Dictionnaire des rimes
Les rimes en : senior
Mots qui riment avec "or"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "senior".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : or , ors , ort , orts , ord , ords , aur , aurs , aure , aures , orps , ore et ores .
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omnicolore
- De toutes les couleurs.
- (Sens figuré) Cette foule de petits écrivassiers ignorants et indifférents qui peuplent presque tous les journaux et qui passent sans scrupule d’un journal impérialiste à un journal républicain, de là à un organe légitimiste, pour trouver ensuite un refuge assuré dans une feuille orléaniste ou omnicolore. - — (N. Nikoladzé, La presse de la décadence, IV ; E. Dentu libraire-éditeur, Paris, 1875, page 29)
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anaphore
- (Grammaire, Linguistique) Mot ou syntagme qui, dans un énoncé, assure une reprise sémantique d’un précédent segment appelé antécédent ou, plus simplement, rappelle par un moyen grammatical une idée déjà exprimée ou un fait qui s’est déjà produit.
- Dans la phrase « Jean n’avait pas de stylo : je lui ai prêté le mien. », « le mien » est une anaphore dont l’antécédent est « stylo ». De même dans la phrase « Oui, vous êtes déjà venu lundi, je le sais…», « le » forme une anaphore dont l’antécédent est « vous êtes déjà venu lundi ».
- (Littérature) (Rhétorique) Figure de style consistant en la répétition, la reprise d’un même segment ou d’un même mot, en tête de vers, ou en tête de phrase.
- Son anaphore, qui reflète probablement les traditions pré-nicéennes de la Cappadoce, comporte une préface dont la partie finale ne se distingue pas vraiment du type représenté par la préface déjà citée des Constitutiones Apostolorum VIII : la cour céleste chante le trisagion. — (Cinquante années d'études médiévales à la confluence de nos disciplines : actes du colloque organisé à l’occasion du cinquantenaire du CESCM, Poitiers, 1er-4 septembre 2003, Université de Poitiers : Centre d’études supérieures de civilisation médiévale, Éditions Brepols, 2005, p. 359)
- Comme dans la phrase suivante l’auteur utilise une anaphore en répétant le mot Paris : "Paris, Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! mais Paris libéré !..." — (Charles de Gaulle Discours)
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scotophore
- Caractérise des matériaux qui sont lumineux et dont l'intensité de cette lumière peut être diminuer en appliquant une tension électrique dans le matériaux.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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maillechort
- Alliage de cuivre, de zinc et de nickel, très dur et ayant de la ressemblance avec l’argent.
- Dans la rue les larmes sont venues à la Mahuchet, car elle est bonne femme, elle a rapporté les couverts en faisant des excuses, elle avait compris la misère de cette comtesse, ils étaient en maillechort !… — (Honoré de Balzac, Les Comédiens sans le savoir, 1846)
- Une soupe aux herbes et à l’eau de haricots, un morceau de veau aux pommes de terre, inondé d’eau rousse en guise de jus, un plat de haricots et des cerises d’une qualité inférieure, le tout servi et mangé dans des assiettes et des plats écornés avec l’argenterie peu sonore et triste du maillechort, était-ce un menu digne de cette jolie femme ? — (Honoré de Balzac, La Cousine Bette, 1846)
- Un trépied de bois peint, presque au centre de la pièce, porterait une mappemonde de maillechort et de carton bouilli, naïvement illustrée, faussement ancienne. — (Georges Perec, Les Choses, Julliard, 1965, réédition 1984, page 14)
- Surtout aux ressources du cuivre, laiton, argent, il [Claudius Linossier] rajoute celle du maillechort, métal plus difficile à travailler initialement terne mais qui, au feu, peut donner des noirs profonds. — (Dominique Forest, « Une collection remarquable : les dinanderies de Claudius Linossier du Musée des Beaux-Arts », dans Bulletin des musées et monuments lyonnais, numéro 3-4, 1991, page 76)
- rieutord
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dévore
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de dévorer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de dévorer.
- La possession-destruction s’actualise quand le sujet, possédé par exemple par une bête humanisée et hommisée qui le dévore de l’intérieur, finit par mourir de cachexie, comme chez A. Doremieux : « Symbiose phase un » (in Couloirs sans issue) ou « Les bêtes » (Promenades au bord du gouffre). — (Louis-Vincent Thomas, Fantasmes au quotidien, 1984)
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de dévorer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de dévorer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de dévorer.
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rebord
- Bord élevé et ordinairement ajouté, rapporté.
