Dictionnaire des rimes
Les rimes en : rieutort
Mots qui riment avec "or"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "rieutort".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : or , ors , ort , orts , ord , ords , aur , aurs , aure , aures , orps , ore et ores .
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apivore
- Qui dévore les abeilles.
- La rapidité avec laquelle le venin de lʼapivore terrasse sa victime est inquiétante et inexplicable. — (Robert Nachtwey, L'instinct chez les insectes, 1952)
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inodore
- Qui est sans odeur.
- Gaz inodore.
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explore
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de explorer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de explorer.
- Comme lors de la saison 1, Starstruck explore les maladresses et l’incertitude liées à une relation débutante avec sensibilité, et notre capacité à s’autosaboter, surtout quand un ex — toxique — réapparaît. — (journal 20 minutes, 14 février 2022, page 20)
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de explorer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de explorer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de explorer.
- maucor
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lindor
- Nom d’un jeu de cartes, dans lequel le sept de carreau est la carte principale, et s’appelle lindor.
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tabor
- (Maroc) (Militaire) Groupement de plusieurs goums.
- Chaque contingent constitue un tabor qui, suivant sa force numérique, peut être comparé à un régiment ou à un bataillon. Le tabor est commandé par un caïd er-r’h a (mestre de camp) secondé par son khalifa (lieutenant) et se divise en plusieurs mia (compagnies d'une centaine d'hommes) commandés par des caïd mia (centurions) et des m’kademîn (sous-officiers). — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 80)
- Chaque contingent du guîch forme une r’ha sous les ordres d’un caïd et est divisée, comme les tabor de l’âsker, en groupes de cent hommes. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 79)
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port
- Havre côtier, refuge ou abri pour les bateaux les protégeant des vents et des tempêtes.
- Des phares éloignent les navires des dangers ou les conduisent dans les ports abrités par des digues construites en luttant contre les tempêtes. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- Vers 4 heures, j’aperçois de nouveau la terre après avoir barré toute la nuit ; je passe au petit jour près d’un destroyer américain et entre dans le port Saint-Georges. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- La Chiffonne en longea la côte occidentale, doubla la pointe Nord et, suivant les falaises de l’Est, moins anfractueuses, pénétra dans un grand port naturel, protégé par un alignement de gros rochers et de petits îlots. — (G. Lenotre, Les derniers Terroristes, Paris : chez Firmin-Didot, 4e édition, 1932, page 79)
- Azemmour, la ville maure remontant à l’antiquité, en plein déclin aujourd'hui par suite de l’ensablement de son port et l’indolence de sa population. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 148)
- Ensemble des installations, en bord de mer, destinées à l’entretien des navires, à l’embarquement et au débarquement des marchandises ou des passagers.
- C’était un tohu-bohu ethnique. Dans le port flottaient les pavillons de toutes les nations, et plus de deux millions d’êtres humains s’y embarquaient annuellement. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 210 de l’édition de 1921)
- Ça me rappelle le vieux port marseillais, les marchandes de coquillages, les pieds-paquets et le vin de Cassis, doré comme du soleil. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, pages 187-188)
- Point de la rive d’un cours d’eau où les navires abordent, chargent et déchargent les marchandises.
- Le mythique port de Bercy.
- Le port céréalier de Givet.
- Ville bâtie auprès d’un port, autour d’un port.
- Marseille est un agréable port de mer.
- (Sens figuré) Lieu de repos, de refuge, d’une situation tranquille.
- Il est dans le port en se retirant du monde et de l’embarras des affaires.
- Il s’est assuré un port dans la tempête.
- (Sens figuré) Lieu où l’on se retire loin des embarras du monde, où l’on cherche à se mettre à couvert de quelque danger.
- La maison de l’ambassadeur a été un port de salut pour lui.
- (Géographie) Col des Pyrénées.
- Le port d’Envalira est le plus haut col routier de la chaîne pyrénéenne.
- — Viva ! viva ! jaleo ! s’écria Houmain ; nous autres braves, nous sommes bons à tout. Ah çà ! mais… tu as donc toujours passé par les autres ports ? car je ne t’ai pas revu depuis que j’ai repris le métier. — (Alfred de Vigny, Cinq-Mars, chapitre XXII, 1826)
- De l’autre côté, c’est l’Espagne, dominée par des falaises identiques aux nôtres […]. On peut passer en Espagne sans suivre le sentier qui franchit le port, mais il y faut beaucoup d’acrobatie. — (Abellio, Pacifiques, 1946)
- Arrivée, destination.
