Dictionnaire des rimes
Les rimes en : siphonophore
Mots qui riment avec "or"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "siphonophore".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : or , ors , ort , orts , ord , ords , aur , aurs , aure , aures , orps , ore et ores .
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minore
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe minorer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe minorer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe minorer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe minorer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe minorer.
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roquelaure
- Au XVIIème siècle, ample manteau qui s’arrêtait aux genoux et qui se boutonnait sur le devant. Elle a fait place aux redingotes.
- montlaur
- champsaur
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raccord
- Liaison, ajustage de parties séparées ou dissemblables, ou qui faisaient disparate.
- Faire le raccord des deux ailes d’un bâtiment.
- Un raccord de papier de tenture, de peinture.
- On ne voit pas le raccord fait à la façade de ce bâtiment.
- On n’aperçoit pas le raccord de ces deux planches.
- (Plomberie) Pièce en fonte, en cuivre, en poterie, en PVC, etc., qui sert à assembler deux tuyauteries.
- Quand il s'agissait de livrer en Allemagne ou au Luxembourg, le dépotage des citernes de notre flotte était freiné par le système de raccord allemand Storz, la norme dans ces deux pays. — (Le raccord français/allemand : Une pièce maîtresse pour la sécurité et l'efficacité, dans Tratel'action, n°2, décembre 2015, page 5)
- (Sens figuré) Se dit en parlant des ouvrages de l’esprit.
- Pendant les répétitions, il a fait des raccords, ajouté des béquets, et aussi pratiqué des coupures qui ont précisément pour but de lui rendre ce public indulgent et favorable. — (Anatole Claveau, Le Tout-Paris, dans Sermons laïques, Paris : Paul Ollendorff, 1898, 3e éd., p.26)
- On avait fait des coupures dans cette pièce, il a fallu faire des raccords.
- (Musique) Avant un concert dans un lieu nouveau, préparation du placement des musiciens sur la scène, de l’entrée en scène, de la sortie des musiciens, répétition de certains morceaux et des enchainements pour les accorder à l’acoustique du lieu.
- Donnez-moi le produit des préventes au plus tard avant le raccord du concert.
- (Cartographie) Concordance des éléments graphiques d’une coupure avec ceux d’une coupure adjacente, le long de la limite commune[1].
- (Cartographie) Concordance des images représentées par deux documents quelconques présentant une zone commune, le long d’une ligne de cette zone[1].
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kwashiorkor
- (Médecine) Maladie due à la malnutrition grave du jeune enfant, observée surtout en Afrique noire.
- Il y avait des mères de famille qui en avaient assez de devoir déployer l’impossible chaque jour pour nouer les deux bouts, et de voir quand même leurs enfants mourir du kwashiorkor. — (In Koli Jean Bofane, Mathématiques congolaises, 2008, p. 221)
- Petit Piment, ce docteur t'a raconté des salades ! Le kwashiorkor est une maladie pour enfants ! Tout le monde le sait, sauf lui ! — (Alain Mabanckou, Petit Piment, Seuil, 2015, page 248.)
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tabor
- (Maroc) (Militaire) Groupement de plusieurs goums.
- Chaque contingent constitue un tabor qui, suivant sa force numérique, peut être comparé à un régiment ou à un bataillon. Le tabor est commandé par un caïd er-r’h a (mestre de camp) secondé par son khalifa (lieutenant) et se divise en plusieurs mia (compagnies d'une centaine d'hommes) commandés par des caïd mia (centurions) et des m’kademîn (sous-officiers). — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 80)
- Chaque contingent du guîch forme une r’ha sous les ordres d’un caïd et est divisée, comme les tabor de l’âsker, en groupes de cent hommes. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 79)
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bickford
- (Technique) Mèche de sûreté pour mines.
