Dictionnaire des rimes
Les rimes en : vaudringhem
Mots qui riment avec "aime"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "vaudringhem".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : aime , aimes , ème , èmes , ême , êmes , em , ems , emme et emmes .
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énanthème
- (Médecine) Éruption rouge se situant sur la membrane muqueuse à l'intérieur d’une cavité naturelle, la cavité buccale par exemple.
- De nombreuses maladies infectieuses s’accompagnent d’érythème buccal le plus souvent sans spécificité, à l’exception de la rougeole où l’énanthème est un des signes diagnostiques les plus précoces et les plus spécifiques. — (Pierre Tonnellier, Odonto-stomatologie essentielle de l’omnipraticien, 1983)
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trentième
- Qui concerne l’ordinal ou la fraction trente.
- Donnez-moi un trentième gâteau.
- ledringhem
- verlinghem
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hème
- (Biologie) Substance composée de fer et de porphyrine, présente dans l’hémoglobine, et qui sert au transport des gaz du sang.
- L’équipe montre pour la première fois, in vivo chez le rat, qu'une charcuterie modèle riche en hème (la molécule qui apporte du fer facilement assimilable, celle qui donne à la viande crue sa couleur rouge et à la viande cuite son aspect rosé), salée, additionnée de nitrites, cuite et oxydée était promotrice du développement du cancer colorectal. — (Anne Jeanblanc, La charcuterie favorise le cancer colorectal... chez le rat, Le Point (www.lepoint.fr), 7 juillet 2010)
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oedicnème
- Orthographe par contrainte typographique d’œdicnème.
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même
- Qui n’est pas autre, qui n’est pas différent. — Note : Dans ce sens, il est placé devant un nom et s’emploie généralement avec l’article défini ou l’article indéfini.
- L'intendant reçut les deux visiteurs avec la même amitié que chacun témoignait à la femme, et la même déférence que tous paraissaient accorder au jeune homme. — (Alexandre Dumas, Les Deux Diane, 1847, chap.1)
- Deux plantes de même espèce.
- Deux mêmes personnes.
- Ils ont pris tous deux le même sujet.
- Les mêmes erreurs se répètent souvent.
- Une même cause produit les mêmes effets.
- Présenté souvent sous la forme : le même que, la même que, il implique une comparaison entre deux idées et marque soit l'identité, soit la ressemblance.
- Ce garçon porte la même veste que son frère.
- Rassurez-vous, on vous fera subir le même traitement qu'à lui.
- S’emploie sans article et se place immédiatement après un nom ou un pronom pour marquer plus expressément la personne ou la chose dont on parle. Il a alors même sens que lui-même, elle-même, eux-mêmes.
- Décédé à Paris le 11 novembre 1872, des suites d’une albuminurie, son corps a été transporté le soir même pour être inhumé dans un caveau de famille, à Sedan. — (Eugène Dupont, Notice nécrologique de François Clément Sauvage, dans La vie rémoise, vol.4, 1869-1872)
- Beaucoup de ces tournures, et particulièrement les idiotismes de figures, constituent des bizarreries dans la langue même qui les a enfantées ; […]. — (Auguste Kerckhoffs, Cours complet de Volapük, contenant thèmes et versions, avec corrigés et un vocabulaire de 2500 mots, Paris : librairie H. Le Soudier, 6e éd., 1886, page 58)
- Cette religieuse naît, le 26 mai 1605, à Anvers, pendant les guerres qui désolent la Flandre, au moment même où le Prince Maurice de Nassau investit la ville. — (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
- Par ailleurs, il existe un ferrier gallo-romain à Bonval, un autre dans le village même de Villethierry. — (J. Prampart, « Le cimetière mérovingien de Villethierry (Yonne) », dans la Revue archéologique de l'est et du centre-est, Vol. 34-35, Éditions du CNRS, 1983, page 349)
- Il se met aussi après les noms qui désignent quelques qualités, pour exprimer qu’elles sont au plus haut degré dans la personne dont on parle.
- Dieu est la sagesse même, la miséricorde même.
- Cette femme est la bonté même.
- Placé après le pronom qu’il modifie, il sert à insister sur la personne, sur l’identité — Note : Dans ce cas-là, il est lié au pronom par un trait d’union, que certains auteurs d'ailleurs suppriment aujourd'hui.
