Dictionnaire des rimes
Les rimes en : créole
Mots qui riment avec "ol"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "créole".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ol , ols , oll , ole , oles , olle , olles , aul , aule et aules .
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pyrrol
- (Chimie) (Désuet) Variante orthographique de pyrrole.
- Ce glucoside donne la réaction de Millon aussi bien que la réaction xanthoprotéique ; dans ses vapeurs, on décèle du pyrrol. — ( Henri Colin, De la matière à la vie, 1926)
- Le pyrrol forme un liquide incolore, d’une odeur agréable, rappelant le chloroforme, d’une saveur brûlante ; il bout à 133° et possède une densité de 1,077. — (Ad. Wurtz, Dictionnaire de chimie pure et appliquée, Hachette, 1876)
- chamole
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grisolle
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe grisoller.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe grisoller.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe grisoller.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe grisoller.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe grisoller.
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survole
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de survoler.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de survoler.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de survoler.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de survoler.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de survoler.
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espagnole
- Féminin singulier de espagnol.
- Il est d’ailleurs intéressant de constater que l’image de Vivès, telle qu’on peut l’appréhender en Espagne ou en langue espagnole dans les dernières décennies, s’est progressivement «valencianisée». — (Tristan Vigliano, Ioannes Lodouicus Viues Valentinus : réflexions sur Vivès, sa patrie valencienne, ses deux identités, 2013)
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épaule
- (Anatomie) Partie du corps qui attache au cou l’articulation du bras chez l’être humain et du membre antérieur chez les quadrupèdes ; articulation qui relie l'arrière-bras au tronc.
- Rien de gracieux comme ses mouvements d’épaules, lorsqu’elle attire le menton pour se cacher entièrement la figure, qui, par instants, se montre à la dérobée. — (Flora Tristan; Les Femmes de Lima, dans Revue de Paris, tome 32, 1836)
- Un long baiser rescella leur pacte. Aïssa, lourde de langueur, avait renversé sa tête sur l’épaule de son amant. — (Victor Margueritte, Un cœur farouche, Paris : Ernest Flammarion, 1921 page 61)
- Les cordelettes m’entraient dans la chair, les mains me faisaient mal et la position dans laquelle mes bras étaient maintenus me brisaient les épaules. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- Il tient volontiers sa tête courbée, les épaules un peu hautes, le dos rond, les bras ballants. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 208)
- Malgré les mouvements brusques, imprévisibles souvent du bateau, il restait debout à son poste, bien d’aplomb sur ses courtes jambes et il ne tressaillait même pas quand des paquets de mer s’abattaient sur ses vastes épaules. — (Georges Sim (pseudonyme de Georges Simenon), L’île des maudits, éditions J. Ferenczy et Fils, 1929, réédition 1980, chapitre VIII)
- […]; et le maréchal, avec son tablier de cuir et ses manches de chemise retroussées jusqu'à l’épaule, tenait le cheval par la bride, parce que le cheval était un peu nerveux. — (Gilbert Guisan, C.-F. Ramuz ou Le génie de la patience, page 43, E. Droz, 1958)
- (Par extension) (Au pluriel) Carrure.
- C’est un bel homme bien en chair, élégant en effet, quoique de massive encolure, avec de larges épaules, des joues pleines, de beaux yeux noirs caressans, […]. — (Ernest Duvergier de Hauranne, Huit mois en Amérique, Revue des deux mondes, Vol.2005, 1866, p. 495)
- C’était en somme, avec sa peau blanche, sa haute taille et ses larges épaules, un fort beau cavalier dans l’acception ordinaire du mot, […]. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre IV)
- (Familier) Symbole de la force de caractère.
- Dès l’Ite Missa est, la sacristine s’agita. Longue, plate et noire comme un staphyllin, desséchée par cinquante ans de célibat concentré, elle semble porter sur ses épaules étroites tout le deuil de la terre, expier tous les péchés du monde. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Il n’a pas les épaules assez fortes, il a les épaules trop faibles pour un tel emploi, pour soutenir une telle charge, pour mener à bien cette entreprise : Il n’a point assez de talent, assez de bien, de ressources.