- Si l’horizon s'éclaircissait, je me charge de l'affaire de Tiong’i, tout doucettement et je vous fous mon billet que de la miséricorde, je leur en foutrai plein le cul, avec un peu de bickford au bout. — (Lettres et carnets de route du commandant Briquelot de 1871 à 1896 : Correspondances, éditées et commentées par André Aubry, Éditions Le Manuscrit, 2001, p. 260)
- Je fais un paquet de trois rouleaux de dynamite dont l’un est amorcé et muni d’un bickford dont la longueur est calculée pour brûler vingt secondes. — (Henry de Monfreid, Trilogie de la mer Rouge: Les secrets de la mer Rouge - Aventures de mer - Les Deux Frères, 2014)
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clore
- Fermer, enfermer, mettre dans une enceinte.
- Une enceinte hermétiquement close.
- Clore un jardin, un parc.
- Fermer, faire que ce qui était ouvert ne le soit plus.
- Clore les passages.
- Clore les yeux.
- (Sens figuré) Terminer.
- Cela clôt le débat.
- (En particulier) Déclarer terminé.
- C'était la redoutable formule dont on avait coutume de clore ces sombres cérémonies. — (Victor Hugo, Notre-Dame de Paris, 1831)
- Clore une discussion.
- Clore le débat dans une assemblée délibérante.
- Clore l’incident.
- Clore la session des Chambres.
- (Vieilli) (intransitif) Se fermer, être fermé.
- Cette porte, cette fenêtre ne clôt pas bien.
- (Pronominal) Enfermer sa propriété en l’entourant d’une haie, d’un mur, etc.
- Un propriétaire a le droit de se clore.
- (Pronominal) Devenir complète, en parlant de la nuit.
- La nuit se clôt. — (André Gide, Les Caves du Vatican, 1914)
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passiflore
- (Botanique) Genre de plantes grimpante dont le type est la grenadille.
- Les grenadilles ailées, les passiflores aux larges fleurs de pourpre striées d’azur et couronnées d’une aigrette d’un violet noir, retombent du faîte de la voûte comme de colossales guirlandes. — (Eugène Sue, Les Mystères de Paris, 1843)
- « Ah! mon Dieu! que c’est beau! et que l’homme se sent petit en face de ces merveilles de la nature, de ces géants qui datent des premiers âges du monde.! Entre ces troncs lisses ou couverts d’une mousse sombre se suspendent des milliers de plantes grimpantes, des lianes de toutes sortes, les passiflores laurifoliæ, les bignonies, les bromerias, les aristoloches, que sais-je accrochant leurs jeunes rameaux aux troncs noueux des vieux arbres. Les fleurs aux couleurs éclatantes tranchent sur le ton plus foncé de la verdure. Des fougères arborescentes, des lichens couvrent le sol. Une lumière diffuse et voilée filtre à travers l’épais rideau. On se croirait au crépuscule d’un beau jour. La chaleur n’est pas grande, mais l’air manque aux poumons. On respire avec peine.— (Charles Wallut, Sur les rives de l'Amazone : voyage d'une femme, Marthe Verdier, 1882, pages 144-145)
- Car je ne veux plus rien sinon laisser se cloreMes yeux couple lassé au verger pantelantPlein du râle pompeux des groseilliers sanglantsEt de la sainte cruauté des passiflores — (Guillaume Apollinaire, « L’Ermite », Alcools, in Œuvres poétiques, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1965, p. 103)
- (Botanique) (Par métonymie) Fleur de cette plante.
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for
- (Linguistique) Code ISO 639-3 du fore.
- ivors
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essor
- Action de l’oiseau qui s’élance pour prendre son vol.
- Avant que la nitée Se trouvât assez forte encor Pour voler et prendre l’essor. — (Jean de la Fontaine, Fab. IV, 22.)
- (Sens figuré) Ses rues, dans le silence d’un lieu désert, attendent le claquement des volets, l’ouverture des portes, le hennissement des chevaux, l’essor d’une marmaille. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- (Par analogie) Envol d’un aéronef.
