Dictionnaire des rimes
Les rimes en : beautheil
Mots qui riment avec "eille"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "beautheil".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : eille , eilles , eil et eils .
- frausseilles
- cazevieille
- limeil
- corbeil
- casteil
-
charmeil
- (Saint-Pierre-et-Miquelon) Induration qui croît aux pis des vaches.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
-
vieil
- Variante de vieux devant une voyelle ou un h muet.
- Lorsqu’en 1836 on a démoli sous le faubourg Saint-Honoré, pour le reconstruire, le vieil égout en pierre où nous voyons en ce moment Jean Valjean engagé, le sable mouvant, qui est le sous-sol des Champs-Élysées jusqu’à la Seine, fit obstacle au point que l’opération dura près de six mois, au grand récri des riverains, surtout des riverains à hôtels et à carrosses. — (Victor Hugo, Les Misérables, tome V, Livre troisième, chapitre VI, Le fondis)’
- (Désuet) (Archaïsme) Forme régulière de vieux (encore attestée au XVIe siècle).
- Parlez-vous le vieil françois ?
-
peille
- Chiffon qui sert à fabriquer le papier.
- La peille de jadis, lʼactivité des papeteries rythmée par le choc des maillets, ne suffisent plus au marché. — (Yannick Le Quentrec, Stéphanie Benson, Un job pour la vie : les salariés de JOB en lutte, 1995-2001, 2005)
- Guenille, pièce d’habillement en mauvais état.
- On l’appelle indifféremment le pailloux, parce qu’il est coiffé d’une perruque de paille et de chanvre, et que, pour cacher sa nudité mal garantie par ses guenilles, il s’entoure les jambes et une partie du corps de paille. Il se fait aussi un gros ventre ou une bosse avec de la paille ou du foin cachés sous sa blouse. Le peilloux, parce qu’il est couvert de peille (de guenilles). Enfin, le païen, ce qui est plus significatif encore, parce qu’il est censé par son cynisme et ses débauches, résumer en lui l’antipode de toutes les vertus chrétiennes. — (George Sand, La Mare au Diable, Appendice "Les noces de campagne", chapitre IV, "Le chou", 1846)
- estivareilles
- cauneille
-
orseille
- Nom vernaculaire de divers lichens du genre Rocella dont on extrayait une matière colorante, l’orcine, pour teindre les étoffes en rouge violet.
- L’orseille: Elle est tirée de la rocelle (Rocella tinctoria), lichen poussant sur la roche en bordure de la mer Méditerranée. Utilisée dès la haute antiquité mésopotamienne, elle donne une teinture. Sa préparation exige l’apport d’ammoniaque (d’où l’emploi d’urine).
- Cette matière colorante obtenue par fermentation.
- La laine, non mordancée, teinte au bouillon dans un bain d’orseille ordinaire, prend une belle nuance rouge pur, ou rouge violacé, ou violette, suivant la qualité du produit.
- moreil
- forgevieille
- bromeilles
- courteilles
- soudeilles
- bauzeil
-
vieille
- Femme âgée.
- Une petite vieille.
- Elle n’a pas trente ans, et elle pense déjà comme une vieille.
- (Familier) Se dit de ce qui est ancien, suranné.
- Un vieux de la vieille : une personne de la vieille école.
- (Vulgaire) (Famille) Mère.
- Ma vieille a regardé la télé hier.
- (Nouvelle-Calédonie) (Familier) Compagne, épouse[1].
- Je reste à Koumac avec ma vieille.
-
vermeil
- D’une couleur rouge vif plus foncé que l’incarnat. #FF0921
- Buvez donc, dit la jeune fille en lui versant un verre de vin vermeil comme du sang. — (Alexandre Dumas, Othon l’archer, 1839)
- Elle revient du cabinet de toilette, […], une brosse à dents à la main, la bouche toute mouillée et vermeille, les cheveux épars. — (Henri Barbusse, L’Enfer, Éditions Albin Michel, Paris, 1908)
- Zariffa et ses compagnes dépouillaient les orangers de leurs fruits vermeils, que les hommes alignaient dans des caissettes de bois. — (Out-el-Kouloub, « Zariffa », dans Trois Contes de l’Amour et de la Mort, 1940)
- Les joues vermeilles, les yeux qui brillentChavirés par de doux émoisLe vin réjouit le cœur des fillesEt des garçons, ça va de soi.— (Juliette Noureddine, Petite messe solennelle, 2008)
- Elle avait un teint d’un blanc de coton, une mine très intelligente, des lèvres vermeilles, des cheveux très abondants et d’un noir luisant. Mais, ses membres étaient mous et elle était incapable de se déplacer. — (Le Courrier du Vietnam, Amours maternels, lecourrier.vn, 12 décembre 2020)
- Petit-Pierre paraissait plus avisé que ses frères ; mais autant ceux-ci étaient gros, joufflus et vermeils, autant il avait l’air maigre, chétif et pâlot. — (Charles Deulin, Manneken-Pis)
-
ensoleille
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe ensoleiller.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe ensoleiller.
- À rebours, pour un temps, il arrive que l’on distingue mieux le but ; avec la distance, le quotidien dégrisaillé s’ensoleille ou s’enlune et à moins qu’il ne pleuve en nos cœurs, les creux et les bosses ressurgissent plus nettement. — (Jean-Pierre Compain, Ti-Jean Monjean, 1980)
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe ensoleiller.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe ensoleiller.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe ensoleiller.
-
abeille
- (Entomologie) Abeille à miel ; insecte porte-aiguillon, social et domestiqué pour la fabrication du miel et de la cire d’abeille.
