Dictionnaire des rimes
Les rimes en : dévernir
Que signifie "dévernir" ?
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- Dégarnir quelque chose de son vernis.
- Dévernir une porte en la ponçant.
Mots qui riment avec "ir"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "dévernir".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ir , irs , ire , ires , irre , irres , yr et yrs .
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allégir
- (Charpenterie, Menuiserie) Diminuer dans toutes les dimensions le volume d'un corps.
- Allégir une poutre.
- Afin dʼépouser le rythme imposé par les fenêtres, il choisit de les allégir dʼun double registre dʼarcades jumelées suivant le même canevas. — (Celles, Liege (Province) Saint-Hadelin (Church), Luc Francis Genicot, Les églises romanes du pays mosan, témoignage sur un passé: Numéro 1, 1970)
- (Philosophie) Alléger sans diminution de substance. L'allégie de l'être — (Le dictionnaire Martin Heidegger, article Existence p 467, Cerf, 2013)
- (Équitation) Rendre un cheval plus léger à l’avant ou à l’arrière grâce la position du corps du cavalier.
- (Acadie) (Régionalisme) Variante de alléger.
- Est-ce que le bonheur nous allégirait ? me dit Agathe. — (Honoré de Balzac, Le Père Goriot, 1835)
- Comme je revenais en croupe derrière mon père, sur une autre jument que nous avions achetée à la foire, nous fîmes rencontre, en un chemin creux, d’un homme entre les deux âges qui conduisait une petite charrette, très-chargée de mobilier, laquelle, n’étant traînée que d’un âne, restait embourbée et ne pouvait faire un pas de plus. L’homme était en train d’allégir le poids, en posant sur le chemin une partie de son chargement, ce que voyant mon père : — Descends, me dit-il, et secourons le prochain dans l’embarras. — (George Sand, Les Maîtres sonneurs, George Bell and sons, 1908, pages 13-14)
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garantir
- (Droit) Se porter garant, répondre d’une chose, du maintien, de l’exécution d’une chose. — Note : Se dit surtout en matière de procès, d’affaires et de négociation.
- Garantir une créance.
- Garantir la propriété d’une maison.
- Garantir un contrat, une vente, un traité entre puissances, etc.
- Se rendre garant de la valeur, de la qualité d’une chose.
- Je vous garantis cette montre pour six mois.
- Je vous garantis ce cheval, cette montre de tout défaut.
- Le contrôle garantit le titre des pièces d’or et d’argent.
- Ce qu’il vient de faire vous garantit sa fidélité.
- Qui me garantit que vous serez plus sage à l’avenir ?
- Se rendre garant de l’existence de la réalité d’une chose.
- Je vous garantis que les choses se sont passées ainsi.
- Je lui ai garanti le fait.
- Je vous garantis qu’il ne fera pas cela.
- On m’a assuré cela, mais je ne vous le garantis pas.
- Défendre quelqu’un contre une demande, ou l’indemniser du tort qu’il souffre par une éviction, une condamnation, etc.
- Garantir quelqu’un de toutes poursuites. — Garantir d’une éviction.
- Le débiteur doit garantir sa caution des condamnations qui peuvent être prononcées contre elle.
- Donner l’assurance ; assurer.
- Ce petit potager remonte aux années 1920. Il garantissait aux habitants l’autosuffisance alimentaire et leur offrait l’occasion d’un sain exercice physique – un souci très allemand. — (Svenja Flaßpöhler, traduction Octave Larmagnac-Matheron, « Carnet de la drôle de guerre », dans la newsletter du 30/03/220 de Philosophie Magazine)
- (Plus courant) Mettre à l’abri ; préserver de ; protéger de.
- Le seul moyen de se garantir d’oignons, & même de toute incommodité aux pieds, c'est d'être absolument en garde contre les chaussures trop courtes; […]. — (Nicolas Laurent Laforest, L'art de soigner les pieds : contenant un traité sur les cors, verrues, durillons, oignons, engelures, les accidens des ongles & leur difformité, Paris : chez l'auteur & Maison de M. Bourdet et Versailles : Blaizot, 1781, page 77)
- Sans les digues élevées et solidement établies qui l’en garantissent, la Camargue serait submergée par le Rhône plusieurs fois durant le cours du printemps, au moment sur-tout de la fonte des neiges, et pendant l’automne lors des pluies équinoxiales : […]. — (M. de Rivière, « Mémoire sur la Camargue », dans les Annales de l’agriculture française, 2e série, tome 34, Paris : chez Madame Huzard, avril 1826, page 77)
- Pendant de longues heures nous marchons en silence, ne regardant ni à droite ni à gauche, la tête baissée sous nos capuchons pour nous garantir de l'ondée cinglante. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 36)
- L’œuf pondu le vendredi saint préservait de la foudre, mangé il garantissait de la fièvre ou de la rage… — (Gustave Fraipont; Les Vosges, 1923)
- Voyez-vous […] nous avons à Paris plusieurs catégories de malandrins. Pour nous en garantir, il nous faut recourir à des hommes présentant des qualités particulières. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
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détenir
- Garder en sa possession.
