Dictionnaire des rimes
Les rimes en : allemande
Que signifie "allemande" ?
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- Espèce de danse vive et gaie, dont l’usage a passé de l’Allemagne dans d’autres pays.
- Danser l’allemande, une allemande.
- Airs sur lesquels on exécute cette sorte de danse.
- Jouer une allemande sur le piano.
- Recueil d’allemandes.
- (Théâtre) Répétition des déplacements et actions de jeu, sans s'attarder sur le texte, permettant aux acteurs de les mémoriser et de s'approprier l’espace scénique.
Mots qui riment avec "ande"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "allemande".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ande , andes , ende et endes .
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repende
- Première personne du singulier du présent du subjonctif du verbe rependre.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif du verbe rependre.
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contrebande
- Passage en fraude de marchandise, importation ou exportation clandestines.
- Enfin l’acte d’Algésiras, en créant un comité des douanes et une commission des valeurs douanières, édictait un règlement douanier et des tarifs nouveaux et ordonnait toutes les mesures propres à contrecarrer la fraude et la contrebande. — (Wladimir d’Ormesson, La Question de Tanger in « La Revue de Paris », 1922)
- Malgré la contrebande qui s’exerce ouvertement comme tout autre négoce, et le plus souvent par des transactions avec les employés du fisc, la douane de Cadiz était une des plus productives. — (Anonyme, Espagne. - Cadiz et Gibraltar, Revue des Deux Mondes, 1829, tome 1)
- Marchandises qui sont ainsi passées en fraude.
- D’ailleurs, la plupart des écrits de Voltaire furent imprimés en Hollande ou en Angleterre et ne se vendirent en France, qu’en contrebande. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- Contrebande de guerre, introduction d’objets de guerre par un navire neutre dans le territoire d’une des puissances belligérantes.
- Et son regard aigu se replongea dans la foule, à la recherche du lauréat, comme la sonde du gablou impassible se plonge dans les bottes de paille à la recherche de la contrebande. — (Joseph Désiré Joulin, Les causeries du docteur, Paris, Didier & Cie, 1868, 2e édition, page 282)
- En principe, les corsaires pouvaient s’emparer de tous les navires ennemis et visiter le neutres, afin de s’assurer que ceux-ci n’avaient pas à leurs bords des fraudeurs, des smogleurs, ou de la contrebande de guerre. — (Étienne Dupont, Le vieux Saint-Malo : Les Corsaires chez eux, Édouard Champion, 1929, page52)
- Le bureau d’Halifax de Atlas Shipping était chargé de noliser les bateaux par vingt ou quarante à la fois. La contrebande était transportée, sur ces navires, de Saint-Pierre au Canada et aux États-Unis. — (Jean-Pierre Andrieux, La Prohibition… Cap sur Saint-Pierre et Miquelon, traduit de l’anglais par Georges Poulet, Ottawa : Éditions Leméac, 1983, page 171)
- J’étais un grand bateau descendant la GaronneFarci de contrebande et bourré d’EspagnolsLes gens qui regardaient saluaient la MadoneQue j’avais attachée en poupe par le col. — (Léo Ferré, Le bateau espagnol)
- clerlande
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provende
- (Rare) Provision de vivres.
- Pendant deux ou trois heures, la plage est animée par toute cette population, qui vient lui demander sa provende quotidienne. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, « L’Archipel de Chausey, souvenirs d’un Naturaliste », Revue des Deux Mondes, tome 30, 1842)
- (Sens figuré) Son petit œil cosaque, étincelant sous un sourcil de chanvre gris, rafle sur les tables toute provende imprimée, qui prendra le chemin de la bibliothèque et ne reverra plus la lumière… — (Sidonie-Gabrielle Colette, La Maison de Claudine, Hachette, 1922, réédition Le Livre de Poche, 1960, page 16)
- Cela le surprenait et le désemparait : à mesure que le souci de sa provende relâchait sa terrible étreinte, qu'il se sentait mieux assuré de vivre, son découragement augmentait. — (Maurice Genevoix, Raboliot, quatrième partie, chapitre 2, 1925, page 220 de la réédition du Livre de Poche)
- J’avais marché plus de soixante heures… Mais je n’avais pas couvert quinze milles. J’étais las de regarder devant moi, à ma droite, à ma gauche, en quête d’une impossible provende… — (Maurice Constantin-Weyer, Un homme se penche sur son passé, 1928, réédition Nelson, page 133)
- Aussi en prévision des revendications gargantuesques de son estomac, Bob charrie-t-il en tous lieux un sac cyclopéen bourré de provendes diverses. — (Samivel, L’Amateur d’abîmes, 1940, réédition Le Livre de Poche, page 85)
- Mamitate fit cependant bonne provende, sans l’avouer, d’un petit nombre de ces moralités tranchantes « traînées dans les ruisseaux des Halles ». — (Richard Jorif, Le Burelain, éditions François Bourin, 1989, page 43)
- (Agriculture) Fourrage, mélange de divers aliments très nourrissants qu’on donne aux bestiaux.
