Dictionnaire des rimes
Les rimes en : boulaur
Mots qui riment avec "or"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "boulaur".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : or , ors , ort , orts , ord , ords , aur , aurs , aure , aures , orps , ore et ores .
- avord
- lampadephore
- hardifort
-
fumivore
- Qui absorbe la fumée.
- Appareil fumivore.
- Si innocentes que fussent les premières applications de son industrie, elles devaient néanmoins l’amener à des recherches plus sérieuses, qui l’occupèrent dans la suite, et dont le premier résultat fut l’invention de cette "pipe fumivore hygiénique, pour fumeurs délicats de la poitrine et autres", qui resta longtemps exposée à la devanture du pharmacien. — (André Gide, Les Caves du Vatican, 1914)
- lamprophore
- camptort
-
ignore
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de ignorer.
- Il suffit, pour s’en convaincre, d’observer Mathilde, le respect religieux qui préside à son installation « dans le fauteuil de Monsieur Antoine », la bonne volonté qu’elle met à s’auto-fasciner en regardant fixement le « point brillant » que je lui propose, un accessoire chromé, prélevé sur le socle d’un microscope, et dont j’ignore l’usage exact ! — (G. Morris, Les plasmoïdes au pouvoir ?, 1981)
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de ignorer.
- Tel quel, le récit biblique du Jardin d’Eden ignore les notions de chute et de péché originels. — (Jean Alexandre, Eden, huis-clos, une parabole du dieu critique, 2002)
- Et l’on peut croire qu’il existe réellement « une raison qui s’ignore » de faits semblables, parce que si dans notre cas, le Moi subconscient du sensitif avait prévu l’accident fatal qui le menaçait en inférant l’avenir du présent, très libre comme il était de pourvoir à sa propre sûreté, il aurait pu télépathiser à sa femme l’événement en termes assez clairs pour atteindre son but. — (Annales des sciences psychiques, volume 23, 1913, page 176)
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de ignorer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de ignorer.
- Il arrive presque toujours qu’un homme ignore les bruits qui courent sur son compte : une ville entière s’occupe de lui, le calomnie ou le tympanise ; s’il n’a pas d’amis, il ne saura rien. — (Honoré de Balzac, La Vieille fille, 1844)
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de ignorer.
-
abord
- (Vieilli) Action d’arriver au bord, de toucher le rivage.
- Nous avons tenté l’abord inutilement. - À notre abord dans l’île, nous fûmes attaqués. - L’abord de cette côte est difficile et dangereux.
- (Par extension) Accès.
- On a tenté l’abord de ce pays. - Ce pays est d’un abord difficile.
- (Par extension) (Au pluriel) Espace entourant un lieu.
- La Cara s’est engagée d’une part, à fournir des conteneurs dont le ramassage devrait être effectué quotidiennement par la Coved, et d’autre part à assurer le nettoyage du terrain et des abords, trois fois par semaine. — (journal Sud-Ouest, édition Charente-Maritime / Charente, 9 juillet 2022, page 20)
- Tumultueux concours de monde aux abords de l’embarcadère, gens qui partent et gens qui regardent partir, recrutés parmi la population cosmopolite de Bakou. — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre III, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- Par surcroît, chaque été, des plaines du Bas-Languedoc (Hérault, Aude) montent par les drailles du Larzac et de la Montagne-Noire, vers les montagnes et jusqu’aux abords de l’Aubrac, 200 000 moutons. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- (Vieilli) Action d’approcher quelqu’un.
- Craindre l’abord de quelqu’un.
- (Par extension) Accueil fait par quelqu’un.
- Nombre de gens m'ont pris en grippe sur cette première impression, qui, plus tard, revenus de leur antipathie, m'ont témoigné une bonne et franche amitié, tout en m'avouant que mon abord les avait tout de suite agacés contre moi. — (Hippolyte de Villemessant, Mémoires d'un journaliste, 1867, tome 1)
- Seulement, je me rends compte qu’il n’apparaissait tel que je l’ai retenu que dans l’intimité du foyer, après que le contact avait dissipé les préventions que causaient son aspect et son abord. — (Joseph Caillaux, Mes Mémoires, I, Ma jeunesse orgueilleuse, 1942)
- nabor
-
tabor
- (Maroc) (Militaire) Groupement de plusieurs goums.
