Dictionnaire des rimes
Les rimes en : voulut
Que signifie "voulut" ?
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- Troisième personne du singulier du passé simple de vouloir.
- Dans un carrosse qui conduisit le prince et ses « roués » pour un souper à Saint-Cloud, l’un d’eux voulut savoir ce qu’il fallait penser du bruit qui courait. — (Évelyne Lever, La diplomatie secrète du mystérieux abbé Dubois, dans Marianne no 765, 17 décembre 2011)
Mots qui riment avec "u"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "voulut".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : u , us , ut , uts , ûs , ût , ûts , ue et ues .
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dru
- (Linguistique) Code ISO 639-3 du rukai.
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détendu
- Lâche, non tendu.
- Ce lien est détendu.
- Relax, relâché.
- Selon les journalistes présents, Laporte est détendu et rieur. — (Jean-Charles Panneton, Pierre Laporte, Septentrion, 2012, page 382)
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tenu
- Qui est entretenu, soigné, arrangé, suivi.
- Cet enfant est bien tenu.
- Une maison bien tenue.
- Le cahier de cet élève est mal tenu.
- Au début de l'existence, mon histoire serait simplement celle d'un enfant très choyé, très tenu, très obéissant et toujours convenable dans ses petites manières, auquel rien n'arrivait, dans son étroite sphère ouatée, qui ne fût prévu, et qu'aucun coup n'atteignait qui ne fût amorti avec une sollicitude tendre. — (Pierre Loti, Le Roman d'un enfant, 1890)
- Qui est obligé à faire quelque chose.
- Je ne suis pas tenu à cela.
- Il est tenu de m’indemniser.
- Un héritier est tenu des dettes de celui dont il hérite.
- Quand les termes d’un pari sont acceptés.
- — Je parie $10 sur l’ours!…— Tenu!… — (Morris [Maurice de Bevere], Lucky Luke 13 — Le Juge, éditions J. Dupuis & Fils, 1974, page 28)
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hue
- (Linguistique) Code ISO 639-3 du huave de San Francisco del Mar.
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laïus
- (Péjoratif) Long discours, exposé, long développement verbeux et creux, baratin.
- Que penses-tu de ces laïus à perte de vue à la Chambre. — (Alain-Fournier, Corresp. [avec Rivière], 1906, page 144)
- À défaut du sens de ce discours, elle comprenait qu’il pouvait rentrer dans le genre commun des « laïus » et scènes de reproches ou de supplications dont l’habitude qu’elle avait des hommes lui permettait, sans s’attacher aux détails des mots, de conclure qu’ils ne les prononceraient pas s’ils n’étaient pas amoureux, que du moment qu’ils étaient amoureux, il était inutile de leur obéir, qu’ils ne le seraient que plus après. — (Marcel Proust, Un amour de Swann, 1913, réédition Le Livre de Poche, page 135)
- Ah ! Ce n’était que verbiage livresque et littérature que j’essayais de fignoler du fond même de ma misère, c’était du laïus ! Je reste là peut-être une demi-heure, hoquetant et marmonnant, cramponné à la porte. — (Knut Hamsun, La Faim, traduction de Georges Sautreau, 1961, page 202)
- À la fin de son laïus, Honecker demande s’il y a des questions. — (Olivier Guez et Jean-Marc Gonin, La Chute du Mur, Le Livre de Poche, 2011, ISBN 978-2-253-13467-1)
- (Péjoratif) Exposé un peu convenu, qui semble manquer de sincérité ou de vérité. Note : Souvent accompagné de l'adjectif petit.
- Le dimanche, un séminariste prononçait un petit laïus qui passait pour une méditation et quelquefois ne manquait pas de drôlerie. — (André Billy, Introïbo, 1939, page 78)
- En fait, j'ai vu des infopubs américaines doublées en français plus convaincantes que son petit laïus. — (Patrick Senécal, Malphas 1: Le cas des casiers carnassiers, Éditions Alire, Montréal, 2011, page 9)
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guru
- Variante orthographique de gourou.
- Mais revenons au guru de Parvati qui, lui aussi, a fondé un sanctuaire au dieu Dharmo, fréquenté surtout par les basses castes et les Santal. — (Marine Carrin, Enfants de la déesse: Dévotion et prêtrise féminines au Bengale, 1997)
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grenue
- Féminin singulier de grenu.
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corrompu
- Qui s'est fait corrompre, modifié en mal.
- Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants,Doux comme les hautbois, verts comme les prairies,— Et d'autres, corrompus, riches et triomphants. — (Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, Correspondances, 1861).
