Dictionnaire des rimes
Les rimes en : armenteule
Mots qui riment avec "eul"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "armenteule".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : eul , euls , eule et eules .
-
cargneule
- (Pétrographie) Roche sédimentaire carbonatée, d’aspect carié et vacuolaire.
- Les roches à faciès de cargneules, d’origine tectonique se rencontrent souvent en interstratifications dans les argilites rouges. — (Gad-Francois Amberger, L’Autochtone de la partie Nord-Ouest du massif des Aiguilles Rouges : Haute-Savoie et Valais, 1960)
- rieul
-
veule
- Qui manque d’énergie, de courage, d’entrain.
- Il était blême, sa moue haineuse et veule lui donnait un air de ressemblance avec sa sœur. — (Jean-Paul Sartre, L'âge de raison, 1945)
- Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! — (Charles Baudelaire, L'albatros,1859)
- Elle ne souffrait pas, mais son corps et sa chair étaient veules. — (Georges Simenon, Le Blanc à lunettes, chapitre IX, Gallimard, 1937)
- Elle l'eût encore préféré veule, comme cet après-midi, rendu de fatigue, anéanti, dormant, inerte, mais en songeant plus à rien.— (Jean Richepin, La Glu, édition de 2010 chez José Corti (originale de 1881), page 144)
- (Agriculture) Qualifie une terre trop légère pour la culture.
- (Jardinage) Qualifie des branches longues et faibles.
- (Textile) Qualifie des poils qui n'ont pas la possibilité de se feutrer.
- [...] car le poil veule ou naturel se feutre peu. — (Joseph Barberet, Le travail en France, Éd. Berger-Levrault)
-
bisaïeul
- Arrière-grand-père du côté paternel ou maternel.
- Mon père, mon aïeul, mon bisaïeul, mon trisaïeul, mon quadrisaïeul, mon quinquisaïeul ont toujours mangé, comme les rats, à la table d’autrui. — (Plaute, Le Persan, scène III)
- Appius Claudius Cécus qui fit venir à Rome les eaux Claudia. Ce fut en 771 ; mais ce censeur ne fut, ni le bisaïeul, ni même le trisaïeul, mais bien le quinquisaïeul d’Appius, si l’on me passe l’expression. — (Œuvres complètes de Cicéron, commentaire de Philip Aimé de Golbéry, en page 428, Panckoucke, 1833)
- Une partie de cette grande fortune fut dépensée à la cour de France par l’aïeul et le bisaïeul du comte Charles; son père en dissipa le reste, et ne lui laissa que des terres grevées d’obligations et d’hypothèques ; […]. — (Julie de Quérangal, Philippe de Morvelle, Revue des Deux Mondes, T.2,4, 1833)
- En outre, comme il ne se faisait plus de testaments, il n’y avait plus d’héritages, et les générations nouvelles ne possédaient rien en propre : tous les biens appartenaient de droit aux bisaïeuls et aux trisaïeuls, qui ne pouvaient en jouir. — (Charles Deulin, « Le Poirier de Misère », in Cambrinus et autres Contes, circa 1847–1875)
- Les vénérables personnages de la tapisserie gothique, remuée par le vent, se saluèrent l’un l'autre, et mon bisaïeul entra dans la chambre, — mon bisaïeul mort il y aura bientôt quatre-vingts ans ! — (Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit, 1842)
- hesdigneul
- cambligneul
- vesigneul
-
trisaïeul
- Père du bisaïeul ou de la bisaïeule.