- Une pluie glacée tombait dans les rues miroitantes. Je marchais le long des boutiques, m’appuyant au rebord des devantures pour ne point m’écrouler sur le trottoir. — (Octave Mirbeau, Lettres de ma chaumière : La Tête coupée, A. Laurent, 1886)
- Ensuite, il prenait un fil électrique terminé par une pince crocodile, fixait la pince au rebord du bidon et branchait le fil dans une prise de courant. — (Max Hailier, Vieille Marine!, Éditions Publibook, 2016, page 135)
- Le rebord d’une balustrade. — Les rebords d’un fossé.
- (Couture) Bord replié, renversé.
- Rebord d’un manteau de velours.
- Bord sur lequel on s’appuie, on s’asseoit.
- Jimmy étais assis, nu, sur le rebord du lit. — (Jean-Pierre Alaux, Une dernière nuit avec Jimmy, Calmann-Lévy, 2010, page 137)
- (Géographie, Géologie) Bord d'un relief profond, le long d’une dénivellation.
- Auneuil est un village situé sur le rebord sud de la boutonnière du pays de Bray, où la structure géologique a permis l'affleurement de couches d'argile de grande qualité. — (Jean-François Belhoste et Paul Smith, Patrimoine industriel: cinquante sites en France, Éditions du Patrimoine, 1997, page 86)
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nécrophore
- (Entomologie) Coléoptère qui creuse la terre pour y enfouir un cadavre d’animal sur lequel il va pondre ses œufs.
- Une confrérie de Nécrophores vient à passer par là. Ce sont, comme vous savez, de petites bêtes noires qui ont fait vœu d’ensevelir les morts… Pieusement, elles s’attellent au Papillon défunt et le traînent vers le cimetière… — (Alphonse Daudet, Le petit Chose, 1868, réédition Le Livre de Poche, page 193)
- Les Nécrophores noirs sont les seuls fossoyeursQui savent ne jamais vous emporter ailleurs, Pensant que la moins triste et plus pieuse tombe C’est la terre qui s’ouvre à la place où l’on tombe ! — (Edmond Rostand, écrivain, dramaturge, poète et essayiste français (1868 - 1918) / Chantecler)
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oxford
- Espèce de toile de coton ou de lin, à raies ou à carreaux, très solide ; utilisé notamment pour la confection de chemise.
- Il porte une chemise oxford et a l'air d'un gentleman. — (Gazette des Tribunaux 31 oct. 1873, page 1057, 3e colonne)
- Leur fabrication était l'oxford, la moleskine et le velours. — (Journal officiel 18 nov. 1875, page 9436, 1re colonne)
- Il y avait des piles de chemises en Oxford à col boutonné sur des étagères en noisetier brun. — (Philippe Labro, L’étudiant étranger, Gallimard, 1986, page 148)
- pelleport
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tubuliflore
- (Botanique) Dont la corolle est tubuleuse.
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store
- Rideau fait d’étoffe, de lames de bois, etc., qui se lève et se baisse par le moyen d’un cordon ou d’un ressort, et qu’on met devant une fenêtre, à une portière de voiture, etc., pour se garantir du soleil.
- Avoir des stores à ses fenêtres.
- Lever les stores.
- Baisser, abaisser les stores.
- Les maisons d'en face dormaient, assommées sous les coups de soleil, tous volets clos, tous stores descendus. — (Malègue, Augustin, 1933)
- Store à l'italienne, store extérieur qui peut se mettre en position oblique ou verticale grâce à des montants repliables.
- Store vénitien, store extérieur ou intérieur composé de lamelles horizontales orientables.
- Les fenêtres sont encadrées d’ornements et d’architectures simulés avec force volutes, enroulements, petits Amours et pots à fleurs, et garnies de stores à la vénitienne rayés de larges bandes bleues et blanches, ou de tapis de sparterie qu’on arrose pour charger d’humidité et de fraîcheur le vent qui les traverse. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
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toréador
- (Vieilli) Celui qui combat les taureaux dans les courses publiques, toréro (terme qui le supplante).
- Toréador, en garde !Et songe en combattantQu’un œil noir te regardeEt que l’amour t’attend. — (« air du Toréador », in Carmen de Georges Bizet, livret de Henri Meilhac et Ludovic Halévy d’après Prosper Mérimée, acte II, scène 2, 1875)
- Car Pépita se montre assiseOffrant son regard et son corpsAu plus vieux doge de VeniseEt rit du toréador. — (Toréador, chanson de Jean Cocteau (texte) et Francis Poulenc, 1918)
- Les toréadors sont généralement des hommes à fesses rebondies et cela suffit à me les rendre antipathiques ! — (Sidonie-Gabrielle Colette, Le Képi, Fayard, 1943 ; éd. Le Livre de Poche, 1968, p. 126)
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désaccord
- Le fait de n’être pas d’accord, en parlant des personnes et des choses.