- Vous savez que les abeilles ont été apportées en Amérique par les Blancs. […] les abeilles sont les sentinelles avancées de Blancs : au fur et à mesure que les Blancs s’enfoncent dans l’intérieur de l’Amérique, les abeilles partent en avant pour leur tracer la route et leur indiquer les défrichements. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858, page 185)
- […]; l’hydromel y était une boisson fort en usage ; ce qui prouve que l'art d'élever les abeilles y était pratiqué en grand, et qu'on savait enlever à ces industrieux travailleurs le miel qu'ils produisaient. — (François-Xavier Masson, Annales ardennaises, ou Histoire des lieux qui forment le département des Ardennes et des contrées voisines, Mézières : imprimerie Lelaurin, 1861, page 54)
- Puis nous passons à l’histoire naturelle et étudions les mœurs des abeilles, des fourmis, des sauterelles et les vertus de certaines plantes médicinales. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 123)
- Réclamation du lieutenant Viard, dont la compagnie est près d’un rucher, et qui a déjà deux hommes piqués. Mais interdiction formelle d’enfumer les abeilles avant le café. — (Jean Giraudoux, Retour d’Alsace – Août 1914, 1916)
- À l’école, à la maison, on nous répétait : « Ne faites pas de mal aux abeilles. » Nous pouvions tuer une mouche, un taon, une guêpe ; mais quand une abeille entrait dans la pièce, familière et pareille elle-même à une goutte de miel, nous la suivions d’un regard ravi. — ( Marcel Arland, Terre natale, 1938, réédition Le Livre de Poche, pages 178-179)
- Pour ce faire, il convient de ne pas perdre de vue le modèle empirique de l’abeille qui produit un excrétat nourricier, le miel, mais qui sécrète également du venin, substance toxique. — (Gilles Tétart, Le Sang des fleurs – une anthropologie de l’abeille et du miel, 2004, page 135)
- (Héraldique) Meuble représentant l’animal du même nom dans les armoiries.
- Abeille. Cet insecte est représenté montant, les ailes tantôt closes, tantôt étendues. Dans ce dernier cas, l’abeille est volante (I, 68). — (Johannes Baptist Rietstap, Armorial général : précédé d’un Dictionnaire des termes du blason, tome 1 (A–K), G. B. van Goor Zonen, Gouda, 1884)
- D’argent au flambeau au trait de sable, accosté de deux abeilles d’or ; à la champagne ondée d’azur chargée de trois trangles ondées d’argent, qui est de Verrieres → voir illustration « armoiries avec 2 abeilles »
- (Spécifiquement) Représentation symbolique du pouvoir et du règne de Napoléon.
- Envolons-nous, comme les abeilles du manteau impérial devant les exhortations hugoliennes! — (San-Antonio, Béru-Béru, Éditions Fleuve noir, 1970, chapitre 7)
- (Par extension) (Entomologie) Insecte hyménoptère ailé, appartenant à la super-famille des apoïdes, important pollinisateur qui se nourrit généralement de nectar.
- La majorité des abeilles sont solitaires.
- (Sens figuré) (Littérature) Écrivain dont on considère le style pur comme le miel [1].
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Par métonymie) (Au pluriel) Bourdonnement sonore provoqué par des décharges partielles à l’approche d’un orage.
- Les alpinistes français disent alors qu'ils ont entendu « les abeilles » : soudain, sur toutes les surfaces, se créent de petites décharges bruyantes. Après cette sensation sonore d'abeilles, une autre observation est que les cheveux se dressent droit au-dessus de la tête, et que des étincelles peuvent se former entre les dents quand on ouvre la bouche. — (Orage en montagne sur l’encyclopédie Wikipédia )
- (Vieilli) (Militaire) Durant la Première Guerre mondiale, désigne une balle.
- Les crêtes surtout sont périlleuses. Les mitrailleuses boches sont braquées sur elles à demeure. Par intervalles se déclenche leur tacata et les abeilles meurtrières bruissent au ras du sol. — (Daniel Mornet, Tranchées de Verdun, Nancy, Presses universitaires de Nancy, 1990)
-
groseille
- (Botanique) Petit fruit à grappes, un peu acide, de couleur rouge ou blanche et bon à manger, souvent utilisé en cuisine pour faire des gelées et des confitures, et produit par le groseillier.
- Puis je presserai la groseille contre le voile du palais, et je ne serai défigurée ni par des convulsions, ni par une posture ridicule. — (Honoré de Balzac, Splendeurs et misères des courtisanes, 1838-1847, troisième partie)
- Le sucre de raisin que l’on appelle aussi glucose, se rencontre dans les fruits sucrés qui présentent en même temps une saveur acide, comme les raisins, les groseilles, etc. — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes, E. Jolly, Charleville, 1869, page 120)
- La période de récolte étant assez courte, la groseille est donc tout indiquée pour en faire les traditionnelles gelées et autres coulis. — (Jean-Marie Polese, La culture des fruits rouges, 2005)
- (Québec) (Normandie) Groseille à maquereau.
- (Suisse) Raisinet.
-
treille
- (Vieilli) Berceau ou couvert fait de ceps de vigne entrelacés et soutenus par du treillage, des perches ou des barreaux de fer.
- À l’ombre d’une treille.
- Sous la treille.
- Les grappes qui pendent à la treille.
- Vin de treille.
- Les pampres tombaient un à un, sans qu’un souffle d’air agitât les treilles. — (Eugène Fromentin, Dominique, L. Hachette et Cie, 1863, réédition Gründ, page 56)
- (Viticulture) Cep de vigne qui monte contre une muraille ou contre un arbre (culture dite « en hautain » ou « sur hautain » dans ce dernier cas).
- verneil
- boeil
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.