Dictionnaire des rimes
Les rimes en : allegro
Que signifie "allegro" ?
Afficher la définitionMasquer la définitionwiktionary.org
- Variante, dans l’orthographe traditionnelle, de allégro (orthographe rectifiée de 1990).
- Jeanne le plaint, fléchit, bémolise, repart dans le majeur, l’allegro vivace, le finale où toutes les lances fleurissent, où les ailes poussent à chacun et font de pauvres bougres l’assemblée des anges. — (Daniel Boulanger, Le jardin d'Armide, 1969, réédition Le Livre de Poche, 1980, page 127)
- Jadis, quand on avait écrit un allegro pour instruments à cordes, on le faisait paisiblement entendre à la première occasion et on se mettait à élaborer un petit morceau de piano orné d’un titre généralement exquis. — (Guillaume Lekeu, Luc Verdebout, Correspondance, 1993)
Mots qui riment avec "o"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "allegro".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : o , os , ot , ôt , ots , ôts , au , aux , aut , auts , eau , eaux et ho .
-
cuissot
?- (Cuisine) Cuisse de cerf, de chevreuil de sanglier, etc.
- Si le jour est faste et qu’au menu s’inscrit un cuissot de chamois, alors c’est la fête. — (Jacques Ouvard, S.O.S. frère Boileau, Librairie des Champs-Élysées, 1971, chapitre III)
- Le chasseur, […], était occupé à écorcher consciencieusement un castor, tout en veillant avec soin sur un cuissot de daim qui rôtissait au feu. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- (Armurerie) Pièce constitutive de l'armure destinée à protéger les cuisses.
-
chaudeaux
?- Pluriel de chaudeau.
-
bravo
?- (radiotéléphonie) Mot de code radiotéléphonique de l'OACI, OTAN et SIA pour la lettre latine B.
- Pavillon du code international des signaux maritimes correspondant à la lettre B.
-
cicéro
?- (Typographie) Point typographique de 4,512 mm.
- Il brûlait du désir de voir quel effet produirait sa prose imprimée en caractère cicéro. — (Henry Murger, Scènes de la vie de bohème, 1848)
- (Cartographie) Multiple du point typographique, égal à douze points[1].
-
bitos
?- (Argot) Chapeau d’homme.
- — Oh ! je sais très bien que c'est un beau bitos, et ça m'étonne pas qu'il aille chercher dans les quarante-huit balles. — (Marcel Pagnol, La Prière aux étoiles, 1941, dans les Œuvres complètes de Marcel Pagnol, vol.6, Club de l'honnête homme, 1977)
- Lorsque Bérurier prend place dans l'embarcation, il le fait avec tant de vigueur que la gondole décrit une embardée inattendue. Le gondolier avant se retrouve au jus et son bitos part à la dérive sur le Grand Canal. — (San-Antonio, Béru-Béru, Éditions Fleuve noir, 1970, chap. 6)
- À propos de gapettes et de bitos, on avait récemment lu un article dans lequel il était dit que les Texans avaient la manie de flinguer les zigs aux cheveux longs. — (Thierry Léger, Avant la fête, Robert Laffont, 1976, p. 209)
-
chabrot
?- (Limousin) (Périgord) Mélange de bouillon et de vin.
- - M. le président : Le chabrot, c’est un mélange de bouillon et de vin. — (Gazette des Tribunaux 10 mars 1876, page 241, 4e colonne)
- On commençait la journée en mangeant une bonne soupe au lard brûlante où l’on faisait chabrot, un verre de vin rouge dans le bouillon. — (Henri Vincenot, La Billebaude, 1978, page 161)
- Cette pratique du chabrot était une manière de communier dans un savoir pastoral. — (Jean-Paul Malaval, L'Auberge des diligences, Presses de la Cité, 2009, chapitre 5)
- — C'est dégoûtant le chabrot. Ça pue ! — (Roger Cavalié, Le Vieux cartable, éditions De Borée, 2017, chapitre 13)
-
azulejo
?- Carreau de faïence utilisé souvent en panneau mural.
- Les azulejos d’émail, joyeux et simples avec leurs blancs crus, leurs bleus paon, leurs verts aux reflets roux, qui recouvraient les vasques, et les bancs, et les murs, et les marches montant d’un jardin à l’autre, la jeunesse des feuillages vert lumière, les troncs d’arbres blanchis à la chaux, le rose saumon des briques en bordure des allées ardentes étendaient un grand tapis pimpant et diapré, comme glacé de fraîcheur. — (Henry de Montherlant, Les Bestiaires, 1926)
- (Par apposition) — O Mahomet chéri ! Encore combien de temps ? murmura-t-elle en levant un regard implorant vers les signes cabalistiques et les mosaïques sarracéniques des arabesques azulejos. — (Ronald Firbank, Œuvres romanesques, 1991, volume 2, page 297)
-
antihalo
?- (Technique) Qui empêche la formation d'un halo lumineux.
