Dictionnaire des rimes
Les rimes en : cousu
Que signifie "cousu" ?
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- Lié par une couture.
- (Sens figuré) Qui est plein.
- Naturellement je redouble de vitesse… mais tout à coup… pif ! paf ! pan !… des coups de revolver plein l’escalier !… Il est cousu de revolvers, ce vieux trappeur ! — (Eugène Labiche, Doit-on le dire ?, 1872)
- Les truands se dissimulaient dans toutes les encoignures des maisons, et gare au bon bourgeois cousu d'or, qui rentrait trop tard chez lui. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 43)
Mots qui riment avec "u"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "cousu".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : u , us , ut , uts , ûs , ût , ûts , ue et ues .
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ébattu
- Participe passé masculin singulier du verbe ébattre.
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connut
- Troisième personne du singulier du passé simple de connaître (ou connaitre).
- Ligny connut des sièges, toutes les famines et les pestes. — (Revue lorraine populaire, n° 4, juin 1975, page 90)
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diffus
- Qui se répand dans tous les sens. (En particulier) (Physique) Qui est renvoyé par réflexion irrégulière.
- Lumière diffuse, chaleur diffuse.
- (Botanique) Dont les ramifications, naissant de tous côtés, s’étalent horizontalement.
- La tige diffuse de la fumeterre.
- Des rameaux diffus.
- (Sens figuré) Qualifie ce qui exprime la pensée avec trop d’abondance et sans ordre.
- Style diffus.
- Langage diffus.
- Tout ce qu’il écrit est presque incompréhensible à force d’être diffus.
- Un écrivain diffus.
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maintenu
- Participe passé masculin singulier de maintenir.
- Cette illusion consiste à croire qu’un mot grec ancien encore employé en grec moderne a paisiblement traversé les siècles sans sortir de l’usage — illusion entretenue, entre autres, par un ouvrage comme le Dictionnaire étymologique de la langue grecque de Chantraine, qui, sous couvert d’«histoire des mots», indique, le plus souvent sans enquête historique véritable, que «le grec moderne a gardé …», alors que, dans de nombreux cas, le mot moderne censé s’être maintenu dans l’usage depuis l’Antiquité n’est rien d’autre qu’un «emprunt fait au grec ancien au XVIIIe ou au XIXe siècle». — (Jean Lallot, Vessies et lanternes dans l’histoire du vocabulaire grammatical grec, contribution à un ouvrage collectif dirigé par Louis Basset, Frédérique Biville, Bernard Colombat, Pierre Swiggers et Alfons Wouters, Bilinguisme et terminologie grammaticale gréco-latine, 2007)
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jus
- (Linguistique) Code ISO 639-3 de la langue des signes de Jumla.
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afflue
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe affluer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe affluer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe affluer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe affluer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe affluer.
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battue
- (Chasse) Action de plusieurs personnes qui battent les bois et les taillis pour en faire sortir le gibier.
- Le directeur de battue, Laurent L., un Lotois de 52 ans, affirme qu’il a bien énoncé les règles, mais « certains n’écout[aient] pas ». — (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 18 novembre 2022, page 4)
- Les gazelles et les outardes ne manquent pas non plus, mais il faudrait organiser des battues pour s’en emparer. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 123)
- Les messieurs se déplacent en majestueux arroi pour les grandes battues. — (Marguerite Yourcenar, Souvenirs pieux, 1974, collection Folio, page 137)
- Dans ce cas, le préfet peut limiter l’étendue de la battue : en juin 1840, « une battue est nécessaire sur les communes de Bouesse et Mosnay, mais en raison de l’avancement de la saison, ces chasses doivent être restreintes aux bois qui sont entourés de brandes ou de chemins publics, afin de n’exposer les récoltes à aucun dommage. » — (Daniel Bernard, La fin des loups en Bas-Berry: XIXe-XXe siècles : histoire et tradition populaire, Badel, 1977, page 134)
- (Manège) Bruit que produit le pied du cheval, en frappant sur le sol, dans la marche.
- (Phonétique) (Génériquement) Type de consonne dont le mode d’articulation est le battement.
- (Phonétique) (Spécifiquement) (Par ellipse) Consonne battue.
