Dictionnaire des rimes
Les rimes en : sérac
Que signifie "sérac" ?
Afficher la définitionMasquer la définitionwiktionary.org
- Fromage blanc à pâte fraîche des Alpes suisses et de la Savoie, produit à partir du lactosérum de lait de vache, de chèvre, ou de brebis.
- Le sérac ou serra est produit dans toutes les montagnes du Jura et des Alpes, en fruitière ou en coopérative. — (Jean Froc, Balade au pays des fromages : Les traditions fromagères en France, Éditions Quae, 2007, page 58)
- (Glaciologie) Bloc ou aiguille de glace provenant d’un glacier.
- Ces séracs du Géant sont splendides, noblement modelés par l’opulente lumière du soir. On dirait des marbres fracassés. Degrés monumentaux menant aux lointains parvis où glisse l’ombre des nuages. — (Samivel, L’amateur d’abîmes, 1940, réédition Le Livre de Poche, page 49)
- Un craquement formidable éveille d’un seul coup la nuit maléfique; quelque part, en face, un sérac a cédé d’un coup et est venu s’écraser en poussière sur le glacier — (Premier de cordée, Frison-Roche, chapitre 12, pages 283-284 §2, J’ai Lu, 22 février 1941)
Mots qui riment avec "aque"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "sérac".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : aque , aques , âque , âques , ac , acs , ack , ach , ak et aq .
-
nunatak
- (Géologie, Glaciologie) Sommet rocheux émergeant d’un inlandsis.
- À contre-jour, dans ce soleil déjà assez bas sur l’horizon, aveuglant, nous ne voyons presque rien. Seuls les nunataks se rapprochent comme nous descendons, grossissent, bleuissent. — (Réalités: femina-illustration, Numéros 72 à 77, page 104, 1952)
- beaulac
-
ambrosiaque
- Qui a une odeur d’ambroisie, une odeur agréable.
- En puisant à ses racines ancestrales, elle régalera Tambu dʼun breuvage ambrosiaque, la promouvant ainsi porte-parole de la communauté. — (Danielle de Lame, Chantal Zabus, Changements au féminin en Afrique noire, 1999)
-
albraque
- Lieu de rassemblement des eaux dans un puits de mine avant leur pompage.
- On a établi, en outre, une galerie qui peut envoyer les eaux de l’albraque général sur la pompe Cail de la fosse n° 1 [...]. — (Compte-rendu des travaux de la Société des Ingénieurs civils de France, volume 82, Paris, 1904)
- L’exhaure sera assuré comme suit : les albraques d’Eugène et Augustin établies à 265 m seront réunies par une tuyauterie à une pompe d’exhaure, installée au niveau de 330 m [...]. — (Publications de l'Association des ingénieurs de l'Ecole des mines de Mons, Bureau de La revue universelle des mines, 1909)
- La visite et la réfection de ces réservoirs (ou albraques) n’est possible, en effet, que si on les a vidés, ce qui ne peut se faire que si on dispose d’un autre albraque ou qu’on utilise momentanément le fond du puits [...]. — (Louis Gruner, Cours d’exploitation des mines, livre V, École spéciale des travaux publics, du bâtiment et de l'industrie, Paris, 1921)
- Le volume des albraques ne permettant pas d’encaisser ces facéties, la mine se trouvait vite en position critique. — (Robert Coeuillet, Radiographie minière: 50 ans d’histoire des Charbonnages de France: Midi - Nord - Lorraine, 1997)
- dignac
- beyssac
- audinac
- magnoac
- auriac
-
hamac
- Lit formé d’un morceau de toile ou d’un filet, suspendu horizontalement à deux points fixes par ses extrémités, de manière à pouvoir se balancer, dormir ou se reposer.