- La plupart des films ciné comportent une couche antihalo.
- M. Plateau fabrique également une composition antihalo qui donne de bons résultats. — (Le Moniteur scientifique du docteur Quesneville: journal des sciences pures et appliquées, Volumes 62 à 63, 1905)
-
caecaux
?- Masculin pluriel de caecal.
-
cérébraux
?- Masculin pluriel de cérébral.
- Il ne faut pas confondre cette chorée procursive avec les accidents semi-délirants qui entraînent les malades, malgré eux, au début de certains accidents cérébraux, ou à la suite d’attaque d’épilepsie. — (Armand Trousseau, Clinique médicale de l’Hôtel-Dieu de Paris, volume 2, 1862, page 163)
-
bourgeoisiaux
?- Masculin pluriel de bourgeoisial.
-
châteaux
?- Pluriel de château.
-
animaux
?- Masculin pluriel de animal.
- L’activité anti-œdémateuse et anti-inflammatoire de la bromélaïne a été mise en évidence sur modèles animaux. — (Sabrina Boutefnouchet, Pierre Champy, Corine Girard, Pharmacognosie, 2020, page 221)
-
chanteau
?- (Vieilli) Grand morceau de pain coupé.
- Des ouvriers, la bouche pleine, taillaient des tartines en des chanteaux de pains. — (Paul Adam, Chair molle, 1885)
- Une cuisse d’oie, un gros chanteau de pain, le tout arrosé de rakiou, il ne lui en fallut pas moins pour réparer ses forces. — (Jules Verne, Le Château des Carpathes, J. Hetzel et Compagnie, 1892, pages 69-81)
- A onze heures il arrivait à Fresnay-les-Chaumes, déjeunait à l'unique bouchon de ce hameau de Pithiviers-le-Vieil, d'un chanteau de pain bis et d'un hareng saur, additionnés d'un petit vin du pays qui lui fit faire une de ces grimaces ! — (Louis Boussenard, « La bande des chauffeurs : roman historique et dramatique », dans L'Œil de la police, n° 17, 2e année, s.d. (1909 ?), page 6)
- Devant une table, encombrée par un chanteau de pain, une demi-meule de gruyère et une innombrable quantité de bouteilles vides, les deux amis qu’on croyait morts devisaient paisiblement comme des sages. — (Louis Pergaud, La Disparition mystérieuse, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- A tour de rôle, Flamart d’abord, Joigneau ensuite, ils piquent avec la pointe du couteau un lambeau de chair huileuse qu’ils étalent sur leur pain. Puis ils détachent du chanteau une bouchée cubique, l’enfoncent prestement dans leur bouche, et, avant de commencer le laborieux effort de la mastication, ils ont soin, l’un et l’autre, d’essuyer d’un revers de main la frange de leur moustache.— ( Roger Martin du Gard, Vieille France, Gallimard, 1933 ; éd. Le Livre de Poche, p. 15-16)
- (Absolument) (Religion) Le morceau de pain bénit qu’on envoie à celui qui doit offrir le pain bénit le dimanche suivant ou le jour de fête le plus prochain.
- Ma mère avait un autre sésame pour s'immiscer dans les maisons, le chanteau. Chaque dimanche, une famille offrait le pain qui était béni par le prêtre ; on mettait de côté un « chanteau » & le reste était coupé en petits morceaux & distribué dans les rangs, tenant lieu d'hostie, tandis que des fillettes faisaient la quête. — (Lionel Labosse, M&mnoux, Publibook, 2018, page 190)
- Morceau d’étoffe coupé à une plus grande pièce.
- Ce manteau a été coupé en plein drap, il n’y a point de chanteau.
- (Par extension) Morceau en pointe que les tailleurs disposent sur les côtés d’un vêtement pour l’arrondir.
- (Art) Douve terminale de chacun des deux fonds d’un tonneau.
-
cruciaux
?- Masculin pluriel de crucial.
-
boqueteau
?- Petit bois, groupe d’arbres.