- (Soierie) Opération par laquelle, dans les magnaneries, on sépare les fils de soie des cocons.
- La construction du tour peut bien donner à la soie toutes les qualités que je viens de lui assigner ; mais la netteté & l’égalité dans le fil, dépendront toujours de trois manutentions antécédentes; la première est de tirer chaque qualité de cocon séparément; la seconde de les purger exactement & en petite quantité à chaque battue; la troisième de ne jamais jeter qu’un seul brin à la fois, pour entretenir l’égalité de grosseur dans le fil de soie.— (Histoire de l’Académie royale des sciences: avec les Mémoires de mathématique et de physique, pour la même année, tirés des registres de cette Académie, G. Martin, 1773, page 445)
- (Zoologie) Trous que se creusent certains poissons dans la vase ou le sable pour y séjourner l’hiver.
- (Musique) Mouvement fait avec la main, le pied ou une baguette pour indiquer les temps.
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haïku
- (Poésie) Petit poème japonais de trois vers comportant respectivement 5, 7 et 5 mores (ou syllabes en français) et contenant un kigo (mot de saison).
- Il y a deux formes de poésie moderne dans le Japon : le haïku et le tanka.
- André Duhaime est un pionnier du haïku au Québec et par son écriture, et par ses initiatives pour encourager cette forme d'écriture. Dès 1981, il publie le premier de plusieurs recueils de haïkus, puis en 1990 un recueil de tankas. — (Nuit blanche n° 167, été 2022, p. 25)
- Ne décrivant ni ne définissant, le haïku (j’appelle ainsi finalement tout trait discontinu, tout événement de la vie japonaise, tel qu’il s’offre à ma lecture), le haïku s’amincit jusqu’à la pure et seule désignation. C’est cela, c’est ainsi, dit le haïku, c’est tel. — (Roland Barthes, L’empire des signes, Éditions du Seuil, 1970, page 114)
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crocus
- (Botanique) Plante à fleurs violettes et jaunes dont est extrait le safran, de nom scientifique Crocus sativus.
- Le crocus fleurit au début du printemps ou à l'automne.
- Les fins d’étés surtout étaient délicieuses là-bas, quand les plaines devenaient toutes violettes de crocus, au pied des bois déjà jaunis. — (Pierre Loti, Le Roman d'un enfant, 1890)
- Assise sur le banc dans le parc du château de Nérac, la jeune fille semblait lire son gros livre les pieds enfoncés dans deux bouquets de crocus. — (Jean-Marie Gourio, Chut, 1998)
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étendu
- Grand, large, vaste.
- Un empire fort étendu.
- La vue est ici fort étendue.
- Un pouvoir fort étendu.
- Responsabilité peu étendue.
- Des connaissances étendues.
- (Lexicographie) Qui correspond à un ensemble plus grand de référents.
- Dans un article de dictionnaire, le sens étendu est généralement indiqué sous un autre numéro que le sens non étendu. — (Nicole Tournier et Jean Tournier, Dictionnaire de lexicologie française, Ellipse poche, 2017, page 135)
- (Héraldique) Se dit des animaux ailés ou du vol qui est représenté les ailes déployées.
- D’azur à trois licornes acculées d’argent surmontées d’un vol étendu du même, qui est de Sassey → voir illustration « vol étendu »
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fondu
- (Cinéma, Télévision) Apparition ou disparition progressive de l’image obtenue par une variation de l’exposition.
- (Audiovisuel) Abaissement volontaire et progressif du niveau du signal son jusqu’à l’annulation.
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débattu
- Participe passé masculin singulier de débattre.
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contrevenu
- Participe passé masculin singulier de contrevenir.
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bru
- (Linguistique) Code ISO 639-3 du bru de l’Est.
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avenue
- Voie urbaine d’importance et de taille diverses. Toutefois, en général, une avenue est moins importante qu’un boulevard.