- Chaque contingent constitue un tabor qui, suivant sa force numérique, peut être comparé à un régiment ou à un bataillon. Le tabor est commandé par un caïd er-r’h a (mestre de camp) secondé par son khalifa (lieutenant) et se divise en plusieurs mia (compagnies d'une centaine d'hommes) commandés par des caïd mia (centurions) et des m’kademîn (sous-officiers). — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 80)
- Chaque contingent du guîch forme une r’ha sous les ordres d’un caïd et est divisée, comme les tabor de l’âsker, en groupes de cent hommes. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 79)
- montaure
-
héliodore
- (Minéralogie) Variété de béryl de couleur jaune avec des nuances verdâtres ou miel dues au fer.
- Les qualités gemmes du béryl sont l’aigue-marine (bleue), l’émeraude (verte), le béryl doré (jaune canari à jaune d’or), l’héliodore (jaune-verte), la morganite (rose), le béryl rouge. — (Pierre Blazy et El-Aïd Jdid, Métallurgie du béryllium, 2005)
-
déplore
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de déplorer.
- Je m’étais proposé de dire un mot dans mon oraison contre l’usage que je déplore ; mais une voix intérieure ne me le permit pas, et je reconnais que ce que j’eusse dit sur ce sujet n’aurait fait, dans ce moment, que de désédifier mes auditeurs. — (Samson Vuilleumier, Robert Centlivres, Henri Meylan, L’église vaudoise dans la tempête, Lettres choisies de Samson Vuilleumier, 1947, page 49)
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de déplorer.
- Une communication « très légère », déplore Paul Poulain, ingénieur consultant risques industriels au cabinet Riskcare, et auteur de Tout peut exploser (éd. Fayard). — (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 18 janvier 2023, page 7)
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de déplorer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de déplorer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de déplorer.
-
honore
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de honorer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de honorer.
- Il me fallait un malheur comme celui-là pour me déciller les yeux, et me désaccoquiner de la hantise d’un lieu qui au bout du compte n’honore pas ceux qui le fréquentent. — (Jean-Baptiste Rousseau, Lettres (Lettre II), in Œuvres de J. B. Rousseau, tome IV, 1818, page 134)
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de honorer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de honorer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de honorer.
-
fluor
- (Chimie) (Indénombrable) Élément chimique de numéro atomique 9 et de symbole F qui fait partie des halogènes. C’est le plus électronégatif de tous les éléments chimiques.
- Le fluor constitue un bon exemple d'un élément hormétique pour les animaux à sang chaud : la concentration minimale de fluor dans l'eau de boisson et l'alimentation qui leur est nécessaire étant à peine quelques dizaines de fois plus faible que celle à partir de laquelle cet élément provoque l'apparition de symptômes d'intoxication. — (François Ramade, Introduction à l'écotoxicologie : Fondements et applications, Éditions Tec & doc, 2007, page 150)
- (Chimie) (Indénombrable) Gaz halogène jaune pâle, toxique et irritant, formé de difluor F2. C’est un des corps les plus réactifs en chimie : il réagit avec presque toutes les substances.
- (Physique) (En particulier) Atome (ou, par ellipse, noyau) de fluor.
- Les chlorofluorocarbones comptent tous plusieurs fluors.
-
for
- (Linguistique) Code ISO 639-3 du fore.
-
mirliflore
- (Familier) Jeune homme qui se pique d’élégance, qui fait l’agréable, qui cherche à briller.
- — Ce sont là des inventions de Paris ! Voilà les idées de ces messieurs de la Capitale ! c’est comme le strabisme, le chloroforme et la lithotritie, un tas de monstruosités que le gouvernement devrait défendre ! Mais on veut faire le malin, et l’on vous fourre des remèdes sans s’inquiéter des conséquences. Nous ne sommes pas si forts que cela, nous autres ; nous ne sommes pas des savants, des mirliflores, des jolis cœurs ; nous sommes des praticiens, des guérisseurs, et nous n’imaginerions pas d’opérer quelqu’un qui se porte à merveille ! Redresser des pieds bots ! est-ce qu’on peut redresser les pieds-bots ? c’est comme si l’on voulait, par exemple, rendre droit un bossu ! — (Gustave Flaubert, Madame Bovary, 1857, édition Louis Conard, 1910, page 252)
- Fritz était là, devant la glace, vêtu comme un mirliflore. — (Erckmann-Chatrian, L’ami Fritz, 1864)
-
raifort
- (Botanique) Armoracia rusticana, plante de la famille des Brassicacées.
- (Botanique) (Courant) Synonyme de radis noir (Raphanus sativus var. niger).
