Dictionnaire des rimes
Les rimes en : albugo
Que signifie "albugo" ?
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- Taie blanche sur la cornée.
- Si on a l'œil atteint d’albugo, il faut, dès le début du mal, mettre sur l’œil, pendant la nuit, du fiel frais de bœuf, qu’un linge empêchera de s’écouler. — (Saint Hildegard, Le Livre des subtilités des créatures divines : physique, Volume 2, 1994)
- Nommerai-je ici quelques-unes de ces affections (…) dont beaucoup d'entre nous sont largement apanagés, (…) les taies, le glaucome, l’albugo. — (A. Pommier, De l'Athéisme et du déisme,1857, page 50.)
- Tache blanche apparaissant sur les ongles à la suite de troubles nutritifs.
Mots qui riment avec "o"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "albugo".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : o , os , ot , ôt , ots , ôts , au , aux , aut , auts , eau , eaux et ho .
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coquerico
?- (Désuet) Variante de cocorico.
- Le coq chanta coquerico.
- A cette lumière inattendue , elle reconnut qu’elle n’était qu’a dix pas de la maison de sa mère, et, quand elle entra dans la cour, le coq , croyant saluer l’aurore, battit des ailes et chanta à tue-tête : Coquerico! coquerico! Le jour éclot ! le jour éclot ! — (La semaine des enfants, 1862.)
- Au moment du passage du convoi, le cocq chante par trois fois coquerico , et la servante du marchand se met à rire. — (Les folies d'un mois, à deux liards par jour, Volume 2, 1791.)
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amoroso
?- (Musique) Tendrement, amoureusement.
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cicéro
?- (Typographie) Point typographique de 4,512 mm.
- Il brûlait du désir de voir quel effet produirait sa prose imprimée en caractère cicéro. — (Henry Murger, Scènes de la vie de bohème, 1848)
- (Cartographie) Multiple du point typographique, égal à douze points[1].
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calicot
?- (Textile) Toile de coton moins fine que la percale et dont le tissu n’est pas croisé.
- Le billard a des rideaux de calicot gris avec des bordures vertes et deux divans. — (Honoré de Balzac, Béatrix, 1838-1844, première partie)
- Sur la scène, une table est maintenant installée, qu’on surcharge de lots, les premiers qui doivent être tirés. Le président de la Jeunesse catholique dirige l’organisation. Il tient un grand sac de calicot à carreaux bleus et blancs et s’avance jusqu’à la rampe plate-bande. — (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts, Plon, 1922, collection Le Livre de Poche, page 191.)
- Cuisinier, il s’affublait pour l’amour de l’ornement, d’une toque blanche monumentale en calicot qui accusait son Pontife à vingt pas. — (Marcel Jouhandeau, Chaminadour, Gallimard, 1941 et 1953, collection Le Livre de Poche, page 136)
- (Par extension) Banderole.
- Le textile et le football. L’usine en haut, football en bas. L’usine pour l’argent, le stade pour l’honneur. Pendant qu’une saine jeunesse agite des calicots, elle ne brandit pas de pancartes. — (Monologue intérieur du personnage de François Leclerc (joué par Jean-Paul Belmondo), dans le film Le Corps de mon ennemi (1976), réalisé par Henri Verneuil, sur un scénario de celui-ci, de Michel Audiard et de Félicien Marceau, adapté du roman éponyme de ce dernier.)
- Quand un avion survole la plage en tirant le calicot publicitaire du parc d’attractions régional, [...] — (Jean-Dominique Bauby, Le scaphandre et le papillon, Paris, Éditions Robert Laffont, 1997, page 101)
- J’étais incapable de comprendre ce qu’ils criaient, je ne parvenais pas à lire ce qui était écrit sur les calicots. — (Claude Nemry, Bukavu, 2002, L’Harmattan, page 318)
- (XIXe siècle) (Péjoratif) Commis chez les marchands de drap, de bonneterie, de nouveautés[2].