- […], nous menions une vie désordonnée, parce que nous étions toujours sur le qui-vive, prêts à prendre notre essor le lendemain matin. — (Dieudonné Costes & Maurice Bellonte, Paris-New-York, 1930)
- (Sens figuré) Élan vers le haut.
- Et dès que son Dieu l’ordonne, Son âme, prenant l’essor, s’élève d’un vol rapide Vers la demeure où réside Son véritable trésor. — (Jean Racine, Cantique, II.)
- Élan hâtif.
- M’en croirez-vous, monsieur ? Prenez l’essor. — (Hauteroche, le Souper mal apprêté, sc. 18.)
- (Sens figuré) Mouvement moral, comparé à l’essor de l’oiseau, par lequel un homme, un esprit, une âme se portent aux choses élevées, étendues.
- Et quand je me demande un titre légitime D’où prendre quelque gloire et chercher quelque estime, Je vois pour tout appui de mes plus hauts essors Le néant que je suis et le rien d’où je sors. — (Pierre Corneille, Imit. III, 40.)
- Succès qu’obtient un livre, une idée.
- N’espérons plus que la haine pardonne à mes chansons leur trop rapide essor. — (Pierre Jean de Béranger, Ad. à la camp.)
- (Sens figuré) Action de débuter en quelque chose avec énergie, avec hardiesse et liberté.
- Favoriser l’essor du talent.
- (Désuet) Publication, sortie d'un livre.
- Si l’on peut pardonner l’essor d’un mauvais livre, Ce n'est qu’aux malheureux qui composent pour vivre. — (Molière, Mis. I, 2.)
- Développement qui a quelque chose de rapide comme le vol de l’oiseau.
- La vie n'avait pas encore pris un grand essor à l'époque de la formation ardoisière. Ce n'est guère que dans la partie supérieure […] que l'on trouve quelques fossiles. — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes, E. Jolly, Charleville, 1869, page 17)
- Nous avons constaté l’essor d’Alès, et Nîmes même a gagné quelques milliers d’âmes de 1912 à 1926. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Pourtant ces épreuves et tribulations suscitèrent, dans leurs rangs, un essor idéologique et organisationnel nouveau, […]. — (Panayiotis Jerasimof Vatikiotis, L’Islam et l’État, 1987, traduction d’Odette Guitard, 1992, p.98)
- Le XIXe siècle marque véritablement l’essor de la pêche hauturière : à Terre-neuve d'abord, puis en Islande. — (Christian Querré, La Grande Aventure de Terre-Neuvas de la baie de Saint-Brieuc, 1998)
- (Technique) Ouverture dans le haut d’une cave enterrée ou d’une galerie avec un conduit vertical vers la surface pour assurer une ventilation par convection naturelle.
- Essor d’une galerie de mine, d’une champignonnière, d’une cave à vin de champagne.....
- (Sens figuré) Libération d’une contrainte.
- On tenait ce jeune homme dans une trop grande contrainte, il a pris depuis son essor.
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granivore
- (Zoologie) Qui se nourrit de grains.
- Enfin s’il veut ranger les gallinacés à la classe des granivores, et que dans le nombre et la structure de leurs estomacs et de leurs intestins, il croit voir clairement qu’ils sont en effet destinés à se nourrir de graines et d’autres matières végétales ; comment s’expliquera-t-il à lui-même cet appétit de préférence qu’ils montrent constamment pour les vers de terre, et même pour toute chair hachée, cuite ou crue, à moins qu’il ne se persuade que la Nature ayant fait la poule granivore par ses longs intestins et son double estomac, l’a faite aussi vermivore, et même carnivore par son bec un tant soit peu crochu […]. — (Georges-Louis Leclerc de Buffon, Histoire naturelle des animaux, « Le Coq », in Œuvres, Bibliothèque de la Pléiade, 2007, page 1103.)
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omnivore
- (Zoologie) Qui mange de tout.
