Dictionnaire des rimes
Les rimes en : sajou
Mots qui riment avec "ou"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "sajou".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ou , ous , out , outs , oux , oup , oups , oût , oûts , oue et oues .
- laxou
- champoux
-
amadoue
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe amadouer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe amadouer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe amadouer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe amadouer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe amadouer.
-
pioupiou
- Cri des poussins.
- Le pioupiou des poussins autour de leur mère-poule attentive.
- (Par extension) Poussin.
- (Sens figuré) Jeune soldat, bleu, troufion.
- Des pioupious aussi suivaient le cortège avec leurs fusils : le peloton des décorés. — (Jules Vallès, L’Insurgé, G. Charpentier, 1908)
- Je le voyais sur des photographies, déguisé en pierrot, en garçon de café, en pioupiou. — (Simone de Beauvoir, Mémoire d'une jeune fille rangée, 1958, page 28)
- 6 mai 1940 – Quelques amis avaient bien troqué leur complet-veston contre une panoplie de pioupiou et nous les avions regardés d’un œil tendre, au début. — (Benoîte et Flora Groult, Journal à quatre mains, Denoël, 1962, page 11)
- 10 octobre 44 – Ah ! les parents pauvres que sont nos pioupious avec leurs croquenots et leurs capotes kaki, raides comme des couvertures de train ! — (Benoîte et Flora Groult, Journal à quatre mains, Denoël, 1962, page 352)
- ponthou
-
caribou
- (Canada) (Zoologie) Nom du renne sauvage.
- […] et ces rennes, — ou plutôt ces « caribous », pour leur restituer leur nom indien, — trompés par l’apparence, s’approchaient à portée des chasseurs, qui ne les manquaient point. — (Jules Verne, Le Pays des fourrures, J. Hetzel et Cie, Paris, 1873)
- Les habitats propices pour le caribou forestier se font plutôt rares au sud de Val-d’Or, en Abitibi, selon un rapport scientifique dévoilé par le Conseil de la nation Anishnabe de Lac-Simon. — (TVA Nouvelles, « Manque d’habitats propices pour le caribou forestier », Le journal de Montréal, 21 novembre 2020)
- (Botanique) Nom donné aux mousses dont le caribou se nourrit.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Canada) Boisson composée de vin rouge et d’alcool fort.
- Pour ceux qui prennent un petit coup, papa sort son caribou. — (La Bottine souriante, Dans nos vieilles maisons)
- affoux
- cordoue
-
mandchou
- (Géographie) Relatif à la Mandchourie, aux Mandchous ou à la langue mandchoue.
- Au deux millième coup, Mony rendit l’âme, Le soleil était radieux. Les chants des oiseaux mandchous rendaient plus gaie la matinée pimpante. — (Guillaume Apollinaire, Les Onze Mille Verges ou les Amours d'un Hospodar, chapitre 9, 1907)
- Le service était fait par des maîtres d'hôtel mandchous, en longues tuniques de soie bleue fumée. — (Pierre Benoit, Le Soleil de minuit, Albin Michel, 1930, réédition Le Livre de Poche, page 33)
- lassouts
- maoux
-
roux
- D’une couleur proche de l’orange, souvent en parlant des cheveux. #AD4F09
- Sous son chapeau, à bords retroussés, apparaissaient, riches et crépus, des cheveux plutôt roux que blonds […] — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, vol. I, ch. IV ; Calmann Lévy éditeurs, Paris, 1886, page 41)
- Vingt-six à vingt-sept ans, de taille moyenne, mince, nerveux, les yeux énergiques, les cheveux roux, il a moustache rousse retombant à la gauloise. — (Jules Mary, La Pocharde, 1898, chapitre 1, Paris : chez H. Geoffroy, 1904-1905, page 7)
- Sous sa brosse de cheveux roux, il avait l’air doré sur tranches. — (Jean Giraudoux, Provinciales, Grasset, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 142)
- On distingue sept teintes naturelles de cheveux, réparties, en France, selon les proportions suivantes : 50 % de cheveux châtains, 20 % de cheveux gris, 10 % de cheveux blonds et noirs, 5% de cheveux roux et 2,5% de cheveux bruns et blancs. — (Pierre Bouhanna, Soigner et entretenir ses cheveux : Les nouveaux traitements du cheveu, Alpen Éditions s.a.m., 2006, page 14)
- Le noir et blanc de la photographie ne permet pas de voir les « yeux roux » dont fait état sa fiche d’incorporation à l’Inscription maritime de l’Aber-Wrac’h. — (Mona Ozouf, Composition française, Gallimard, 2009, collection Folio, page 57)
- Les sièges derrière eux étaient occupés par un vieux couple qui transportait une grosse poule rousse. — (Arto Paasilinna, Moi, Surunen, libérateur des peuples opprimés, traduit du finnois par Anne Colin du Terrail, Éditions Gallimard (coll. Folio), 2016, chapitre 10)
- Qui a les cheveux roux.
