Dictionnaire des rimes
Les rimes en : saure
Que signifie "saure" ?
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- Féminin singulier de saur.
- Sa figure saure et ridée, encadrée par le châle noir, la vieille Gaudry, la métisse, approuvait en clignant de ses petits yeux obliques. — (Maurice Constantin-Weyer, Un homme se penche sur son passé, 1928, réédition Nelson, page 199)
Mots qui riment avec "or"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "saure".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : or , ors , ort , orts , ord , ords , aur , aurs , aure , aures , orps , ore et ores .
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apport
?- Action d’apporter.
- Cette sédimentation organique, jointe aux apports de terre provenant de l’écroulement des berges sous les pieds des bestiaux, amène un asséchement progressif des noues. — (Gustave Malcuit, Contributions à l’étude phytosociologique des Vosges méridionales saônoises : les associations végétales de la vallée de la Lanterne, thèse de doctorat, Société d’édition du Nord, 1929, p. 65)
- Enfin les îles sorties des eaux (atolls) portent une flore extrêmement pauvre, venue par des apports lointains. — (Henri Gaussen, Géographie des Plantes, Armand Colin, 1933, p.69)
- A la fin du siècle (1790) la fiancée de l'Arvan n'a toujours pas changé son costume, si ce n'est avec l’apport du mouchoir de cou en coton. — (Daniel Déquier & François Isler, Le grand livre des costumes de Savoie, vol.1 : Maurienne, La Fontaine de Siloë, 1996, page 172)
- Contrairement à une idée reçue, les apports africains sont négligeables. Par contre les emprunts – aux langues caraïbes, au malgache, au portugais selon les cas - sont plus importants. — (Jean-Marie Klinkenberg, Des langues romanes : Introduction aux études de linguistique romane, Éditions De Boeck Supérieur, 1999, note 3 page 240)
- (Par extension) Contribution apportée par quelqu’un au développement d’une connaissance.
- L'apport de Newton a été essentiel pour le développement de la physique.
- (Finance) Participation des associés à la constitution du capital social de l’entreprise. Il peut être en nature, en numéraire ou dans certaines sociétés, en industries (savoir-faire, activité, etc).
- (Par extension) (Droit) (Vieilli) Ensemble des biens que chacun des époux apporte au mariage.
- Le vieux quartier s’étonna, un mois durant, de lui voir épouser Pierre Rougon, ce paysan à peine dégrossi, cet homme du faubourg, dont la famille n’était guère en odeur de sainteté. Elle laissa clabauder, accueillant par de singuliers sourires les félicitations contraintes de ses amies. Ses calculs étaient faits, elle choisissait Rougon en fille qui prend un mari comme on prend un complice. Son père, en acceptant le jeune homme, ne voyait que l’apport des cinquante mille francs qui allaient le sauver de la faillite. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, G. Charpentier, Paris, 1871, ch. II ; réédition 1879, p. 66)
- (Histoire) Marché aux denrées.
- L'apport de Paris.
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athanor
?- Four d’alchimiste, à combustion très lente.
- Mais là aussi une immense et harassante liberté lui restait encore : il pouvait à son gré s’en tenir à cette décision ou y renoncer, faire le geste qui termine tout ou au contraire accepter cette mors ignea guère différente de l’agonie d’un alchimiste enflammant par mégarde sa longue robe aux braises de son athanor. — (Marguerite Yourcenar, L’Œuvre au Noir, Troisième Partie « La prison », chapitre « L’acte d’accusation », Gallimard, Paris, 1968, page 355)
- Oui, la chambre à four, avec ses chevrons, ses murs nus et sa suie séculaire, c’était l’athanor où le feu se transformait en principe de vie ; voilà pourquoi je m’y réfugiais, pour y renifler dix siècles de ce vrai confort, qu’on n’a d’ailleurs jamais remplacé, et pour y mijoter les expériences gustatives personnelles, les seules valables. — (Henri Vincenot, La Billebaude, 1978, page 116)
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taure
?- (Zoologie) (Rare) Jeune vache qui n’a pas encore porté, génisse.
- Une taure bien grasse.
