Dictionnaire des rimes
Les rimes en : blancfosse
Mots qui riment avec "osse"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "blancfosse".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : osse , osses , oce et oces .
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gosse
- (Familier) Enfant, garçon ou fille.
- Bientôt, en effet, les six gosses arrivés devant les roseaux de la rive et écarquillant les yeux, ne virent que l’eau ensoleillée, mais point de rainettes. — (Louis Pergaud, Un sauvetage, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Le gosse séché et réconforté remonta sur le pont avec une superbe casquette de yachtman juchée sur le capuchon de son anorak. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- Ça m’abrutissait à tel point que je butai sur un gosse qui tenait un sac : « Tu peux pas faire attention, saligaude ! » hurla-t-il. — (Calixthe Beyala, Assèze l’Africaine, Albin Michel, 2012, chapitre 14)
- Personne ne veut revivre le confinement de mars 2020 avec des gosses livrés à eux-mêmes dans des familles défavorisées, sans ordinateur pour travailler.— (Cécile Bougneuf, Ecoles : Blanquer, du déni à l’effet domino, Libération, 28 mars 2021)
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losse
- Lousseau.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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rosse
- (Hippologie) Cheval sans force, sans vigueur.
- C’était un vieux routier qui savait le train des affaires et qui les menait de routine, comme une rosse aveugle tourne la meule d’une brasserie. — (Charles Deulin, Martin et Martine)
- Combien de rosses, vendues à l’âge de 5 ans pour la modique somme de 300 francs, auraient valu, si on les avait élevées d’après les véritables principes zootechniques, 800, 1000, et 1200 francs. — (Jean Déhès, Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France, École impériale vétérinaire de Toulouse, Thèse de médecine vétérinaire, 1868 (avaient corrigé en avait))
- Les convois funèbres se succédaient, avec leurs escortes de sous-officiers boueux et de rosses efflanquées. — (Paul et Victor Margueritte, Le Désastre, Plon-Nourrit & Cie, 86e édition, page 451)
- Au Tchad, nous changerons nos chevaux de réquisition (qui sont d’insignes rosses) et nos bêtes de somme contre des chameaux pour continuer notre route dans la zone désertique d'Agadem. — (Louis Alibert, Méhariste, 1917-1918, Éditions Delmas, 1944, page 23)
- « Et attends-nous à cet endroit-là où je mets une croix. Je sais comment tu vas à cheval, toi, eh ! bien même si on te vend une rosse c’est à trois jours d’ici. » — (Jean Giono, Le hussard sur le toit, 1951, réédition Folio Plus, page 291)
- (Populaire) Personne maligne et dure, méchante.
- La rosse ! Il ne voulait rien savoir. Même chez nous, rien de rien. Seulement, la nuit porte conseil et quand je me suis amené, le matin, pour le cuisiner, à la flan, rapport à son complice, il a compris. « Ça va, m’a-t-il dit, c’est d’accord ! » — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
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écosse
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de écosser.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de écosser.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de écosser.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de écosser.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de écosser.
- champtoce
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noce
- (Au pluriel) Mariage.
- La cour célébrait les noces de madame Marguerite de Valois, fille du roi Henri II et sœur du roi Charles IX, avec Henri de Bourbon, roi de Navarre. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, vol. I, ch. I ; Calmann Lévy éditeurs, Paris, 1886, page 2)
- Cheikh Gaafar avait déjà deux épouses, et cinq filles. […] L’idée de convoler une troisième fois en noces lui plut : certes l’entente serait malaisée à son foyer. — (Out-el-Kouloub, Zaheira, dans « Trois contes de l’Amour et de la Mort », 1940)
- Le premier soir des noces, tout de suite il s’endormit. — (Les Charbonniers de l’enfer, "Au diable les avocats")
- (Sens figuré) — Quel profit le mâle de l’Astylosternus trouve-t-il, dans le moment des noces, à vêtir ses cuisses d’un caleçon de poils vasculaires ? — (Jean Rostand, La vie des crapauds, 1933)
- (Au singulier) ou (Au pluriel) Célébration d’un mariage, festivités, danse et autres réjouissances qui l’accompagnent.