- Messieurs du rayon — ce que sous la Restauration on appelait des calicots — quittent avec empressement le magasin. — (Alfred Delvau, Les Heures parisiennes, 1865)
- Ses compagnes n’avaient pour amants que des rustres, des calicots ou des commis de quincaillerie. — (Joris-Karl Huysmans, Marthe, histoire d’une fille, 1877)
- C’est à cinq heures que Lemaître nous rejoint. Lemaître est calicot et Matoussaint le tient en petite estime ; il ne comprend que les professions nobles. Cependant, comme Lemaître connaît des douillards et des rigolos, il l’accueille à bras ouverts. — (Jules Vallès, L’Enfant, G. Charpentier, 1889)
- Ne me regarde pas de cet air-là, tu veux bien ? Des petits calicots marlous dans ton genre, il en faut beaucoup pour faire une bourrique comme moi. — (Marcel Aymé, Travelingue, chapitre XVIII. Publié dans Je suis partout du 20 septembre 1941 au 17 janvier 1942, reproduit dans le tome III (page 3214) des Œuvres romanesques complètes de Marcel Aymé, aux éditions Gallimard, dans la Bibliothèque de la Pléiade)
- Monsieur Perkins, notre locataire depuis bientôt quinze ans, se mit en quatre pour m’aider. Il était chef de rayon dans un magasin de nouveautés, et c’est là qu’il me procura une place. L’éventuel futur duc de Chalfont devint ce qu’il est convenu d’appeler un calicot. — (Doublage français de la narration du film Noblesse oblige, de Robert Hamer, sorti en France en 1950. Extrait de dialogue, dont la traduction, supervisée par André Maurois, figure au début de la 14e minute du film.)
- (Péjoratif) Personne fringante et vive comme un jeune commis.
- Jarry, lui, ressemblait à quelque calicot de petite ville. — (Christian Brulls (pseudonyme de Georges Simenon), L’Amant sans Nom, éditions Arthème Fayard, 1929, réédition 1980, première partie, chapitre V)
- J’ai appris de Marcel Adéma un détail que j’ignorais sur l’engagement militaire d’Apollinaire dans la guerre de 1914-1918. Il m’avait donné comme raison de cet engagement […] [qu’il] ne voulait pas qu’on puisse lui faire grief un jour d’être resté indifférent devant cet événement. Or, c’est uniquement après sa connaissance faite à Nice de Louise de Coligny, sous l’effet d’une forte déception amoureuse causée par l’indifférence de celle-ci, qu’il s’est engagé. Je n’ai pas caché à Adéma que ce côté calicot sentimental chez Apollinaire ne me le rend pas brillant. — (Paul Léautaud, Journal littéraire, 4 octobre 1948, Paris, Gallimard, Folio, page 1161)
- (Construction) En plâtrerie, bande de renfort mise en œuvre entre deux plaques de plâtre.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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adagio
?- (Musique) D’un mouvement plus lent que le mouvement indiqué par andante, mais moins lent que le mouvement indiqué par largo.
- Ce morceau doit être joué adagio.
- Ce morceau est une dérivation du thème qui, repris et transformé, sera celui de l'adagio. — (Jean Massin, Brigitte Massin, Ludwig van Beethoven, 1967)
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sitôt
?- (Vieilli) Aussitôt.
- Votre affaire ne sera pas sitôt finie que la mienne. Je n’arriverai pas sitôt que vous.
- Sitôt que vous serez entrés, il faudra vous dégréer ; on vous garde pour le souper, car, ce soir, il y a une veillée. — (La Bottine souriante, "Dans nos vieilles maisons")
- Notre quête de l'objet rare nous amène à regarder beaucoup (énormément... trop ?) de films, dont finalement peu méritent vraiment le qualificatif de "nanar". Un qualificatif qu'on ne considère pas comme un sceau infâmant mais bien comme un label de prestige, au contraire des tonnes de navets infâmes et soporifiques qu'on se coltine à longueur d'année dans notre exploration assidue des bas-fonds filmiques, des ruelles mal famées des vidéo-clubs, des arrières-cours interlopes de mini-studios de margoulins sitôt créés sitôt disparus et, de plus en plus, des fonds de catalogues affligeants des chaînes de streaming et de VOD. — (Nanarland, Nos 27 derniers échecs, le 16 juin 2022 → lire en ligne)
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architecturaux
?- Masculin pluriel de architectural.
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baliveau
?- (Sylviculture) Jeune arbre réservé, lors de la coupe d’un taillis, afin qu’il puisse devenir un arbre de haute futaie.