- La baronnie d’Elbeuf fut adjugée à René, duc de Lorraine ; mais Jean de Rieux déclara ne pouvoir rendre les 12 fiefs dont Bourgtheroulde faisait partie, attendu que, donnés en mariage à sa sœur, ils étaient détenus par des tiers. — (M. Charpillon , Dictionnaire historique, géographique, statistique de toutes les communes de l'Eure, Les Andelys : chez Delcroix, 1868, page 522)
- D’ailleurs, ne lui avait-il pas posé une sorte d’ultimatum en ordonnant qu’elle lui procurât les documents détenus par Brunof dans un délai d’une semaine ?… — (Claude Orval, Un Sursis pour Hilda, Librairie des Champs-Élysées, 1960, deuxième partie, chapitre VI)
- […], on chercha, dans le Midi, à les déposséder des biens immeubles qu'ils détenaient en vertu d’usages très anciens. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- Les géants de l’acier ont détrôné les rois du pétrole en 2004. […]. Les dix hommes d'affaires qui se sont le plus enrichis l'an dernier détiennent tous des parts dans les sociétés métallurgiques. — (Pascal Airault, Russie : les magnats de l'acier roulent sur l'or, Jeuneafrique.com, 14 février 2005)
- (En particulier) Garder quelqu’un ; le retenir en prison.
- On l’a détenu arbitrairement pendant huit jours. — Être détenu prisonnier. - Être détenu pour vols.
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cirre
- (Botanique) Appendice filiforme, simple ou rameux, diversement tortillé ou roulé, au moyen duquel certaines plantes s'attachent aux corps voisins parfois considéré comme un synonyme de vrille.
- (Zoologie) Appendice fin de certains animaux.
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fouir
- Creuser la terre.
- Fouir une vigne, travailler la terre au pied de la vigne.
- Un chien brun fouissait un tapis de feuilles humides, avec énergie. — (Tito Topin, Shanghai Skipper, Série noire, Gallimard, 1986, page 50)
- Il gravissait des rochers, il tâtait ici et là le terrain avec un bâton à fouir. — (John Crowley, KRA - Dar Duchesne dans les ruines de l'Ymr, L'Atalante, 2020, traduction par Patrick Couton, page 301)
- Fouiller, chercher.
- « Tu n’es même pas sûr de l’origine du premier mot. » Et le voilà en train de fouir dans les étymologies, écartant d’un groin dédaigneux le latin et le grec, reniflant sans indulgence le germanique commun. — (Magnane, Bête à concours, 1941, page 37)
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dahir
- (Maroc) Décret émis par le sultan ou le roi du Maroc.
- Le vétérinaire surveille aussi minutieusement l’application du dahir du 4 août 1914 interdisant l’abatage pour le boucher des femelles de l’espèce bovine avant l’âge de huit ans et de celles des espèces ovine et caprine avant cinq ans. — (Maurice de Périgny, Au Maroc : Fès, la capitale du Nord, Paris : chez Pierre Roger & Cie, 1917, page 26)
- Il y a cinquante ans, les rares propriétaires fonciers étaient des chorfa, des zaouïas, des dignitaires du makhzen qui avaient obtenu leurs terres par dahir chérifien. — (Frédéric Weisgerber, Au seuil du Maroc Moderne, Institut des Hautes Études Marocaines, Rabat : Les éditions de la porte, 1947, page 115)
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rafraîchir
- Rendre frais, donner de la fraîcheur.
- […] la brise du soir qui se levait rafraîchissait l’air. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- Il ventait dur, sans que l’atmosphère en fût rafraichie, car le vent soufflait du sud. — (Charles Le Goffic, Bourguignottes et pompons rouges, 1916, page 112)
- Ouvrez les fenêtres pour rafraîchir l’appartement.
- Rafraîchir le visage de quelqu’un avec un peu d’eau.
- (Absolument) Cette boisson rafraîchit bien.
- Réparer, remettre en meilleur état.
- Rafraîchir une toilette, etc.
- Rafraîchir un tableau, lui rendre la vivacité des couleurs en le nettoyant et en le vernissant.
