitre VII, La morale des producteurs, 1908, note en bas de page 360)
- Il nous a semblé superflu, au début de ce chapitre, de rappeler la terminologie employée par l’École zuricho-montpelliéraine, […]. — (Gustave Malcuit, Contributions à l’étude phytosociologique des Vosges méridionales saônoises : les associations végétales de la vallée de la Lanterne, thèse de doctorat, Société d’édition du Nord, 1929, p. 21)
- (Art, Littérature) Classe d’artistes qui travaillent ou qui ont travaillé selon les principes, à l’imitation d’un même maître, ou suivant les habitudes propres à certaines époques de l’art, à certains lieux.
- Des bourgeois y vinrent, d’abord, et puis des artistes, des peintres surtout, et de toutes les écoles. Les réalistes y coudoyaient sans aménité les fantaisistes, et les ingristes y avaient avec les coloristes de bruyantes prises de becs ; […]. — (Jean Valmy-Baysse, La curieuse aventure des boulevards extérieurs, Éditions Albin Michel, 1950, page 173)
- Survint en l’année 1937 un jeune poète, Orhan Veli, qui, sous l’influence des surréalistes français, introduisit en Turquie le vers libre. Orhan Veli fait vite école, mais son surréalisme et celui de son école, à vrai dire, sont plus larges, plus humains que leur modèle français. — (Nimet Arzık, Anthologie des poètes turcs contemporains, Gallimard (NRF), 1953, page 12)
- Seulement, elles ont besoin de souffleurs. Livrées à elles-mêmes, elles seraient fort embarrassées de faire la différence entre Sandro et Manet. Elles les croient de la même école. — (Anatole Claveau, Les snobs, dans Sermons laïques, Paris : Paul Ollendorff, 1898, 3e édition, page 35)
-
banderole
- Petit bande d’étoffe flottante en forme de flamme.
- Un vaisseau avec ses banderoles.
- La tente du chef était ornée de banderoles.
- Un pain bénit orné de petites banderoles.
- Bande de tissu naturel ou synthétique sur laquelle sont portées des inscriptions notamment politiques, syndicales, publicitaires…
- Les manifestants portaient des banderoles colorées complétées par les slogans habituels.
- L’avion passait et repassait au-dessus de la plage en tirant derrière lui une banderole publicitaire.
- (Emballage) Bande de carton léger (ou autre matière) servant à grouper plusieurs produits.
- busserolles
- hadol
- eglisolles
-
dialcool
- (Chimie) Corps chimique dont la molécule compte deux fonctions alcool.
- C'est le cas par exemple de la réaction d'un diacide sur un dialcool qui donne naissance à un polyester et à de l'eau qui doit être éliminée si on souhaite que la réaction conduise effectivement à des grandes molécules. — (Claude Duval, Matières plastiques et environnement, Dunod, 2e éd, 2009, p. 11)
- Si l'on effectue cette réaction sur un composé comportant à la fois une fonction acide et déjà une fonction alcool, on obtient donc un « dialcool » (comportant deux fonctions alcool). — (Paul Arnaud, Brigitte Jamart & Jacques Bodiguel, Les cours de Paul Arnaud : Exercices résolus de chimie organique, Dunod, 5e éd., 2016, p.73)
-
yole
- Sorte de petit canot léger qui va à la voile et à l’aviron.
- Je fis préparer la yole et j'y fis embarquer le cylindre de fer-blanc qui contenait les cartes déjà dressées, les quatre montres marines, un cercle de réflexion, les trois atlas… — (Voyage de Dumont d’Urville autour du Monde, raconté par lui-même)
- Chaque famille possède une yole, bateau léger, étroit et long, qui peut contenir six personnes, indispensable pour circuler dans cette contrée bizarre, et que dirige l’yoleur au moyen d’une longue perche qu'il manie avec adresse. — (Eugène Bonnemère, Histoire des paysans depuis la fin du Moyen Age jusqu’à nos jours 1200-1850, tome 2, Paris : chez F. Chamerot, 1856, page 271)
- Mon frère se jeta dans une yole avec le Lazariste et se rendit chez le gouverneur. — (Arnauld d’Abbadie, Douze ans de séjour dans la Haute-Éthiopie, 1868)
- Le prince chassait souvent le gibier de mer sur une yole, avec deux ou trois de la bande, les autres s’immobilisaient en d'interminables farnientes. — (Joséphin Péladan, La gynandre, Paris : chez E. Dentu, 1891, page 238)
- Sous un petit hangar en bois étaient suspendues deux superbes yoles de canotiers, fines et travaillées comme des meubles de luxe. — (Guy de Maupassant, Une partie de campagne, dans La maison Tellier, 1891, collection Le Livre de Poche, page 191.)