- Le chimpanzé est omnivore, et il est occasionnellement carnivore. Il pratique occasionnellement la chasse. — (Edgar Morin, La vie de la vie, page 423, Seuil, 1980)
- maucor
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picador
- (Tauromachie) Cavalier qui dans les combats de taureaux attaque l’animal avec la pique.
- Il y a deux classes principales de toreros : les picadors, qui combattent à cheval, armés d’une lance ; et les chulos, à pied, qui harcèlent le taureau en agitant des draperies de couleurs brillantes. Parmi ces derniers sont les banderilleros et les matadors, dont je vous parlerai bientôt. — (Prosper Mérimée, Lettres d’Espagne, 1832, rééd. Éditions Complexe, 1989, pages 38-39)
- mais le silence ne tarda pas à se rétablir, le taureau ayant fendu en deux le cheval du premier picador et désarçonné le second. — (Théophile Gautier, « Malaga, le cirque et le théâtre », Revue des deux Mondes, 1842).
- Le picador a pour arme une lance ferrée d’une pointe d’un ou deux pouces de longueur ; ce fer ne peut pas blesser le taureau dangereusement, mais suffit pour l’irriter et le contenir. Un pouce de peau adapté à la main du picador empêche la lance de glisser ; la selle est très-haute par devant et par derrière, et ressemble aux harnais bardés d’acier où s’enchâssaient, pour les tournois, les chevaliers du moyen âge ; les étriers sont en bois et forment sabots, comme les étriers turcs ; un long éperon de fer, aigu comme un poignard, arme le talon du cavalier ; pour diriger les chevaux, souvent à moitié morts, un éperon ordinaire ne suffirait pas. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
- Le picador alcoolique et grisonnant avait devant lui un verre d’eau-de-vie de cazalas et se délectait à contempler une table où avaient pris place le matador dont le courage avait fui, et un autre matador qui avait renoncé à l’épée pour redevenir banderillero, et deux prostituées apparemment très décaties. — (Ernest Hemingway, La Capitale du monde, 1936. Traduit de l’anglais américain par Marcel Duhamel, 1946. Traduction revue par Marc Sapora, 2001, page 32)
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saur
- (Archaïsme) Desséché et fumé.
- Hareng saur..
- (Archaïsme) (Par extension) Jaune-brun, de couleur obtenue par la fumée.
- Un cheval saur.
- (Fauconnerie) Qualifie un oiseau de proie pendant sa première année, quand il possède encore son premier pennage de couleur rousse.
- Le fauconnier le dédaigne comme un ennemi inférieur; mais l'émir ordonna qu'on fît voir la plume au faucon saur. — (Louis Énault, La vierge du Liban, Éd. Hachette, Paris 1860)
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sonore
- Qui rend un son.
- Tous les hommes, […], écoutaient nonchalamment, sans y prêter grande attention, un mauvais phonographe, aux accents métalliques. Du pavillon sonore sortaient des paroles qui serrèrent le cœur de Bert d’une angoisse nostalgique […]. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 385 de l’édition de 1921)
- Les cris des coqs, les sabots des ânes poussés par l'encouragement sonore et monotone des paysans, réveillèrent Elhamy le lendemain. — (Out-el-Kouloub, Zaheira, dans "Trois contes de l'Amour et de la Mort", 1940)
- Qui donne beaucoup de son, qui a un beau son.
- Deux escaliers, sous un maigre lumignon, plongent aussitôt vers un sous-sol d'où la musique sonore et nasillarde de l'accordéon monte avec des accords de banjo. — (Francis Carco, Images cachées, Éditions Albin Michel, Paris, 1928)
- Qui renvoie bien le son, où le son résonne bien.
- Le vieillard et sa fille […] distinguèrent alors un bruit d'éperons et un cliquetis d'épées qui retentirent sous le sonore péristyle du château. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
- Qui est mal isolé.
- Le palier était sombre, sonore. On entendait les bruits sourds de la maison comme les borborygmes d'un corps au repos. — (Henri Troyat, A demain Sylvie, J'ai lu, page 153)
- Qui est relatif au son.