- La grande avenue était complètement déserte : on avait accordé trois heures aux habitants pour vider les lieux, et tout le monde, semblait-il, s’était hâté d’en profiter. — (H. G. Wells, La Guerre dans les Airs, 1908, traduit par Henry-D. Davray & B. Kozakiewicz, Mercure de France, 1921, page 304)
- On les retrouve au kébab du coin, au bout de l’avenue Jean-Jaurès où une pancarte annonce : « Dernier kébab avant le périph », au Café de la musique du parc de la Villette, au café MK2 du quai de Seine. — (Régine Robin, Le mal de Paris, éd. Stock, 2014)
- L’image aérienne vient d'en révéler l'importance en mettant en évidence une grande avenue, des monuments, et surtout, les horrea, grands entrepôts d'état, généralement associés à une activité portuaire. — (Jacques Dassié, Manuel d'archéologie aérienne, Éditions TECHNIP, 1978, page 2)
- Allée plantée d'arbres conduisant à une habitation.
- Une avenue d’ormes.
- On arrive au château par une large avenue.
- Voie urbaine bordée d’arbres.
- La route que nous suivons est d’abord une belle avenue d’eucalyptus traversant des champs de céréales et montant doucement jusqu'à son point culminant, à 620 mètres. — (Frédéric Weisgerber, Huit jours à Ténériffe, dans la Revue générale des sciences pures et appliquées, Paris : Doin, 1905, vol. 16, page 1039)
- Bien qu’il connût la route, il s’avançait avec précaution, dans cette avenue que bordaient d’énormes arbres dont les cimes se perdaient dans l’ombre. — (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
- Dans les villes, large artère rectiligne, ouvrant une perspective.
- Je me suis promené sur l’avenue des Champs-Élysées.
- L’avenue de l'Opéra conduit au palais Garnier.
- (Par extension) Rue importante, quelle que soit son orientation, en particulier quand elle est bordée d’arbres.
- Quand tout dort encore, les larges avenues de Carpentras voient affluer des amoncellements d’asperges, de petits pois, de pomme de terre, de cerises et de fraises. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- (Vieilli) Chemin par lequel on arrive en un lieu.
- Gardes, saisissez-vous de cet homme et le branchez incontinent au premier arbre de mon avenue. — (Octave Mirbeau, Le gamin qui cueillait les ceps, dans La Vache tachetée, 1918)
- Les gardes occupaient toutes les avenues du palais. — L’armée s’empara de toutes les avenues des montagnes.
- (Chasse) (Vieilli) Chemin ou sentier pratiqué en vue d’une pipée.
- Quand les perches vivantes qu'on veut faire servir sont trop grosses pour être inclinées dans l’avenue, on leur donne un léger coup de serpe à la hauteur de 3 à 4 pieds et demi, ce qui donne la facilité de les abaisser. Si on n’a pas de perches voisines de l’avenue qu'on puisse plier, on emploie les branches qu'on a coupées, soit sur l'arbre de pipée, soit pour former les allées, et on les fixe solidement en terre, en leur donnant toujours une certaine inclinaison. — (Jacques-Joseph Baudrillart, Traité général des eaux et forêts, chasses et pêches, volume 8, Huzard, Paris, 1821, page 600)
- (Par extension) Moyen qui conduit à un but.
- Cette année-là, nos relations n’allèrent pas beaucoup plus loin : une ou deux chasses où M. de Bray me pria de prendre part, quelques visites reçues ou rendues, et qui me firent mieux connaître les chemins de son village qu’elles ne m’ouvrirent les avenues discrètes de son amitié. — (Eugène Fromentin, Dominique, L. Hachette et Cie, 1863, réédition Gründ, page 22)
- Échanger avec ses supérieurs, non selon le mode de la soumission, de la séduction ou de la révolte, mais dans une perspective d’entraide et de solidarité, représente une autre avenue de la connaissance de soi. — (Solange Cormier, La Communication et la gestion, 2006)
- Le biochar, charbon produit par pyrolyse et utilisé comme amendement, présente plusieurs avantages et s’avère une avenue prometteuse pour une agriculture durable. — (Vicky Lévesque, Amendement en biochars, 2017)
- couvrue
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nimbus
- (Météorologie) Nom donné à une couche épaisse et longue de nuages d’un gris plus ou moins foncé, d’où tombe de la pluie ou de la neige.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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massue
- Sorte de bâton noueux, beaucoup plus gros par un bout que par l’autre, et dont on se servait comme d’arme offensive.
- […] nous trouvâmes Térence Dun étendu par terre, le crâne fracassé d’un coup de massue. — (Dillon, Voyage dans la mer du sud, Revue des Deux Mondes, 1830, tome 1)
- (Jonglerie) Accessoire traditionnel de la jonglerie aérienne.