- Le silence de la nuit laissait entendre vaguement, et le bruit que faisaient les chevaux en mangeant leur provende ou en piaffant, et le murmure des eaux du Rhin, et ces espèces de rumeurs indéfinissables qui animent une auberge pleine quand chacun s’y couche. — (Honoré de Balzac, L’Auberge rouge, 1831)
- Don Ramon mit pied à terre […] ôta la bride de son cheval, afin qu’il pût manger la provende qu’il lui donna. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- De temps à autre, il laissait traîner ses naseaux à fleur de sol, humait les touffes d’herbe dure, en mordait une poignée, la mâchait dans une grande dépense de salive. Il fallait qu’il eût bien faim pour rechercher pareille provende. — (Joseph Kessel, Les Cavaliers, Gallimard, 1967)
- Watt ne vit pas la bourrique, ou la chèvre, mais la bourrique, ou la chèvre, vit Watt. Elle le regarda s’éloigner, à pas lents, sur la route, et finalement disparaître. Elle se figurait peut-être qu’il y avait dans les sacs quelque bonne provende pour elle. Sitôt les sacs hors de vue, elle laissa retomber sa tête, parmi les orties. — (Samuel Beckett, Watt, 1968)
- (Par extension) (Sens figuré) Matière à réflexion, inspiration.
- Un sérail est organisé comme une fiction, une dictature aussi. Quand le rideau se déchire, c’est la comédie délirante du langage qui devient l’ultime bouclier : c’est pourquoi un romancier trouve volontiers sa provende dans les apocalypses.— (Marc Lambron, « Yamina Khadra imagine les derniers jours de Kadhafi… », Le Point, no 2 240, 13 août 2015)
- louplande
- yvrandes
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mende
- Siècle.
- XXI. mendea zain dugu.
- Nous attendons le XXIe siècle.
- Existence, vie, époque.
- Zure mendean egin dituzun faltak.
- Les erreurs que vous avez faites dans votre vie.
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chalande
- Femme qui éprouve de l'intérêt pour une autre, s'attache à elle, galant.
- (Commerce) Celle qui achète ordinairement chez un même marchand.
- iguerande
-
sarabande
- (Musique) Danse d’origine espagnole, d’abord endiablée, puis devenue danse lente et noble, au bal et au théâtre, où elle était exécutée en couple, surtout aux XVIIe et XVIIIe siècles, en France.
- Inézilla, qui dansa la sarabande à la prière des comédiens, se fit admirer. — (Paul Scarron, Le Roman Comique, Le Club Français du Livre, 1963, page 283)
- Quelles boules ! dit Bixiou à du Bruel, quelle belle caricature si on les dessinait sous forme de raies, de dorades, et de claquarts (nom vulgaire d’un coquillage) dansant une sarabande ! — (Honoré de Balzac, Les Employés, édition définitive)
- Pièce instrumentale lente à trois temps, de coupe binaire à reprises, appartenant à une suite.
- (Familier) Désordre, vacarme dû à des jeux bruyants.
- (Familier) Agitation d'une multitude de choses.
- Nous étions dans la région des vagues espagnoles, […]. Le pauvre petit Valdemar roulait, tanguait, et tout ce qu'il contenait d'animé et d'inanimé se livrait à une sarabande désordonnée. Nous aurions pu nous croire dans une baratte américaine. — (Jules Leclercq, La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla, Paris : E. Plon & Cie, 1883, page 29)
- Cette sarabande de la nuit précédente m’avait laissé comme un drôle de bruit de remords. — (Louis-Ferdinand Céline (Louis-Ferdinand Destouches), Voyage au bout de la nuit, Denoël et Steele, Paris, 1932 (réédition Gallimard, Folio #28, 2019, page 455)
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flamande
- Féminin singulier de flamand.
- La volonté des néerlandophones d’Anvers d’unilinguiser la Flandre se heurtera en effet à d’autres impératifs conditionnant également le développement de la Gemeinschaft flamande. — (Céline Préaux, La fin de la Flandre belge, 2015)
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jurande
- (Histoire) Charge de juré, dans les anciennes corporations de métiers
- Turgot échoua non-seulement contre l’égoïsme des courtisans, mais aussi contre les habitudes et les préjugés du peuple. En abolissant les jurandes et les maîtrises, il encourut la haine des corporations d’arts et de métiers ; …. — (Julie de Querangal, Philippe de Morvelle, Revue des Deux Mondes, T.2,4, 1833)
- (Par extension) Temps pendant lequel on l’exerçait.
- (Histoire) Corps des jurés.
- La création des jurandes et des maîtrises leur fut funeste, car ces organisations n’étaient pas seulement professionnelles mais religieuses. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
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truande
- (Droit) Femme truand.
- — Camarade, c’est ta dernière ressource. Il faut que tu épouses une truande ou la corde. — (Victor Hugo, Notre-Dame de Paris, Ollendorff, Paris, 1904 (1re édition 1831), page 74)
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marchande
- Femme qui exerce une activité de marchand.
- Certes, la fantaisie, l’esprit de chaque marchand ou marchande, introduisaient souvent des variantes dans les paroles de toutes ces musiques que j’entendais de mon lit. — (Marcel Proust, La Prisonnière, Gallimard, Paris, 1946 (1re édition 1923), page 146)
- (Désuet) Épouse d’un marchand en gros.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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rende
- Rangée de foin formée lors du passage d’un andaineur.