- La Cévenole était jeune, alerte, rude au travail et solide des reins comme une jeune taure. — (Alphonse Daudet, Le petit Chose, 1868, rééd. Le Livre de Poche, page 159)
- Et je ne dis rien du mélange d’odeurs où seul un bon flair du pays sait trier ce qui appartient au marais, aux violettes du talus, à la taure qui secoue les crotillons de sa queue en tirant la touffe à pleine langue, au sapin qui vous adoucit la gorge rien qu’en suintant du bourgeon. — (Hervé Bazin, Qui j’ose aimer, Grasset, 1956, pp. 215-216)
- (Boucherie, Élevage) Jeune vache pleine n’ayant encore jamais vêlé.
- Il est plus rentable de faire vêler les taures de boucherie à deux ans.
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déplore
?- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de déplorer.
- Je m’étais proposé de dire un mot dans mon oraison contre l’usage que je déplore ; mais une voix intérieure ne me le permit pas, et je reconnais que ce que j’eusse dit sur ce sujet n’aurait fait, dans ce moment, que de désédifier mes auditeurs. — (Samson Vuilleumier, Robert Centlivres, Henri Meylan, L’église vaudoise dans la tempête, Lettres choisies de Samson Vuilleumier, 1947, page 49)
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de déplorer.
- Une communication « très légère », déplore Paul Poulain, ingénieur consultant risques industriels au cabinet Riskcare, et auteur de Tout peut exploser (éd. Fayard). — (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 18 janvier 2023, page 7)
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de déplorer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de déplorer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de déplorer.
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indolore
?- Qui ne fait pas mal, qui ne cause pas de souffrance, sans douleur.
- Cet examen simple, indolore et faiblement irradiant permet d’analyser la solidité de l’os en mesurant la masse de calcium, la densité minérale osseuse (DMO), donnée en g/cm3. Plus la DMO est faible, plus le risque de fracture est élevé. — (France Mutuelle Magazine, n° 174, octobre-novembre-décembre 2022, page 23)
- Qui est le siège d’aucune souffrance.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- rieutord
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maure
?- (Géographie, Histoire) Qui concerne les Maures ou leur culture.
- Sous la tente maure, une petite loge de tissus isole parfois la couche conjugale, tandis que sous la tente bédouine , une cloison de roseau circonscrit le horma (pluriel : harem), l'espace intime réservé à une épouse et à ses jeunes enfants. — (Olivier D'Hont, Techniques et savoirs des communautés rurales : approche ethnographique du développement, Karthala, 2005, chap.14, p.172)
- montresor
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spiciflore
?- Qui a des fleurs disposées en épi.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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unicolore
?- Qui n’a qu’une couleur.
- Le dos est unicolore, noir ou noirâtre, sans taches ni bandes — (Journal de conchyliologie, Éditeur Petit de la Saussaye, 1881)
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renfort
?- Augmentation de force ; ce qui sert à renforcer.
- Le ministère anglais déclara que ses flottes avaient l'ordre de courir sus à tout vaisseau français qui porterait des renforts dans l’Amérique. — (Théophile Lavallée, Histoire des Français, volume 3, chapitre 3 (1748-1763), Paris, Charpentier, 12e édition, 1858, page 503)
- En attendant les renforts, peut-être accélérés par le départ proche de Hwang à Nottingham Forest, voire de Niang (Sion, Ajaccio, Auxerre), il continue son travail de « post-formation » avec les Bakwa, Ekomié (blessé et forfait), Delaurier-Chabet, Mwanga et compagnie. — (journal Sud-Ouest, édition Charente-Maritime / Charente, 13 août 2022, page 29)
- (En particulier) Ce que l’on ajoute à quelque chose dans les situations difficiles.
- Un cheval de renfort.
- (Art) Pièce qui sert à en renforcer d’autres.
- (Assurance) Type de couverture plus importante que le minimum.
- Renfort optique et dentaire.
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millépore
?- (Zoologie) Animal marin microscopique, à l'aspect proche du corail, mais biologiquement plus proche des méduses dont il partage les propriétés urticantes.
- (Zoologie) Polypier calcaire créé par une colonie de millépores.
- birapport
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port
?- Havre côtier, refuge ou abri pour les bateaux les protégeant des vents et des tempêtes.