- Un cadre pendu au plafond par quatre cordes, garni de quelques poignées de paille et d’un matelas des plus minces, allait me servir de hamac. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, L’Archipel de Chausey, souvenirs d’un Naturaliste, Revue des Deux Mondes, tome 30, 1842)
- […] elle avait aperçu quelques vêtements jetés en désordre dans un hamac et pendant au-dehors. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- Il comprenait pourquoi il y a des escarpolettes, des hamacs, et projetait de s’en monter un avec des filets de pêcheur, qu’un de ses gardes avait saisis parce qu’ils n’avaient pas la largeur de maille. — (Jean Giraudoux, Provinciales, Grasset, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 170)
- J’avais vu des hamacs, dans des illustrations de Jules Verne ; ils étaient faits de toile rude, et suspendus sous le pont d’un navire par des crochets de fer. J’avais compris que l’inventeur de ces lits, mollement balancés par la houle, avait eu pour but de bercer les petits matelots, pour faire entrer leur mère dans leurs rêves. — (Marcel Pagnol, Le temps des secrets, 1960, collection Le Livre de Poche, page 107)
- Le hamac que j’avais sous les yeux était digne d’un amiral. C’était un vaste filet de soie mordorée, accroché à deux baguettes en bois de meuble, et garni de coussins d’un rouge brillant. Il était tendu entre deux acacias, dans une ombre bleue grêlée de grains de soleil que la brise faisait bouger. — (Marcel Pagnol, Le temps des secrets, 1960, collection Le Livre de Poche, page 107)
- (Par analogie)
- Vient un poulet, dont on m’apporte cérémonieusement les deux ailes, cependant que le garçon dépose, auprès de moi, la bouteille de champagne mollement étendue dans son hamac d’osier. — (Léon Daudet, Souvenirs des milieux littéraires, politiques, artistiques et médicaux/Au temps de Judas, Grasset, 1920, réédition Le Livre de Poche, page 372)
-
bernac
- Variante de barnac.
- bourbriac
- bussac
-
bazac
- (Vieilli) (Désuet) Coton filé très fin de Syrie ou de Palestine.
- (Par extension) Toile qui était fabriquée avec ce coton.
- Cependant Savary, T. I. Col. 448. (édit. de Copenhague, 1759 — 1766) art. Bazac, Baza, ne dit nullement que Bazac soit le nom d'une contrée; il dit que ce mot désigne du coton filé, très beau et très fin, qui vient de Jérusalem; ce qui le fait aussi appeler Coton de Jérusalem. Le demi Bazac, et le moyen Bazac, sont des cotons qui viennent du même endroit, mais d'une qualité beaucoup inférieure. — (Alexandre Miltitz, « Manuel des consuls », 1838)
-
syriaque
- Relatif à la langue que parlaient les anciens peuples de la Syrie.
- Il fabriqua, en 1621, des poinçons pour former des caractères hébreux, chaldaïques, syriaques, arabes, grecs et allemands, et pour les lettres fleuries, les notes de musique, les vignettes et les fleurons, et rendit public, durant cette année, un cahier d'épreuves de ces caractères, qu'il avait gravés. — (« JANNON (Jean) », dans Biographie ardennaise ou Histoire des Ardennais qui se sont fait remarquer par leurs écrits, leurs actions, leurs vertus et leurs erreurs, par Jean-Baptiste-Joseph Boulliot, Paris, 1830, volume 2, page 56)
- … Sakya-Pandita, leur communiqua en même temps l'alphabet syriaque, qu'il avait emprunté aux Turcs Oigours, et que ceux-ci avaient reçu des nestoriens. — (Jean-Jacques Ampère, La Chine et les travaux d'Abel Rémusat, Revue des Deux Mondes, 1832, tome 8)
- J’avais, à ce moment, une force d’assimilation extraordinaire. Je suçai tout ce que j’entendais dire à mon maître. Ses livres étaient à ma disposition, et il avait une bibliothèque très complète. Les jours de promenade à Issy, il m’emmenait sur les hauteurs de la Solitude, et là il m’apprenait le syriaque. Nous expliquions ensemble le Nouveau Testament syriaque de Gutbier. — (Ernest Renan, Souvenirs d’enfance et de jeunesse, 1883, réédition Folio, page 165)
- — Misérables ! dit le Proconsul.Car il entendait le syriaque ; son interprète ne servait qu’à lui donner du loisir pour répondre. — (Gustave Flaubert, Trois Contes : Hérodias, 1897)
- courbillac
-
sumac
- (Botanique) Nom donné à des arbres et des arbrisseaux à feuilles alternes, qui bien que se ressemblant appartiennent à genres différents en particulier les genres Rhus, Toxicodendron et Cotinus, totalisant environ 12 espèces différentes.