- Mon père, mon aïeul, mon bisaïeul, mon trisaïeul, mon quadrisaïeul, mon quinquisaïeul ont toujours mangé, comme les rats, à la table d'autrui. — (Plaute, Le Persan, scène III)
- Appius Claudius Cécus qui fit venir à Rome les eaux Claudia. Ce fut en 771 ; mais ce censeur ne fut, ni le bisaïeul, ni même le trisaïeul, mais bien le quinquisaïeul d’Appius, si l'on me passe l'expression. — (Œuvres complètes de Cicéron, commentaire de Philip Aimé de Golbéry, en page 428, Panckoucke, 1833)
- En outre, comme il ne se faisait plus de testaments, il n’y avait plus d’héritages, et les générations nouvelles ne possédaient rien en propre : tous les biens appartenaient de droit aux bisaïeuls et aux trisaïeuls, qui ne pouvaient en jouir. — (Charles Deulin, « Le Poirier de Misère », in Cambrinus et autres Contes, circa 1847–1875)
- - Est-il de Saint-Georges? demanda l'un des assistans à son plus proche voisin.- Sans doute, répliqua celui-ci ; et je puis en répondre, car mon trisaïeul a été le parrain du sien en mil cinq cent nonante-neuf. — (Julie de Quérangal, Philippe de Morvelle, Revue des Deux Mondes, tome 2,4, 1833)
- Le trisaïeul de son trisaïeul était l'égal, le compagnon, le pair du roi; à ce titre il est lui-même d'une classe privilégiée, celle des gentilshommes; […]. — (Hippolyte Taine, Philosophie de l’art, Germer Baillière, Paris, 1865, page 134)
-
linceul
- (Désuet) Drap, rideau, ou couverture de lin.
- Au premier et au second, étage, des chambres propres, froides, meublées sommairement, repeintes à neuf, avec des linceuls blancs aux fenêtres. — (William Shakespeare, dans Edmond Huguet, Les Métaphores et les comparaisons dans l’œuvre de Victor Hugo, volume 2, 1905, page 39)
- J’ai vu, petit garçon, des toiles de Jouy […] remplacer la nappe à un repas de métayers, et d’autres, l’été, couvrir les bœufs contre les mouches, en guise de draps, de « linceuls » de lin. — (Joseph de Pesquidoux, Le Livre de raison, 1925, page 101)
- (Funéraire) Drap de toile dans lequel on enveloppe le corps des défunts.
- Son corps a été enveloppé dans un linceul mortuaire, exactement comme ceux des deux sœurs, une de trois ans et un bébé de huit mois, qui ont été tuées, il y a trois jours, dans cette même zone de Jablaya. — (Anne Penketh, La Guerre secrète d’Israël : Le désastre humanitaire qui se déroule en Palestine)
- Alors la vieille femme prit le linceul de lin blanc et enveloppa la morte tout entière. — (Out-el-Kouloub, « Zariffa », dans Trois Contes de l’Amour et de la Mort, 1940)
- Ceux qui ouvraient les leurs étaient saisis d’effroi en le voyant enveloppé de blancs linceuls, et poussant des gémissements pitoyables. — (Ernst Theodor Amadeus Hoffmann, Le Diable à Berlin, 1820, traduit par Henry Egmont)
- Que tu meures absous ou damné […] tu auras pour linceul une toile d’araignée, et j’ensevelirai l’araignée avec toi ! — (Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit, 1842)
- (Par extension) (Sens figuré) Ce qui enveloppe une dépouille.
- Mais notre règne arriveraQuand votre règne finira. [bis]Nous tisseronsLe linceul du vieux monde,Car on entend déjà la révolte qui gronde. — (Aristide Bruant, Les Canuts, 1910)
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seul
- Qui est sans compagnie ; qui n’est pas avec d’autres.
- Elle se chargea de tout, prit le billet, fit enregistrer les bagages, installa la voyageuse dans un compartiment de dames seules. — (Émile Zola, Le Docteur Pascal, G. Charpentier, 1893, chapitre XI)
- — Il reconnaît que les âmes sont impénétrables aux âmes, et il en souffre. Il se sent seul quand il pense, seul quand il écrit. Quoi qu’on fasse, on est toujours seul au monde. C’est ce qu’il veut dire. Il a raison. On s’explique toujours, on ne se comprend jamais. — (Anatole France, Le Lys rouge, 1894, réédition Le Livre de Poche, page 87)
- Il se disait qu’il était seul au monde, affreusement seul, misérable. Cette idée l’affligeait. — (Francis Carco, Brumes, Éditions Albin Michel, Paris, 1935, page 58)
- Elle ne voulait pas être seule. Elle sentait déjà l’horreur de sa solitude, l’insomnie prolongée, le tête-à-tête décevant avec Dieu. — (Albert Camus, L’Envers et l’Endroit, Gallimard, 1958, page 41)
- De don Quichotte ferraillant seul contre les moulins à vent de la GroKo, Kevin Kühnert est devenu un pionnier. Et pourquoi pas, demain, l’alternative. — (Thomas Schnee, Kevin contre la GroKo, dans Marianne, n° 1092 du 16 au 22 février 2018, page 44)
- Orphelin, dans les expressions :
- Être seul au monde, être seul sur la Terre, n’avoir pas de famille, n’être uni à personne par les liens de l’affection, de l’amitié, vivre dans l’isolement.