- → voir moi-même, toi-même, soi-même, lui-même, elle-même, nous-mêmes, vous-mêmes, eux-mêmes et elles-mêmes.
- Combattre contre un autre soi-même — (Corneille)
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pelem
- Troisième personne du pluriel du présent du subjonctif de pelar.
- Troisième personne du pluriel de l’impératif de pelar.
- willems
- inghem
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alem
- Ancien étendard ottoman.
- TABLALEM, s. m. (Hist. mod.) titre que l’on donne chez les Turcs à tous les gouverneurs des provinces ; on le donne aux visirs, bachas, begs. Alem est un large étendart porté sur un bâton, surmonté d’un croissant ou d’une demi-lune. Le tabl est un tambour. Les gouverneurs sont toujours précédés de ces choses. — (L’Encyclopédie)
- L’émir alem, vulgairement miralem, porte-enseigne de l’empire, est directeur de tous les intendans, & fait porter devant lui une cornette mi-partie de blanc & de verd. — (L’Encyclopédie)
- On porte devant lui trois queues de cheval tressées avec art. Un étendard de couleur verte, nommé alem, & deux autres étendards fort larges, qu’on nomme bairak. Les autres bachas n’ont point un tabulchana si considérable ; ils ne font porter devant eux que deux queues de cheval avec les trois étendards. Un beg n’a qu’une seule queue de cheval avec les étendards. Les officiers inférieurs n’ont qu’un sanjak, ou étendard, & ils ne font point porter la queue de cheval devant eux. — (L’Encyclopédie)
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monotrème
- Membre de l'ordre des monotrèmes, mammifère qui pond des œufs.
- L'ornithorynque est un monotrème.
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mathusalems
- Pluriel de mathusalem.
- Sur cette table, fort élégamment mise, quelques superbes mathusalems — de lourdes bouteilles de six litres — du meilleur champagne de la maison Roederer attendaient d’être sablées. — (Max Morora, La Vengeance et l’extase, 1997)
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dixième
- Qui concerne l’ordinal ou la fraction dixième.
- Les cannes flèchent au mois d'août, c'est-à-dire, vers le dixième mois de leur plantation ; au moment de la floraison la canne est creuse; aussi se garde-t-on bien de la récolter à cette époque ; […]. — (L.-J Blachette & Frédéric-Salvator Zoéga, Nouveau manuel complet du fabricant et du raffineur de sucre… , collection Manuels Roret, Paris : Librairie Encyclopédique de Roret, 1833, page 22)
- Le Gouvernement a renouvelé pour la dixième fois, en 1865, le grand concours biennal de composition musicale, institué par l'arrêté royal du 19 septembre 1840. — (Bulletin de l'Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique, 1865, 34e année, 2e série, vol.20, p.326)
- Un reporter qui ne précise pas, c’est un géomètre qui néglige de pousser ses calculs jusqu’à la dixième décimale. — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre II, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- (Désuet) (Lui dixième, elle dixième ou en dixième) Avec neuf autres.
- Étant capitaine de grenadiers au régiment de Tournon, il entra, lui dixième, dans Coni, ville des États sardes, et, abattu sous trente-trois blessures, il fut fait prisonnier. — (Marie-Antoine-Alphonse Du Bouvot de Chauvirey, La Terre de Chauvirey, 1865)
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morphème
- (Linguistique, Morphologie) Signe linguistique dont le signifiant est un segment de la chaîne parlée et qui est un signe élémentaire, c’est-à-dire qui ne peut être représenté en termes d’autres signes de la langue.
- (Linguistique, Morphologie) (Désuet) Grammème, monème à fonction grammaticale.
- […] ; mais un mot comme travaillons comporte deux signes successifs : un sémantème travaill- et un morphème -ons chacun avec son sens (respectivement les notions de « travailler » et de « première personne du pluriel ») et sa forme (respectivement, en transcription phonétique, [travaj] et [õ].) — (André Martinet, La Description phonologique avec application au parler franco-provençal d'HAUTEVILLE (Savoie), Genève : Librairie Droz & Paris : M. J. Minard, 1956, p. 12)
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poème
- Ouvrage de littérature en vers.
