Dictionnaire des rimes
Les rimes en : épeule
Que signifie "épeule" ?
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- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe épeuler.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe épeuler.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe épeuler.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe épeuler.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe épeuler.
Mots qui riment avec "eul"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "épeule".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : eul , euls , eule et eules .
- larreule
-
bisaïeule
- Féminin singulier de bisaïeul.
- champigneul
- freule
-
ligneul
- (Cordonnerie, Textile) Fil de lin ou de chanvre, enduit de poix et de suif, dont se servent les cordonniers.
- Elle vit, à l’angle de la place, le vieux savetier qui tirait le ligneul d’un geste éternel. — (Anatole France, Le Lys rouge, 1894, réédition Le Livre de Poche, page 207)
- Connaissez-vous Turinaz ? me demanda […] le père Milot, le cordonnier de Longeverne, tandis que je fumais une pipe près de sa banchette en le regardant tirer le ligneul. — (Louis Pergaud, Un point d’histoire, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- « Le point que j’ai mis à tes bottes n’a pas tenu, dit Giuseppe qui enleva ses mains de sa nuque et même se redressa. Tire-les et donne-les moi. J’avais glacé le ligneul pour pouvoir le vernir et la cire a dû manger le fil. Je ne veux pas te voir avec des bottes décousues. — (Jean Giono, Le hussard sur le toit, 1951, réédition Folio Plus, page 265)
- Jamais de sa vie elle n’avait connu pareille émotion, et doucement, elle lui passa les doigts dans sa toison de souple ligneul. — (Robert Musil, L’Homme sans qualités, 1930-1932 ; traduction de Philippe Jaccottet, 1956, tome 1, page 427)
- Sans doute avait-il, dans une de ses dépendances de la maison, un atelier de bourrelier-sellier, sans doute y travaillait-il et il m’arrivait souvent même de l’aider à préparer le ligneul ; sans doute fabriquait-il, avec une grande habileté, des harnais de toute espèce, de la sellerie fine pour M. le Comte aussi bien que des harnachements de trait, mais il allait et venait dans le pays, entouré d’une grande considération. — (Henri Vincenot, La Billebaude, 1978, page 17)
- Geralt avait recousu la partie décollée de son cuir chevelu au moyen d’un ligneul. — (Andrzej Sapkowski, La Tour de l'Hirondelle, 1997)
- (Charpenterie) Lambourde de bois scellée le long d'un mur et destinée à recevoir le bout des solives d'un plancher.
- On placera , du côté opposé , un ligneul ou des solives d'enchevêtrure pour les recevoir, afin de ne pas trancher le mur. — (Manuel des lois du bâtiment, Éd. Ducher, Paris 1879)
-
filleule
- Fille spirituelle d’un parrain ou d’une marraine, jeune fille pour laquelle une cérémonie de parrainage a eu lieu.
- Cette enfant est ma filleule.
- […] l’alliance spirituelle, qu’une femme a contractée, soit avec sa filleule, soit avec sa marraine, soit avec sa commère spirituelle, se communique à son mari, qui contracte pareillement une alliance spirituelle avec la filleule […]. — (Dupin aîné, Œuvres de R.-J. Pothier, contenant les traités du droit français, Bruxelles, J.-P. Jonker, Ode et Wodon, H. Tarlier, 1830, page 376)
- Nous avons laissé le jeune baron de Boussac avec la douce Jeanne, sa sœur de lait, la filleule de sa mère, qui s’intitulait aussi la sienne, par suite d’un usage tout local, et de l’idée naïve et affectueuse qu’on ne saurait être adopté par le chef de la famille sans l’être par la famille entière. — (George Sand, Jeanne, 1844)
- [E]n particulier, les parrains s’engagent à marquer leur affection à leur filleul ou filleule, à leur donner leur amitié, ainsi que leur aide et leurs conseils, notamment en développant chez leur filleul(e) les qualités morales et humaines propres à une approche libre-exaministe. — (Laïcité Watermael-Boitsfort asbl, Cérémonies laïques → lire en ligne)
-
trisaïeul
- Père du bisaïeul ou de la bisaïeule.
- Mon père, mon aïeul, mon bisaïeul, mon trisaïeul, mon quadrisaïeul, mon quinquisaïeul ont toujours mangé, comme les rats, à la table d'autrui. — (Plaute, Le Persan, scène III)
- Appius Claudius Cécus qui fit venir à Rome les eaux Claudia. Ce fut en 771 ; mais ce censeur ne fut, ni le bisaïeul, ni même le trisaïeul, mais bien le quinquisaïeul d’Appius, si l'on me passe l'expression. — (Œuvres complètes de Cicéron, commentaire de Philip Aimé de Golbéry, en page 428, Panckoucke, 1833)
- En outre, comme il ne se faisait plus de testaments, il n’y avait plus d’héritages, et les générations nouvelles ne possédaient rien en propre : tous les biens appartenaient de droit aux bisaïeuls et aux trisaïeuls, qui ne pouvaient en jouir. — (Charles Deulin, « Le Poirier de Misère », in Cambrinus et autres Contes, circa 1847–1875)
- - Est-il de Saint-Georges? demanda l'un des assistans à son plus proche voisin.- Sans doute, répliqua celui-ci ; et je puis en répondre, car mon trisaïeul a été le parrain du sien en mil cinq cent nonante-neuf. — (Julie de Quérangal, Philippe de Morvelle, Revue des Deux Mondes, tome 2,4, 1833)
- Le trisaïeul de son trisaïeul était l'égal, le compagnon, le pair du roi; à ce titre il est lui-même d'une classe privilégiée, celle des gentilshommes; […]. — (Hippolyte Taine, Philosophie de l’art, Germer Baillière, Paris, 1865, page 134)
- acheul
-
aïeul
- Grand-parent.