- On n’apercevait qu’une vaste clairière dans laquelle on avait fait une coupe au printemps précédent, et dont les jeunes baliveaux aux tiges flexibles se courbaient sous le poids de la neige. — (Hector Malot, Sans famille, 1878)
- La méthode du taillis sous futaie fait participer à la fois des avantages du taillis et d’une partie de ceux de la futaie, […]. Dans ce but on conserve à chaque coupe du taillis un certain nombre d’arbres appelés baliveaux auxquels on laisse parcourir plusieurs révolutions. — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes, E. Jolly, Charleville, 1869, page 161)
- La strate arborescente est constituée essentiellement par le Chêne pédonculé, le Chêne sessile en baliveaux sensiblement codominants. — (Gustave Malcuit, Contributions à l’étude phytosociologique des Vosges méridionales saônoises : les associations végétales de la vallée de la Lanterne, thèse de doctorat, Société d’édition du Nord, 1929, p. 167)
- C'est un long vieillard, mince comme un baliveau, un peu courbé par une bonne septantaine d'ans. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- (Botanique) Arbre de pépinière ayant un tronc bien vertical et des branches latérales.
- Le chêne rouvre, planté dernièrement au Vallon du Salut par la classe de grande section de l’école Clair-Vallon, n’est à ce jour qu'un jeune plant d’à peine quelques dizaines de centimètres. Autant dire que les petits écoliers devront être patients avant de pouvoir profiter de son ombre. Mais leur enthousiasme pourrait bien favoriser la pousse de ce joli baliveau ainsi que des autres plants d’arbre qu’ils s’apprêtent à planter à divers endroits sur le territoire. — (La Dépêche, 28 avril 2015)
- (Échafaudage) Grande perche verticale qui supporte les échafauds.
- La surface inférieure du hourdis est nécessairement irrégulière. Aussi, plus tard, quand il s’agit de procéder au plafonnage, la première opération consiste-t-elle à couper les baliveaux correspondant aux joints des planches sur lesquelles a été coulé le hourdis et à dresser la surface. — (« Marché de Nangis (Seine-et-Marne) » par M. Cottin, architecte, & M. Nicaise, constructeur, dans les Nouvelles annales de la construction, 3e série - tome 7, février 1882, en recueil vol. 28, Paris : chez Baudry, 1882, page 25)
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bardeau
?- (Couvertures) Petite planche mince et courte, employée dans les constructions, surtout pour couvrir les maisons [1].
- Les hurlements du vent au-dehors nous étourdissent, et nous entendons aussi les craquements sinistres de la charpente, les détonations des bardeaux arrachés. — (J. M. G. Le Clézio, Le Chercheur d'or, Gallimard, 1985)
- (Couvertures) (Vieilli) Elément de boue, limon, bauche (mortier de terre grasse mêlée de paille), dalle à paver ou de chaume.
- bardeaux [...] « boue, limon, bauche ; dalle à paver » — (Levy, Petit dict. prov.-fr., 3e éd., 1961)
- Soudain le toit de chaume creva à la hauteur de la lucarne. Grip était parvenu à le déchirer, à briser les bardeaux, au moment où l’incendie faisait craquer le plancher du galetas. — (Jules Verne, P’tit Bonhomme, chapitre 4, J. Hetzel et Cie, Paris, Illustrations par Léon Benett, 1891)
- (Typographie) Boîte spéciale dans laquelle les caractères sont mis en réserve [1].
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nilgaut
?- Bovidé, espèce de grande antilope commune en Inde.
- Le nilgaut fréquente les steppes herbeuses et peu boisées.
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conjungo
?- (Par plaisanterie) Mariage.
- Après neuf mois de conjungo,Digne fille de la Bourgogne,L'épouse allant vite en besogneLui donne un gras et gros marmot. — (Paul Parelon, Chansons folles et sages, Père et parrain ; Librairie de Frédéric Henry, Paris, 1864, page 65.)