- L’une de ces filles avait les cheveux d’un roux très véhément, couleur qui est très fréquente en Espagne, où il y a beaucoup de blondes et surtout beaucoup de rousses, contre l’idée généralement reçue. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
- C’est M. Lefèvre, l’ancien acteur des Variétés, qui a fait éclore un jour cette phrase dans la bouche de mademoiselle Juliette, une figurante laide et rousse qu’Odry, par antiphrase, appelait Joliette. — (Joachim Duflot, Les secrets des coulisses des théâtres de Paris: mystères, mœurs, usages, Paris : chez Michel Lévy frères, 1865, page 90)
- C’est une couleur nette, au moins : je suis content d’être roux. […] J’ai encore de la chance : si mon front portait une de ces chevelures ternes qui n’arrivent pas à se décider entre le châtain et le blond, ma figure se perdrait dans le vague, elle me donnerait le vertige. — (Jean-Paul Sartre, La Nausée, 1938)
- Malgré elle il lui parut beau, bien qu’il fût roux. C’était cela qui la troublait, cette chevelure de flamme, ce teint d’une blancheur laiteuse, et elle se domina pour qu’il ne comprît pas l’espèce de répulsion qu’il lui inspirait. — (Julien Green, Moïra, 1950, réédition Le Livre de Poche, page 7)
- Fondu et cuit jusqu’à obtenir une couleur rousse en cuisine.
- Beurre roux.
- loroux
-
coup
- Impression que fait un corps sur un autre en le frappant.
- Le docteur Paul était ensuite venu, brillamment expliquer à la barre comment les coups avaient occasionné, en effet, seize blessures. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- C’est ainsi que, le 21 adar 4996 (1236), un pêcheur chrétien étant mort des coups que lui avait portés un juif au cours d’une rixe, la foule envahit la juiverie vicomtale, avec l’intention de la mettre à sac. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- J’ai vu des prisonniers jetés à coups de matraque d’un étage à l’autre et qui, hébétés par la torture et les coups, ne savaient plus que murmurer en arabe les premières paroles d’une ancienne prière. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- Et crescendo, la querelle s’envenime en injures, bien sûr, et non en coups, car les deux gondoliers savent pratiquer l’art de « rompre le fer ». — (Annarosa Poli, L’Italie dans la vie et dans l’œuvre de George Sand, Centre interuniversitaire de recherche sur le voyage en Italie, 1960, page 116)
- Instinctivement Éric esquive le coup, bascule en arrière en entraînant l’homme dans sa chute et l’envoie bouler à quelques mètres. — (Michel Remoissenet, Ondes et catastrophes : Du soliton au tsunami, Books on Demand, 2008, page 111)
- Frapper un coup ou deux coups à une porte avec le marteau.
- Faire tomber une grêle de coups sur les épaules de quelqu’un.
- (Sens figuré) Se dit en parlant des choses qui nuisent, qui causent un sentiment pénible, etc.
- On affirme trop souvent qu’après la première génération félibréenne et les œuvres de Roumanille, d’Aubanel et de Mistral, la littérature de langue d’oc n’a point soutenu sa valeur, et que, Mistral disparu, le Félibrige a reçu un coup mortel. — (Émile Ripert, Le Félibrige, Armand Collin, 1924, page 129)
- Il a déjà réussi à faire renvoyer un policier. Il continuera à faire de sales coups jusqu’au bout. — (Ronan Farrow, Annick Cojean, Ronan Farrow : « Ce qui se passe autour de Roman Polanski et d’Adèle Haenel est prometteur », Le Monde. Mis en ligne le 18 novembre 2019)
- Il supporte les coups du sort, du destin, de la fortune avec une noble résignation.
- Cette défaite porta un coup funeste à la gloire de ce prince.
- Son autorité chancelante allait recevoir un dernier coup.
- Cette entreprise a porté un coup à sa fortune.
- Ce chagrin porta un coup à sa santé.
- Décharge et bruit que font les armes à feu lorsqu’on les tire.