- (Fortification) Partie saillante que forme la réunion des pans nommés flanc et face d’un bastion.
- Rieux réfléchissait. Par la fenêtre de son bureau, il regardait l’épaule de la falaise pierreuse qui se refermait au loin sur la baie. — (Albert Camus, La Peste, 1947)
- etaule
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vacuole
- (Didactique) Interstice ou petit espace vide.
- Pendant le travail de dissolution, on voit apparaître à l’intérieur des brins des vacuoles lenticulaires assez volumineuses. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature; 1re partie: Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
- Petite cavité d’un tissu ou d’un élément anatomique pleine de gaz ou de liquide, et paraissant vide par rapport au tissu solide qui l’entoure.
- (Microbiologie) Vésicule liée à la membrane du cytoplasme d’une cellule.
- Alors qu'en milieu normal le rH2 cytoplasmique est compris entre 9 et 12, celui des vacuoles est toujours supérieur à 16, c'est à dire que, tandis que le cytoplasme normal est nettement réducteur, le vacuome hydrophile incorporé se montre oxydant. — (Pierre Dangeard, Le vacuome de la cellule végétale : morphologie, vol. 3, part. 4, Éditions Springer 1956, p. 35)
- firfol
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hyperbole
- (Littéraire) Figure de style qui consiste à augmenter la vérité des choses, exagération volontaire dans le but de produire un effet.
- Moy-mesme, qui faicts singuliere conscience de mentir et qui ne me soucie guiere de donner creance et authorité à ce que je dis, m’apperçoy toutesfois, aux propos que j’ay en main, qu’estant eschauffé ou par la resistance d’un autre ou par la propre chaleur de la narration, je grossis et enfle mon subject par vois, mouvemens, vigueur et force de parolles, et encore par extention et amplification, non sans interest de la verité nayfve. Mais je le fais en condition pourtant, qu’au premier qui me rameine et qui me demande la verité nue et crue, je quitte soudain mon effort et la luy donne, sans exaggeration, sans emphase et remplissage. La parole vive et bruyante, comme est la mienne ordinaire, s’emporte volontiers à l’hyperbole. — (1595, Montaigne, Essais, Livre III, Chapitre 11, P. U. F., 1965)
- Il y a un tour de Fiction, au moyen duquel la penſée ne doit pas être entendue littéralement comme elle eſt énoncée, mais qui laiſſe apercevoir le véritable point de vûe en le rendant ſeulement plus ſenſible & plus intéreſſant par la Fiction même. De là naissent l’Hyperbole, la Litote, l’Interrogation, la Dubitation, la Prétérition, la Réticence, l’Interruption, le Dialogiſme, l’Épanorthoſe, l’Épitrope, & l’Ironie ; celle-ci ſe ſoudiviſe, à raison des points de vûe ou des tons, en ſix eſpèces ; ſavoir, la Mimèſe, le Chleuaſme ou Perſifflage, l’Aſtéiſme, le Charientiſme, le Diaſirme, & le Sarcaſme. — (Encyclopédie méthodique : Grammaire et Littérature, tome second, Panckoucke / Plomteux, Paris / Liège, 1784)
- Il était exaspéré, parlait très-haut, et pour la première fois peut-être de sa vie mettait des hyperboles là où sans cesse il employait des diminutifs de mots ou d’idées. — (Eugène Fromentin, Dominique, L. Hachette et Cie, 1863, réédition Gründ, pages 194-195)
- Ils ne sont pas en peine d’être gouailleurs et d’employer avec la pratique un langage ambigu, la métaphore et l’hyperbole. — (Gabriel Maury, Des ruses employées dans le commerce des solipèdes, Jules Pailhès, 1877)
- Telle est, fleurie de métaphores et d’hyperboles, la beauté de la femme arabe vue par son poète ; […] — (Pierre Louÿs, La femme dans la poésie arabe, dans Archipel, 1932)
- Vossius justifie son hypothèse par des remarques d’ordre philologique : les paroles de Moïse ne doivent pas nécessairement être prises dans un sens absolu, mais elles doivent être entendues d’après le génie propre des langues orientales, qui ont souvent recours à l’hyperbole, aussi bien dans les écrits historiques que dans les textes poétiques. — (Seguin, Maria Susana. « Déluge et déluges : de la pluralité des mondes au polygénisme », Dix-septième siècle, vol. 221, no. 4, 2003, pp. 685-694.)
