Dictionnaire des rimes
Les rimes en : bettoncourt
Mots qui riment avec "our"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "bettoncourt".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : our , ours , ourt , ourts , ourd , ourds , oure , oures , ourre , ourres , ourg et ourgs .
- blignicourt
- bouzincourt
- boulancourt
- ayencourt
- blerancourt
- lavoncourt
- amblaincourt
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tourd
- (Ornithologie) Espèce de grive, la grive litorne.
- fremicourt
- fresnicourt
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chaufour
- (Vieilli) Grand four à cuire la chaux.
- Un peu plus loin, dans la plaine sablonneuse, les journaliers de la région éteignaient la chaux, traversant, déguenillés et tout blancs, la fumée blanche qui s’élevait au-dessus du chaufour. — (Ivo Andrić, Le Pont sur la Drina, 1945 ; traduit du serbo-croate par Pascale Delpech, 1994, page 27)
- (Par extension) Endroit qui renferme tout ce qui sert à entretenir un four à chaux.
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cour
- Espace découvert qui dépend d’une maison, d’un hôtel, etc., et qui est entouré de murs ou de bâtiments.
- Il n’y avait dans la cour, formée par quatre pauvres bâtiments, aucun être vivant, sinon les poules picorant le fumier […] — (Octave Mirbeau, Le Père Nicolas, dans Lettres de ma chaumière, 1885)
- […] je regardais les gens entrer dans la cour, les hommes en redingotes sombres, les femmes long voilées de noir. — (Octave Mirbeau, Contes cruels : Mon oncle)
- Les pailles, dont les couches épaisses recouvraient entièrement le sol de la cour, se doraient peu à peu d’un jaune pâle sous la lueur grandissante du crépuscule. — (Jules Case, La Fille à Blanchard, 1886)
- Cour d’honneur : La principale cour d’un château, d’un palais.
- (Par métonymie) Les maisons disposant d’une cour étant, par le passé, celles de personnages importants ou d’institutions, la cour désigne les assemblées qui s’y réunissent (cour du roi, cour de justice…), les dignitaires et autres personnes qui forment l’entourage habituel d’un souverain, la suite d’un grand seigneur, d’un prince. Se disait aussi des assemblées de vassaux que tenait le roi dans sa résidence.
- La cour ! s’écria un chevalier de Malte ; mais tant qu’il y aura un roi, il y aura une cour, c’est-à-dire des flatteurs, des parasites, des fats qui se croiront seuls nobles, et dépouilleront la noblesse. — (Julie de Querangal, Philippe de Morvelle, Revue des Deux Mondes, tome 2, 4, 1833)
- Un courtisan est un homme de la cour du roi, j’entends un homme qui a une charge ou un emploi domestique dans le palais, qui est le premier écuyer, chambellan, grand veneur […] — (Hippolyte Taine, Philosophie de l’art, Germer Baillière, Paris, 1865, page 134)
- L’Invincible Armada devait avoir pour amiral le marquis de Santa-Cruz ; mais il mourut pendant les préparatifs, et le commandement fut donné au duc de Medina-Sidonia, marin de cour, dont la présomption égalait l’ignorance. — (Frédéric Zurcher et Élie-Philippe Margollé, Les Naufrages célèbres, Hachette, Paris, 1873, 3e édition, 1877, p. 11)
- L’empressement des envoyés des puissances pour venir adresser leurs félicitations à la cour des Tuileries avait été extrême. — (Albert Mansfeld, Napoléon III, Paris, 1861, vol.2, page 301)
- Cour plénière : Assemblée de vassaux.
- (Sens figuré) Entourage d’une personne, gens empressés à lui plaire.
- Et tous de le flatter, et de l’entourer d’une cour dont il ne peut être dupe, mais dont se gonfle sa vanité. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Cette charmante femme a toujours autour d’elle une cour d’admirateurs. - On le croit puissant ; aussi a-t-il une véritable cour.
- (Monarchie) Le souverain et ses ministres ; le gouvernement d’une monarchie.
- La cour célébrait les noces de madame Marguerite de Valois, fille du roi Henri II et sœur du roi Charles IX, avec Henri de Bourbon, roi de Navarre. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre I)
- Recevoir un ordre de la cour.
- Il est bien, il est mal à la cour, en cour.
- Respects que l’on rend à une personne, assiduités que l’on a auprès d’elle, en vue de lui plaire, d’obtenir sa bienveillance, etc.