- J’avais oublié le cran d’arrêt […] Pour un peu, je pressais la gâchette sans que le coup partît. — (Gaston Cherpillod, Les Changelins, L’Âge d’Homme, 1981, page 147)
- On chantait presque tous les mois des Te Deum pour quelque nouvelle victoire, et le canon de l’arsenal tirait ses vingt et un coups, qui vous faisaient trembler le cœur. — (Erckmann-Chatrian, Histoire d’un conscrit de 1813, J. Hetzel, 1864)
- Mais, saperlotte ! tâchons donc que tout ça se passe tranquillement ; ça vaudrait beaucoup mieux. Puisque nous avons le suffrage universel, il n’y a plus besoin de coups de fusil. — (Émile-Ambroise Thirion, La Politique au village, Fischbacher, 1896, page 248)
- Tirer des coups de canon, de fusil.
- Évènement imprévu qui a frappé quelqu’un soudainement.
- Ce fut un coup de massue, un coup de foudre, un coup de tonnerre pour lui.
- Coup de fortune, de bonheur, de malheur, de hasard.
- Coup du ciel, d’en haut, de la Providence, de la grâce.
- Mort sur le coup.
- Son que rendent certains corps lorsqu’ils viennent à être frappés.
- Un coup de cloche, de tambour, de tam-tam.
- Au coup de minuit, de midi, de trois heures, etc. : Au moment où minuit, où midi, où trois heures, etc., sonnent.
- Je suis arrivé au Monte-Carlo sur le coup de onze heures. — (Jo Barnais, Mort aux ténors, chapitre IX, Série noire, Gallimard, 1956, page 75)
- Action rapide et momentanée.
- D’un coup de rasoir, je lui coupai la tête, et le tronc, d’où un flot de sang s’échappait, gigota quelques secondes sur le parquet. — (Octave Mirbeau, Lettres de ma chaumière : La Tête coupée, A. Laurent, 1886)
- Les portières sont refermées, après la visite du contrôleur. Un dernier coup de sifflet annonce que le train va se mettre en marche… — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre I, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- Lier plusieurs notes d’un coup d’archet. — Un coup de gosier. — Un coup de ciseau.
- (Par extension) Ce qu’on fait rapidement, légèrement, ou sans y apporter le même soin que de coutume.
- Je suis trop pressé pour me faire coiffer, un coup de peigne suffira.
- Donnez un coup de balai à cette chambre.
- Dans la vie de Clémence Dufour, il y avait quand même pas mal de vaisselles, de patins à l’entrée du salon, de « petits coups à donner » sur la table, avant de mettre le couvert. — (Philippe Delerm, Il avait plu tout le dimanche, Mercure de France, 1998, page 68)
- (Par métonymie) Petite quantité de quelque chose.
- Mettre un coup de peinture, de Tipex, d’engrais.
- Mouvement impétueux, comme du vent qui souffle sur la mer, d’une tempête.
- Coup de vent, de mistral.
- Un coup de mer écarta leurs vaisseaux, les jeta, les poussa sur les côtes.
- Manière de jouer, chance au jeu.
- Il a fait un beau coup.
- Action humaine inattendue.
- Les affaires de banque je n'y comprends peut-être pas grand-chose, mais les mauvais coups, je les sens et je dis que cette affaire n'est pas catholique. — (Jacqueline Mirande, Étranger, d'où viens-tu ?, Casterman, 1974, chapitre 2)
- Heureux coup.
- C’est un coup de génie, de désespoir.
- Fois.
- Il a réussi du premier coup.
- Il a encore trois coups à jouer.
- J’ai eu du chagrin de savoir que ton neveu s’était fait refuser aux postes encore un coup. — (Marcel Aymé, La jument verte, Gallimard, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 25)
- Quantité que l’on boit en une fois.
- Pour l’Ogre il se remit à boire ravis d’avoir de quoy si bien regaler ses amis. Il but une douzaine de coups plus qu’à l’ordinaire, ce qui luy donna un peu dans la teste, et l’obligea de s’aller coucher. — (Charles Perrault, Histoires ou Contes du temps passé, Paris, Barbin 1697, page 209.)
- On peut voir à la terrasse des petits cafés des gens qui prennent l’apéro en famille pour tuer le dimanche comme l’homme à la bêche prend un coup de blanc le matin pour « tuer le ver » avant de retrousser ses manches, se cracher dans les mains avant d'empoigner son outil […]. — (Blaise Cendrars, La banlieue de Paris , chap. Ouest, Guilde du Livre/Pierre Seghers, 1949, dans les Œuvres complètes, tome 7, Éditions Denoël, 1963, page 155)
- « Tu bois des coups le samedi soir, et le dimanche matin tout le monde se réunit autour du même centre d’intérêt, la cafetière, pour passer la gueule de bois. » — (Stéphanie Maurice, La passion du tuning, Seuil, 2015, collection Raconter la vie, page 11)
- Acte sexuel expéditif.
