Dictionnaire des rimes
Les rimes en : trou
Mots qui riment avec "ou"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "trou".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ou , ous , out , outs , oux , oup , oups , oût , oûts , oue et oues .
-
tatou
- (Zoologie) Mammifère sauvage du super-ordre des xénarthres, famille des Dasypodidés, dont le corps est couvert d’un test écailleux en forme de cuirasse, et divisé en plusieurs bandes ou ceintures.
- … « un armadillo, » sorte de tatou couvert d’une carapace à pièces osseuses et mobiles, qui mesurait un pied et demi de long ,,, — (Jules Verne, Les Enfants du capitaine Grant, 1846)
-
bou
- (Linguistique) Code ISO 639-3 du bondei.
-
sajou
- Genre de singes de taille médiocre, à grande queue, à poil court et épais, qui sont répandus dans l’Amérique tropicale.
- riumayou
-
écrou
- (Mécanique) Pièce d’assemblage mécanique d’acier, ou de toute autre matière solide, percée d’un taraudage, et dans lequel entre une vis ou une tige filetée en rotation. Note : L’assemblage d’un écrou et d’une vis est un boulon.
- L’écrou d’un pressoir.
- Ecroüe, (féminin) .c'est en tous instrumens où il y a vis la pièce de bois, & le trou dans lequel la vis tourne en montant & descendant, ainsi dit on l'Ecroüe d'un pressoir. Tfïucxkens hout of yfers, of gat daer de Vijfe in komt of drayet. — (Jean-Louis d'Arsy, Le grand dictionaire françois-flamen, de nouveau revû, corrigé et augmenté de plusieurs mots et sentences ..., 1643)
- (Sens figuré)
- L’un et l’autre nous arrivions à ce degré d’émotion qui nous permettait, à moi de beaucoup oser, à elle de tout entendre. Je n’avais plus qu’un mot à dire pour briser cet horrible écrou du silence qui m’étranglait chaque fois que je pensais à elle. — (Eugène Fromentin, Dominique, L. Hachette et Cie, 1863, réédition Gründ, page 168)
- campistrous
-
briou
- Débris de pierres écrasées.
- Fabricant de briou.
-
bantoue
- Féminin singulier de bantou.
-
roux
- D’une couleur proche de l’orange, souvent en parlant des cheveux. #AD4F09
- Sous son chapeau, à bords retroussés, apparaissaient, riches et crépus, des cheveux plutôt roux que blonds […] — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, vol. I, ch. IV ; Calmann Lévy éditeurs, Paris, 1886, page 41)
- Vingt-six à vingt-sept ans, de taille moyenne, mince, nerveux, les yeux énergiques, les cheveux roux, il a moustache rousse retombant à la gauloise. — (Jules Mary, La Pocharde, 1898, chapitre 1, Paris : chez H. Geoffroy, 1904-1905, page 7)
- Sous sa brosse de cheveux roux, il avait l’air doré sur tranches. — (Jean Giraudoux, Provinciales, Grasset, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 142)
- On distingue sept teintes naturelles de cheveux, réparties, en France, selon les proportions suivantes : 50 % de cheveux châtains, 20 % de cheveux gris, 10 % de cheveux blonds et noirs, 5% de cheveux roux et 2,5% de cheveux bruns et blancs. — (Pierre Bouhanna, Soigner et entretenir ses cheveux : Les nouveaux traitements du cheveu, Alpen Éditions s.a.m., 2006, page 14)
- Le noir et blanc de la photographie ne permet pas de voir les « yeux roux » dont fait état sa fiche d’incorporation à l’Inscription maritime de l’Aber-Wrac’h. — (Mona Ozouf, Composition française, Gallimard, 2009, collection Folio, page 57)
- Les sièges derrière eux étaient occupés par un vieux couple qui transportait une grosse poule rousse. — (Arto Paasilinna, Moi, Surunen, libérateur des peuples opprimés, traduit du finnois par Anne Colin du Terrail, Éditions Gallimard (coll. Folio), 2016, chapitre 10)
- Qui a les cheveux roux.