- Il paraît que vous persistez dans votre entêtement de ce matin, dans votre idée fixe du conjungo. — (Eugène Chavette, La Chambre du crime, 1875)
- Je me sens, en face de vous, de l'humeur de ces moralistes, qui, hors du conjungo, ne voient dans le plaisir de la chair que péché et réprouvent toutes relations à l'exception des légitimes. — (André Gide, Corydon, Folio, 1924, page 31)
- Un type honnête, Charles. La preuve, c’est qu’il venait de lui proposer le conjungo. — (Raymond Queneau, Zazie dans le métro, Gallimard, Paris, 1959)
- Plus tard, il prit du plaisir à voir Olga, à l’ouïr discourir ; Olga, lui racontant son conjungo trop tôt rompu, lui disait sa passion pour Douglas Haig. — (Georges Perec, La Disparition, Gallimard, Paris, 1969)
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culturaux
?- Masculin pluriel de cultural.
- De tous les essais que nous avons rapportés ci-dessus — réalisés avec des eaux plus ou moins salées mais de SAR toujours acceptable — il résulte que, moyennant des précautions importantes, variables suivant les cas, et toujours destinées à assurer une bonne circulation de l’eau dans le sol (drainage naturel ou réalisé artificiellement, travaux culturaux, etc…) et des méthodes d’irrigation appropriées (doses, fréquence, irrigations de dessalage, etc…) il est possible d’irriguer des sols même assez lourds, avec des eaux saumâtres, ou de dessaler et désalcaliser des sols avec ces mêmes eaux. — (Comptes rendus des séances de l’Académie d’Agriculture de France, 1969)
- broncho
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clos
?- Espace de terre cultivé et fermé de murs ou de haies, de fossés, etc.
- Un clos de vingt arpents.
- Un clos de vigne.
- (Spécialement) Parcelle plantée de vigne.
- Terroir de clos honorés jusque sur les tables royales, l’Orléanais se vantait de posséder sa propre « façon de barillerie » qu’on pouvait reconnaître de Jargeau à Beaugency. — (Gérard Boutet, La belle ouvrage, Éditions de Borée, 2003, page 151)
- (Rhône-Alpes) Terrain généralement clos consacré au jeu de boules, en principe attaché à un débit de boissons, ombragé et pourvu d’une buvette.
- Les joueurs éméritesFont, pour vider des pots,De fréquentes visitesAux tonnelles du clos.Quand le petit vin coule,Disent-ils finement,On lance mieux la boule,Incontestablement. — (J.-M. Percier, Les joueurs de boules, La Boule, Lyon, 5 juin 1898, page 3)
- Et puis dans un clos, on est mieux chez soi, entre amis, entre bons copains pour qui la partie de boules est, avant tout, une façon de se rencontrer et de passer quelques heures ensemble. — (M. Chaux, Notre sport - Les terrains de jeux, La France bouliste, 31 juillet 1931, page 1)
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nationaux
?- Masculin pluriel de national.
- Et ce sont ces moribonds nationaux et religieux qui ont entrepris, aux Etats-Unis, d’anglosaxonniser les races et poursuivent la réalisation d’une puissance composite qui n’aurait plus qu’une idole: le dollar, qu’un idéal: l’oubli des ancêtres! — (Revue Canadienne, volume 42, 1902, page 139)
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communaux
?- Masculin pluriel de communal.
- Lundi 1er août, une centaine de cavaliers et meneurs avec leurs chevaux, vététistes et attelages, ont emprunté les chemins vététistes, équibreizh ou communaux. — (journal Le Télégramme, édition Morlaix, 3 août 2022, pages locales, page 4)
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berceaux
?- Pluriel de berceau.
- J’ai vu, aux premiers jours du printemps, sous les berceaux de pampres qui s’enlacent aux figuiers de l’Adriatique, des matrones, drapées presque à la manière de l’ancienne Grèce, qui recueillaient avec soin dans des fioles ce qu’elles appelaient poétiquement les larmes de la vigne. — (George Sand, Lettres d’un voyageur, Garnier frères, 1847, page 314)
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austraux
?- (Rare) Masculin pluriel de austral.
- Étant donné la position actuelle de Mars dans le cycle de précession orbitale, les hivers austraux sont plus longs que les hivers boréaux. — (A. McEwen, Mars, un remodelage permanent, Pour la science n° 430, page 38, août 2013)
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hôpitaux
?- Pluriel de hôpital.