- Des phares éloignent les navires des dangers ou les conduisent dans les ports abrités par des digues construites en luttant contre les tempêtes. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- Vers 4 heures, j’aperçois de nouveau la terre après avoir barré toute la nuit ; je passe au petit jour près d’un destroyer américain et entre dans le port Saint-Georges. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- La Chiffonne en longea la côte occidentale, doubla la pointe Nord et, suivant les falaises de l’Est, moins anfractueuses, pénétra dans un grand port naturel, protégé par un alignement de gros rochers et de petits îlots. — (G. Lenotre, Les derniers Terroristes, Paris : chez Firmin-Didot, 4e édition, 1932, page 79)
- Azemmour, la ville maure remontant à l’antiquité, en plein déclin aujourd'hui par suite de l’ensablement de son port et l’indolence de sa population. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 148)
- Ensemble des installations, en bord de mer, destinées à l’entretien des navires, à l’embarquement et au débarquement des marchandises ou des passagers.
- C’était un tohu-bohu ethnique. Dans le port flottaient les pavillons de toutes les nations, et plus de deux millions d’êtres humains s’y embarquaient annuellement. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 210 de l’édition de 1921)
- Ça me rappelle le vieux port marseillais, les marchandes de coquillages, les pieds-paquets et le vin de Cassis, doré comme du soleil. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, pages 187-188)
- Point de la rive d’un cours d’eau où les navires abordent, chargent et déchargent les marchandises.
- Le mythique port de Bercy.
- Le port céréalier de Givet.
- Ville bâtie auprès d’un port, autour d’un port.
- Marseille est un agréable port de mer.
- (Sens figuré) Lieu de repos, de refuge, d’une situation tranquille.
- Il est dans le port en se retirant du monde et de l’embarras des affaires.
- Il s’est assuré un port dans la tempête.
- (Sens figuré) Lieu où l’on se retire loin des embarras du monde, où l’on cherche à se mettre à couvert de quelque danger.
- La maison de l’ambassadeur a été un port de salut pour lui.
- (Géographie) Col des Pyrénées.
- Le port d’Envalira est le plus haut col routier de la chaîne pyrénéenne.
- — Viva ! viva ! jaleo ! s’écria Houmain ; nous autres braves, nous sommes bons à tout. Ah çà ! mais… tu as donc toujours passé par les autres ports ? car je ne t’ai pas revu depuis que j’ai repris le métier. — (Alfred de Vigny, Cinq-Mars, chapitre XXII, 1826)
- De l’autre côté, c’est l’Espagne, dominée par des falaises identiques aux nôtres […]. On peut passer en Espagne sans suivre le sentier qui franchit le port, mais il y faut beaucoup d’acrobatie. — (Abellio, Pacifiques, 1946)
- Arrivée, destination.
- Elle recommença ses doléances, elle se mit à geindre de plus belle sur le manque de fortune qui la faisait échouer au port. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, 1871)
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mort
?- (Biologie) Arrêt définitif des fonctions vitales (assimilation de nutriments, respiration, fonctionnement du système nerveux central).
- Enfin, dans tous les groupes étudiés jusqu’ici, l’individualité de chaque être se manifeste dès la première apparition du germe, dès les premiers rudimens de l’œuf, et persiste pleine et entière jusqu’à la mort. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, Les Métamorphoses et la généagénèse, Revue des Deux Mondes, 2e période, tome 3, 1856, pages 496–519)
- Ce n’est pas par lâcheté, c’est par une immense modestie que l’on renonce ce soir à la guerre, au carnage, à sa mort, à la mort surtout des autres, des camarades […] — (Jean Giraudoux, Retour d’Alsace - Août 1914, 1916)
- Ne plus s’aimer, c’est pire que de se haïr, car, on a beau dire, la mort est pire que la souffrance. — (Henri Barbusse, L’Enfer, Éditions Albin Michel, Paris, 1908)
- — Je ne connais que moi. La vie, c’est moi. Après ça, c’est la mort. Moi, ce n’est rien ; et la mort, c’est deux fois rien. — (Pierre Drieu La Rochelle, Le Feu follet (1931))
- Ton père est mort, d’une mort bête. Toutes les morts sont absurdes, d’ailleurs. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 42)
- J’avais l’impression de me noyer et une angoisse terrible, celle de la mort elle-même m’étreignit. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- Pourquoi dire que la mort viendra comme un voleur ? Tout nous y prépare. — (José Cabanis, Les cartes du temps, Gallimard, 1962, Le Livre de Poche, page 63.)