- Les fêtes de la noce durèrent trois jours, au douar d’abord, ensuite en ville. — (Isabelle Eberhardt, Yasmina, 1902)
- Une noce au presbytère! Jamais mots ne furent moins faits pour être accolés. On voit là une antithèse qui sentirait l'huile si elle n'était amenée naturellement par la force des circonstances. — (Rodolphe Girard, Marie Calumet, Montréal, 1904, chapitre XX)
- Car ils sont, paraît-il, les fervents amateurs des « fricots » les plus savoureux : une noce, chez ces farauds, dure huit jours. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Ce fut en l’année 566 que la cérémonie des noces eut lieu, avec un grand appareil, dans la ville royale de Metz. — (Augustin Thierry, Récits des temps mérovingiens, 1er récit : Les quatre fils de Chlother Ier — Leur caractère — Leurs mariages — Histoire de Galeswinthe (561-568), 1833 - éd. Union Générale d’Édition, 1965)
- (Au singulier) Toute l’assemblée, toute la compagnie qui s’est trouvée à la célébration du mariage, et au festin.
- Il n’y avait que cette noce d’éveillée et qui tapageait de son mieux. — (Honoré de Balzac, Les Paysans, 1845, deuxième partie, chapitre neuvième)
- Quelques jours après, la noce était rassemblée au château : les seigneurs voisins s’y étaient rendus pour faire honneur au sire de Beaufort, il y avait une foule de gentilshommes, de valets, de chevaux ; les soldats de la garnison étaient sous les armes. — (George Mallet, Bonnivard à Chillon : Scènes de l’histoire de Genève dans les années 1535 et 1536, 1835)
- Comme nous arrivions à un village qui se trouve après Villejuif, nous préparant à chercher une place convenable pour notre représentation, nous passâmes devant la grande porte d’une ferme, dont la cour était pleine de gens endimanchés, qui portaient tous des bouquets noués avec des flots de rubans et attachés, pour les hommes, à la boutonnière de leur habit, pour les femmes à leur corsage : il ne fallait pas être bien habile pour deviner que c’était une noce. — (Hector Malot, Sans famille, 1878)
- (Au singulier) Partie de plaisir, voire de débauche.
- Elle vint bien des fois. Elle vint les jours où elle était triste, ayant un reste de noce dans ses jupes et les brutalités des marlous. — (Charles-Louis Philippe, Bubu de Montparnasse, 1901, réédition Garnier-Flammarion, page 164)
- Si j'étais pas faignante je me mettrais à faire les boîtes de nuit, sérieusement, la noce sans m'amuser, j'y parviendrais : tendre ma joue à embrasser, comme un paillasse à la parade tend sa joue à claquer. — (Léon Frapié, La divinisée: roman d'une femme, éditions E. Flammarion, 1927, page 225)
- santosse
- biscarrosse
- blanchefosse
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boce
- (Vieilli) Petit bouclier rond attaché à une épée, en usage pour le combat corps à corps chez les fantassins des XIVe et XVe siècles en complément du pavois.
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ophioglosse
- Plante du genre Ophioglossum, fougère de la famille des Ophioglossacées, à petit rhizome souterrain, dont la fronde est constituée d’un pétiole cylindrique portant un limbe végétatif entier et un épi fructifère simple et longuement pédonculé, formé de deux rangs de sacs soudés par leurs faces inférieures et supérieures.
- (En particulier) Ophioglosse commun.
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volvoce
- Variante de volvox.
- L'infiniment petit, monstrueux et féroce,Et, dans la goutte d'eau, les guerres du volvoceAvec le vibrion… — (Victor hugo, Châtiments)
- petosse
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rendosse
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe rendosser.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe rendosser.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe rendosser.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe rendosser.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe rendosser.