- Le yé-yé désigne un genre, l'ensemble des exhibitions de mineurs ignares, exhibitions vocales ou instrumentales, individuelles ou collectives, caractérisées par leur outrance sonore et leur indigence d’expression. — (Jean-Louis Gérard, L'imposture Yé-Yé, dans Le Monde libertaire, n°107, décembre 1964, p.7)
- (Phonétique) Se dit d’une consonne dont la prononciation s’accompagne d'une vibration des cordes vocales.
- En français, les consonnes orales sonores sont b, d, ɡ, v z, et ʒ ; les autres sont dites sourdes.
- dinausaure
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piéfort
- Variante de pied-fort.
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import
- Importation.
- Il fait de l’import-export.
- Le tarif inclut le cout de l’import.
- Écoute, dis-je, dans la mesure où c’est un import, ce coffret n’a pas le bon code-barres. — (Brian Deleeuw, L’innocence, 2009)
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maillechort
- Alliage de cuivre, de zinc et de nickel, très dur et ayant de la ressemblance avec l’argent.
- Dans la rue les larmes sont venues à la Mahuchet, car elle est bonne femme, elle a rapporté les couverts en faisant des excuses, elle avait compris la misère de cette comtesse, ils étaient en maillechort !… — (Honoré de Balzac, Les Comédiens sans le savoir, 1846)
- Une soupe aux herbes et à l’eau de haricots, un morceau de veau aux pommes de terre, inondé d’eau rousse en guise de jus, un plat de haricots et des cerises d’une qualité inférieure, le tout servi et mangé dans des assiettes et des plats écornés avec l’argenterie peu sonore et triste du maillechort, était-ce un menu digne de cette jolie femme ? — (Honoré de Balzac, La Cousine Bette, 1846)
- Un trépied de bois peint, presque au centre de la pièce, porterait une mappemonde de maillechort et de carton bouilli, naïvement illustrée, faussement ancienne. — (Georges Perec, Les Choses, Julliard, 1965, réédition 1984, page 14)
- Surtout aux ressources du cuivre, laiton, argent, il [Claudius Linossier] rajoute celle du maillechort, métal plus difficile à travailler initialement terne mais qui, au feu, peut donner des noirs profonds. — (Dominique Forest, « Une collection remarquable : les dinanderies de Claudius Linossier du Musée des Beaux-Arts », dans Bulletin des musées et monuments lyonnais, numéro 3-4, 1991, page 76)
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sor
- (Linguistique) Code ISO 639-3 du somrai.
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nestor
- Vieillard respectable par son âge et par la sagesse de ses conseils.
- Quand De la Hodde discourt, elle écoute toute frémissante d’allégresse ! Il manie si bien le fer rouge, et il a tant vendu de sociétés secrètes, ce bon M. Lucien De la Hodde, qu'il parle d’or, c'est le Nestor de la rue de Jérusalem. — (Victor Avril, Littérature contre-révolutionnaire, dans Les Veillées du Peuple, Paris, n°2, mars 1850, p.124)
- (Ornithologie) Genre comprenant deux espèces encore existantes d'oiseaux omnivores de l'ordre des psittaciformes (famille des nestoridés) à plumage gris olivâtre ou purpurin, à croupion et couvertures sous-alaires cramoisis ou écarlates, dont la mandibule supérieure du bec dépasse de beaucoup la mandibule inférieure et est fortement recourbée, toutes deux endémiques de la Nouvelle-Zélande (genre Nestor).
- Les deux espèces de nestors portent des noms maoris différents, soit le nestor kéa (Nestor notabilis), ou simplement kéa, espèce des montagnes, et le nestor superbe, appelé aussi kaka, espèce de basse altitude.
- Peut-être le nestor de la Nouvelle-Zélande a-t-il été victime de son bec, comme l’ours de sa dent, comme le meurtrier du revolver qu’il portait par mégarde sur lui. — (Edmond Perrier, A travers le monde vivant, 1916)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.