- C'était un numéro de passing notamment, à deux trapèzes et neuf massues. Loco y assurait la réception au sol, renvoyant aux deux acrobates qui se croisaient en mouvement synchronisé les massues tournoyantes. — (Raphaël Péaud, Circus Aléa, Éditions Le Manuscrit, 2005, page 81)
- Bastien travaillait un passing de massues avec Rémi et j'en ai compté sept. L'une d'elles montait toujours plus haut que les autres et les bras faisaient des mouvements continus, les massues émettant un bruit clair et creux lorsqu'elles claquaient contre les mains des jongleurs. — (François Pieretti, Saltimbanques, Éditions Viviane Hamy, 2019)
- (Gymnastique) Un des cinq engins utilisés en gymnastique rythmique.
- (Héraldique) Meuble représentant l’arme du même nom dans les armoiries. Rarement représentée seule, elle est généralement tenue par une main ou un dextrochère (éventuellement un sénestrochère. À rapprocher de marteau d’armes et masse d’armes.
- Écartelé : au 1) et 4) d’azur au lion d’or, au 2) et 3) de gueules au dextrochère paré d’argent mouvant du flanc senestre tenant une massue d’or inclinée en barre, qui est de la commune de Fontenelle du Territoire-de-Belfort → voir illustration « armoiries avec 2 massues »
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invaincu
- Qui n’a jamais été vaincu.
- Armée invaincue.
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crépue
- Féminin singulier de crépu.
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battu
- Qualifie un métal qui a été travaillé à la forge.
- Et les gens de Morgane entendirent un cri, et suivirent la princesse. Elle était agenouillée au milieu de la chambre murée, devant un plat de cuivre battu rempli de sang, et elle le regardait ardemment. — (Marcel Schwob, Le Livre de Monelle, Mercure de France, 1895)
- […] Des lézards, un serpent peut-être, qu’il s’attendait à tout instant à voir dégringoler parmi les assiettes de fer battu. — (Pierre Benoit, Monsieur de la Ferté, Albin Michel, 1934, Cercle du Bibliophile, page 237)
- (Phonétique) Relatif au battement.
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écu
- (Armement) Bouclier que portaient autrefois les chevaliers.
- […] le chevalier se couvrit la tête de son casque, passa son écu au bras gauche, sauta sur le rivage, tira son cheval après lui, s’élança en selle […] — (Alexandre Dumas, Othon l’archer, 1839)
- (Par extension) Armoiries, puisque celles-ci ornaient les boucliers des chevaliers.
- Son écu est parti, coupé, tranché, écartelé. L’écu de France.
- Moi, Henri II de Bourbon, prince de Condé, bien que je sois de la famille royale, bien que mon écu porte les trois fleurs de lys, je ratifie le choix qui vient d’être fait, et salue M. le duc d’Angoulême pour notre roi légitime. — (Michel Zévaco, Le Capitan, 1906, Arthème Fayard, collection « Le Livre populaire » no 31, 1907)
- (Par extension) (Numismatique) Monnaie d’or ou d’argent frappée aux armes du souverain qui l’émettait.
- D’ailleurs il ne pense pas à Modeste, cet écu de cent sous fait homme ! — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- À propos, continua le roi, n’était-ce pas dix mille écus que vous deviez toucher de M. de Guise au cas où vous tueriez l’amiral ? — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre III)
- L’argent ! ce mot retentissait à mes oreilles, toutes les minutes. Je n’entendais jamais que le tintement de ce mot qui, à la fin, avait pris comme une sonorité d’écus remués. — (Octave Mirbeau, Lettres de ma chaumière : La Tête coupée, A. Laurent, 1886)
- « Je t’envoie également cent écus romains pour le plaisir des doigts. La frappe est infiniment plus belle que celle des écus français. » — (Jean Giono, Le hussard sur le toit, 1951, réédition Folio Plus, pages 260-261)
- (Désuet) Ancienne monnaie de compte populaire.