- Rafraîchir une tapisserie, la raccommoder aux endroits où elle est abîmée.
- (En particulier) (Sylviculture, Arboriculture) Éliminer des parties blessées ou abîmées.
- L’habillage racinaire consiste à raccourcir le chevelu racinaire et à rafraîchir la section des racines éventuellement endommagées lors de l’extraction en pépinière. — (Office national des forêts, Réussir les plantations de chênes sessile et pédonculé, 2018)
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garnir
- (Militaire) Armer, munir un dispositif de défense d'éléments ou de troupes nécessaires à sa défense, à sa protection.
- Le gouverneur de la forteresse avait fait ses préparatifs de défense. Des monceaux de pavés garnissaient le haut des tours, entourant les canons, pour lesquels on avait élargit les meurtrières. — (Alfred Barbou, Les Trois Républiques françaises, A. Duquesne, 1879)
- Ce n’est pas tout : le sommet des tours était garni de hourds en charpente que l’on posait également en temps de guerre. — (Eugène Viollet-le-Duc, La Cité de Carcassonne, 1888)
- Garnir un port de vaisseaux.
- Fournir, pourvoir des choses nécessaires.
- Garnir une maison de meubles.
- Garnir une bibliothèque de livres, un buffet de vaisselle.
- (Absolument) Garnir un étui, un nécessaire.
- Avoir la bourse bien garnie, le gousset bien garni.
- Garnir un lit, y mettre des matelas, des draps, des couvertures.
- (En particulier) Meubler.
- Chambre garnie, maison garnie, chambre, maison que l’on loue fournie de toutes les choses nécessaires.
- Chambre garnie, appartement garni à louer.
- Loger en garni, c’est-à-dire en chambre garnie.
- Habiter en garni, un garni.
- Orner ; accessoiriser.
- Le fruit de l’épine-vinette est utile pour conserver et confire et pour garnir les plats. — (Th.W. Forsyth, Traité de la culture des arbres fruitiers, page 197, 1803)
- Les cordons ovigères ressemblent à de flexibles tubes de cristal, que garniraient de petites perles noires. — (Jean Rostand, La vie des crapauds, 1933)
- Pour ne pas se griser, malgré les nombreuses libations inhérentes à des fêtes de ce genre, on garnissait de lierre, bouteilles, lampes et meubles ! — (Gustave Fraipont; Les Vosges, 1923)
- Rembourrer.
- Renaud leva ses bras maigres que les gants de six onces garnissaient comme deux paquets de pansement et sourit. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- Faire garnir une porte de bourrelets, pour empêcher le vent de pénétrer.
- Garnir des fauteuils, un canapé, etc. Les rembourrer de crin, de laine, etc.
- Compléter.
- Pour remettre la machine en mouvement, on dirige d'abord l'arbre moteur dans le sens du vent, puis on écarte les voiles afin de garnir de nouveau les ailes. — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes, E. Jolly, Charleville, 1869, page 116)
- Les meubles qui garnissent un appartement.
- Les statues qui garnissent une terrasse.
- Les cheveux qui garnissent le derrière de la tête.
- (Cuisine) Enrichir ; rendre plus copieux.
- Faites une pâte à koulibiac, puis garnissez l'intérieur de tranches de saumon épluché et débarrassé des arêtes. — (Tante Marie, La véritable Cuisine de Famille, Paris : A. Taride, s.d., 30e éd., p.339)
- Choucroute garnie, choucroute à laquelle sont ajoutées des saucisses ou des tranches de jambon, etc.
- Assiette garnie, assiette de charcuteries diverses.
- Remplir ou occuper un certain espace.
- De hautes et superbes futaies garnissent encore une grande partie de nos vallées et de nos montagnes. Elles recouvrent un sol riche et fertile, et tout à fait propre à la culture. — (Thomas Couët, Le bois, voilà l’ennemi !, Revue Franco-Américaine, 1909)
- Une foule de curieux garnissaient les deux côtés de la route.
- La salle se garnit, commence à se garnir de monde, elle s’est garnie en un instant.
- Doubler ou renforcer avec quelque chose, pour faire durer plus longtemps, en parlant de choses.
- Garnir des bas.
- Garnir un chapeau en dedans d’une coiffe et d’un cuir.
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hennir
- Faire entendre son cri ordinaire, en parlant du cheval ou du zèbre.