- Le Sumac ou Rhus, est un genre de plante dont les botanistes comptent au moins neuf espèces, outre plusieurs variétés. — (La Bibliothèque canadienne - Volumes 7 à 8, 1828)
- J'arrivai à la fin de la première pinède, au bord d’un plateau : on y avait, jadis, cultivé des vignes. Des sumacs, des romarins, des cades les avaient remplacées. — (Marcel Pagnol, La gloire de mon père, 1957, collection Le Livre de Poche, page 297)
- (Par extension) Feuilles séchées et réduites en poudre du sumac des corroyeurs, riches en gallotanins, et utilisées pour tanner les peaux.
- Ce coudrement de sumac, pratiqué à Nicosie, est remplacé par celui de noix de galle qui se pratique en France, dont nous parlerons, après la mise en rouge. A Nicosie, on n’emploie le coudrement de noix de galle avant la couleur, que pour les peaux que l’on veut mettre en jaune. — (Art du Maroquinier, dans Descriptions des arts et métiers, faites ou approuvées par Messieurs de l’Académie royale des sciences de Paris, nouvelle édition, publiée par Jean-Élie Bertrand, tome 3, Neuchatel : Société typographique, 1775, page 349)
- Le sumac s’emploie dans la proportion de 2 à 3 livres, selon son plus ou moins de force tannante, par chaque peau à coudrer. — (Pelouze, « Art du Teinturier-Peaussier », dans le Dictionnaire technologique ou nouveau dictionnaire universel des arts et métiers et de l’économie industrielle et commerciale, tome 21 , Paris : chez Thomine, 1834, p. 491)
- Les récoltes de tan, de sumac ou de charbon destinées aux petites fabriques offrent encore au début du XIXe siècle les revenus nets les plus importants. — (Martine Chalvet, Paysages et conflits en Provence dans Paysages, environnement, rapports sociaux (XVIIIe-XXe siècle), 2006, pages 11-26, https://doi.org/10.4000/rives.518)
- Ces laines sont teintes principalement avec des drogues qui appartenaient anciennement au petit teint : bois de brésil, bois d’inde, santal, sumac, noix de galle, auxquelles s’ajoutent de l’indigo et parfois de la garance, de la gaude, et même de la cochenille. — (Martin, Marguerite. « Pour des couleurs plus solides ? Transgression des règlements et diffusion de l’indigo dans la teinture des étoffes de qualité intermédiaire au 18e siècle », Dix-huitième siècle, vol. 51, no. 1, 2019, pages 141-158.)
- (Cuisine) Drupes du sumac des corroyeurs réduites en poudre ; épice au goût acide, terreux et boisé, utilisée comme agent acidifiant en Iran, au Liban, en Syrie et en Turquie.
- Or cette plante [Origanum syriacum] a une grande importance économique pour les populations autochtones, car elle constitue l’ingrédient essentiel dans la fabrication du zaatar, un mélange de thym séché, de sumac et de graines de sésame, dont on enduit une galette, le man’oucheh, consommée par tous les Libanais dans la rue et à la maison. — (Zurayk, Rami. « Chapitre 7. La consommation durable peut-elle protéger le paysage méditerranéen ? », CIHEAM éd., MediTERRA 2012. La diète méditerranéenne pour un développement régional durable. Presses de Sciences Po, 2012, pages 161-180.)
- Méticuleusement, son père emballera un peu de pain plat badigeonné d’huile d’olive et de zaatar, ces épices de thym et de sumac. — (« Chapitre 6. Saut de l’ange », Le vertige des acrobates. sous la direction de Messina Marine. Presses universitaires de Vincennes, 2021, pages 43-44)
- Parsemez d’aneth (ou de menthe) hachée et de sumac, arrosez d’un trait d’huile d’olive et servez immédiatement. — (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 21 novembre 2022, page 22)
- dieffenbach
- dardenac
- cubjac
- crossac
- coursac
-
snack
- Nom donné, d’après Sonnini, par les Tartares à l’antilope proprement dite. — (Dictionnaire des sciences naturelles, Paris, 1827, time XLIX, page 872)
- Cornes de cerf et de snack. — (Annales du commerce extérieur, France, faits commerciaux, 1868-1870, page 335)
- Restaurant où l’on sert de la nourriture dite rapide (hamburgers, frites, mitraillettes…) et où l’on peut consommer sur place.
- donnazac
- altillac
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.