- […], puis il avait remonté les crêts par un des milles[sic] sentiers que l’ingéniosité des contrebandiers leur fait sans cesse frayer à travers ces prés-bois et ces boqueteaux de sapins. — (Louis Pergaud, L’Évasion de Kinkin, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Regardez ce boqueteau : une des entrées des souterrains du manoir y aboutit. — (Jean Ray, Harry Dickson, Les Vengeurs du Diable, 1932)
- (Sens figuré) Nous touchons le fond obscur près d’un boqueteau marinOù les poissons de couleur jouent aux oiseaux du latin — (Jules Supervielle, Gravitations, page 183, 1925, Gallimard, 1988)
- Un boqueteau de sapins leur servit d’abri et tous deux s’y dissimulèrent. — (James Oliver Curwood, Kazan, 1914, traduit de l’anglais par P. Gruyer et L. Postif, Hachette, 1937, page 80)
- Certes des boqueteaux peuvent être rencontrés aux détours de Gollainville avec les bois de Châteaugay, près de Fresnay-les-Chaumes avec les bois de Bel-Ebat tous proches, ou vers Fromonvilliers et Baccon. Mais la tendance reste à la rareté de la végétation. — (Bruno Martinet, Maisons et paysages du Loiret, Éditions Créer, 1988, page 37)
- mirabeau
-
baleineaux
?- Pluriel de baleineau.
-
biseaux
?- Pluriel de biseau.
-
bandeau
?- Bande qui sert à ceindre le front et la tête.
- Les uns ont de petits bandeaux sur le front ; les autres une manière de toupet à la Benjamin Constant. — (Anatole Claveau, « Les Snobs », dans Sermons laïques, Paris : Paul Ollendorff, 1898, 3e éd., page 35)
- L’usage du chrémeau nous conduit ainsi naturellement à celui du bandeau de lin que les confirmands tiennent à la main en s’approchant du Pontife et dont on leur bande le front après l’onction sacramentelle. — (D. L. J., « La Confirmation », dans Le Messager des fidèles, n° 9 du 21 novembre 1887, Maredsous (Province de Namur) : Abbaye de Saint-Benoit, page 452)
- Coiffure en bandeaux, séparant les cheveux au milieu du front et les ramenant sur les côtés du visage.
- On la croyait moins vieille, à cause de ses cheveux bruns, dont les bandeaux entouraient sa figure blême, marquée de petite vérole. — (Gustave Flaubert, Trois Contes : Un cœur simple, 1877)
- Il jeta un coup d’œil et vit que la jeune femme avait des bandeaux noirs et un air gentil. — (Charles-Louis Philippe, Bubu de Montparnasse, 1901, réédition Garnier-Flammarion, page 65)
- J’aimais les visites de Mme Saint-Alban, une femme encore belle, crépue de frisures naturelles qu’elle coiffait en bandeaux, tôt ébouriffés. Elle ressemblait à George Sand, et portait en tous ses mouvements une majesté romanichelle. — (Sidonie-Gabrielle Colette, La Maison de Claudine, Hachette, 1922, réédition Le Livre de Poche, 1960, page 108)
- Son chapeau avait dû tomber au cours de l’agression, et sa chevelure à moitié défaite tombait derrière, en masse épaisse retenue par un peigne d’or, tandis que deux bandeaux aux reflets fauves se divisaient également au-dessus du front, un peu ondulés sur les tempes. — (Maurice Leblanc, La Comtesse de Cagliostro, 1924)
- Ses bandeaux déjà gris, un peu en désordre, lui donnaient l’air négligé d’une femme qui n’attend plus rien. — (François Mauriac, Le Mystère Frontenac, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 14)
- D’un ton un peu mystérieux elle a confié à la garde : « J’avais de beaux cheveux, je les coiffais en bandeaux autour de ma tête. » — (Simone de Beauvoir, Une mort très douce, Gallimard, 1964, Le Livre de Poche, page 70)
- Le bandeau royal, Le diadème dont anciennement les rois se ceignaient la tête.
- Ceindre le bandeau royal.
- Bande, ou d’un morceau d’étoffe en plusieurs doubles, qu’on met sur les yeux de quelqu’un pour l’empêcher de voir.
- Mettre un bandeau à quelqu’un, sur les yeux de quelqu’un.
- Un épais bandeau.
- Les peintres et les poètes représentent l’Amour avec un bandeau sur les yeux.
- (Sens figuré) Espèce d’aveuglement moral qui naît d’une passion, d’une prévention, ou d’ignorance.
- Avoir un bandeau sur les yeux.
- Arracher le bandeau, faire tomber le bandeau de dessus les yeux de quelqu’un.
- (Architecture) Plate-bande unie, en saillie sur le nu du mur autour d’une baie de porte ou de fenêtre, destinée à tenir lieu de chambranle.
- (Typographie) Vignette gravée, en forme de frise, en tête de chapitre.
- (Journalisme) Partie placée en haut d’une page de une, occupant généralement toute la largeur du journal.