- J’aimais aussi alors, comme aujourd’hui, à voir les armes reluire au soleil, à entendre les chevaux hennir et frapper du pied, […]. — (Anonyme, Revue littéraire, 1830, Revue des Deux Mondes, 1830, tome 1)
- En effet, au bout de cinq minutes de marche, le cheval releva la tête et hennit comme pour annoncer son arrivée, […]. — (Alexandre Dumas, Othon l’archer, 1839)
- Alors les chevaux, excités par les coups de fouets des chasseurs, se précipitèrent dans toutes les directions en hennissant et en lançant des ruades. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- Tant qu'a duré ce défilé j'ai eu toutes les peines du monde à faire tenir mon cheval tranquille. Grisé par tout ce bruit et ce mouvement autour de nous, il hennit, piaffe, s’ébroue et danse d'impatience de se mêler à ses congénères. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 118)
- Le Pourquoi pas, lutte, lutte toujours. Mais déjà les chevaux blancs des Walkyries hennissent dans les rafales. — (José Gers, Sur la mort du Pourquoi pas ?, France libre, volume 6, 1936)
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refleurir
- Fleurir de nouveau.
- Les orangers, après avoir porté des fleurs au printemps, refleurissent ordinairement en automne.
- (Sens figuré) Reprendre de l’éclat, mériter et obtenir plus d’estime, plus d’admiration.
- Alice se remit à manger, imitée par Colombe qui refleurissait sous le bienfait de la viande rouge et du vin honnête […] — (Sidonie-Gabrielle Colette, Le Toutounier, 1939)
- La jeune fille arabe est toujours un enfant, et c’est par là qu’elle donne le ton (de même que la vierge hellène) à la poésie amoureuse toute naïve qui refleurit depuis trois mille ans autour des mers levantines. — (Pierre Louÿs, « La Femme dans la poésie arabe », 1901, dans Archipel, 1932)
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bannir
- Condamner une personne à sortir d’un pays, à être chassée ou transportée hors d’un territoire, avec défense d’y rentrer.
- Peter Schwarber fut même déchu de ses droits de bourgeoisie et banni de la ville. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- Bannir à temps.
- Bannir à perpétuité.
- Il fut banni de sa patrie.
- On l’a banni du pays.
- (Par extension) Expulser, éloigner, exclure, en parlant des choses aussi bien que des personnes.
- Remplacez encore l’outremer par le bleu de Thénard n.° 19, mais bannissez le bleu de Prusse lorsque vous achevez les chairs; il est trop acre, et il change toujours davantage en vieillissant, […]. — (Pierre Louis Bouvier, Manuel des jeunes artistes et amateurs en peinture, Paris : Alph. Giroux, 1832, page 36)
- […] mais, comme on n’avait jamais eu en mains de preuves palpables, on ne pouvait bannir des jeux quotidiens, ni mettre en quarantaine les deux traîtres présumés, […]. — (Louis Pergaud, Deux Veinards, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- C’est un fripon que l’on a banni de toutes les maisons honnêtes.
- Il a banni de son ouvrage les expressions trop techniques.
- Cette contrainte bannirait tout agrément de notre société.
- Se bannir d’un lieu, d’une maison, d’une société, Cesser ou s’abstenir d’y aller, quoique à regret.
- (Sens figuré) Éloigner de son âme, de son souvenir.
- Bannir toute crainte, toute honte.
- Bannir le chagrin de son esprit.
- Bannissez les scrupules.
- Bannir un ingrat de sa mémoire.
- Publier, proclamer par ban.
- Surpris que Pennec eût tant d’argent, je fis bannir (publier) sur la croix : mais personne ne se plaignit d’avoir perdu ou d’avoir été volé. — (Stendhal, Mémoires d’un touriste, t. 2, 1838, page 41)
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munir
- Garnir, pourvoir de ce qui est nécessaire ou utile en vue de tel ou tel objet.
- Le grand air de l'Océan mordait notre visage avec une violence telle que nous avons dû, à plusieurs reprises, étaler sur les joues et le nez de la vaseline, dont nous nous étions munis. — (Dieudonné Costes & Maurice Bellonte, Paris-New-York, 1930)
- Si la topographie l'exige, le préfet peut imposer sur certaines voies l'obligation de munir tout véhicule d'un frein ou d'un dispositif d’enrayage. — (Article 17, Code de la route, France, 30 octobre 1935)
- On munit chaque boussole d'une carte de déviation qui indique jusqu'à quel point l’aiguille dévie de sa position correcte. — (Encyclopédie Grolier 1947-48, La Société Grolier , 1947, vol.2, page 328)
- (Sens figuré) Se munir de patience, de résolution, de courage. — Se munir d’arguments pour une discussion.
- (Militaire) Pourvoir de tout ce qui est nécessaire pour sa défense, en parlant d'une place forte.