- Les astrologues n’ont jamais fourni d’explication satisfaisante à la question suivante : pourquoi les astéroïdes et les satellites ne sont-ils pas pris en compte dans l’élaboration d’un horoscope ? Les réponses que l’on entend habituellement relèvent davantage de l’hyperbole que de la logique. — (Barry Williams (traduit par Claude Lafleur), L’astrologie confrontée aux progrès de l’astronomie, dans Le Québec sceptique, n°24, p.41, décembre 1992)
- Dans la vie, y’a le Superbowl, et l’hyperbole — (2017, Fares C. aka John Mitzewich) Les deux hyperboles (2) (rouge).
- (Géométrie) Section faite dans un cône du second degré par un plan qui, étant prolongé, rencontre les deux nappes de cette surface.
- Toute vie signifie, fût-ce celle d’un insecte, et le sentiment de son importance, énorme en tout cas pour celui qui l'a vécue, ou du moins de son unique singularité, augmente au lieu de diminuer quand on a vu la parabole boucler sa boucle, ou, dans des cas plus rares, l’hyperbole enflammée décrire sa courbe et passer sous l'horizon. — (Marguerite Yourcenar, Souvenirs pieux, 1974, collection Folio, page 157)
- farinole
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apicole
- Qui a rapport à l’apiculture, à l'élevage des abeilles.
- Une partie des récoltes 1975 et 1976 reste invendue. Il semble qu'elles devront être supportées par les apiculteurs et les négociants et coopératives apicoles conditionnant, qui demandent du crédit, alors que les producteurs veulent du comptant. — (« Marché mondial du miel », traduit & résumé d’American Bee Journal par Richard Biette, dans La Gazette apicole, vol. 78, 1977, p. 120)
- On ne peut pas comprendre lʼévolution de la recherche apicole en France sans faire un retour en arrière et sans examiner, au moins sommairement, ce qui se passait dans le monde apicole entre 1800 et 1940. — (Jean Louveaux, Les abeilles et lʼapiculture: Chronique historique de la Zoologie agricole française, 1996)
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corolle
- (Botanique) Partie d’une fleur complète formée de l'ensemble de ses pétales, qui enveloppe immédiatement les organes de la fécondation et qui est ordinairement colorée.
- La nature, pimpante et piquante comme une brune au printemps, devient mélancolique et douce comme une blonde, les gazons se dorent, les fleurs d’automne poussent leurs pâles corolles, ce n’est plus les marguerites qui percent les pelouses de leurs yeux blancs, mais de rares calices violâtres. — (Honoré de Balzac, Les Paysans, 1845, deuxième partie, chapitre septième)
- Le mélampyre des champs a son insecte pollinisateur, un bourdon, le Bombus hortorum, seul en son genre à pénétrer dans l’étroit tube de la corolle pour y rechercher le nectar ; les autres bourdons perforent le tube à sa base. — (Le Courrier de la nature, 1980, n°65-76, page 41)
- (Par analogie) Objet en forme de corolle.
- Une corolle de bain.
