Dictionnaire des rimes
Les rimes en : authieule
Mots qui riment avec "eul"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "authieule".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : eul , euls , eule et eules .
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épagneule
- Femelle de la race de chiens appelée épagneul.
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épeule
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe épeuler.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe épeuler.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe épeuler.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe épeuler.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe épeuler.
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tieule
- (Rouergat) Variante de teule.
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veule
- Qui manque d’énergie, de courage, d’entrain.
- Il était blême, sa moue haineuse et veule lui donnait un air de ressemblance avec sa sœur. — (Jean-Paul Sartre, L'âge de raison, 1945)
- Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! — (Charles Baudelaire, L'albatros,1859)
- Elle ne souffrait pas, mais son corps et sa chair étaient veules. — (Georges Simenon, Le Blanc à lunettes, chapitre IX, Gallimard, 1937)
- Elle l'eût encore préféré veule, comme cet après-midi, rendu de fatigue, anéanti, dormant, inerte, mais en songeant plus à rien.— (Jean Richepin, La Glu, édition de 2010 chez José Corti (originale de 1881), page 144)
- (Agriculture) Qualifie une terre trop légère pour la culture.
- (Jardinage) Qualifie des branches longues et faibles.
- (Textile) Qualifie des poils qui n'ont pas la possibilité de se feutrer.
- [...] car le poil veule ou naturel se feutre peu. — (Joseph Barberet, Le travail en France, Éd. Berger-Levrault)
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aïeul
- Grand-parent.
- Les enfants arrêtaient sur leur aïeul des yeux d'une pénétrante vivacité. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
- Une partie de cette grande fortune fut dépensée à la cour de France par l’aïeul et le bisaïeul du comte Charles; son père en dissipa le reste, et ne lui laissa que des terres grevées d’obligations et d’hypothèques. — (Julie de Quérangal, Philippe de Morvelle, Revue des Deux Mondes, T.2,4, 1833)
- La terre que l’aïeul paternel de Saint-Ybars, émigré du Canada en Louisiane, avait achetée en 1749, n’était alors qu’un désert dont le centre était occupé par un bosquet de chênes séculaires. — (Alfred Mercier, L’Habitation Saint-Ybars, 1881)
- Cela suffit à les convaincre plus tard que la mathématique, mère de la science naturelle exacte et grand-mère de la technique, était aussi l’aïeule de cette mentalité qui suscita pour finir les gaz toxiques et les pilotes de guerre. — (Robert Musil, L’Homme sans qualités, 1930-1932 ; traduction de Philippe Jaccottet, 1956, p. 50.)
- M. de Montausier racontait avec plaisir les services que son aïeul avait rendus à Henri IV. — (Esprit Fléchier, Montausier — cité par Littré)
- Le fils est, à l’égard du père ou de la mère, au premier degré de parenté et réciproquement ; l’aïeul est, à l’égard du petit-fils, au deuxième degré ; le bisaïeul, au troisième degré, le trisaïeul, au quatrième degré, et ainsi de suite. — (Institutes, ou Principes des lois civiles. Charles Jean Baptiste Amyot, 1833. → lire en ligne)
- Rang de la génération au-delà des grand-parents, pour les générations au-delà de trisaïeul.
- Le mot AÏEUL n'a point de composé au delà de ceux de Bisaïeul et de Trisaïeul; et quand on parle des degrés plus éloignés, on dit Quatrième aïeul, cinquième aïeul, etc. — (aïeul - Dictionnaire de l'Académie française)
- (Par extension) Vieillard.
- L’aïeul mourait froid et rigide.Il avait quatre-vingt-dix ans.La blancheur de son front livideSemblait blanche sur ses draps blancs. — (Guy de Maupassant, L’Aïeul, Des vers, 1880, 3e édition)
- Personne dont on descend.
- Qui sert bien son pays n’a pas besoin d’aïeux. — (Voltaire)
- (Sens figuré) (Par plaisanterie) Forme ancienne d'une réalité ultérieure.
- Et les porteurs [...] étaient partis d'un pas que nous n'hésiteront point à reconnaître pour l'aïeul du pas gymnastique moderne. — (Alexandre Dumas, Le comte de Moret (Le sphinx rouge), 1865, III, 14)
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trisaïeule
- Mère du bisaïeul ou de la bisaïeule.
- Dès l’instant qu’ils ont mis leur cœur aux pieds d’une beauté, il ne leur est plus permis de danser qu’avec des trisaïeules. La conversation des femmes de cinquante ans, et d’une laideur constatée, leur est seule accordée. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
- C’est en souvenir d’un mien chat, nommé Ronron, qui fut le compagnon de mes jeunes années, que j’ai promis aux minets d’Algueville de transmettre à la postérité l’histoire de leur trisaïeule, Minou-Minette première du nom. — (Julie Lavergne, Minou-Minette, page 157, 1880)
- Lorsque Charles lui fut amené, la gardienne l’installa tout de suite, devant la petite table, en face de sa trisaïeule. — (Émile Zola, Le Docteur Pascal, G. Charpentier, 1893, chapitre IX)
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koheul
- Variante de khôl.