- À la foire, les Quarréens calculent encore par pistole (monnaie de compte de dix fr.) et par louis de vingt-quatre francs. L’écu de six francs et le demi-écu ont disparu : ils appartenaient au système duodécimal ; le louis de 24, du même système, devrait disparaître aussi. — (Abbé Guignot, Essai sur Quarré-les-Tombes ; ses sarcophages mérovingiens et sa station préhistorique, impr. Bousrez, Tours, 1895, page 41)
- (Désuet) Appellation populaire des pièces de cinq francs frappées jusqu'en 1878.
- — Vous avez raison, dit Marsillat, et je suis bien fâché de n’avoir que cinq francs à joindre à votre aumône. Halte-là, Mylord, ajouta-t-il après avoir déposé son écu dans la main de la petite paysanne, et en voyant que sir Arthur se fouillait à son tour. Vous n’avez parié que cinq sous, et vous ne devez pas mettre davantage à l’offrande. — (George Sand, Jeanne, 1844)
- Je reçois de nombreuses piécettes d’argent et quelques beaux écus de cinq francs. Je m’empresse quelques jours plus tard de les porter à la Caisse d'épargne. — (Édouard Bled, « Mes écoles », Robert Laffont, 1977, page 73)
- (Sens figuré) Marque quelconque en forme de blason.
- Une indéniable sérénité se reflétait sur ses traits. Peut-être était-ce l’apaisante influence du cigare dont la bague rouge, ornée d’un somptueux écu gaufré d’or, indiquait sans discrétion le prix. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- (Sens figuré) (Au pluriel) Richesse.
- Avoir des écus.
- Format français de papier défini par l'AFNOR avec les dimensions suivantes : 40 × 52 cm.
- (Comptes) Acronyme de l’anglais European Currency Unit (Unité de Compte Européenne ou UCE, en français) et qui servit de référence monétaire avant l’introduction de l’euro. Son symbole est ₠ (Unicode U+20A0), son code ISO 4217 ECU.
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goulu
- Qui aime à manger, qui mange avec avidité.
- Toutes les femmes semblent échappées d'un carême ; elles se jettent à la viande, goulues; et pleines, et repues, elles laissent négligemment échapper « qu'un rien les indigestionne. » — (Edmond de Goncourt & Jules de Goncourt, Histoire de la société française pendant le directoire, 1864, 3e éd.p.189)
- Pourtant, si l’on avait l’artDe m’accommoder au lardUn bon plat de ces lentilles,Si petites, si gentilles,J'aurais le tort qu’ÉsaüA eu, Aussi goulu que velu. — (Arm. Gouffé, Chanson)
- (Par extension) Avide.
- Donnez-moi cette main qu’il ne baisera plus,Je veux la dévorer de mes baisers goulus. — (Paul Scarron, D. Japhet d’Arm. III, 4)
- C'est que chacun n'a pas cette amitié goulueQui n'en veut que pour soi. — (Molière, Éc. des femmes, II, 3)
- Sous la moustache blonde du grand gaillard, ses lèvres goulues cherchaient la bouche voluptueuse, cependant que l’autre, sans s’attarder à des bagatelles inutiles et connaissant la valeur du temps, troussait vigoureusement les jupes. — (Louis Pergaud, La Vengeance du père Jourgeot, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Le cocher contemplait Thérèse avec une attention goulue. — (François Mauriac, Thérèse Desqueyroux, Grasset, 1927)
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bonus
- Prime.
- Plus astucieux encore, des bonus leur sont alloués s’ils acceptent de participer activement à la diffusion de leurs inventions. — (Du bon usage de la piraterie, chapitre 3)
- Les stocks-options, en particulier les golden parachutes et autres bonus attribués aux dirigeants, ont fait l'actualité de nombreux journaux, soulignant les limites de ces pratiques salariales. — (Frank Bournois, Comités exécutifs: voyage au cœur de la dirigeance, Éditions Eyrolles, 2007, page 735)
- Décret no 96-1013 du 19 novembre 1996 portant dévolution des boni de liquidation de la taxe parafiscale sur les granulats. — (site www.legifrance.gouv.fr)
- Élément additionnel qui offre une plus-value au produit initial.
- (Audiovisuel) Ensemble de documents annexes qui complètent l’édition vidéographique d’un film.
- Ce DVD est fourni en bonus de toute sorte.
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capus
- Variante de capō
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.