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isoglosse
- (Linguistique) Ligne imaginaire séparant deux zones géographiques qui se distinguent par un trait linguistique (dialectal) particulier, celui-ci pouvant être de nature lexicale, sémantique, phonologique, phonétique, ou de quelque autre type.
- Mais il est très possible de tracer ce que les linguistes appelleraient les isoglosses d'un mythe, les lignes qui définissent le lieu social où il est parlé. — (Roland Barthes, Mythologies, édition du Seuil, 1957, p. 261)
- L’évolution du mot latin PORTA permet d’illustrer ce phénomène: en langue d’oïl, c’est devenu un mot monosyllabique, « porte », et en francoprovençal un dissyllabique, « porta ». La limite nord du francoprovençal par rapport à la langue d’oïl est constitué par cette isoglosse de l’oxytonisme généralisé: toute voyelle finale est amuïe en langue d’oïl. Cette frontière passe par les villes suivantes: Roanne, Mâcon, Louhans, Arbois, Pontarlier et Neuchâtel ([…]). — (Sophie-Anne Wipfler, Le gaga: Langue d'autrefois? Une étude linguistique synchrone (Das gaga: Sprache von damals? Eine synchrone linguistische Analyse), thèse de doctorat de philosophie, Universität Mannheim, 4 novembre 2019, p. 60)
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roce
- Variante de roche.
- bobosse
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chalosse
- (Viticulture) synonyme de plusieurs cépages, en fonction des régions : ondenc, meslier Saint-François, graisse (ou grèce blanche) et montils donnant tous du raisin blanc. Il existe aussi une chalosse noire, une chalosse blanche une chalosse petite noire et une chalosse de Bordeaux.
- Il n’existe donc aucune raison plausible pour lui adjoindre aucun autre cépage dans les vignes dont les produits sont destinés à la distillation, pas même le colombar, qui se comporte le mieux après lui, et encore moins la chalosse, la balustre, le saint-pierre, le blanc ramé, l’aubier, la franche, le pouillot, le muscadet, le clairet, dont les allures sont bien différentes parmi les cépages blancs. — (Jules Guyot, Culture de la vigne dans la Charente-Inférieure, dans le Journal d’agriculture pratique, vol. 1, La Maison rustique, Paris, 1862, p. 324)
- Les anciens faisaient surtout des vins rouges. Le vin blanc n’a paru, en grande quantité, que dans les premières années de ce siècle. Les plus anciens cépages du pays étaient : le négret, le bouchalés, le maurastel, le redondal, la chalosse, le mérille, le mauzac blanc, le pique-poule, le plant de dame, la rougette, le cassés, le bilanés, le grand blanc, le terret, le bordelais, le grenache, le muscat, le mansés, la mortarille, le prunel, le redondal blanc. […] Montpellier. Sur ces deux plants les habitants greffent des plants français. Les principaux cépages adoptés sont : la négrette, le valdiguier, le grand noir de la Calmette et la mérille du Bordelais. Quant aux plants blancs, on a conservé le mauzac et la Chalosse ou Grèce. Quelques propriétaires joignent à ces divers cépages le petit Gamais du Beaujolais. — (Monographies de communes: Merville – Peyrusse – Chanteheux – Saint-Jean-Le-Vieux, Société des agriculteurs de France, J. Lefort, Paris, 1898)
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dégrosse
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe dégrosser.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe dégrosser.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe dégrosser.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe dégrosser.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe dégrosser.
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cosse
- Du latin cochlea (« escargot, coquille »)[1] devenu *coccia en bas-latin ; l’ancien français a aussi la forme intermédiaire cocle (« écorce ») ; il a peut-être été croisé avec coccum (« coque »).
- Selon Littré[2] d’origine germanique et apparenté à schosse en flamand, Schote en allemand.