- Elle recommença ses doléances, elle se mit à geindre de plus belle sur le manque de fortune qui la faisait échouer au port. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, 1871)
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endort
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de endormir.
- Le Suvorexant inhibe l’action des neurotransmetteurs orexines qui jouent un rôle essentiel pour le maintien de l’éveil. Il n’endort pas, il « déséveille ». — (Guillaume Moingeon, Breizh vindicte ; Crève sur la grève, 2020)
- La lumière, dans cet air humide et épais, colorait les objets de teintes un peu pâles et en émoussait les angles, comme il arrive quand on s’endort et que rien ne se voit plus distinctement. — (Jules Michelet, Journal, 1820)
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saure
- Qui est de couleur jaune tirant sur le brun. Il se dit spécialement des chevaux.
- Le vétérinaire de la commission avait également été chargé de trouver un ambleur pour un colonel des honved, et Tönle qui avait repéré un cheval saure vraiment beau (pendant ces quelques mois, il avait acquis une certaine expérience) y gagna des compliments et un bon pourboire qui lui permit, le samedi soir après le travail, de se donner un peu de bon temps. — (Mario Rigoni Stern, Histoire de Tönle, 1978 ; traduit de l’italien par Claude Ambroise et Sabina Zanon Dal Bo, 1988, page 38)
- (Par analogie)
- Sa figure saure et ridée, encadrée par le châle noir, la vieille Gaudry, la métisse, approuvait en clignant de ses petits yeux obliques. — (Maurice Constantin-Weyer, Un homme se penche sur son passé, 1928, réédition Nelson, page 199)
- (Fauconnerie) Se dit d’un oiseau pendant sa première année, où il porte encore son premier pennage, qui est roux.
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déclore
- Dégarnir momentanément ou définitivement d’une clôture. — Note : Il est surtout employé à l'infinitif ou au participe passé.
- Le droit de clore et de déclore ses héritages, résulte essentiellement de celui de propriété, et ne peut être contesté à aucun propriétaire. L'assemblée nationale abroge toutes lois et coutumes qui peuvent contrarier ce droit. — (Art. 4, Loi du 28 septembre 1791 publiée le 6 octobre 1791, dans Recueil général des Lois et des Arrêts, part.1 : Jurisprudence de la cour de cassation, par J.-B. Sirey, Paris, 1809, page 74)
- Si un voyageur déclot un champ , pour se faire un passage à cause que le chemin est impraticable, s'il est jugé tel, par le juge de paix, la commune est condamnée aux dommages et aux frais de clôture. — (M. Fleurigeon, Code administratif, vol.3 : De la Police, part.2 : (F-Z), Paris : chez l'auteur, chez Garnery & chez Fantin, imprimerie de Valade, 1806, page 897)
- On, peut dire, en faveur de l'opinion de M. Pardessus, que le temps de la prescription n'a pas couru pendant que l'héritage était déclos, parce que le propriétaire ne pouvait demander une indemnité. — (Charles Bonaventure Marie Toullier, Le droit civil français, Paris : Jules Renouard & Cie, 1834, vol. 3, page 405)
- (Désuet) Ouvrir.
- Mignonne, allons voir si la roseQui ce matin avait décloseSa robe de pourpre au soleil […]. — (Ronsard, Mignonne, allons voir si la rose)
- Doucement le vent vernal qui déclosait les primevères dans les bois se mit à disperser les pauvres rameaux effeuillés de son vieil amour. — (Camille Lemonnier, L'ironique amour, E. Dentu, 1894, page 60)
- Une mouche étant venue se poser sur le petit nez droit de la belle assoupie, elle la chassa, sans déclore ses paupières, d’un revers de sa lourde main aux ongles noirs. — (Léon Daudet, Souvenirs des milieux littéraires, politiques, artistiques et médicaux/Vingt-neuf mois d’exil, Grasset, réédition Le Livre de Poche, page 473)
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mort
- (Biologie) Arrêt définitif des fonctions vitales (assimilation de nutriments, respiration, fonctionnement du système nerveux central).