- (Musique) En solo.
- Voix seule, Voix qui n’est pas mêlée à d’autres, qui chante pendant que les autres se taisent.
- À l’exclusion de tout autre ; unique. — Note : Dans cette acception, il se place généralement avant le nom, tandis qu’il se met ordinairement après dans le premier sens : Un seul homme, un homme unique. Un homme seul, un homme qui se trouve sans compagnie. Il est à noter qu’en emploi adverbial, le mot continue de s’accorder.[1]
- Ainsi, seuls, en médecine d’urgence, les masques permettent une administration d’oxygène efficace : […]. — (Pierre Carli, Urgences médico-chirurgicales de l’adulte, Wolters Kluwer France, 2004, p. 1 460)
- Seules la testostérone et la dihydrotestostérone sont des androgènes actifs qui se lient spécifiquement aux récepteurs des androgènes. — (Loïc Guillevin, Sémiologie médicale, 2e édition, Lavoisier, 2011, page 343)
- […], M. B. sortit de sa tente coiffé d’un superbe bicorne à plumes blanches. Il y avait là, paraît-il, une infraction flagrante au protocole, qui réserve cet ornement aux seuls chefs de mission. — (Frédéric Weisgerber, Au seuil du Maroc Moderne, Institut des Hautes Études Marocaines, Rabat : Les éditions de la porte, 1947, page 269)
- L’État a choisi le dossier Cofiroute et son tunnel de dix kilomètres à deux niveaux de circulation superposés réservé aux seuls véhicules légers : les poids lourds n’emprunteront pas l'ouvrage, ils auront le leur. — (Denis Lemarié, Chroniques de Versailles : Janvier à juillet 2005, Éditions Publibook, 2005, page 181)
- Elliptiquement,
- Le gouvernement d’un seul, la monarchie absolue.
- Le pouvoir, l’autorité d’un seul.
-
seule
- (Marine) (Vieilli) Fond d’un navire.
- choiseul
- cojeul
-
épeule
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe épeuler.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe épeuler.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe épeuler.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe épeuler.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe épeuler.
- palaiseul
-
aïeul
- Grand-parent.
- Les enfants arrêtaient sur leur aïeul des yeux d'une pénétrante vivacité. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
- Une partie de cette grande fortune fut dépensée à la cour de France par l’aïeul et le bisaïeul du comte Charles; son père en dissipa le reste, et ne lui laissa que des terres grevées d’obligations et d’hypothèques. — (Julie de Quérangal, Philippe de Morvelle, Revue des Deux Mondes, T.2,4, 1833)
- La terre que l’aïeul paternel de Saint-Ybars, émigré du Canada en Louisiane, avait achetée en 1749, n’était alors qu’un désert dont le centre était occupé par un bosquet de chênes séculaires. — (Alfred Mercier, L’Habitation Saint-Ybars, 1881)
- Cela suffit à les convaincre plus tard que la mathématique, mère de la science naturelle exacte et grand-mère de la technique, était aussi l’aïeule de cette mentalité qui suscita pour finir les gaz toxiques et les pilotes de guerre. — (Robert Musil, L’Homme sans qualités, 1930-1932 ; traduction de Philippe Jaccottet, 1956, p. 50.)
- M. de Montausier racontait avec plaisir les services que son aïeul avait rendus à Henri IV. — (Esprit Fléchier, Montausier — cité par Littré)
- Le fils est, à l’égard du père ou de la mère, au premier degré de parenté et réciproquement ; l’aïeul est, à l’égard du petit-fils, au deuxième degré ; le bisaïeul, au troisième degré, le trisaïeul, au quatrième degré, et ainsi de suite. — (Institutes, ou Principes des lois civiles. Charles Jean Baptiste Amyot, 1833. → lire en ligne)
- Rang de la génération au-delà des grand-parents, pour les générations au-delà de trisaïeul.