- Après arrachage au crochet ou à la bêche fourchue, les racines du raifort sont décolletées, débarrassées des radicelles, nettoyées et livrées à la consommation. — (O. Bussard, Cultures légumières, 1943)
-
doryphore
- (Antiquité) Lancier, soldat porteur de lance dans certaines armées grecques.
- L’armée du roi se compose de soixante mille combattans, cent trirèmes et une quantité innombrable de vaisseaux de transport. Il a en outre mille doryphores couverts d’armures en or, et quatre-vingts chars de guerre. — (Ph. Le Bas, Sur la découverte d'un manuscrit : la traduction de Sanchuniathon par Philon de Byblos, dans La Revue des deux mondes, 1836, 4e série, vol.7, p.559)
- À la mi-décembre, les Byzantins marchent vers la seconde armée vandale. Les doryphores et les hypapistes de la garde à cheval chargent et dispersent les hommes de Tzazo, qui tombe dans la mêlée. — (Patrick Louth, La civilisation des Germains et des Vikings, Genève : éd. Famot, 1976, page 72)
- (Par extension) Statue qui représente ce soldat.
- Cette statue du Doryphore ou Porte-Lance était étudiée par tous les artistes grecs; et Lysippe lui-même, orfèvre dans sa jeunesse, disait qu'elle l'avait fait sculpteur : non parce t’elle créait un type qui devait sans cesse être reproduit, mais, au contraire, parce que cette statue avait la vérité pour base, et qu'elle démontrait comment on devait saisir la nature par ses plans, ses grandes divisions, en un mot, par ses grands aspects. — (Gustave Eyriès, Simart, statuaire de l'Institut : étude sur sa vie et sur son œuvre, Paris: chez Didier & Cie, 1860, page 423)
- Le plus célèbre des canons grecs est celui de Polyclète (quatre siècles et demi avant J. C.), qui avait composé un Traité des proportions, avec un modèle de marbre très-connu sous le nom de Doryphore, ou porte-lance. — (« Anatomie », dans le Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales, dirigé par Amédée Dechambre, tome 4 (Amp-Ang), Paris : chez Victor Masson & chez P. Asselin, 1866, p. 232)
-
tubipore
- Cœlentéré des récifs équatoriaux dont le polypier calcaire est formé de tubes juxtaposés rappelant des tuyaux d'orgue.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
-
rendors
- Première personne du singulier de l’indicatif présent de rendormir.
- Deuxième personne du singulier de l’indicatif présent de rendormir.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de rendormir.
-
picador
- (Tauromachie) Cavalier qui dans les combats de taureaux attaque l’animal avec la pique.
- Il y a deux classes principales de toreros : les picadors, qui combattent à cheval, armés d’une lance ; et les chulos, à pied, qui harcèlent le taureau en agitant des draperies de couleurs brillantes. Parmi ces derniers sont les banderilleros et les matadors, dont je vous parlerai bientôt. — (Prosper Mérimée, Lettres d’Espagne, 1832, rééd. Éditions Complexe, 1989, pages 38-39)
- mais le silence ne tarda pas à se rétablir, le taureau ayant fendu en deux le cheval du premier picador et désarçonné le second. — (Théophile Gautier, « Malaga, le cirque et le théâtre », Revue des deux Mondes, 1842).
- Le picador a pour arme une lance ferrée d’une pointe d’un ou deux pouces de longueur ; ce fer ne peut pas blesser le taureau dangereusement, mais suffit pour l’irriter et le contenir. Un pouce de peau adapté à la main du picador empêche la lance de glisser ; la selle est très-haute par devant et par derrière, et ressemble aux harnais bardés d’acier où s’enchâssaient, pour les tournois, les chevaliers du moyen âge ; les étriers sont en bois et forment sabots, comme les étriers turcs ; un long éperon de fer, aigu comme un poignard, arme le talon du cavalier ; pour diriger les chevaux, souvent à moitié morts, un éperon ordinaire ne suffirait pas. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
- Le picador alcoolique et grisonnant avait devant lui un verre d’eau-de-vie de cazalas et se délectait à contempler une table où avaient pris place le matador dont le courage avait fui, et un autre matador qui avait renoncé à l’épée pour redevenir banderillero, et deux prostituées apparemment très décaties. — (Ernest Hemingway, La Capitale du monde, 1936. Traduit de l’anglais américain par Marcel Duhamel, 1946. Traduction revue par Marc Sapora, 2001, page 32)
-
passiflore
- (Botanique) Genre de plantes grimpante dont le type est la grenadille.