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cinétir
- Procédé d’entraînement au tir pour la chasse par lequel on tire sur un écran projetant des scènes de chasse filmées en conditions réelles.
- Calvet est en outre un véritable inventeur qui mit au point le cinétir consistant à projeter sur une cible des images que le tireur s’entraîne à atteindre. — (Françoise Lemaire, Établissement cinématographique et photographique des armées (France), Les films militaires français de la première guerre mondiale: catalogue des films muets d’actualité réalisés par le Service cinématographique de l’Armée, 1997)
- Local permettant de s’adonner à cette activité.
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réinscrire
- Inscrire de nouveau.
- Ensuite, il est question de réinscrire la production littéraire gibranienne dans la vaste histoire littéraire de sa communauté. — (Daniel S. Larangé, Poétique de la fable chez Khalil Gibran (1883-1931): les avatars d'un genre littéraire et musical : le maqām, Éditions L'Harmattan, 2005, p. 350)
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aveulir
- (Transitif) Rendre veule, sans volonté.
- Il s’engourdit, s’amollit, s’affadit. L’abus des mignardises, des riens aimables susurrés et des regards fripons l’aveulissait. — (Marcel Aymé, nouvelle Le Faux Policier, publiée en 1945 dans Pan : revue artistique, satirique et littéraire, reprise dans le recueil Le Vin de Paris, éditions Gallimard, collection « Blanche », 1947, puis dans le tome III des Œuvres romanesques complètes (page 983-984) de Marcel Aymé, dans la Bibliothèque de la Pléiade.)
- (Pronominal) Devenir veule.
- Les Français ont oublié la guerre, la victoire et l'enthousiasme ; ils s’aveulissent ; ils laissent la bride sur le cou à ceux qui les dépouillent. — (Paul Chack, Sur les bancs de Flandre, 1927, p.252)
- Comme ces pères lâches qui trouvent plus facile de satisfaire tous les caprices de leurs enfants que de leur opposer fermement des valeurs fortes, l’Église ne cessait de s’aveulir. — (Dan Brown, Da Vinci Code, Traduction Daniel Roche, 2004)
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repartir
- (Littéraire) Répliquer vivement et sur-le-champ.
- Il ne lui a reparti que des impertinences.
- Il ne lui a reparti que par injures, que par des injures.
- Ainsi interpellé, il repartit avec vivacité.
- – Oh… suffoquait ma mère. Pourvu que la petite n’ait pas entendu !– Pour la petite, repartait mon père, ça n’a pas d’importance… — (Colette, Sido, 1930, Fayard, page 68.)
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épaissir
- (Transitif) Rendre épais, plus épais.
- Mettez du sucre dans ce sirop pour l’épaissir.
- Les fumées de ces usines épaississent l’air.
- (Intransitif) Devenir épais, plus épais.
- Le bouillon épaissit en cuisant.
- Cet homme épaissit beaucoup depuis quelque temps.
- (Pronominal) Devenir épais, plus épais.
- Le sirop s’épaissit.
- Un nuage qui s’épaissit.
- L’ombre s’épaississait.
- Sa taille s’épaissit.
- Son esprit s’épaissit tous les jours.
- Sa langue s’épaissit, sa langue s’embarrasse.
- Alors, de temps en temps, une main simplement émergeait du groupe : le garçon arrivait, emportait les grès vides et en rapportait d’autres et bientôt la conversation, s’épaississant de plus en plus, ne roulait plus que sur ce qu’ils venaient de boire, sur leur ivresse, sur leur soif, sur leur bonheur. — (Georges Perec, Les Choses, Julliard, 1965, réédition 1984, page 55)
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dessaisir
- (Droit) Déposséder un tribunal de ce dont il a été saisi.
- Le tribunal a été dessaisi de cette affaire.
- (Pronominal) Se déposséder volontairement.
- Se dessaisir d’un gage.
- Dans le commerce chacun cherche son intérêt. Le vendeur accepte de se dessaisir d'un objet de valeur, mais à la condition d'en tirer le maximum. Le client est prêt à payer cher, à condition d'obtenir ce qu'il convoite. — (Jean-Marie Gueullette, Laisse Dieu être Dieu en toi, Éditions du Cerf, 2002, p. 16)
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chérir
- Aimer tendrement.
- Chérir ses enfants, ses amis. Chérir sa patrie. Image chérie.
- (Par extension) (Avec un nom de chose pour complément) Être tendrement attaché à ; se complaire dans.
- Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu’ils en chérissent les causes. — (Bossuet, Extrait d’un Sermon)
- La musique, elle aussi, d'un accordéon dans les bals, ou d'un orchestre piaulant sa rengaine exotique dans les lieux de plaisir, ou d'un monumental piano mécanique, dans un décor de glaces et de femmes nues, m’est délicieuse à chérir. — (Francis Carco, L’Amour vénal, Éditions Albin Michel, Paris, 1927, page 16)
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gravir
- Monter avec effort.
- À mesure qu’il gravissait le chemin en spirale qui partait du bas de la montagne et aboutissait à la grande porte, il voyait chaque façade à son tour jeter de la lumière par toutes ses fenêtres. — (Alexandre Dumas, Othon l’archer, 1839)
- Aussi, lorsque, après avoir franchi une porte vitrée immense, donnant sur un vestibule un peu moins vaste que le Square du temple, nous nous engageâmes dans un large escalier aux marches déclives, usées et traîtresses, mais qu’une rampe remarquablement ciselée aidait à gravir sans péril, je me contentai, toujours prudent, d’admirer l’élégante rampe en silence. — (Léo Malet, L’Ours et la Culotte, 1955, chapitre VIII)
- L’Itabera illumine le quai […]. Des voyageurs montent à la coupée et en descendent. Nous la gravissons à notre tour. — (Albert Londres, L'Homme qui s'évada, p.198, Les éditions de France, 1928)
- Rien d'ailleurs d'étonnant, ces sympathiques pêcheurs férengiens passant une partie de leur vie à gravir des murailles à pic pour chasser des oiseaux. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- Parcourir les monts et vallons, serpenter entre ces monstres de pierres, se sentir petit, profiter du paysage, gravir les montagnes de Banff, prendre quelques clichés au lac Louise, traverser Kamloops à la vitesse grand V (rien à voir) et arriver à Vancouver avec des images magnifiques plein le cerveau. — (Alec Castonguay, Le Devoir, 4-5 février 2006)
- (Absolument) Après avoir gravi pendant deux heures , nous atteignons vers midi le plateau terminal, du haut duquel on domine un paysage effroyable. Un océan de neige ! — (Jules Leclercq, La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla, Plon & Cie, Paris, 1883, page 83)
- (Sens figuré) — Peu avant de parvenir au village de Champion, la grande route de Namur à Louvain gravit, en quittant la ferme dite de Ponty ou des Pauvres, une éminence dont le sommet se trouve à quelques pas de la borne kilométrique n° 4. — (Eugène de Marmol, « Découvertes d'antiquités dans les tumulus de Champion et dans les localités voisines », dans les Annales de la Société archéologique de Namur, vol. 2, Namur : typographie de A. Wesmael-Legros, 1851, page 57)
- (Sens figuré) (Par extension) Faire des efforts pour améliorer une situation.
- La recherche et la pratique en éducation ne s’observent pas en chiens de faïence mais plusieurs marches restent à gravir pour que les deux milieux profitent davantage l’un de l’autre. — (Le Devoir, 5 mai 2006)
- Née en Caroline du Sud au sein d’une famille originaire du Pendjab, en Inde, Nikki Haley a travaillé dans la petite entreprise de vêtements appartenant à l’époque à sa mère, avant de se lancer en politique, gravissant les échelons au niveau de l’Etat jusqu’au poste de gouverneur. — (Le Monde, Démission de Nikki Haley, ambassadrice des Etats-Unis à l’ONU, Le Monde. Mis en ligne le 9 octobre 2018)
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enrichir
- Rendre riche.
- Toute une organisation formidable d'écumeurs et d'inutiles, vivant grassement, tripatouillant, combinant, s'enrichissant, sans produire quoi que ce fût d'utile. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 128)
- Autour de Monsieur se groupaient quelques gentilshommes, factieux, avides, remuants, qui ne pouvaient grandir et s'enrichir que par le désordre. Le duc d’Orléans était leur garant, leur pavillon, leur espoir. — (Auguste Bailly, Mazarin, Fayard, 1935, p.104)
- Riches et pauvres jouaient. United States Steel, la grande valeur d'acier, montait chaque semaine de quelques points. Steel était à 200, à 220, 250 et chaque matin, en ouvrant son journal, chaque Américain se trouvait un peu plus riche que la veille. « Enrichissez-vous », disait Hoover et, comme la France au temps de Guizot, l'Amérique s'enrichissait. — (André Maurois, Chantiers américains, 1933)
- Le dernier pilorié fut un nommé Billard, janséniste, qui, ayant fait banqueroute, s’excusait en disant qu'il avait voulu s'enrichir pour donner aux pauvres. — (Le pilori des Halles, dans Hippocrate revue d'humanisme médical, janvier 1949, n° 1, page 32)
- (Sens figuré) Orner par quelque chose de riche, de précieux.