- palaiseul
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tilleul
- (Botanique) Tilia, genre d’arbres de la famille des malvacées dont les fleurs odorantes et les bractées sont utilisées en infusions apaisantes.
- On prit l’habitude de passer les soirées sous un immense tilleul à quelques pas de la maison. — (Stendhal, Le rouge et le noir, 1830, réédition Gallimard, 2020, page 105)
- En été, la feuille, sorte de carte d’identité, permet d’identifier l’arbre. Celle du tilleul est simple… Son pourtour finement denté dessine une forme plus ou moins parfaite de cœur à la base et se termine en pointe au sommet. A cause de cette base échancrée, la feuille est dite cordée ou encore cordiforme… de manière alterne… distiques. — (Tordjman Nathalie, Le tilleul, 96 p., page 21, 1995, Actes Sud, Le nom de l’arbre)
- Une allée de tilleuls.
- (Par métonymie)
- Inflorescence séchée de l’arbre servant à faire les tisanes.
- Une infusion de tilleul.
- (Par métonymie) Boisson, infusion préparée à partir de ces inflorescences.
- Mets-en dix. Dans son tilleul. Dix cachets de gardénal. Mais tu n’oseras pas. — (Jean Genet, Les Bonnes, 1947. Édition Folio, 2010, p. 64)
- (Menuiserie) Bois issu de l’arbre du même nom, très apprécié pour son homogénéité et son travail facile.
- Dans l’art sacré orthodoxe, le tilleul est le seul bois autorisé pour les icônes.
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trisaïeul
- Père du bisaïeul ou de la bisaïeule.
- Mon père, mon aïeul, mon bisaïeul, mon trisaïeul, mon quadrisaïeul, mon quinquisaïeul ont toujours mangé, comme les rats, à la table d'autrui. — (Plaute, Le Persan, scène III)
- Appius Claudius Cécus qui fit venir à Rome les eaux Claudia. Ce fut en 771 ; mais ce censeur ne fut, ni le bisaïeul, ni même le trisaïeul, mais bien le quinquisaïeul d’Appius, si l'on me passe l'expression. — (Œuvres complètes de Cicéron, commentaire de Philip Aimé de Golbéry, en page 428, Panckoucke, 1833)
- En outre, comme il ne se faisait plus de testaments, il n’y avait plus d’héritages, et les générations nouvelles ne possédaient rien en propre : tous les biens appartenaient de droit aux bisaïeuls et aux trisaïeuls, qui ne pouvaient en jouir. — (Charles Deulin, « Le Poirier de Misère », in Cambrinus et autres Contes, circa 1847–1875)
- - Est-il de Saint-Georges? demanda l'un des assistans à son plus proche voisin.- Sans doute, répliqua celui-ci ; et je puis en répondre, car mon trisaïeul a été le parrain du sien en mil cinq cent nonante-neuf. — (Julie de Quérangal, Philippe de Morvelle, Revue des Deux Mondes, tome 2,4, 1833)
- Le trisaïeul de son trisaïeul était l'égal, le compagnon, le pair du roi; à ce titre il est lui-même d'une classe privilégiée, celle des gentilshommes; […]. — (Hippolyte Taine, Philosophie de l’art, Germer Baillière, Paris, 1865, page 134)
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aïeule
- Grand-mère.
- Je ne bouge donc point, je me rensommeille, seulement voilà les crac-crac qui recommencent dans la souillarde, je veux me réveiller, j’arrive point à me réveiller et une voix tout-doux-tout-doux, mais mais si claire que je reconnais feu mon aïeule, donc une voix me fait : « Eustolia, où tu habites, à présent, Eustolia ? Déménage, ma fille, à Sosnovka. » — (Lettres soviétiques, 1969, page 121)
- larreule
- hesdigneul
- authieule
- nieul
- frettemeule
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filleule
- Fille spirituelle d’un parrain ou d’une marraine, jeune fille pour laquelle une cérémonie de parrainage a eu lieu.
- Cette enfant est ma filleule.
- […] l’alliance spirituelle, qu’une femme a contractée, soit avec sa filleule, soit avec sa marraine, soit avec sa commère spirituelle, se communique à son mari, qui contracte pareillement une alliance spirituelle avec la filleule […]. — (Dupin aîné, Œuvres de R.-J. Pothier, contenant les traités du droit français, Bruxelles, J.-P. Jonker, Ode et Wodon, H. Tarlier, 1830, page 376)
- Nous avons laissé le jeune baron de Boussac avec la douce Jeanne, sa sœur de lait, la filleule de sa mère, qui s’intitulait aussi la sienne, par suite d’un usage tout local, et de l’idée naïve et affectueuse qu’on ne saurait être adopté par le chef de la famille sans l’être par la famille entière. — (George Sand, Jeanne, 1844)
- [E]n particulier, les parrains s’engagent à marquer leur affection à leur filleul ou filleule, à leur donner leur amitié, ainsi que leur aide et leurs conseils, notamment en développant chez leur filleul(e) les qualités morales et humaines propres à une approche libre-exaministe. — (Laïcité Watermael-Boitsfort asbl, Cérémonies laïques → lire en ligne)
- vesigneul
- coppegueule
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seul
- Qui est sans compagnie ; qui n’est pas avec d’autres.