- Le gouverneur éhontément corrompu de Saxe, Martin Mutschmann, avait ignoré les appels des officiels de la ville à la construction d'abris solides, même s'il avait fait construire par les SS des bunkers de béton armé sous son bureau et dans le jardin de son domicile. — (Donald L. Miller, Les Maîtres de l'air, traduit de l'anglais (USA), Michel Lafon, 2015)
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lapsus
- (Linguistique) Erreur involontaire qui fait dire à une personne autre chose que ce qu’elle avait prévu d’exprimer.
- Nous sommes foudroyés, dit-il. Il voulait dire « fourvoyés », mais c'était là un lapsus léger et que rendaient excusable, d'ailleurs, ces circonstances exceptionnelles. — (Georges Courteline, Train 8 h 47, 1888)
- Un lapsus, une faute de prononciation, le soufflet sur la joue d’un clown, peuvent créer un accès irrésistible avant qu’aucun couple comparatif de concepts ait eu le temps d’intervenir. Le rire a jailli avec la rapidité du réflexe ; il est souvent aussi véloce que le geste d’un instinct élémentaire. — (Lucien Fabre, Le Rire et les rieurs, Gallimard, Paris, 1929, page 43)
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assidu
- (Sens propre) (Sens figuré) Qui fait preuve d’assiduité.
- Magistrat assidu aux audiences.
- Écolier assidu au travail.
- Être fort assidu auprès du prince.
- Il était fort assidu auprès de cette femme.
- Martin de l’Aisne, député au Corps législatif en 1809, fut nommé l’année suivante membre de la commission des finances, dont les travaux assidus et secrets convenaient à son esprit laborieux et timide. — (Anatole France, Le Lys rouge, 1894, réédition Le Livre de Poche, page 43)
- (Par extension) Qui est continu, qui se répète fréquemment.
- La famille entretenait un culte marial assidu. Les grands-mères et arrière-grands-mères avaient toutes accompli le pèlerinage de Lourdes. Le folklore conservait de ces antiques pérégrinations quelques histoires scabreuses […]. — (Bernard Gardey, La foi hors les murs: Grappillage de la Saint-Martin, 1912-1999, Éditions Karthala, 2001, page 50)
- C'est désormais au Pakistan, ou en Iran, que la fréquentation des sites de téléchargement de films X est le plus assidue. Qui sait quelles bombes mentales s'allument dans les nuits solitaires de Kaboul ou de Karachi ? — (Hervé Juvin, Le gouvernement du désir, Éditions Gallimard, 2016)
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combattue
- Participe passé féminin singulier de combattre.
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survenue
- Action de survenir.
- Et nous rebroussâmes chemin, gênés tous les deux par je ne sais quoi de subitement plus sourd, oppressés tous les deux par la survenue d’un nouveau destin, qui rendait notre marche pesante et chancelante comme une montée de calvaire. — (Octave Mirbeau, Contes et nouvelles – Le Pont, réédition Arcadia, 2002, page 10)
- Ces nouveaux résultats concernant la communauté bactérienne intestinale s’ajoutent à d’autres études publiées cette année et qui tendent à montrer son rôle dans la survenue de maladies telles que l’alzheimer, le parkinson et le cancer. — (Radio-Canada, « Le microbiote intestinal régule aussi les humeurs », radio-canada.ca, 14 décembre 2020)
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débattue
- (Suisse) Engourdissement douloureux dû au froid intense.
- La débattue, au sens propre, c'est cette sensation douloureuse que l'on ressent dans le corps quand, après l'engourdissement dû à un grand froid, le sang se remet à circuler normalement. — (Arthur Honegger, trad. de Gilbert Musy, La débattue, Éd. D'en bas, Lausanne 1982)
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retenue
- Action de retenir.
- (Comptabilité, Finance) Ce qu’on retient, en vertu de la loi ou d’une stipulation convenue, sur un traitement, un salaire, ou sur une rente.
- La retenue est de tant pour cent.
- Subir une retenue.
- Retenue légale.
- Franc et quitte de toute retenue.
- Dix mille francs, nets de toute retenue.
- (Arithmétique) Chiffre, le nombre que l’on retient.
- La retenue est deux.
- Il a oublié la retenue.
- (Éducation) Privation de sortie, infligée à un écolier comme punition de quelque faute.
- Pour la moindre incartade, je foudroyais toute l’étude de pensums et de retenues… — (Alphonse Daudet, Le petit Chose, 1868, réédition Le Livre de Poche, page 81)
- Il ajouta qu’il ne fallait pas croire, pour autant, qu’un lycée fût une pétaudière, et il insista particulièrement sur les « retenues », qui sont une espèce de condamnation aux travaux forcés, et qui font monter le rouge au front d’une famille. — (Marcel Pagnol, Le temps des secrets, 1960, collection Le Livre de Poche, page 260)
- Cet enfant est en retenue.
- On l’a mis en retenue.