- Enfin, dans tous les groupes étudiés jusqu’ici, l’individualité de chaque être se manifeste dès la première apparition du germe, dès les premiers rudimens de l’œuf, et persiste pleine et entière jusqu’à la mort. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, Les Métamorphoses et la généagénèse, Revue des Deux Mondes, 2e période, tome 3, 1856, pages 496–519)
- Ce n’est pas par lâcheté, c’est par une immense modestie que l’on renonce ce soir à la guerre, au carnage, à sa mort, à la mort surtout des autres, des camarades […] — (Jean Giraudoux, Retour d’Alsace - Août 1914, 1916)
- Ne plus s’aimer, c’est pire que de se haïr, car, on a beau dire, la mort est pire que la souffrance. — (Henri Barbusse, L’Enfer, Éditions Albin Michel, Paris, 1908)
- — Je ne connais que moi. La vie, c’est moi. Après ça, c’est la mort. Moi, ce n’est rien ; et la mort, c’est deux fois rien. — (Pierre Drieu La Rochelle, Le Feu follet (1931))
- Ton père est mort, d’une mort bête. Toutes les morts sont absurdes, d’ailleurs. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 42)
- J’avais l’impression de me noyer et une angoisse terrible, celle de la mort elle-même m’étreignit. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- Pourquoi dire que la mort viendra comme un voleur ? Tout nous y prépare. — (José Cabanis, Les cartes du temps, Gallimard, 1962, Le Livre de Poche, page 63.)
- Les mots usuels que nous trouvons [en parlant des paysans des années 1930 au Québec] pour dire la mort varient selon les réflexes des uns et des autres : « Il a perdu le souffle, il a défunté, il a trépassé, il a rendu l’âme… » Plus poétique : « Il est parti de l’autre bord, de l’autre côté; il était au bout de son fuseau. » Moins respectueux : « Il a levé les pattes, il a fini par crever. » — (Benoît Lacroix, Rumeurs à l'aube, Éditions Fides, 2015, page 213)
- Privatisée, laïcisée et comme aseptisée par la médecine depuis des décennies, la mort s’était effacée de notre imaginaire collectif ; elle resurgit soudain comme une réalité imprévisible, terriblement contagieuse et pour l’instant non maîtrisable par la science. — (Gérard Courtois, Emmanuel Macron face au Covid-19 : la revanche des passions tristes, Le Monde. Mis en ligne le 10 mai 2020)
- Moment ou lieu où cet arrêt des fonctions vitales se produit.
- La veuve de Henri II était vêtue de ce deuil qu’elle n’avait point quitté depuis la mort de son mari. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, C. Lévy, 1886)
- Cette chapelle renferme le tombeau de l’évêque Radulphe, dont l’inscription donne la date de 1266, comme étant celle de la mort du prélat. — (Eugène Viollet-le-Duc, La Cité de Carcassonne, 1888)
- (Soutenu) (Rhétorique) La mort peut être souvent personnifiée → voir Mort.
- Stendhal dit quelque part que le soldat ne craint pas la mort, parce qu’il espère bien l’éviter par son industrie ; cela s’appliquait tout à fait à ce genre de guerre que nous faisions. — (Alain, Souvenirs de guerre, Hartmann, 1937, page 102)
- La mort fauche. Elle fauche à tort et à travers. Peu lui importe. Ceux qu’elle a visés, elle va les chercher là où ils semblent le plus en sécurité. — (Jacques Mortane, La Guerre des airs : Traqués par l’ennemi, Baudinière, 1929, page 40)
- L’impitoyable mort.
- Ce malheureux appelait la mort.
- (En particulier) Peine capitale, peine qui consiste dans la suppression de la vie. → voir peine de mort.
- Le régime antérieur avait été encore plus terrible dans la répression des fraudes, puisque la déclaration royale du 5 août 1725 punissait de mort le banqueroutier frauduleux […] — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, chap. VI, La Moralité de la violence, 1908, page 272)
- Deux jours après, je passai devant le conseil de guerre, qui, après plaidoirie d’un avoué allemand, me condamna à mort pour espionnage […] — (Jacques Mortane, Missions spéciales, 1933, page 31)
- Sentence, arrêt de mort : Condamnation qui porte la peine de mort.
- (Par hyperbole) Grandes douleurs.
- Cette cruelle maladie lui fait souffrir mille morts.
- Souffrir mort et passion.
- (Par hyperbole) Grands chagrins.
- La conduite de son fils lui a mis la mort dans l’âme.
- (Sens figuré) Fin, cessation d’activité.