- Quand on commença à faire, dans les hôpitaux, le bouillon, d’après le nouveau règlement en vigueur aujourd’hui, le Conseil municipal se récria, se plaignit de ce que le bouillon était trop bon; et, comme on doit les plus grands égards à l’autorité qui tient les cordons de la bourse, le Conseil des hôpitaux fut obligé de céder et de désaméliorer quelque peu le bouillon. — (La Revue indépendante, 15 juin 1844, page 508)
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créneaux
?- Pluriel de créneau.
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arbitraux
?- Masculin pluriel de arbitral.
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catarrhaux
?- Masculin pluriel de catarrhal.
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asticot
?- (Pêche) Petit ver blanc, servant d’appât pour la pêche et fixé à l’hameçon.
- L’asticot est l’appât naturel le plus utilisé pour la pêche au coup.
- (Entomologie) Larve de diptère, de mouche.
- Qu’est-ce que c’est au juste que les asticots funéraires ?− Je connais un peu la question, dit Offroir, l’ayant étudiée avec le savant docteur Mégnin. Ce sont bien en effet, tout au moins durant les premiers temps de la putréfaction, des asticots puisqu’il s’agit de larves de diptères, notamment de Calliphora vomitoria qui n’est autre que la grosse mouche bleue, de Curtonevra stabulans aux mœurs rurales, de Phora atterrima et d’Ophyra cadaverica lesquelles n’apparaissent que lorsque la fermentation ammoniacale succède aux fermentations butyrique et caséique. — (Raymond Queneau, Loin de Rueil, Gallimard, 1944)
- Chaque femelle de Musca domestica peut pondre jusqu’à cinq cents et parfois mille œufs. Ces œufs sont blancs et mesurent environ 1,2 mm de longueur. Au bout d’une seule journée, les larves (asticots) en sortent ; elles vivent et se nourrissent sur de la matière organique (généralement morte et en voie de décomposition avancée, telle qu’un cadavre, des détritus ou des excréments). Les asticots sont blanc pâle, d’une longueur de 3 à 9 mm. Ils sont plus fins dans la région buccale et n’ont pas de pattes. — (Michel Houellebecq, La carte et le territoire, 2010, J’ai lu, pages 265-266)
- (Populaire) Personne qui en asticote une autre.
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muraux
?- Masculin pluriel de mural.
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caraco
?- (Habillement) Vêtement de femme en forme de corsage non ajusté.
- Cependant, la foule des bonnets blancs, des caracos noirs, des blouses bleues, emplissait les étroits sentiers. — (Émile Zola, Le Ventre de Paris, Georges Charpentier, Paris, 1873)
- Pinchard, de son sac, sortant une camisole. — Ah ! un caraco ! (À sa femme.) Coco ! Caraco ! — (Georges Feydeau, Le Dindon, 1896)
- Ayant retiré son caraco, elle n'était vêtue que d'une chemise et d'un jupon court ; sa peau flétrie apparaissait et ses bras, maigres et bruns, étaient semblables au manche de son outil. — (Ernest Pérochon, Les Gardiennes, 1924, réédition Les Moissons, 2021, page 22)
- Elle le poursuivait vainement de ses agaceries, se serrant contre lui ou proposant à sa curiosité un sein maigre qu’elle tirait de son caraco et qui filait entre ses doigts. — (Marcel Aymé, La jument verte, Gallimard, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 56)
- C’était une fille trapue, courte sur pattes, mais qui avait du mou dans les rondeurs et qui sentait fort du caraco ; elle chaussait un bon 42, elle tiendrait debout par tous les vents et lui ferait de l’usage. — (Marcel Aymé, La jument verte, Gallimard, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 172)
- Révérente dans son caraco gris, […], Léonie s'activait à repriser du linge de corps en bonne toile de chanvre très ancienne. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Un jour Kiki la cocotte demande à Coco le concasseur de cacao de lui offrir un caraco kaki avec un col de caracul. Coco le concasseur de cacao voulut bien offrir à Kiki la cocotte le caraco kaki mais sans col de caracul. Or vint un coquin qui conquit le cœur de Kiki la cocotte. Il offrit à Kiki la cocotte le caraco kaki avec le col de caracul ! Conclusion : Coco le concasseur de cacao fut cocu. — (site www.vulgarisation-informatique.com/forum)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.