-
auriol
- Nom vulgaire du loriot commun.
-
vélivole
- (Latinisme) Qui va, qui vole avec la voile.
- Le pêcheur napolitain dans sa barque vélivole. — (François-René de Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe))
-
salicole
- Relatif à la saliculture, à la production du sel.
- Industrie salicole.
-
escarole
- (Vieilli) Variante de scarole.
- Mais le chou, le chou pour qui, cette année, j’avais fait place nette d'hortensias et de rosiers, se guinde sur une tige ligneuse plus haute que celle des Jersey cabbages et refuse de pommer ; l'estragon monte en plumet et les escaroles ressemblent à des baobabs. — (Paul Morand, Propos des 52 semaines, Milieu du Monde, 1942, Potagers de Paris)
- En janvier, on troque la triste laitue boston d’hiver contre l’escarole et l’endive ; les choux à la crème contre des tablettes de chocolat noir à 85% ; les arachides sucrées-salées contre un beurre de noix de Grenoble. — (Eve Dumas, Aimer l’amer, site lapresse.ca, 14/01/2015)
- escragnolles
- chenedolle
-
fléole
- (Botanique) Graminée commune dans les prés.
- Il alla droit à l’écurie et fit lever son coursier du lieu confortable où il dormait profondément en rêvant de montagnes de blé et d’avoine et de pleines vallées de fléole ou de trèfle. — (Washington Irving, « La Légende du val ensommeillé », in Gene Baro, Couleurs locales. Treize nouvelles régionales américaines, traduction de Hélène Terré, collection « Vent d’ouest » n° 13, Seghers, 1965, page 60)
- fenols
- biol
-
dulçaquicole
- (Biogéographie, Botanique, Écologie, Hydrobiologie) Qui vit en eau douce.
- Elles sont également appelées tortues palustres ou dulçaquicoles pour les distinguer des tortues marines. — (Tortue aquatique, Dictionnaire de Futura Science)
- Pendant la phase de dessalement, la végétation à Potamogeton pectinatus et Ruppia maritima évolue vers une végétation dulçaquicole à Myriophyllum spicatum et Phragmites communis. — (Annales de limnologie - Volumes 25 à 26, 1989, page 25)
- Par exemple les besoins nutritionnels d’une espèce herbivore dulçaquicole sans estomac comme la carpe sont très différents de ceux d’une espèce carnivore marine avec un estomac comme le saumon— (Jean Petit et coll., Environnement et aquaculture : Tome 1: Aspects techniques et économiques, janvier 1999)
- La transition entre la faune dulçaquicole et marine a été peu étudiée pour la Loire.— (Florentina Moatar, Nadia Dupont, La Loire fluviale et estuarienne: Un milieu en évolution, 2016, page 194)
- La présence à Fouras-Vauban de formes particulières typiquement gondwaniennes (le requin dulçaquicole Tribodus et un crocodile zyphodonte proche de Hamadasuchus) permet de discuter les affinités paléobiogéographiques des faunes peuplant l'archipel européen durant la partie moyenne du Crétacé […]. — (Romain Vullo, Didier Néraudeau, Ronan Allain & Henri Cappetta, « Un nouveau gisement à microrestes de vertébrés continentaux et littoraux dans le Cénomanien inférieur de Fouras (Charente-Maritime, Sud-Ouest de la France) », dans Palevol, vol. 4, n° 1-2, janvier-février 2005, résumé)
-
folle
- (Pêche) Filet à larges mailles, tendu lâche.
- Rousret. C'est le nom qu'on donne à Calais aux folles ou bouteux qui servent à prendre des chevrettes & des sauterelles. — (« Table des matières » de la Descriptions des arts et métiers faites ou approuvées par messieurs de l'Académie royale des sciences de Paris, nouvelle édition, publiées par J. E. Bertrand, tome 5, Neuchatel : Imprimerie de la Société Typographique, 1776, p. 747)
- Femme atteinte de folie.
- (Péjoratif) ou (Injurieux) Homosexuel ; le plus souvent, homosexuel efféminé, éventuellement parodique, voire travesti.
- Il était une fois une bande de folles merveilleuses, qui envahit les rues de San Francisco à l’aube des années 1980 (très exactement, pour la première fois, le samedi de Paques 1979) et entreprit de porter la bonne parole, celle d’une homosexualité visible, sans honte ni culpabilité. Elles étaient belles, joyeuses, illuminées, s’habillaient en bonnes sœurs et se faisaient appeler The Sisters of Perpetual Indulgence. — (Jean-Yves Le Talec, Sister Quamp, paru dans Triangulaire n° 3 1/2, novembre 2002)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.