- Seuls, dans un des versants caillouteux de la forêt, deux ou trois vieux hêtres accusaient, par quelques feuilles roussies prématurément, l’arrivée prochaine de l’automne et la mort de l’été. — (Louis Pergaud, Un satyre, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- (Sens figuré) Ruine, destruction.
- Les réquisitions forcées sont la mort du commerce.
- Le monopole est la mort de l’industrie.
- (Cartes à jouer) Treizième arcane du tarot de Marseille (aussi appelée « arcane sans nom »).
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stridor
- (Médecine) Bruit aigu anormal émis lors de l'inspiration, du à un passage anormal de l'air dans le larynx ou la trachée.
- Le stridor laryngé congénital essentiel (ou laryngomalacie), l'anomalie la plus fréquente.
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ellébore
- (Botanique) Genre de plantes de la famille des Renonculacées, dont certaines espèces étaient employées autrefois en médecine comme purgatif.
- Mêlez de l'ellébore blanc parmi la nourriture dont vous voulez pour appâter vos oiseaux ; à peine en auront-ils pris, qu'ils tomberont tout étourdis. — (« L'agronome ou dictionnaire portatif du cultivateur » - Rouen, 1787)
- — Hippocrate pensait que l’emploi fréquent de l’ellébore pouvait guérir et même adoucir l’excitation exagérée du système cérébral. — (Alexandre Dumas, La Princesse Flora, Éditeurs Michel Lévy Frères, 1871, Chapitre II, p. 33).
- (Botanique) Désigne plus particulièrement l'ellébore fétide ou hellébore fétide, Helleborus foetidus [1].
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jaure
- Être couché (gésir).
- puyvalador
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microflore
- Ensemble des micro-organismes non animaux appartenant à l’écologie d’un milieu généralement humide.
- Le grand intérêt de la solarisation réside dans cette stimulation de la microflore saprophyte épargnée par l'élévation de la température. — (Pierre Davet, Vie microbienne du sol et production végétale, INRA Éditions (Quae), 1996, page 303)
- lagor
- bangor
- aubord
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recolore
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe recolorer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe recolorer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe recolorer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe recolorer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe recolorer.
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armor
- Armure.
- Blindage.
- gardefort
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siphonophore
- (Zoologie) Organisme zooplanctonique, souvent bioluminescent, vivant en colonies composées d'individus différenciés, et possédant des tentacules flottants équipés de cellules urticantes qui leur permettent de capturer leurs proies (larves, poissons, crustacés,…).
- Les siphonophores sont des cnidaires, comme les hydres, les méduses, les anémones de mer ou encore les coraux. Ils font partie des hydrozoaires (le groupe des hydres). Ce sont des organismes marins assimilés au zooplancton bien qu’ils puissent atteindre de grandes tailles (jusqu’à 40m de long). — (Les siphonophores sont les plus forts ! [1])
- Malgré les apparences, la Physalie ou Galère portugaise n'est pas une sorte de méduse, mais une colonie de siphonophores.
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solicitor
- (Droit) Avocat d'affaires, au Royaume-Uni et au Canada.
- Il savait qu’un « solicitor » est le congénère anglais d’un avoué, ou plutôt homme de loi hybride, intermédiaire entre le notaire, l’avoué et l’avocat, — le procureur d’autrefois. — (Jules Verne, Les Cinq Cents Millions de la Bégum, Hetzel, 1879, chapitre I)
- Enfin nous avons le solicitor qui est le représentant légal et le conseil de son client dans chaque procès. C'est lui qui fait la procédure et rédige tous contrats civils ou judiciaires et les testaments. Il plaide rarement lui même […]. — (Adolphus Selim, Aperçu de la loi anglaise au point de vue pratique et commercial, Paris : chez Marchal, Billard et Cie, Bruxelles : chez Ferdinand Larcier, 2e édition, 1887, page 25)
- Comme le tarif était peu élevé (1 fr. 25 par verso ou par 72 mots ) , les solicitors allongèrent leurs actes en y insérant des clauses redondantes , afin de rendre suffisant le montant de leurs honoraires. — (Alexandre Lavaissiere de Lavergne, La transmission de la propriété immobilière et l'introduction des livres fonciers en Angleterre, Paris : chez Guillaumin & cie, 1905, page 62)
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naucore
- (Entomologie) Insecte hémiptère hétéroptère de la famille des Naucoridae vivant en milieu aquatique.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.