- Ainsi, comme il arrive très-souvent, l’homme est en désaccord complet avec les produits de sa pensée. — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844 ; page 157 de l’édition Houssiaux de 1855)
- (En particulier) Manque d'accord dans le son rendu par des instruments de musique.
- bangor
- escassefort
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massore
- Exégèse du texte de la Bible, fait par les massorètes.
- Les docteurs furent appelés massorètes, du mot massore, qui veut dire tradition ; parce que ces docteurs s'attachèrent dans leur opération à conserver, autant qu'il leur fut possible, la tradition de leurs pères dans la manière de lire et de prononcer. — (Dumars., Mél. gramm. philos. Oeuv. t. IV, p. 55)
- En fait, il sʼagit seulement de lisibilité : le paragraphe explique dʼabord pourquoi la massore a été mise par écrit. — (Colette Sirat, La Conception du livre chez les piétistes ashkenazes au Moyen Âge, Numéro 23, 1996)
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solicitor
- (Droit) Avocat d'affaires, au Royaume-Uni et au Canada.
- Il savait qu’un « solicitor » est le congénère anglais d’un avoué, ou plutôt homme de loi hybride, intermédiaire entre le notaire, l’avoué et l’avocat, — le procureur d’autrefois. — (Jules Verne, Les Cinq Cents Millions de la Bégum, Hetzel, 1879, chapitre I)
- Enfin nous avons le solicitor qui est le représentant légal et le conseil de son client dans chaque procès. C'est lui qui fait la procédure et rédige tous contrats civils ou judiciaires et les testaments. Il plaide rarement lui même […]. — (Adolphus Selim, Aperçu de la loi anglaise au point de vue pratique et commercial, Paris : chez Marchal, Billard et Cie, Bruxelles : chez Ferdinand Larcier, 2e édition, 1887, page 25)
- Comme le tarif était peu élevé (1 fr. 25 par verso ou par 72 mots ) , les solicitors allongèrent leurs actes en y insérant des clauses redondantes , afin de rendre suffisant le montant de leurs honoraires. — (Alexandre Lavaissiere de Lavergne, La transmission de la propriété immobilière et l'introduction des livres fonciers en Angleterre, Paris : chez Guillaumin & cie, 1905, page 62)
- lhor
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victor
- (radiotéléphonie) Mot de code radiotéléphonique de l'OACI, OTAN et SIA pour la lettre latine V.
- Pavillon du code international des signaux maritimes correspondant à la lettre V.
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amphore
- (Antiquité) Jarre à deux anses dans laquelle on mettait le vin, l’huile.
- L’inscription en minuscule d’une amphore de provenance espagnole trouvée au Testaccio à Rome. — (Joseph Déchelette, Manuel d’archéologie préhistorique celtique et gallo-romaine, volume 6, partie 2, 1914)
- (Métrologie) (Désuet) Ancienne mesure de capacité pour les liquides.
- En Grèce, l’amphore, amphoréus ou diota, se divisait en 6 conges ou chous = 36 xestès = 72 cotyles = 288 oxybaphes = 452 cyathes, et contenait le poids d’un talent d’eau ou les 72/100 d’un pied cube grec = 19.44 litres ou 4.2787 gallons.À Rome, l’amphore, amphora (amphoréus des Grecs), faisait dans le principe la 10e partie du culéus, et se divisait en 6 conges = 56 sextarii = 72 hémines = 288 acétabules = 432 cyathes = 19.44 litres = 4.2787 gallons.Par la suite, ces subdivisions furent changées : l’amphore représenta la capacité du pied cube romain, contenant 80 as ou livres romaines d’eau, et reçut le nom de quadrantal. Cette mesure forma la 20e partie d’un nouveau culéus qui fut substitué à l’ancien. Alors l’amphore ou quadrantal se divisa en 2 urnes = 8 conges = 48 setiers (sextarii) = 96 hémines = 192 quartiers (quartarii) = 384 acétabules = 576 cyathes = 2304 ligules, et valut 25.92 litres = 5.7049 gallons. — (Horace Doursther, Dictionnaire universel des poids et mesures, anciens et modernes, M. Hayez, Bruxelles, 1840)
- nicorps
- lisors
- montaure
-
thor
- Séparer.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.