- Sous la pérennité du bandeau titre, les catastrophes du présent deviennent relatives. — (Philippe Delerm, La Première Gorgée de Bière et autres plaisirs minuscules, Gallimard, 1997, page 70)
-
coaxiaux
?- Masculin pluriel de coaxial.
-
chevaux
?- Pluriel de cheval.
- Les chasseurs sellèrent leurs chevaux, descendirent la colline avec précaution et s’élancèrent sur la piste des Comanches. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, 1858)
-
anaux
?- Masculin pluriel d’anal.
-
argot
?- Langage de convention utilisé à l’origine par les voleurs, les malfaiteurs.
- Dans l’argot du temps on appelait M. Louis un homme spécial ; sa spécialité financière l’avait conduit à entasser l’argent des contribuables dans le trésor, pour le faire prendre par Bonaparte. — (François-René de Chateaubriand, Mémoires d'outre-tombe, tome III, livre IV, Garnier, 1910, page 502)
- C'est un garçon fort agréable que Bernard. Soigné, rasé de près, le teint clair, il s'exprime dans une langue choisie et ne fait usage de l’argot qu'en d'exceptionnelles circonstances. — (Francis Carco, Images cachées, Éditions Albin Michel, Paris, 1928)
- Et, tout à l'heure, quand il s'était adressé à la prostituée enceinte, il avait usé d'un terme dont la grossièretéTirant son origine d'une langue moins noble et moins enveloppée que l’argotMe choquait encore secrètement. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- Après une vie exemplaire de vigilance et d’autorité, il paraît que le pauvre homme est tombé en enfance, qu’il se promène par les chemins de Claquebue en disant des vilains mots d’argot et en prêchant la fraternité. — (Marcel Aymé, La jument verte, Gallimard, 1933, collection Le Livre de Poche, page 231.)
- Il convient de savoir qu'un « coq », dans l’argot d’avant guerre, signifiait un louis, car mon récit repose sur cette explication, […]. — (Francis Carco, Histoire sans titre, dans Pages choisies, Albin Michel, 1935, p.37)
- Les jeunes Français parlent un mélange de français, de verlan, d’arabe, de tzigane, d’anglais, de vieil argot et d'expressions inventées. « J'ai le seum » tiré de l'arabe, veut dire « Je suis en colère ». — (Isabel Rivero Vila, L’interculturel à travers le multimédia dans l’enseignement du français langue étrangère, Ediciones Universidad de Salamanca, 2014, page 370)
- Si l’on met à part les simples témoignages d’argotiers proprement dits ou de personnes les fréquentant professionnellement (policiers, magistrats), ce qui frappe c’est le caractère relativement tardif des études consacrées aux argots. — (Jacques Dargaud, Les argots, réunion du 22 janvier 2011, La Lettre de la DLF Champagne-Ardenne, Reims, lettre n° 84 de février 2011)
- (Par extension) Jargon ou sociolecte ; vocabulaire (et parfois autres traits de langage) utilisé au sein d'une profession ou bien d'un milieu ou classe sociale particulière.
- L’argot des peintres, des écoliers.
- L’argot des coulisses.
- L’argot de la Bourse.
- L’argot des cités.
- Langage populaire, non académique.
- En argot français, si le hareng saur est appelé gendarme, c'est peut-être parce qu'on pense qu'un gendarme est raide comme un hareng saur. — (Pierre Avenas & Henriette Walter, La fabuleuse histoire du nom des poissons, Robert Laffont, 2011)
- La cuisine était la préfecture de police dans l’argot des voleurs qui redoutaient sans doute de s'y retrouver pour être cuisinés. — (Philippe Normand, Langue de keufs sauce piquante, Cherche midi, 2014)
-
canardeau
?- Jeune canard.
- Des canardeaux.
- Le gérant me regardait avec des yeux ronds comme une poule qui aurait trouvé un canardeau parmi sa portée. — (Mohamed Turki, Abdelaziz Laroui: témoin de son temps, 1998)
- Un jour passé quelqu' aigl' audacieux prit et ravit six petis renardeauxLesquels pour mets aussi délicieuxQue sont poulets ou jeunes canardeauxLes a porté à ses petits oiseaux,Ce temps pendant que leur père renardTracassait champs villages & hameauxPour avoir coqs et poules par son art — (Trois cent soixante et six apologues d'Ésope / traduicts en rithme françoise, par maistre Guillaume Haudent ; reproduits fidèlement, texte et figures, d'après l'édition de 1547, avec introduction, table et glossaire, par Ch. Lormier, Rouen, 1547, 1877)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.