- Aussitôt, la formation de Stukkas s’ouvrit, se déploya gracieusement en corolle comme une fleur gigantesque, se scinda en deux. Une partie s’étira dans la direction des chasseurs. L’autre parut se contracter, se rétrécir, et piqua droit vers la mer. — (Robert Merle, Week-end à Zuydcoote, 1949, réédition Le Livre de Poche, page 78)
- Aujourd'hui, Manuela est de bonne humeur, je le vois bien. Elle déballe avec entrain une petite bourriche saturée de financiers encore sertis des corolles blanches dans lesquelles ils ont cuit [...]. — (Muriel Barbery, L'élégance du hérisson, Gallimard, 2006, p. 72)
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torcol
- (Ornithologie) Genre d’oiseaux grimpeurs formicivores comprenant deux espèces arboricoles exclusives à l’Ancien Monde, de la famille des picidés, et qui diffèrent des « vrais » pics par leur cou si flexible qu’ils peuvent le tourner presqu’à 180 degrés, par leur queue souple qui ne peut servir d’appui comme le fait celle des pics, de sorte qu’ils se nourrissent en se perchant sur les fourmilières, et par le fait qu’ils ne creusent pas eux-mêmes de nids à l’intérieur des troncs d’arbres à cause de leur bec trop grêle, mais réutilisent les anciens nids de pics (genre Jynx).
- Les pics appartiennent à la même famille que les torcols.
- Le torcol n’est pas très rare, mais il vit très caché et passe inaperçu de ceux qui ne le cherchent pas. — (Eugène Rambert, Chants d’oiseaux : Monographies d’oiseaux utiles, 1986)
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crésol
- (Chimie) Mélange des trois isomères, ortho-, méta- et para-, du méthylphénol (C7H8O), liquide toxique d’odeur forte qui fut utilisé comme antiseptique et conservateur des bois.
- La présente invention a pour objet un procédé pour fixer le crésol, le créolin, les huiles de goudron, etc., et elle est plus particulièrement destinée à donner au crésol, au créolin, etc., la forme de tablettes. — (Revue de chimie industrielle: produits chimiques-couleurs-teintures-métallurgie [etc.], Volume 19, 1908)
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vérole
- Syphilis, maladie vénérienne.
- — J’allais autrefois à l’hôpital Broca où l’un de mes anciens camarades de lycée était externe en médecine. J’ai vu passer au spéculum toutes les filles, avec leurs maladies. J’ai vu passer les petites femmes du Quartier qui ont un chancre et qui rient parce qu’on leur a dit : « La vérole n’est rien. Pendant trois ans on prend des pilules. » J’ai vu passer les femmes qui ont dix-huit mois de vérole et qui pleurent. — (Charles-Louis Philippe, Bubu de Montparnasse, 1901, réédition Garnier-Flammarion, pages 119-120)
- Sur les deux mâles, l’un rempilait comme adjudant au 55e de ligne, en Avignon, cité des Papes et des punaises, et cueillait une flamboyante vérole parmi les nymphes de la rue des Grottes. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 27)
- Si je l’aime, c’est pour son mal, c’est pour son mal,Nous sommes unis par la vérole,Plus que par le lien conjugal, lien conjugal ! — (Chanson paillarde)
- […] il détermine la conception que l’auteur a de la sexualité ; la femme au sexe béant est souvent identifiée à la vérole porteuse de mort. — (Alain Corbin, Les Filles de noce, 1978)
- L’infirmerie toute cliquetante de petits bruits, d'instruments de verre étincelants, carrelage et chrome, recevait l'équipage : accidents du travail, bobos, fracturettes et flemmingites, mais aussi des véroles, des deliriums, de vieux paluds, puis c'était les passagers, pathologie de l'ennui, de l'isolement, des troubles indicibles, la tension, les insomnies ou les bourbouilles. — (Xavier Emmanuelli, Ballade pour un père: récit, Éditions Ramsay, 1980, p. 130)
- echantignole
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taurobole
- (Antiquité) Sacrifice expiatoire d’un taureau en l’honneur de Cybèle ou de Mithra.
- Autel sur lequel ces sacrifices étaient faits.
- bezolles
- vercol
- brugairolles
- bressolles
- bairols
- lampaul
- bezole
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.