- L’une de ces filles avait les cheveux d’un roux très véhément, couleur qui est très fréquente en Espagne, où il y a beaucoup de blondes et surtout beaucoup de rousses, contre l’idée généralement reçue. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
- C’est M. Lefèvre, l’ancien acteur des Variétés, qui a fait éclore un jour cette phrase dans la bouche de mademoiselle Juliette, une figurante laide et rousse qu’Odry, par antiphrase, appelait Joliette. — (Joachim Duflot, Les secrets des coulisses des théâtres de Paris: mystères, mœurs, usages, Paris : chez Michel Lévy frères, 1865, page 90)
- C’est une couleur nette, au moins : je suis content d’être roux. […] J’ai encore de la chance : si mon front portait une de ces chevelures ternes qui n’arrivent pas à se décider entre le châtain et le blond, ma figure se perdrait dans le vague, elle me donnerait le vertige. — (Jean-Paul Sartre, La Nausée, 1938)
- Malgré elle il lui parut beau, bien qu’il fût roux. C’était cela qui la troublait, cette chevelure de flamme, ce teint d’une blancheur laiteuse, et elle se domina pour qu’il ne comprît pas l’espèce de répulsion qu’il lui inspirait. — (Julien Green, Moïra, 1950, réédition Le Livre de Poche, page 7)
- Fondu et cuit jusqu’à obtenir une couleur rousse en cuisine.
- Beurre roux.
- goux
-
coup
- Impression que fait un corps sur un autre en le frappant.
- Le docteur Paul était ensuite venu, brillamment expliquer à la barre comment les coups avaient occasionné, en effet, seize blessures. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- C’est ainsi que, le 21 adar 4996 (1236), un pêcheur chrétien étant mort des coups que lui avait portés un juif au cours d’une rixe, la foule envahit la juiverie vicomtale, avec l’intention de la mettre à sac. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- J’ai vu des prisonniers jetés à coups de matraque d’un étage à l’autre et qui, hébétés par la torture et les coups, ne savaient plus que murmurer en arabe les premières paroles d’une ancienne prière. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- Et crescendo, la querelle s’envenime en injures, bien sûr, et non en coups, car les deux gondoliers savent pratiquer l’art de « rompre le fer ». — (Annarosa Poli, L’Italie dans la vie et dans l’œuvre de George Sand, Centre interuniversitaire de recherche sur le voyage en Italie, 1960, page 116)
- Instinctivement Éric esquive le coup, bascule en arrière en entraînant l’homme dans sa chute et l’envoie bouler à quelques mètres. — (Michel Remoissenet, Ondes et catastrophes : Du soliton au tsunami, Books on Demand, 2008, page 111)
- Frapper un coup ou deux coups à une porte avec le marteau.
- Faire tomber une grêle de coups sur les épaules de quelqu’un.
- (Sens figuré) Se dit en parlant des choses qui nuisent, qui causent un sentiment pénible, etc.
- On affirme trop souvent qu’après la première génération félibréenne et les œuvres de Roumanille, d’Aubanel et de Mistral, la littérature de langue d’oc n’a point soutenu sa valeur, et que, Mistral disparu, le Félibrige a reçu un coup mortel. — (Émile Ripert, Le Félibrige, Armand Collin, 1924, page 129)
- Il a déjà réussi à faire renvoyer un policier. Il continuera à faire de sales coups jusqu’au bout. — (Ronan Farrow, Annick Cojean, Ronan Farrow : « Ce qui se passe autour de Roman Polanski et d’Adèle Haenel est prometteur », Le Monde. Mis en ligne le 18 novembre 2019)
- Il supporte les coups du sort, du destin, de la fortune avec une noble résignation.
- Cette défaite porta un coup funeste à la gloire de ce prince.
- Son autorité chancelante allait recevoir un dernier coup.
- Cette entreprise a porté un coup à sa fortune.
- Ce chagrin porta un coup à sa santé.
- Décharge et bruit que font les armes à feu lorsqu’on les tire.
- J’avais oublié le cran d’arrêt […] Pour un peu, je pressais la gâchette sans que le coup partît. — (Gaston Cherpillod, Les Changelins, L’Âge d’Homme, 1981, page 147)
- On chantait presque tous les mois des Te Deum pour quelque nouvelle victoire, et le canon de l’arsenal tirait ses vingt et un coups, qui vous faisaient trembler le cœur. — (Erckmann-Chatrian, Histoire d’un conscrit de 1813, J. Hetzel, 1864)
- Mais, saperlotte ! tâchons donc que tout ça se passe tranquillement ; ça vaudrait beaucoup mieux. Puisque nous avons le suffrage universel, il n’y a plus besoin de coups de fusil. — (Émile-Ambroise Thirion, La Politique au village, Fischbacher, 1896, page 248)
- Tirer des coups de canon, de fusil.
- Évènement imprévu qui a frappé quelqu’un soudainement.
- Ce fut un coup de massue, un coup de foudre, un coup de tonnerre pour lui.
- Coup de fortune, de bonheur, de malheur, de hasard.
- Coup du ciel, d’en haut, de la Providence, de la grâce.
- Mort sur le coup.
- Son que rendent certains corps lorsqu’ils viennent à être frappés.