- Les mots usuels que nous trouvons [en parlant des paysans des années 1930 au Québec] pour dire la mort varient selon les réflexes des uns et des autres : « Il a perdu le souffle, il a défunté, il a trépassé, il a rendu l’âme… » Plus poétique : « Il est parti de l’autre bord, de l’autre côté; il était au bout de son fuseau. » Moins respectueux : « Il a levé les pattes, il a fini par crever. » — (Benoît Lacroix, Rumeurs à l'aube, Éditions Fides, 2015, page 213)
- Privatisée, laïcisée et comme aseptisée par la médecine depuis des décennies, la mort s’était effacée de notre imaginaire collectif ; elle resurgit soudain comme une réalité imprévisible, terriblement contagieuse et pour l’instant non maîtrisable par la science. — (Gérard Courtois, Emmanuel Macron face au Covid-19 : la revanche des passions tristes, Le Monde. Mis en ligne le 10 mai 2020)
- Moment ou lieu où cet arrêt des fonctions vitales se produit.
- La veuve de Henri II était vêtue de ce deuil qu’elle n’avait point quitté depuis la mort de son mari. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, C. Lévy, 1886)
- Cette chapelle renferme le tombeau de l’évêque Radulphe, dont l’inscription donne la date de 1266, comme étant celle de la mort du prélat. — (Eugène Viollet-le-Duc, La Cité de Carcassonne, 1888)
- (Soutenu) (Rhétorique) La mort peut être souvent personnifiée → voir Mort.
- Stendhal dit quelque part que le soldat ne craint pas la mort, parce qu’il espère bien l’éviter par son industrie ; cela s’appliquait tout à fait à ce genre de guerre que nous faisions. — (Alain, Souvenirs de guerre, Hartmann, 1937, page 102)
- La mort fauche. Elle fauche à tort et à travers. Peu lui importe. Ceux qu’elle a visés, elle va les chercher là où ils semblent le plus en sécurité. — (Jacques Mortane, La Guerre des airs : Traqués par l’ennemi, Baudinière, 1929, page 40)
- L’impitoyable mort.
- Ce malheureux appelait la mort.
- (En particulier) Peine capitale, peine qui consiste dans la suppression de la vie. → voir peine de mort.
- Le régime antérieur avait été encore plus terrible dans la répression des fraudes, puisque la déclaration royale du 5 août 1725 punissait de mort le banqueroutier frauduleux […] — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, chap. VI, La Moralité de la violence, 1908, page 272)
- Deux jours après, je passai devant le conseil de guerre, qui, après plaidoirie d’un avoué allemand, me condamna à mort pour espionnage […] — (Jacques Mortane, Missions spéciales, 1933, page 31)
- Sentence, arrêt de mort : Condamnation qui porte la peine de mort.
- (Par hyperbole) Grandes douleurs.
- Cette cruelle maladie lui fait souffrir mille morts.
- Souffrir mort et passion.
- (Par hyperbole) Grands chagrins.
- La conduite de son fils lui a mis la mort dans l’âme.
- (Sens figuré) Fin, cessation d’activité.
- Seuls, dans un des versants caillouteux de la forêt, deux ou trois vieux hêtres accusaient, par quelques feuilles roussies prématurément, l’arrivée prochaine de l’automne et la mort de l’été. — (Louis Pergaud, Un satyre, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- (Sens figuré) Ruine, destruction.
- Les réquisitions forcées sont la mort du commerce.
- Le monopole est la mort de l’industrie.
- (Cartes à jouer) Treizième arcane du tarot de Marseille (aussi appelée « arcane sans nom »).
- durfort
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trésor
?- Amas d’or, d’argent, ou d’autres choses précieuses mises en réserve, cachées, enfouies.
- Âmes de boue! qui n'estimez que l'or, je ne veux point toucher à vos trésors, quelque impure qu'en soit la source. — (Robespierre, Propositions d’articles additionnels à la déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen, le 24 avril 1793 à la Convention)
- Lieu où le trésor est enfermé, comme dans les églises.
- Il a toujours sur lui la clef de son trésor.
- Ces sacraires sont munis d’armoires doubles, fortement ferrées […]. Ils servaient de trésors, car il était l’usage de placer, des deux côtés du maître autel des églises abbatiales ou cathédrales, des armoires destinées à renfermer les vases sacrés, les reliquaires et tous les objets précieux. — (Eugène Viollet-le-Duc, La Cité de Carcassonne, 1888)
- Ces mêmes reliques et ornements.
- Le trésor de Reims. Le trésor de Chartres.
- (Vieilli) Ensemble des archives, titres, papiers d’une seigneurie, d’une communauté.