- Devant le roi et sa suite guerrière (truste, Gefolschaft), le scalde déclame son poème qui s’envole d’une bataille peuplée d’êtres fantastiques et qui s’adapte aux structures sociales et mentales du groupe : […]. — (Patrick Louth, La civilisation des Germains et des Vikings, Genève : éd. Famot, 1976, page 243)
- Mais rien ne peut empêcher qu’un poème dénué de poésie soit plus que mort, intolérable. — (Georges Pompidou, Anthologie de la poésie française, Librairie Hachette, 1961)
- Mais pour d’autres, quelle angoisse ! et quelle injustice ! Les sentiments les plus nobles, les sujets les plus naturellement poétiques, les rythmes travaillés, les rimes recherchées, tout cela pour aboutir à cet enfant mort-né, pleuré de personne, qu’est un poème sans poésie. — (Georges Pompidou, Anthologie de la poésie française, Librairie Hachette, 1961)
- (Par analogie) Ouvrage analogue par la pensée, par le style, mais écrits en prose.
- Les poèmes en prose de Baudelaire.
- (Familier) Quelque chose de remarquable.
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aprème
- Après-midi.
- - T’avais qu’à la faire cet aprème comme tu me l’avais promis. — (Tito Topin, 14 ème nocturne, Série noire, Gallimard, 1983, page 45)
- Ce jour-là, on passa l’aprème à discuter littérature. — (Béatrice Shalit, Poudre d’ange, 1998)
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femme
- « celle qui enfante, qui donne la vie », participe moyen substantivé de *feo (« produire, enfanter »)[2][3][4] qui a donné fetus, fetura, fecundus, fenum, fenus (voir ces mots).
- « celle qui allaite[5][4] », apparenté à filius, fellare (« téter, sucer »).
- boisdinghem
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anathème
- (Christianisme) Sentence de malédiction qui retranche de la communion de l’Église.
- Si quelqu’un dit que tous les chrétiens ont le pouvoir d’annoncer la parole de Dieu et d’administrer les sacrements ; qu’il soit anathème. — (Concile de Trente, 6e session, 13 janvier 1547; traduit dans Abrégé chronologique des conciles généraux, de A.J.A. Gautier, 1836)
- Alors il étendit les bras du côté de Sion ; et, la taille droite, le visage en arrière, les poings fermés, lui jeta un anathème, croyant que les mots avaient un pouvoir effectif. — (Gustave Flaubert, Trois Contes : Hérodias, 1897)
- Heureusement, messieurs, nous ne sommes plus au temps où l’on pouvait s’émouvoir des anathèmes perfectionnés que le Syllabus prodigue à ceux qui le méconnaissent, et nous ne ferons pas aux républicains, même les plus timides, l’injure de croire qu’ils puissent se déterminer par des arguments de ce genre. — (Discours d’Émile Combes à Auxerre, 4 septembre 1904)
- (Sens figuré) (Soutenu) Réprobation ; blâme solennel.
- La bonne compagnie de Verrières commençait à s’indigner de ce que ses anathèmes faisaient si peu d’impression sur M. de Rênal. — (Stendhal, Le rouge et le noir, 1830, réédition Gallimard, 2020, page 231)
- Don Ramon courba la tête sous cet anathème ; le front pâle et l’âme remplie de remords cuisants, il rentra lentement dans l’hacienda. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- C'était toujours des anathèmes épouvantables contre ceux qui étaient justement en train de lui lécher le cul, des gâtés-pourris-crasse qui se demandaient avec des airs ténébreux de quoi ils pourraient bien avoir envie dans la vie. — (Réjean Ducharme, L'hiver de force, Gallimard, 1973, page 112)
- (Par extension) Personne qui est un objet d’opprobre, d’exécration.
- Car c’est une loi singulière que ce peuple d’anathèmes n’ait pu assumer la réprobation collective dont il s’honore qu’au prix fabuleux du protagonisme éventuel de l’individu. — (Léon Bloy, Le Salut par les Juifs, Joseph Victorion et Cie, 1906)
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archiphonème
- (Phonologie) Unité phonologique regroupant les particularités distinctives de deux ou plusieurs phonèmes dont l’un au moins est exclu dans certaines positions.
- « Sot » so et « sotte » sɔt : la paire de phonèmes /o, ɔ/ forme un archiphonème noté /O/ ; le phonème /ɔ/ étant exclu en fin de mot.