- Les enfants arrêtaient sur leur aïeul des yeux d'une pénétrante vivacité. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
- Une partie de cette grande fortune fut dépensée à la cour de France par l’aïeul et le bisaïeul du comte Charles; son père en dissipa le reste, et ne lui laissa que des terres grevées d’obligations et d’hypothèques. — (Julie de Quérangal, Philippe de Morvelle, Revue des Deux Mondes, T.2,4, 1833)
- La terre que l’aïeul paternel de Saint-Ybars, émigré du Canada en Louisiane, avait achetée en 1749, n’était alors qu’un désert dont le centre était occupé par un bosquet de chênes séculaires. — (Alfred Mercier, L’Habitation Saint-Ybars, 1881)
- Cela suffit à les convaincre plus tard que la mathématique, mère de la science naturelle exacte et grand-mère de la technique, était aussi l’aïeule de cette mentalité qui suscita pour finir les gaz toxiques et les pilotes de guerre. — (Robert Musil, L’Homme sans qualités, 1930-1932 ; traduction de Philippe Jaccottet, 1956, p. 50.)
- M. de Montausier racontait avec plaisir les services que son aïeul avait rendus à Henri IV. — (Esprit Fléchier, Montausier — cité par Littré)
- Le fils est, à l’égard du père ou de la mère, au premier degré de parenté et réciproquement ; l’aïeul est, à l’égard du petit-fils, au deuxième degré ; le bisaïeul, au troisième degré, le trisaïeul, au quatrième degré, et ainsi de suite. — (Institutes, ou Principes des lois civiles. Charles Jean Baptiste Amyot, 1833. → lire en ligne)
- Rang de la génération au-delà des grand-parents, pour les générations au-delà de trisaïeul.
- Le mot AÏEUL n'a point de composé au delà de ceux de Bisaïeul et de Trisaïeul; et quand on parle des degrés plus éloignés, on dit Quatrième aïeul, cinquième aïeul, etc. — (aïeul - Dictionnaire de l'Académie française)
- (Par extension) Vieillard.
- L’aïeul mourait froid et rigide.Il avait quatre-vingt-dix ans.La blancheur de son front livideSemblait blanche sur ses draps blancs. — (Guy de Maupassant, L’Aïeul, Des vers, 1880, 3e édition)
- Personne dont on descend.
- Qui sert bien son pays n’a pas besoin d’aïeux. — (Voltaire)
- (Sens figuré) (Par plaisanterie) Forme ancienne d'une réalité ultérieure.
- Et les porteurs [...] étaient partis d'un pas que nous n'hésiteront point à reconnaître pour l'aïeul du pas gymnastique moderne. — (Alexandre Dumas, Le comte de Moret (Le sphinx rouge), 1865, III, 14)
- choiseul
- palaiseul
-
linceul
- (Désuet) Drap, rideau, ou couverture de lin.
- Au premier et au second, étage, des chambres propres, froides, meublées sommairement, repeintes à neuf, avec des linceuls blancs aux fenêtres. — (William Shakespeare, dans Edmond Huguet, Les Métaphores et les comparaisons dans l’œuvre de Victor Hugo, volume 2, 1905, page 39)
- J’ai vu, petit garçon, des toiles de Jouy […] remplacer la nappe à un repas de métayers, et d’autres, l’été, couvrir les bœufs contre les mouches, en guise de draps, de « linceuls » de lin. — (Joseph de Pesquidoux, Le Livre de raison, 1925, page 101)
- (Funéraire) Drap de toile dans lequel on enveloppe le corps des défunts.
- Son corps a été enveloppé dans un linceul mortuaire, exactement comme ceux des deux sœurs, une de trois ans et un bébé de huit mois, qui ont été tuées, il y a trois jours, dans cette même zone de Jablaya. — (Anne Penketh, La Guerre secrète d’Israël : Le désastre humanitaire qui se déroule en Palestine)
- Alors la vieille femme prit le linceul de lin blanc et enveloppa la morte tout entière. — (Out-el-Kouloub, « Zariffa », dans Trois Contes de l’Amour et de la Mort, 1940)
- Ceux qui ouvraient les leurs étaient saisis d’effroi en le voyant enveloppé de blancs linceuls, et poussant des gémissements pitoyables. — (Ernst Theodor Amadeus Hoffmann, Le Diable à Berlin, 1820, traduit par Henry Egmont)
- Que tu meures absous ou damné […] tu auras pour linceul une toile d’araignée, et j’ensevelirai l’araignée avec toi ! — (Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit, 1842)
- (Par extension) (Sens figuré) Ce qui enveloppe une dépouille.
- Mais notre règne arriveraQuand votre règne finira. [bis]Nous tisseronsLe linceul du vieux monde,Car on entend déjà la révolte qui gronde. — (Aristide Bruant, Les Canuts, 1910)
- puceul
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.