- Le trésor des chartes des rois de France.
- Ensemble des ressources de l’État, des sommes destinées au service public.
- Il se vit entouré d’individus qui trompèrent sa confiance, et ne cherchèrent, […], qu’à exploiter le trésor public à leur profit. — (Anonyme, Grèce. - Administration intérieure, Revue des Deux Mondes, 1829, tome 1)
- Son prestige religieux est compromis. Son trésor est vide. Son armée, […], est réduite à fort peu de chose par les licenciements forcés et les désertions. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 15)
- A la mort d'un autre Gradis, l'intendant prétendit confisquer les biens du défunt au profit du Trésor, en vertu du droit d'aubaine.— (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- Administration chargée de gérer ces ressources.
- Son adjonction au ministre, avec le titre de directeur-général du trésor, fut accueillie comme une bonne nouvelle dans toutes les places de commerce du continent, …. — (Julie de Querangal, Philippe de Morvelle, Revue des Deux Mondes, tome 2, 4, 1833)
- Il est plus que certain que des transactions sont intervenues entre les deux parties, au grand dam du Trésor. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- (Sens figuré) Ce qui est d’une excellence, d’une utilité singulière.
- Un véritable ami est un grand trésor. - Un bon domestique est un trésor dans une maison. - Les trésors d’érudition que cet ouvrage renferme.
- Grands recueils d’érudition.
- Le trésor de la Langue grecque, d’Henri Estienne.
- (Religion) Réunion, d’un assemblage de diverses choses bonnes ou mauvaises.
- Il est dit dans l’évangile : Amassez- vous des trésors que les vers et la rouille ne puissent point gâter et que les voleurs ne puissent point dérober. - Le trésor des miséricordes divines.
- Êtres et choses pour lesquelles on a un grand attachement.
- Cet enfant est son trésor.
- Tu viens, trésor ?
- (Au pluriel) Grandes richesses.
- Les trésors de Crésus sont passés en proverbe. Ces mines recèlent des trésors. Il a amassé des trésors.
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oxford
?- Espèce de toile de coton ou de lin, à raies ou à carreaux, très solide ; utilisé notamment pour la confection de chemise.
- Il porte une chemise oxford et a l'air d'un gentleman. — (Gazette des Tribunaux 31 oct. 1873, page 1057, 3e colonne)
- Leur fabrication était l'oxford, la moleskine et le velours. — (Journal officiel 18 nov. 1875, page 9436, 1re colonne)
- Il y avait des piles de chemises en Oxford à col boutonné sur des étagères en noisetier brun. — (Philippe Labro, L’étudiant étranger, Gallimard, 1986, page 148)
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onychophore
?- Se dit des serpents qui ont des ergots à la partie postérieure du corps.
- rochemaure
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armor
?- Armure.
- Blindage.
- lampadephore
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détord
?- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de détordre.
- montord
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lophophore
?- (Ornithologie) Genre d’oiseaux de l’ordre des galliformes et de la famille des phasianidés, comprenant trois espèces de grande taille semblables à des faisans, présentant un dimorphisme sexuel accentué, au plumage extrêmement coloré et iridescent chez le mâle, et qui fréquentent les forêts en altitude à sous-bois de bambous et de rhododendrons, et les prairies alpines de la chaîne de l'Himalaya, de l'Inde à la Chine.
- Le lophophore, lophophorus refulgens, Temminck, oiseau de l’Indo-Chine dit aussi monaul ; il est orné d’un plumage varié. — (Eugène Cortambert, Cours de géographie, Paris, 1873, page 543)
- Si la garniture en plumes de lophophore de Mlle P… ne fait pas courir tout Paris, il faudra bien changer l’affiche. — (Revue britannique, mars 1872, page 261)
- Juste à ce moment entrait Alzire, à demi nue dans sa robe de velours mordoré, parée de lophophore vert. - (Pierre Benoit, Le désert de Gobi, LdP N°931, 1972 p. 67)
- (Zoologie) Panache de tentacules ciliés entourant la bouche de certains invertébrés du groupe des protostomes et à fonction alimentaire ou, parfois, reproductrice, caractéristique du super-embranchement des lophophorés (Lophophorata), lequel comprend trois embranchements, soit les euproctes (ou bryozoaires) (Ectoprocta), les phoronides (Phoronida) et les brachiopodes (Brachiopoda) [1].
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.