- loublande
- marmande
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brande
- (Botanique) Bruyère qui croît dans des campagnes incultes, bruyère à balais.
- Un pays de brandes.
- Chauffer le four avec des brandes.
- […] on voit partout de vastes étendues de brandes dans lesquelles ne croissent que des bruyères et des genêts. Là où les brandes cessent, les landes commencent ; et sur ces landes élevées les vents âpres rabougrissent les maigres bouquets d’arbres qui dressent çà et là leurs branches tordues et tourmentées.— (Hector Malot, Sans famille, Dentu E., 1887)
- Au plus épais d’une famille, elle allait couver, pareille à un feu sournois qui rampe sous la brande, embrase un pin, puis l’autre, puis de proche en proche crée une forêt de torches. — (François Mauriac, Thérèse Desqueyroux, Grasset, 1927)
- Lieux incultes où croissent çà et là ces sortes de petits arbustes.
- Dans ce cas, le préfet peut limiter l’étendue de la battue : en juin 1840, « une battue est nécessaire sur les communes de Bouesse et Mosnay, mais en raison de l’avancement de la saison, ces chasses doivent être restreintes aux bois qui sont entourés de brandes ou de chemins publics, afin de n’exposer les récoltes à aucun dommage. » — (Daniel Bernard, La Fin des loups en Bas-Berry : XIXe–XXe siècles : histoire et tradition populaire, Badel, 1977, page 134)
- (Auvergne) Maladie de la vigne.
- On dit que la vigne a la brande ou est brandée, lorsque ses feuilles rougissent, se dessèchent et tombent. — (Francisque Mège, Souvenirs de la langue d'Auvergne : essai sur les idiotismes, page 49, 1861)
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entende
- Première personne du singulier du présent du subjonctif du verbe entendre.
- Un monsieur et une dame passent devant moi, interrompant leur conversation pour que je ne les entende pas, comme s’ils me refusaient l’aumône de ce qu’ils pensent. — (Henri Barbusse, L’Enfer)
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif du verbe entendre.
- Le seul bruit qu’on y entende, c’est le sabot d’un âne ou d’un mulet qui arrache une étincelle aux cailloux luisants du pavé ou le fron-fron monotone d’une guitare qui bourdonne au fond d’une cour intérieure. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
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amande
- Fruit de l’amandier enfermé dans une coque de goût plus ou moins amer, de forme oblongue, recouverte d’une écale verte.
- Comme la noix, le fruit de l’amandier est une drupe dont on ne mange pas la partie charnue mais la graine du noyau. L’amande est oblongue, un peu aplatie, enflée à la base, pointue au sommet et longue de 3 à 4 centimètres. — (Rondeau Anne-Sophie, L'amandier, 96 p., page 28, 1997, Actes Sud, Le nom de l'arbre)
- La coque d’une amande.
- Un gâteau d’amandes.
- Biscuit d’amandes amères.
- L’ amande est composée principalement d’eau, d’huile dans des proportions importantes, variables selon les variétés (37 à 60 %), de beaucoup de protéines (15 à 35 %) et de sucres (7 à 20 %). — (Rondeau Anne-Sophie, L'amandier, 96 p., page 30, 1997, Actes Sud, Le nom de l'arbre)
- Noyau de certains fruits comme les drupes.
- L’amande de l’abricot.
- Toute graine contenue dans un noyau.
- La noix verte du cocotier donne une eau rafraîchissante, […] de l’amande râpée on extrait par compression un lait crémeux qui entre dans la préparation des aliments. — (Alain Gerbault, À la poursuite du Soleil; t.1, de New-York à Tahiti, 1929)
- Les amandes d’abricots sont amères, sauf dans certains pays.
- (Par analogie) Tout ce qui rappelle le fruit de l’amandier par nature ou par sa forme ou par sa couleur.
- Des yeux en amande.
- Partie ovale qui occupe le milieu de la garde d’épée.
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longibande
- (Zoologie) Relatif à un pelage avec des taches en forme de longues bandes.
- La Panthère longibande.
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attendent
- Troisième personne du pluriel du présent de l’indicatif de attendre.
- Comme l’élastique n’a rien pu faire, ils attendent six mois, choisissent un jour de vieille lune pour « débanner ». — (Marcel Scipion, Nicole Ciravégna, Le clos du roi ; Mémoires d’un berger des Alpes de Haute-Provence, 1978)
- Troisième personne du pluriel du présent du subjonctif de attendre.
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répande
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de répandre.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de répandre.
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révérende
- (Religion) Titre donné aux religieuses.
- Ce sont, en effet, les révérendes Sœurs religieuses Marie de l’Incarnation, Saint-Ignace, Sainte-Hélène, et la révérende Sœur Marie Morin, dont la mère était la filleule du gouverneur d’Ailleboust, qui furent les doyennes de notre littérature féminine. — (Georges Bellerive, Brèves apologies de nos auteurs féminins, page 9, 1920)
- ygrande
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.