- Une broderie enrichissait son habit.
- Enrichir de pierreries une montre, un cadre, etc.
- (Sens figuré) Accroître ; développer.
- Il a fallu du temps avant d'oser m’aventurer à nouveau dans la basse-cour. Dans l'intervalle, Boyer avait enrichi mon vocabulaire d'un mot à dix cents : alektorophobie. — (Donna Milner, Le temps du pardon, traduit de l'anglais (États-Unis) par Béatrice Roudet-Marçu, Éditions Jean-Claude Lattès, 2009, chap. 17)
- Sur le chemin du retour Djinn leva deux lapins et une outarde, que nous fléchâmes aussi, enrichissant notre tableau de chasse en le diversifiant. — (Laurent Sauphanor, Mona raconte Lisa, chez l'auteur/Iggybook, 2018)
- Enrichir la science de nouvelles découvertes. — Enrichir son esprit d’un solide savoir. — Enrichir sa mémoire.
- Il a enrichi son ouvrage de documents précieux.
- (Sens figuré) Rendre une langue plus abondante, par de nouveaux mots, de nouveaux tours, de nouvelles acceptions que l’usage adopte.
- (Sens figuré) Ajouter à un conte, un récit, plusieurs circonstances inventées pour l’embellir, pour le rendre plus agréable.
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fuir
- S’éloigner à toute vitesse, par peur.
- Et il fuit, il fuit toujours, et il bute contre les pierres, contre les mottes de terre, contre les touffes d’herbe, poursuivi sans cesse par les cris de mort. — (Octave Mirbeau, « La Mort du chien » dans Lettres de ma chaumière, 1886)
- En effet, mon arrière-arrière-grand-père avait fui la Chine, vers 1890, pour aller au Cambodge, à cause de la misère et de la pauvreté. Il n’est jamais retourné en Chine. — (David Lepoutre, avec Isabelle Cannoodt, Souvenirs de familles immigrées, Éditions Odile Jacob, 2005)
- (Sens figuré) Différer, éluder, empêcher qu’une chose ne se termine, se dérober à une explication.
- Je ne puis terminer avec cet homme, il fuit toujours.
- Il fuit habilement, mais je l’atteindrai.
- (Par analogie) Courir ou se mouvoir avec rapidité, s’éloigner ou sembler s’éloigner, en parlant des choses qui s’échappent ou semblent s’échapper.
- Un ruisseau qui fuit dans la prairie.
- Les nuages fuient et le ciel se découvre.
- Du vaisseau qui nous emportait nous voyions fuir le rivage.
- Nos beaux jours fuient rapidement.
- Hâtons-nous, le temps fuit.
- Le terrain fuyait sous leurs pas.
- (Sens figuré) S’échapper à notre pensée, à notre mémoire.
- Ce souvenir me fuit.
- (Peinture) Paraître s’enfoncer et s’éloigner de la vue du spectateur, en parlant des parties d’un tableau.
- Cette partie ne fuit pas assez.
- On fait fuir les objets en diminuant la proportion, en affaiblissant la couleur, etc.
- (Par analogie) — Son front fuit.
- S’échapper d’un réceptacle, par quelque fêlure, quelque fente, en parlant du liquide qu’il contient.
- Les boues toxiques fuyaient du réservoir par une fissure sur l'un des côtés de la digue.
- Laisser échapper, par quelque fêlure, quelque fente, le liquide qu’il contient, en parlant d’un réceptacle.
- Tu devrais réparer ce robinet qui fuit.
- Ce tonneau, ce pot, ce vase fuit. — Il faut l’empêcher de fuir.
- Cette conduite de gaz fuit.
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enforcir
- Rendre plus fort.
- La bonne nourriture a enforci ce cheval.
- (Intransitif) Devenir plus fort.
- Le grand air a fait du bien à cet enfant, il a beaucoup enforci.
- (Pronominal) Devenir plus fort.
- Cet enfant s'enforcit au grand air.
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fléchir
- Faire ployer, courber.
- Fléchir la tige d’un arbre.
- Fléchir quelque partie du corps.
- Le muscle qui fléchit la première phalange du petit doigt.
- Fléchir le genou, les genoux.
- Une baguette de fer fléchie et tordue.
- (Sens figuré) Fléchir le genou, les genoux devant quelqu’un, s’abaisser, s’humilier devant lui.