- […] elle accepta de lui des fleurs, de ces menus témoignages de tendresse qui encombrent toutes les cours faites à des prétendues […] — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- Tribunal supérieur.
- La cour de cassation.
- Cour d’appel.
- Cour d’assises.
- Cour des comptes.
- La jurisprudence de la cour est constante à cet égard.
- Prêter serment devant la cour.
- La cour suprême.
- La cour des pairs : Se disait autrefois de la chambre des pairs constituée en haute cour de justice, pour connaître d’un crime d’état. La Haute cour se dit du Sénat dans des circonstances semblables.
- (Droit) Tribunal.
- Il s’était formé à cette époque non pas des tribunaux —la justice se respectait, elle n’ordonne pas l’assassinat des innocents,— mais des cours prévôtales. — (Réponse de M. Raspail père à l’avocat général, lors du procès de François-Vincent Raspail le 12 février 1874)
- (Par métonymie) (Vocabulaire des écoliers) Récréation.
-
velours
- (Textile) Étoffe à poil court et serré.
- Et en même temps une portière de velours violet fleurdelisé d’or se soulevant, le duc distingua dans l’ombre la reine elle-même […] — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre II)
- Les tables peintes en marbre, les tabourets en velours d’Utrecht rouge, le quinquet à globe plein d’huile alimentant deux becs, attaché par une chaîne au plafond et enjolivé de cristaux, commencèrent la célébrité du Café de la Guerre. — (Honoré de Balzac, Les Paysans, deuxième partie, chapitre troisième, 1845)
- « Il y a vingt ans que j’ai dit : “Le velours fait des vêtements idiots, en tout cas ici”. Dès que c’est mouillé ça sent le chien et ça met un temps infini à sécher. » — (Jean Giono, Le Hussard sur le toit, 1951, réédition Folio Plus, page 460)
- Mon attention a été attirée par un pantalon de velours côtelé, assez usagé, et qui séchait sur un fil de fer à proximité de la porte de la cuisine, ou plus précisément en face de cette porte. — (Jean-Charles Deniau et Madeleine Sultan, Dominici, c’était une affaire de famille, L’Archipel, 2004)
- – Qu'est-ce que vous vouliez écouter ? lui demanda le patron en jetant sur le velours vert de la piste les trois dés qu’il avait dans la main. — (Lorris Murail, Bleu cerise, Gründ, 2010)
- Toute matière ou chose qui par sa douceur ou son aspect, rappelle ce tissu.
- Le velours de sa peau.
- (Par analogie) Tissu tégumentaire qui assure la protection, la vascularisation et l’innervation des bois chez la plupart des cervidés.
- Duvet couvrant certaines parties de la plante ou ensemble d’éléments végétaux fins et serrés rappelant l’aspect duveté du velours.
- (Spécialement) Boisson, aliment d'une grande douceur.
- Mais si t’as le gosierQu’une armure d’acierMatelasse,Goûte à ce velours,Ce petit bleu lourdDe menaces. — (Georges Brassens, « Le Bistrot », in Les Funérailles d’antan, 1960)
- Ensemble des fils de laine qui ne sont pas des fils de trame d’un tapis.
- (Linguistique) Mauvaise prononciation d’une liaison par addition d’un z ; Voir « z’ ». Celle par addition d’un t est appelée cuir.
- Dire cent-z-étudiants ou donne-moi-z-en sont des velours courants.
- Le moment du sermon faisait de ma mère une diablesse. Les cuirs, les « velours », les naïvetés chrétiennes d’un vieux curé paysan, rien ne la désarmait. Les bâillements nerveux sortaient d’elle comme des flammes. — (Sidonie-Gabrielle Colette, La Maison de Claudine, Hachette, 1922, réédition Le Livre de Poche, 1960, page 106)
- (Argot) Bénéfice.
- Le vendredi et le samedi l’avaient quelques minutes rambiné au passage, avec leur velours respectif de quarante-cinq et soixante-dix mille, seulement, minute ! le reste du temps, la plongée moyenne s’établissait à quarante sacs. — (Albert Simonin, Une balle dans le canon, Série noire, Gallimard, 1958, page 43)
- - Tu sais combien ça laisse une roulette?…. 60% de velours. — (Michel Audiard, Les Tontons flingueurs, 1963)
- berlencourt
- bavelincourt
- audeloncourt
- chevincourt
- condecourt
- augicourt
- givrycourt
-
faubourg
- (Géographie) Partie d’une ville qui est au-delà de ses portes et de son enceinte.