- Elle se chargea de tout, prit le billet, fit enregistrer les bagages, installa la voyageuse dans un compartiment de dames seules. — (Émile Zola, Le Docteur Pascal, G. Charpentier, 1893, chapitre XI)
- — Il reconnaît que les âmes sont impénétrables aux âmes, et il en souffre. Il se sent seul quand il pense, seul quand il écrit. Quoi qu’on fasse, on est toujours seul au monde. C’est ce qu’il veut dire. Il a raison. On s’explique toujours, on ne se comprend jamais. — (Anatole France, Le Lys rouge, 1894, réédition Le Livre de Poche, page 87)
- Il se disait qu’il était seul au monde, affreusement seul, misérable. Cette idée l’affligeait. — (Francis Carco, Brumes, Éditions Albin Michel, Paris, 1935, page 58)
- Elle ne voulait pas être seule. Elle sentait déjà l’horreur de sa solitude, l’insomnie prolongée, le tête-à-tête décevant avec Dieu. — (Albert Camus, L’Envers et l’Endroit, Gallimard, 1958, page 41)
- De don Quichotte ferraillant seul contre les moulins à vent de la GroKo, Kevin Kühnert est devenu un pionnier. Et pourquoi pas, demain, l’alternative. — (Thomas Schnee, Kevin contre la GroKo, dans Marianne, n° 1092 du 16 au 22 février 2018, page 44)
- Orphelin, dans les expressions :
- Être seul au monde, être seul sur la Terre, n’avoir pas de famille, n’être uni à personne par les liens de l’affection, de l’amitié, vivre dans l’isolement.
- (Musique) En solo.
- Voix seule, Voix qui n’est pas mêlée à d’autres, qui chante pendant que les autres se taisent.
- À l’exclusion de tout autre ; unique. — Note : Dans cette acception, il se place généralement avant le nom, tandis qu’il se met ordinairement après dans le premier sens : Un seul homme, un homme unique. Un homme seul, un homme qui se trouve sans compagnie. Il est à noter qu’en emploi adverbial, le mot continue de s’accorder.[1]
- Ainsi, seuls, en médecine d’urgence, les masques permettent une administration d’oxygène efficace : […]. — (Pierre Carli, Urgences médico-chirurgicales de l’adulte, Wolters Kluwer France, 2004, p. 1 460)
- Seules la testostérone et la dihydrotestostérone sont des androgènes actifs qui se lient spécifiquement aux récepteurs des androgènes. — (Loïc Guillevin, Sémiologie médicale, 2e édition, Lavoisier, 2011, page 343)
- […], M. B. sortit de sa tente coiffé d’un superbe bicorne à plumes blanches. Il y avait là, paraît-il, une infraction flagrante au protocole, qui réserve cet ornement aux seuls chefs de mission. — (Frédéric Weisgerber, Au seuil du Maroc Moderne, Institut des Hautes Études Marocaines, Rabat : Les éditions de la porte, 1947, page 269)
- L’État a choisi le dossier Cofiroute et son tunnel de dix kilomètres à deux niveaux de circulation superposés réservé aux seuls véhicules légers : les poids lourds n’emprunteront pas l'ouvrage, ils auront le leur. — (Denis Lemarié, Chroniques de Versailles : Janvier à juillet 2005, Éditions Publibook, 2005, page 181)
- Elliptiquement,
- Le gouvernement d’un seul, la monarchie absolue.
- Le pouvoir, l’autorité d’un seul.
- chalezeule
- houvigneul
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bisaïeule
- Féminin singulier de bisaïeul.
- freule
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filleul
- Fils spirituel d’un parrain ou d’une marraine; enfant pour lequel une cérémonie de parrainage a eu lieu.
- Cet enfant est mon filleul.
- Plus jeune d’ailleurs,après des vacances à Monaco chez Yella et Numa, ébloui par la futilité de la relève de la garde d’opérette, j’avais raconté à mes rares amis rémois que j’étais le filleul de Rainier. — (Olivier Poivre d’Arvor, Frères et sœur, 2004)
- La formule préconisée par Maréchal : « Je promets et m’engage d’élever mon fils dans les seuls principes de la Raison, dans les seules pratiques de la Vertu », est très proche, par exemple, de l’engagement pris par des parrains vis-à-vis de leur filleul, lors d’un baptême civil à Lagny, le 12 septembre 1909 : « Ils prennent l'engagement de l’élever dans le seul culte de la Raison, du bon sens et de l’honnêteté et aussi dans l’amour de l’humanité, de la fraternité et de la solidarité ». — (Maurice Agulhon, Le XIXe siècle et la Révolution française, Créaphis, 1992 → lire en ligne)
- (Par extension) Celui qui bénéficie d’une protection spéciale.
- Filleul des fées.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.