- « Soigneur » swaɲœr et « soigneuse » swaɲøz : le triplet /ə, œ, ø/ forme un archiphonème noté /Œ/ ; les phonèmes /ə, ø/ sont exclus devant un /r/, les phonèmes /ə, œ/ sont exclus devant un /z/.
- L’archiphonème est donc l’ensemble des traits distinctifs communs à deux phonèmes dont l’opposition est neutralisable.— (Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, 1981)
- pihem
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diadème
- (Bijouterie) Sorte de bandeau qui était la marque de la royauté chez les Anciens et dont les rois et les reines se ceignaient le front.
- Porter un diadème.
- Ceindre sa tête, son front d’un diadème.
- Orné d’un diadème.
- Le plus célèbre est un diadème de trois cent vingt-quatre brillants de toutes les couleurs. — (Nicolas Mietton, Destins de diamants, 2013)
- (Familier) Il se dit souvent, en parlant de la royauté même, dans certaines phrases figurées du style élevé ou poétique.
- L’éclat du diadème.
- Ceindre le diadème, devenir roi ou reine.
- (Par extension) Parure féminine qui se place sur la tête et qui a la forme du bandeau royal.
- (Entomologie) Nom commun d'un genre de papillons diurnes, originaire des régions chaudes.
- (Héraldique) Meuble représentant le bijou du même nom dans les armoiries. À rapprocher de couronne, couronne comtale, couronne de laurier, couronne d’épines, couronne de reine, couronne fleuronnée, couronne murale, couronne navale, couronne royale, cancerlin, crancelin, crantzelin et tiare.
- Écartelé en sautoir : au 1er de sinople à l’oie volant d’argent allumée, becquée et membrée d’or posée en bande, au 2e de gueules à la noix d’or, au 3e de gueules au besant d’or chargé d’un masque de renard de gueules tenant un fromage d’argent, au 4e de sinople au diadème d’or, qui est de la commune de Noyers-Auzécourt de la Meuse → voir illustration « armoiries avec un diadème »
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schème
- → voir schéma.
- Enfin nous relevons deux occurrences reprenant le schème de la femme dangereuse, un des mythèmes principaux de la construction de l'image de la candidate socialiste, et dont nous avons parlé supra : « Matriarche» et « mère fouettarde ». — (Florence Absolu, Les femmes politiques dans la presse: mythèmes, biographèmes et archétype, Verlag Königshausen & Neumann, 2014, page 424)
- On peut supposer, à ce qu’il semble, que le refondateur de la langue hébraïque moderne, Éliézer Ben-Yéhuda, ait repris un schème de signification qui pourrait bien être celui de la version napoléonienne, puis laïque, de l’émancipation qui confessionnalise et « religionnise » le judaïsme. — (La civilisation du judaïsme, ouvrage collectif sous la direction de Shmuel Trigano, 2014)
- (Philosophie) Chez Kant. Procédé de l'imagination qui permet de lier, selon la forme a priori du temps, l'intuition aux catégories de l'entendement en un phénomène unifié.
- Schème transcendantal.
- Le nombre est le schème pur de la grandeur ou quantité.
- (Linguistique) En arabe, partie du mot, complémentaire à la racine. Par exemple, la racine ك ت ب : relatif à l'action d'écrire, relier ; associée au schème زَارَزَ (« action réciproque ») donne كَاتَبَ (kâtaba) (« entretenir une correspondance »).
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douzième
- Qui concerne l’ordinal ou la fraction douzième.
- Le douzième siècle.
- La douzième année.
- Donnez-moi un douzième gâteau.
- Bornons-nous à noter que les vicissitudes de l’existence m’avaient amené à séjourner dans un hôtel de douzième catégorie du XIIe arrondissement de la ville. — (René Belletto, Un ancien testament, nouvelle, supplément au magazine « Elle », page 22)
- (Désuet) (Lui douzième, elle douzième ou en douzième) Avec onze autres.
- Il tint, lui douzième, contre le corps du prince de Hesse, derrière le vieux rempart d’Andernach, et ne se replia sur le gros de l’armée que lorsque le canon ennemi eut ouvert la brèche depuis le cordon du parapet jusqu’au talus de plongée. — (Victor Hugo, Les Misérables, tome III, livre troisième, 1890)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.