- Un coup de cloche, de tambour, de tam-tam.
- Au coup de minuit, de midi, de trois heures, etc. : Au moment où minuit, où midi, où trois heures, etc., sonnent.
- Je suis arrivé au Monte-Carlo sur le coup de onze heures. — (Jo Barnais, Mort aux ténors, chapitre IX, Série noire, Gallimard, 1956, page 75)
- Action rapide et momentanée.
- D’un coup de rasoir, je lui coupai la tête, et le tronc, d’où un flot de sang s’échappait, gigota quelques secondes sur le parquet. — (Octave Mirbeau, Lettres de ma chaumière : La Tête coupée, A. Laurent, 1886)
- Les portières sont refermées, après la visite du contrôleur. Un dernier coup de sifflet annonce que le train va se mettre en marche… — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre I, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- Lier plusieurs notes d’un coup d’archet. — Un coup de gosier. — Un coup de ciseau.
- (Par extension) Ce qu’on fait rapidement, légèrement, ou sans y apporter le même soin que de coutume.
- Je suis trop pressé pour me faire coiffer, un coup de peigne suffira.
- Donnez un coup de balai à cette chambre.
- Dans la vie de Clémence Dufour, il y avait quand même pas mal de vaisselles, de patins à l’entrée du salon, de « petits coups à donner » sur la table, avant de mettre le couvert. — (Philippe Delerm, Il avait plu tout le dimanche, Mercure de France, 1998, page 68)
- (Par métonymie) Petite quantité de quelque chose.
- Mettre un coup de peinture, de Tipex, d’engrais.
- Mouvement impétueux, comme du vent qui souffle sur la mer, d’une tempête.
- Coup de vent, de mistral.
- Un coup de mer écarta leurs vaisseaux, les jeta, les poussa sur les côtes.
- Manière de jouer, chance au jeu.
- Il a fait un beau coup.
- Action humaine inattendue.
- Les affaires de banque je n'y comprends peut-être pas grand-chose, mais les mauvais coups, je les sens et je dis que cette affaire n'est pas catholique. — (Jacqueline Mirande, Étranger, d'où viens-tu ?, Casterman, 1974, chapitre 2)
- Heureux coup.
- C’est un coup de génie, de désespoir.
- Fois.
- Il a réussi du premier coup.
- Il a encore trois coups à jouer.
- J’ai eu du chagrin de savoir que ton neveu s’était fait refuser aux postes encore un coup. — (Marcel Aymé, La jument verte, Gallimard, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 25)
- Quantité que l’on boit en une fois.
- Pour l’Ogre il se remit à boire ravis d’avoir de quoy si bien regaler ses amis. Il but une douzaine de coups plus qu’à l’ordinaire, ce qui luy donna un peu dans la teste, et l’obligea de s’aller coucher. — (Charles Perrault, Histoires ou Contes du temps passé, Paris, Barbin 1697, page 209.)
- On peut voir à la terrasse des petits cafés des gens qui prennent l’apéro en famille pour tuer le dimanche comme l’homme à la bêche prend un coup de blanc le matin pour « tuer le ver » avant de retrousser ses manches, se cracher dans les mains avant d'empoigner son outil […]. — (Blaise Cendrars, La banlieue de Paris , chap. Ouest, Guilde du Livre/Pierre Seghers, 1949, dans les Œuvres complètes, tome 7, Éditions Denoël, 1963, page 155)
- « Tu bois des coups le samedi soir, et le dimanche matin tout le monde se réunit autour du même centre d’intérêt, la cafetière, pour passer la gueule de bois. » — (Stéphanie Maurice, La passion du tuning, Seuil, 2015, collection Raconter la vie, page 11)
- Acte sexuel expéditif.
- J’ai tiré mon coup.
- T’as cassé mon coup.
- C’était pas un bon coup.
- (Nouvelle-Calédonie) Partie, sortie[1].
- Un coup de chasse.
- Un coup de pêche.
- Un coup de fête.
- amouroux
-
mérou
- Type de gros et puissant poisson osseux marin, à longue nageoire dorsale épineuse, carnivore, qui avale sa proie.
- La température de l’eau et l’absence de surpêche y ont probablement permis la lente et complexe maturation sexuelle du mérou, et ont rendu possible sa reproduction. — (Armelle Gardeisen, Mouvements ou déplacements de populations animales en Méditerranée au cours de l’Holocène: Séminaire de recherche du thème 15 "Archéologie de l’animal" (UMR 154-CNRS), Lattes-Montpellier, France, 29 septembre 2000, 2002)
- spou
- pontaroux
- coudoux
-
indou
- Variante orthographique de hindou. En rapport avec l’indouisme.