- J’ai tiré mon coup.
- T’as cassé mon coup.
- C’était pas un bon coup.
- (Nouvelle-Calédonie) Partie, sortie[1].
- Un coup de chasse.
- Un coup de pêche.
- Un coup de fête.
-
barou
- (Nord, Pas-de-Calais, Aisne, Ardennes) (Vieilli) Tombereau.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- bascous
- beaufou
- amailloux
-
alquifoux
- (Vieilli) Sulfure de plomb naturel, utilisé en poterie.
- Les poteries sont quelquefois vernissées. Avant de les cuire, on les plonge alors dans un chaudron où l'on fait fondre un mélange d’alquifoux et de sable ; par la cuisson il se forme un silicate de plomb et d'alumine, espèce de verre fusible qui recouvre toute la surface. — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes, E. Jolly, Charleville, 1869, page 63)
- Cuisson gaz du Mardi 19 Juin: Nombreux essais d'alquifoux (Sulfure de Plomb) en mélange avec le minium (Oxyde Plomb) dans ce four. De bons résultats, le minium favorisant la fusion de l'alquifoux, qui est vraiment de moyenne qualité en ce moment. — (François Fresnais; Poterie de Sampigny les Maranges : Saône et Loire : France)
-
débous
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe débouillir.
- Deuxième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe débouillir.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe débouillir.
- coux
-
itou
- (Familier) (Vieilli) De même, également, pareillement.
- « En ces temps-là, la Bourgogne était heureuse »… et la Franche-Comté itou. — (Louis Pergaud, La Disparition mystérieuse, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- PIERROT : Aga, guien, Charlotte, je m’en vas te conter tout fin drait comme cela est venu ; car, comme dit l’autre, je les ai le premier avisés, avisés le premier je les ai. Enfin donc j’estions sur le bord de la mar, moi et le gros Lucas, et je nous amusions à batifoler avec des mottes de tarre que je nous jesquions à la teste ; car, comme tu sais bian, le gros Lucas aime à batifoler, et moi par fouas je batifole itou. — (Molière, Dom Juan ou le Festin de pierre, acte II, scène première)
- Le mot itou est aussi un bel exemple d’étymologie populaire […]. Beaucoup de gens croient qu’il viendrait du too anglais […]. Pourtant, une simple recherche dans le Petit Robert permet de trouver que itou ne vient pas de l’anglais. Il s’agit d’une altération dialectale de l’ancien français et atot, qui voulait dire « avec ». — (Anne-Marie Beaudoin-Bégin, La langue rapaillée, éditions Somme toute, 2015, page 87)
- « Salut Fozzy— Salut, mec.— Content de te retrouver.— Itou, mec. » — (Bernard Lenteric, La nuit des enfants rois, 1981, édition Le livre de poche, page 45.)
-
garou
- (Mythologie) (Vieilli) Loup-garou.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Fantastique) Ajouté après le nom d’un animal, par analogie avec loup et loup-garou, pour signifier un thérianthrope de l’animal.
- Wallace et Gromit : Le Mystère du lapin-garou. — (film par Nick Park et Steve Box, 2005)
- La Nuit du canard garou — (bande dessinée par Guillaume Bouzard, édition Les Requins Marteaux, 1994)
- (Anjou) Personnage maléfique.
- Madeleine frappe à poings fermés comme un homme.— Tiens, loup ! Tiens, serpent !… Te voilà basculé, garou !… Ah ! chétif ! je te pilerais sous mes sabots si je n’avais miséricorde ! — (Ernest Pérochon, Nêne, 1920)
- — Avez-vous bientôt fini d’appeler vos garous ?La sorcière sembla vouloir sauter au plafond ; elle se mit à glapir : — Serpent rouge et lézard d’eau !... garous blancs !... p’tits ! p’tits ! garous noirs ! garous poivrés !...Madeleine la reconduisit si rudement à la porte que la fin du chapelet lui resta dans la gorge, faute d'haleine. — (Ernest Pérochon, Nêne, 1920)
-
bardou
- (Vieilli) (Péjoratif) (Désuet) Lourdaud, imbécile
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- espeyroux
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.