- Les défenseurs, après avoir perdu les faubourgs, manquant d’eau, furent obligés de capituler. — (Eugène Viollet-le-Duc, La Cité de Carcassonne, 1888)
- Mais nous sommes déjà dans les faubourgs. Les maisons s'espacent, se reculent, s'adossent à la rivière ou à la montagne. — (Jean Giraudoux, Retour d'Alsace - Août 1914, 1916)
- (Par extension) Quartier d’une ville qui était anciennement un faubourg.
- Or nous avions fini, tout en conversant, par arriver faubourg du Temple, où des filles, à l'entrée du passage, racolaient. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- Aux terrasses des brasseries, échelonnées du faubourg Montmartre, à la rue Drouot, de larges gouttes s'écrasaient sur le sol. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 9)
- D'un côté l'arôme familial d'un arabica feutré, de l'autre le remugle oppressant du graillon des faubourgs de Birmingham.D'un côté le bon goût français, de l'autre l’empiffrerie britannique. — (Philippe Trétiack & Pierre Antilogus, « Diététique », dans Europe, peut-on vraiment faire confiance à des étrangers : le premier dictionnaire du chauvinisme français, éd. Rivages , collection Rivages/Humour, 1989)
- (Par extension) Ensemble des habitants d'un de ces lieux.
- On a entendu le tambour , au son duquel on a vu entrer une partie nombreuse du faubourg Montmartre , portant le buste de Désilles, entouré de drapeaux et de lauriers. — (M. Dugour, École de Politique, du Collection, par Ordre de Matières, des discours, des opinions, des déclarations et des protestations de la minorité de l'assemblée nationale, pendant les années 1789, 1790, et 1791, vol. 11 : Projets de Constitution, Paris : chez Gattey, 1791, notes, p. LXVIII)
- assenoncourt
- gelaucourt
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bonjour
- Formule de salutation utilisée lorsqu’on rencontre quelqu’un. Note : Selon le moment de la journée, on utilisera bonjour ou bonsoir.
- Bonjour, monsieur le Président.
- Bonjour, mon ami.
- Cependant la prairie s’était peuplée. D’un pré à l’autre, on disait : « Bonjour » ou « Beau temps » ; c’était tout. — (Marcel Arland, Terre natale, 1938, réédition Le Livre de Poche, page 107)
- Formulation de salutation utilisée lorsqu’on quitte quelqu’un dans la journée comme on dirait bonne journée, ou la nuit bonsoir, bonne soirée. Note : Emploi courant au Québec mais très rare en France, quoique consigné dans le Trésor de la langue française[1] ou le Grand Larousse de la langue française[2].
- S’élançant vivement dans la voiture, il prit les rênes, donnant à Pierre à peine le temps de se placer près de lui, et lança le cheval au grand trot.– Bonjour, monsieur Charles !– Adieu, mes enfants !– Bonjour, monsieur Pierre !– Bon voyage ! bonne santé !– Que le bon Dieu vous conduise ! — (Pierre-Joseph-Olivier Chauveau, Charles Guérin, G.H. Cherrier, éditeur, Montréal, 1853, I, 2, pages 19–20)
- Bien le bonjour !
- (Québec) Bonsoir. (S'utilise là où les Français disent bonsoir).
- (Populaire) (Péjoratif) Interjection marquant une réticence, un refus[3], un jugement de médiocrité.
- Un verre ça va, trois verres, bonjour les dégâts. — (Slogan du Comité français d’éducation pour la santé, 1984)
- Une fois, à une exécution, je m’approche d’une fille. Pour rigoler, je lui fais : « Vous êtes de la famille du pendu ? »… C’était sa sœur. Bonjour l’approche ! — (Alexandre Astier, Kaamelott, Livre I, 2005, épisode La Coccinelle de Madenn)
- Tu as tort, disait-elle, elle va s'y habituer, et après, bonjour ! — (Pierre Lemaitre, Le Silence et la Colère, Calmann-Lévy, 2023)
- (Rare) Formule de politesse utilisée lorsqu’on quitte quelqu’un au téléphone :
- Par formalisme, à la place de au revoir, puisque l’on ne peut pas voir son interlocuteur au téléphone ou que l’on ne l’a jamais rencontré ; ou éventuellement, pour signifier à son interlocuteur que l’on n’a pas envie de le revoir, alors qu’il s’attendait à la formule courante au revoir.
- bertaucourt
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.