- Faire sa retenue.
- Réservoir où l’on retient de l’eau.
- Pour arroser son jardin, il avait une retenue d’eau.
- Espace entre deux écluses où l’eau est retenue.
- Retenue de chasse — Sorte d’écluse dans certains ports de mer, qui sert à retenir l’eau et que l’on ouvre tout à coup, de manière que le courant chasse les galets et le sable qui obstruent l’entrée du port.
- (Sens figuré) Action de se retenir, modération, discrétion, modestie.
- Un avocat raconta à ses voisins une cause jugée dans la journée. Il s’exprimait avec retenue, presque en confidence, à raison du sujet. — (Henri Barbusse, L’Enfer, Éditions Albin Michel, Paris, 1908)
- Mutisme et retenue semblent les mots d’ordre lorsqu’il est maintenant question du député de Rimouski. — (Gilles Turmel, Député accusé d’agression sexuelle: le malaise Harold LeBel, Le Journal de Québec, 17 décembre 2020)
- Il ne s’emporte jamais, j’admire sa retenue.
- Il faut avoir de la retenue.
- Ne garder, ne mettre aucune retenue dans sa conduite.
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joufflu
- (Familier) Qui a de grosses joues.
- Petit-Pierre paraissait plus avisé que ses frères ; mais autant ceux-ci étaient gros, joufflus et vermeils, autant il avait l’air maigre, chétif et pâlot. — (Charles Deulin, Manneken-Pis)
- Une colossale figure du « Temps », soulève Terre et cadran sur ses vigoureuses épaules, tandis que des anges joufflus, des Amours pour mieux dire, se jouent tout autour, voletant et dégringolant jusque sur le fronton. — (Gustave Fraipont, Les Vosges, 1895, 1923)
- Et voici que des guirlandes de jeunes filles, fleurs rieuses dans leurs corolles couleur de ciel, couleur d'eau, couleur de feuille, essaient la cadence des rondes dont le cornemusiste joufflu guidera aigrement les temps. — (Marcel Brion, La reine Jeanne, Éditions Robert Laffont, 1944, chap. 1)
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imbue
- Féminin singulier de imbu.
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épandue
- Étalé avec générosité.
- L’on doit, pour apprécier la couleur de Le Brun, s’en rapporter à ses tapisseries dont la blondeur est si remarquable, la lumière tamisée, épandue. — (Jean de La Varende, Versailles, édition Henri Lefebvre, 1959, pages 96-97)
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déshabitue
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe déshabituer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe déshabituer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe déshabituer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe déshabituer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe déshabituer.
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accentue
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe accentuer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe accentuer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe accentuer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe accentuer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe accentuer.
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défendue
- Féminin singulier de défendu.
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détendue
- Féminin singulier de détendu.
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favus
- (Médecine, Dermatologie) Dermatose d'origine fongique, très contagieuse intéressant généralement le cuir chevelu. Il a pour origine Trichophyton schoenleinii.
- Nom donné aux croûtes de la teigne faveuse.
- Un favus.
- Des favus.
- Parfois appelé favid ou trichophytide favique.
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éberlue
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de éberluer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de éberluer.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de éberluer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de éberluer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de éberluer.
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prévu
- Qui a été prévu, à quoi l’on s’attend.
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gibus
- Haut-de-forme qui s’aplatit et se relève à l’aide de ressorts mécaniques.
- Mon habit et mon pantalon étaient assez râpés, mais à la lumière cela passe ; mon chapeau était déformé, en m’asseyant dessus j’en fis sur-le-champ un gibus ; bref, je parvins à me faire assez élégant, mais il me fallait absolument des gants neufs : à ma dernière paire, il n’y avait plus aucun pouce […] — (Charles Paul de Kock, Carotin, page 99, 1845)
- Ensuite, et ce que nous venons de dire le comporte, il faut au comique une personne en cause : on ne rira d’un gibus écrasé qu’en évoquant la mine du propriétaire. — (Lucien Fabre, Le Rire et les rieurs, Gallimard, Paris, 1929, page 67)
- Notre voisin, enrhumé et doux, secoué d’éternuements en série, ne manquait pas de déguiser ses cerisiers en vieux chemineaux et coiffait ses groseilliers de gibus poilus. — (Colette, Sido, 1930, Fayard, page 35)
- Il ne faut pas vous fier à leur gibus, vous savez, monsieur. Dessous, c’est une chose dont je ne dirai pas le nom devant madame mais qui ne sent pas bon. — (Jean Giono, Le hussard sur le toit, 1951, réédition Folio Plus, page 385)
- Nous n’étions plus au temps où les professeurs se rendaient au lycée en gibus.. — (Paul Guth, Le mariage du Naïf, 1957, réédition Le Livre de Poche, page 9)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.