- Les naturels du pays tombent en extase devant un certain pavillon rustique bâti en rondins, et dont l’intérieur a des prétentions assez indoues. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
- Si, au témoignage de voyageurs, et de naturalistes dignes de foi, le crapaud indou gobe avidement et sans dommage le charbon de bois embrasé, notre crapaud à nous ne manifeste aucun goût pour la braise. — (Jean Rostand, La vie des crapauds, 1933)
- barroux
-
brout
- Pousse des jeunes taillis au printemps.
- Les cerfs aiment le brout.
- Les premiers musulmans du corps d’infanterie tombèrent comme les brouts d’une haie taillée par un jardinier averti. — (Jose-luis Corral, L'héritier du temple, 2012)
- (Désuet) Ancienne graphie de brou [2].
- moelou
-
hibou
- (Ornithologie) (Génériquement) (Familier) Nom ambigu désignant de façon générale tout rapace nocturne de l'ordre des strigiformes, caractérisé par de grands yeux frontaux entourés par un cercle de plumes, et qui porte notamment des aigrettes (faisceaux de plumes) sur la tête, caractéristique le distinguant principalement des chouettes, qui est également un substantif ambigu désignant plusieurs genres de rapaces nocturnes peu apparentés les uns aux autres.
- […], cela me serait insupportable, d’autant plus que, la nuit venue, je ne verrai rien, n’étant point nyctalope comme les hiboux, les chouettes, les hulottes et les chats de gouttière. — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre II, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- Le hibou ulule, tutube et bouboule (ou bubule).
- (Ornithologie) (Spécifiquement) Nom normalisé désignant trois genres de rapaces nocturnes (Nesasio, Pseudoscops et Asio) comportant un total de neuf espèces, dont des espèces familières répandues dans l'Ancien Monde comme dans le Nouveau Monde telles le hibou des marais (Asio flammeus) et le hibou moyen-duc (Asio otus), caractérisées par la présence d'aigrettes de taille variable et une taille moyenne.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Sens figuré) (Familier) Homme mélancolique et qui fuit la société.
- Vous nous voyez chagrins ainsi que des hiboux, et vous vous amusez à faire les yeux doux. — (François Le Métel de Boisrobert, La Belle plaideuse, 1655)
- C’est un hibou, un vrai hibou.
- (Sens figuré) (Familier) Homme qui, dans une compagnie, se tient à l’écart sans rien dire.
- (Entomologie) Synonyme de fiancée (papillon Noctua pronuba).
- (Héraldique) Meuble représentant l’animal du même nom dans les armoiries. Il est généralement positionné comme la chouette dont il se distingue par les oreilles. À rapprocher de chouette et hulotte.
- De gueules au hibou d’argent, qui est de Village-Neuf → voir illustration « armoiries avec un hibou »
-
cachou
- Substance brune et astringente qu’on tire des gousses d’un acacia des Indes, le mimosa catechu [1], le palmier à bétel (Areca catechu) [2], composée d'un tannin, appelé acide japonique ou catéchine.
- Selon Kerr, le cachou de l’acacia était autrefois préparé avec le cœur du bois de l’arbre, que l’on réduit en copeaux et que l’on fait bouillir dans des vases en terre, jusqu’à réduction de moitié de l’eau employée et dessiccation au soleil.
- On allie le cachou au sucre pour en rendre l’emploi plus agréable. C’est à cette préparation qu’il faut rapporter les pastilles de cachou, les grains de cachou et le sirop. — (Dictionaire de médecine, ou Répertoire général des sciences, 1834)
- (Pharmacologie) (Confiserie) Petits grains ou pastilles agréables au goût, contenant cet extrait.
- Tiens ! Je vais lui offrir du cachou. Qu’il accepte ou non, nous verrons toujours bien dans quelle langue. — (André Gide, Les Caves du Vatican, 1914)
- Il aimait la prendre sur ses genoux dans sa chambre, lui donner des cachous, l’embrasser dans le cou. — (François Labbé, La soue, 2006, page 52)
- Couleur, dont la description est variable.
- Nane, en chemise longue et dans un grand fauteuil, faisait sauter sur ses genoux une Primavérile à peine mieux vêtue qu’elle, si ce n’eût été une culotte de satin paille et des chaussettes cachou, qui lui donnaient l’air d’un petit garçon. — (Paul-Jean Toulet, Mon Amie Nane, 1922)
- Pietr se dédoublait. Maigret le voyait à la fois en complet cachou et en gabardine usée. — (Georges Simenon, Pietr-le-Letton, Fayard, 1931, réédition Le Livre de Poche, page 132)
- droux
- halbout
- ribouts
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.