- Déverbal de écosser et forme courte de écosse[3], écosser vient de l’ancien français escosser (« secouer, dépouiller »)[4] et, plus avant, du latin excutere (« faire sortir en secouant »).
- Forme collatérale de gousse, pour l’équivalence k/ɡ voir gossé (« cossu ») en ancien français. Voir caïeu.
- ladosse
- josse
- buironfosse
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sacerdoce
- (Religion) Prêtrise.
- La sainteté, la dignité du sacerdoce.
- Les fonctions, les devoirs du sacerdoce.
- La vocation du sacerdoce.
- Ministère de ceux qui avaient le pouvoir d’offrir à Dieu des victimes pour le sacrifice.
- « Je me suis fait connaître, dit-il, à la maison de votre père, lorsqu’elle était captive de Pharaon en Egypte, et je l’ai choisie entre toutes les tribus d’Israël pour les fonctions du sacerdoce ». Qui était ce père d’Héli dont la famille, après la captivité d’Egypte, fut choisie pour le sacerdoce, sinon Aaron ? — (Augustin d’Hippone (354–430), La Cité de Dieu, Livre XVII, Chapitre V : Abolition du sacerdoce d’Aaron prédite à Héli (Œuvres complètes de Saint Augustin, L. Guérin & Cie, 1869, tome XIII, page 370))
- depuis l’érection du tabernacle, qui fut le premier temple de Dieu parmi les Hébreux, la famille d’Aaron fut nommée pour exercer exclusivement les fonctions du sacerdoce, & pour offrir les sacrifices. — (d’Holbach & Jaucourt, 1751, L’Encyclopédie, 1ère ed., « Prêtres »)
- (Par extension) Corps ecclésiastique, autorité ecclésiastique.
- Il appelle ici sacerdoce le peuple même […]. C’est à ce peuple que l’apôtre saint Pierre dit : « Vous êtes le peuple saint et le sacerdoce royal ». Il est vrai que quelques-uns, au lieu de votre sacerdoce, traduisent votre sacrifice, mais cela signifie toujours le même peuple chrétien. — (Augustin d’Hippone (354–430), La Cité de Dieu, Livre XVII, Chapitre V : Abolition du sacerdoce d’Aaron prédite à Héli (Œuvres complètes de Saint Augustin, L. Guérin & Cie, 1869, tome XIII, page 371))
- Plus tard, il y eut deux sacerdoces : le pontife et le roi. — (Honoré de Balzac, La Peau de chagrin, 1831, Le Talisman)
- Les querelles du sacerdoce et de l’empire. […] L’accord du sacerdoce et de l’empire est le système le plus monstrueux : car dès qu’on cherche cet accord, on suppose nécessairement la division ; il faut dire : la protection donnée par l’empire au sacerdoce. Mais dans les pays où le sacerdoce a obtenu l’empire, comme dans Salem, où Melchisédech était prêtre et roi, comme dans le Japon, où le daïri a été si longtemps empereur, comment faut-il faire ? Je réponds que les successeurs de Melchisédech et des daïri ont été dépossédés. — (Voltaire, Dictionnaire philosophique, ed. Garnier, 1878, « Prêtres »)
- « Aime les enfants, veille sur eux, enseigne-les avec patience et reçois-les à l’Assemblée, car ils sont avec tous un peuple de sacerdoce » : ici nous comprenons mieux le sens du sacerdoce : le sacerdoce est le prophétisme de tout le peuple quand il vit la pure vie spirituelle. Tout le peuple, enfants compris : ce point laisse clairement entendre que Dieu n’a jamais institué de sacerdoce professionnel ou culturel ; les cultes doivent disparaître. — (Michel Potay, 1974, L’Évangile donné à Arès, 36:20, dans La Révélation d’Arès, Maison de la Révélation, ed. 1995, pp. 326–327)
- (Sens figuré) Vocation.
- Être pompier peut être un sacerdoce.
- garrosse
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.