- Le mot AÏEUL n'a point de composé au delà de ceux de Bisaïeul et de Trisaïeul; et quand on parle des degrés plus éloignés, on dit Quatrième aïeul, cinquième aïeul, etc. — (aïeul - Dictionnaire de l'Académie française)
- (Par extension) Vieillard.
- L’aïeul mourait froid et rigide.Il avait quatre-vingt-dix ans.La blancheur de son front livideSemblait blanche sur ses draps blancs. — (Guy de Maupassant, L’Aïeul, Des vers, 1880, 3e édition)
- Personne dont on descend.
- Qui sert bien son pays n’a pas besoin d’aïeux. — (Voltaire)
- (Sens figuré) (Par plaisanterie) Forme ancienne d'une réalité ultérieure.
- Et les porteurs [...] étaient partis d'un pas que nous n'hésiteront point à reconnaître pour l'aïeul du pas gymnastique moderne. — (Alexandre Dumas, Le comte de Moret (Le sphinx rouge), 1865, III, 14)
- deule
- acheul
-
filleul
- Fils spirituel d’un parrain ou d’une marraine; enfant pour lequel une cérémonie de parrainage a eu lieu.
- Cet enfant est mon filleul.
- Plus jeune d’ailleurs,après des vacances à Monaco chez Yella et Numa, ébloui par la futilité de la relève de la garde d’opérette, j’avais raconté à mes rares amis rémois que j’étais le filleul de Rainier. — (Olivier Poivre d’Arvor, Frères et sœur, 2004)
- La formule préconisée par Maréchal : « Je promets et m’engage d’élever mon fils dans les seuls principes de la Raison, dans les seules pratiques de la Vertu », est très proche, par exemple, de l’engagement pris par des parrains vis-à-vis de leur filleul, lors d’un baptême civil à Lagny, le 12 septembre 1909 : « Ils prennent l'engagement de l’élever dans le seul culte de la Raison, du bon sens et de l’honnêteté et aussi dans l’amour de l’humanité, de la fraternité et de la solidarité ». — (Maurice Agulhon, Le XIXe siècle et la Révolution française, Créaphis, 1992 → lire en ligne)
- (Par extension) Celui qui bénéficie d’une protection spéciale.
- Filleul des fées.
- bourseul
- lenizeul
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bégueule
- (Familier) Personne d’une pruderie excessive et affectée.
- Ne plaisantez pas avec cette femme, c’est une bégueule.
- – Quand je serai là, pensai-je, entre cette dame si élégante et son amie si minaudière, si bégueule, personne ne me soupçonnera d’être entre deux vins, et l’on se dira que je dois être quelque homme considérable… — (Honoré de Balzac, Voyage de Paris à Java, 1832, réédition Gallimard, collection Folio, page 37)
- Que n’es-tu resté à ton Nancy ! Cela t’allait fort bien, tu aurais été le digne héros de deux ou trois bégueules morales. — (Stendhal, Lucien Leuwen, 1834)
- Il a voulu mettre une scène pareille au théâtre ; tous les bégueules du parterre ont outrageusement sifflé la scène comme immorale. — (Frédéric Soulié, Les Mémoires du diable, 1837)
- Nous ne sommes pas des bégueules entre nous. Nous sommes deux hommes, et nous pouvons nous parler comme deux hommes… — (Jules Barbey d'Aurevilly, Le Rideau cramoisi, 1874, réédition Gallimard, collection Folio Classique, pages 79-80)
- (Familier) Personne trop exigeante, difficile, à qui ne convient que le meilleur.
- Le salaire n’est pas des plus élevés, mais je ne suis pas en mesure de faire ma bégueule.
- Deux pochtrons sentant déjà la vinasse, mais bon, ce sont mes premiers clients, faudrait pas faire le bégueule.
- ecajeul
- champigneul
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feule
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de feuler.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de feuler.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de feuler.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de feuler.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de feuler.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.