- Les grenadilles ailées, les passiflores aux larges fleurs de pourpre striées d’azur et couronnées d’une aigrette d’un violet noir, retombent du faîte de la voûte comme de colossales guirlandes. — (Eugène Sue, Les Mystères de Paris, 1843)
- « Ah! mon Dieu! que c’est beau! et que l’homme se sent petit en face de ces merveilles de la nature, de ces géants qui datent des premiers âges du monde.! Entre ces troncs lisses ou couverts d’une mousse sombre se suspendent des milliers de plantes grimpantes, des lianes de toutes sortes, les passiflores laurifoliæ, les bignonies, les bromerias, les aristoloches, que sais-je accrochant leurs jeunes rameaux aux troncs noueux des vieux arbres. Les fleurs aux couleurs éclatantes tranchent sur le ton plus foncé de la verdure. Des fougères arborescentes, des lichens couvrent le sol. Une lumière diffuse et voilée filtre à travers l’épais rideau. On se croirait au crépuscule d’un beau jour. La chaleur n’est pas grande, mais l’air manque aux poumons. On respire avec peine.— (Charles Wallut, Sur les rives de l'Amazone : voyage d'une femme, Marthe Verdier, 1882, pages 144-145)
- Car je ne veux plus rien sinon laisser se cloreMes yeux couple lassé au verger pantelantPlein du râle pompeux des groseilliers sanglantsEt de la sainte cruauté des passiflores — (Guillaume Apollinaire, « L’Ermite », Alcools, in Œuvres poétiques, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1965, p. 103)
- (Botanique) (Par métonymie) Fleur de cette plante.
-
port
- Havre côtier, refuge ou abri pour les bateaux les protégeant des vents et des tempêtes.
- Des phares éloignent les navires des dangers ou les conduisent dans les ports abrités par des digues construites en luttant contre les tempêtes. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- Vers 4 heures, j’aperçois de nouveau la terre après avoir barré toute la nuit ; je passe au petit jour près d’un destroyer américain et entre dans le port Saint-Georges. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- La Chiffonne en longea la côte occidentale, doubla la pointe Nord et, suivant les falaises de l’Est, moins anfractueuses, pénétra dans un grand port naturel, protégé par un alignement de gros rochers et de petits îlots. — (G. Lenotre, Les derniers Terroristes, Paris : chez Firmin-Didot, 4e édition, 1932, page 79)
- Azemmour, la ville maure remontant à l’antiquité, en plein déclin aujourd'hui par suite de l’ensablement de son port et l’indolence de sa population. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 148)
- Ensemble des installations, en bord de mer, destinées à l’entretien des navires, à l’embarquement et au débarquement des marchandises ou des passagers.
- C’était un tohu-bohu ethnique. Dans le port flottaient les pavillons de toutes les nations, et plus de deux millions d’êtres humains s’y embarquaient annuellement. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 210 de l’édition de 1921)
- Ça me rappelle le vieux port marseillais, les marchandes de coquillages, les pieds-paquets et le vin de Cassis, doré comme du soleil. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, pages 187-188)
- Point de la rive d’un cours d’eau où les navires abordent, chargent et déchargent les marchandises.
- Le mythique port de Bercy.
- Le port céréalier de Givet.
- Ville bâtie auprès d’un port, autour d’un port.
- Marseille est un agréable port de mer.
- (Sens figuré) Lieu de repos, de refuge, d’une situation tranquille.
- Il est dans le port en se retirant du monde et de l’embarras des affaires.
- Il s’est assuré un port dans la tempête.
- (Sens figuré) Lieu où l’on se retire loin des embarras du monde, où l’on cherche à se mettre à couvert de quelque danger.
- La maison de l’ambassadeur a été un port de salut pour lui.
- (Géographie) Col des Pyrénées.
- Le port d’Envalira est le plus haut col routier de la chaîne pyrénéenne.
- — Viva ! viva ! jaleo ! s’écria Houmain ; nous autres braves, nous sommes bons à tout. Ah çà ! mais… tu as donc toujours passé par les autres ports ? car je ne t’ai pas revu depuis que j’ai repris le métier. — (Alfred de Vigny, Cinq-Mars, chapitre XXII, 1826)
- De l’autre côté, c’est l’Espagne, dominée par des falaises identiques aux nôtres […]. On peut passer en Espagne sans suivre le sentier qui franchit le port, mais il y faut beaucoup d’acrobatie. — (Abellio, Pacifiques, 1946)
- Arrivée, destination.
- Elle recommença ses doléances, elle se mit à geindre de plus belle sur le manque de fortune qui la faisait échouer au port. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, 1871)
- coulaures
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.