- L’amour ne sourit qu’allié à l’audace. Et celui qui fléchit le genou devant l’objet des désirs de son cœur et s’engage dans la voie des scrupules d’amour s’expose aux pires douleurs. — (René Boylesve, La leçon d’amour dans un parc, Calmann-Lévy, 1920, collection Le Livre de Poche, page 128-129)
- (Sens figuré) Amener à compassion ; toucher de pitié ; attendrir ; adoucir.
- En vain l’ambassadeur de France tenta de fléchir les négociateurs américains. Ils se montrèrent implacables. Il fallait se soumettre ou faire banqueroute. — (Camille Aymard, Devons-nous payer l'Amérique ?, Éditions Ernest Flammarion, 1932, page 119)
- Son repentir devrait fléchir les cœurs les plus durs, les plus barbares.
- Fléchir la dureté, la cruauté d’un tyran, le courroux d’un maître.
- (Intransitif) Plier ; se courber.
- La notion de raideur sur prothèse du genou est relative. Un genou normal fléchit jusqu'à 150° mais la flexion d'un genou prothétique dépasse rarement 120°. — (M. Mathieu, Reconstructions massives par allogreffe osseuse ..., dans Reprises de prothèses totales du genou, sous la direction de Philippe Burdin & Denis Huten, éd. Elsevier, 2003, page 145)
- (Sens figuré) L’aile droite de l’armée fléchissait, Elle ne pouvait plus garder sa ligne, sous la poussée de l’ennemi.
- (Sens figuré) Se soumettre, s’abaisser.
- Je craignais, en levant les paupières, d’apercevoir le visage devant lequel tout genou fléchit. — (Georges Bernanos, Journal d’un curé de campagne, 1936, réédition Le livre de poche, 1968, page 186)
- Tout le monde fléchissait devant lui.
- Tout doit fléchir sous les lois de la destinée.
- (Sens figuré) Fléchir sous le joug, S’y soumettre.
- Cesser de persister dans des sentiments de dureté ou de fermeté.
- Quoi qu’on fasse, je ne fléchirai pas.
- Il ne sait ce que c’est que fléchir.
- Il commence à fléchir.
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bondir
- Sauter, en parlant de certains animaux, et même des personnes.
- Sur ces entrefaites, la portière se souleva et Henri de Navarre parut. La petite levrette, qui dormait sur le trône, bondit et courut à lui. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre VI)
- Autour de la chambre, le long de la plinthe, des belettes courent, bondissent, se poursuivent… — (Octave Mirbeau, Lettres de ma chaumière : La Tête coupée, A. Laurent, 1886)
- Blanchette […] fit un écart terrible, et, bondissant en avant, envoya son conducteur rouler les quatre fers en l’air, toutes paumes ouvertes, en plein milieu du taillis. — (Louis Pergaud, L’Argument décisif, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Il les aurait gardées les bouteilles. Assurément personne ne se serait aventuré à pénétrer dans sa réserve sans qu'il ne bondisse aussitôt sur le gredin une zerouata à la main. — (Ahmed Ismaïli, Le rêveur, le vendeur et les voleurs, dans Côté Maroc, Rabat : Éditions Marsam, 2007, tome 4, page 128)
- Faire un ou plusieurs bonds.
- Mon guide me fit voir […] l’endroit où le pied avait manqué à ce malheureux, l’espace effrayant qu’il avait parcouru, bondissant de rocher en rocher comme une avalanche vivante ; puis enfin au fond du précipice, la place où il s’était arrêté, masse de chair informe et hideuse à laquelle il ne restait aucune apparence humaine. — (Alexandre Dumas, Impressions de voyage, La Revue des Deux Mondes, tome 1, 1833)
- Le seul bateau en vue était un vieux brigantin battant pavillon anglais, qui bondissait à la crête des grandes vagues et plongeait dans leur creux. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 179 de l’édition de 1921)
- (Sens figuré) S’émouvoir vivement.
- Il bondissait de fureur, de rage.
- Ces mots font bondir les opposants à Netflix en France, qui, de leur côté, qualifient Alberto Barbera de traître. — (Michel Guerrin, Venise qui rit, Cannes qui pleure, Le Monde. Mis en ligne le 14 septembre 2018)
- (Sens figuré) Se hâter.
- Avant-guerre, du temps de sa généreuse et brillante jeunesse de bohème malchanceux, il bondissait avec légèreté vers la thune quotidienne. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 10)
- Aussitôt, une vingtaine de cavaliers du maghzen, moukkala en travers de la selle, bondirent au galop dans cette direction. — (Roger Frison-Roche, Djebel Amour, Éditions Flammarion, 1978, rééd. Arthaud, 2011, chapitre 6)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.