Dictionnaire des rimes
Les rimes en : réactimètre
Mots qui riment avec "etre"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "réactimètre".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ètre , ètres , etre , etres , être , êtres , ettre , ettres , aitre , aitres , aître et aîtres .
- explosimetre
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triquètre
?- (Antiquité) Réunion de trois cuisses avec leurs jambes et leurs pieds que l’on trouve souvent sur les médailles antiques.
- Poursuivant notre analyse nous rencontrons, un peu plus tard, l’émission en or avec la triquêtre au-dessous du bige. — (Ernest John Seltman, « Prototypes Monétaires Siculo-Grecs », Rivista italiana di numismatica, 1898, p. 359.)
- (Héraldique) Meuble représentant dans les armoiries un ensemble de trois jambes attachées par le haut des cuisses. Ces jambes peuvent être couvertes de jambières ou nues. Les jambes sont disposées en pairle de façon à ce que chaque pied se trouve dans un des angles dextre chef, senestre chef et pointe. Souvent confondu avec le triquètre sicilien qui présente en plus un tête humaine ou mythologique (Gorgone par exemple) en cœur. À rapprocher de triquètre sicilienne et triskèle ou triskel.
- D’or à une triquètre de sable chargée d’un triangle du champ, qui est de la commune de Füssen en Allemagne → voir illustration « armoiries avec un triquètre »
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comparaître
?- (Justice) Paraître devant un juge, un officier de l’état civil ou un officier ministériel.
- [Il] n'est peut-être pas moins dévoyé que le fils du notaire, à Rouen, qui comparaît devant les Assises pour un vol d'auto, une affaire de carambouillage ou un trafic de stupéfiants. — (Paul Nizan, La Conspiration, 1938, p.77)
- Se présenter devant une autorité requérante.
- En 1555, Anne de Pisseleu, duchesse d'Étampes, comparut à la rédaction de la coutume de Sens pour sa châtellenie de Bransles. — (E. H. Félix Pascal, Histoire topographique, politique, physique et statistique du département de Seine-et-Marne, Crété à Corbeil & Thomas à Melun, 1836, t.2, page 532)
- Mais qu'à l'époque tu étais maladivement pudibond. Inconcevable l'idée de comparaître tout nu sous les yeux du conseil de révision. Inimaginable, pour toi, l'idée de te faire examiner. — (Gerold Späth, Barbarville, traduit de l'allemand par Claude Chenou, Lausanne : L’Âge d’Homme, 1993, p. 83)
- — J'ai écouté avec patience et miséricorde cet évêque qui comparut un soir à la télévision. Il matagrabolisait tout comme un autre sur les hontes d'une Église en dangereuse régression depuis le concile, […]. — (Revue politique et parlementaire, n° 828-834, Éditions Armand Colin, 1972, p. 48)
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stalagmomètre
?- (Vieilli) Instrument de mesure pour calculer le nombre de gouttes dans un volume de liquide.
- Le stalagmomètre est étalonné avec de l'eau pure à 20 °C.
- Un nouveau stalagmomètre est décrit, dans lequel le rôle de l’adhésion est réduit au minimum, de sorte que l’évaluation de la tension superficielle est rendue considérablement plus sensible. — (Bulletin de la Société chimique de France, 1929)
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lettre
?- Chacun des caractères d’un alphabet représentant un son, voyelle ou consonne.
- Et le ch dur, par quoi le remplacer ? Ici je me sépare de Ronsard, qui voulait qu’on le remplaçât par le k. Non ; le k n’est pas une lettre française, c’est une lettre à air barbare, cela doit venir du Kamtchatka. — (Émile Faguet, Simplification simple de l’orthographe, 1905)
- Épinal ! Nous descendons. À 425 kilomètres de Paris 326 mètres d’altitude, nous apprend la plaque bleue aux lettres blanches apposée dans la gare […] — (Gustave Fraipont, Les Vosges, 1923)
- Près du commissariat […] un magasin de nouveauté s’intitulait, en lettres énormes également : À la Belle Polonaise […] — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- Il en conclut que si Guillaume aime tant cette lettre K, c’est parce qu’elle affecte l’allure d’un soldat prussien marchant au pas de l’oie. — (Bruno de Perthuis, Du Kapitaine à la Grande Guerre des K, dans Images de l’étranger, Pulim, 2006, page 155)
- Écrire un nombre en lettres ou en toutes lettres : L’écrire, non en chiffres, mais avec les mots qui correspondent aux chiffres.
- (Par extension) (Typographie) Police de caractères ou manière de représenter les lettres.
- Puis, en grosses lettres, cette phrase : « Plus il y aura d'acheteurs de blé, meuniers ou négociants, plus les agriculteurs vendront le leur facilement et cher. ». — (Annales de la Chambre des députés : Débats parlementaires, Paris : Imprimerie du journal officiel, 1921, page 1002)
- Lettre gothique, italienne, bâtarde, ronde ou française, cursive ou courante.
- (Typographie) Chacun des caractères individuels d’une police.
- Le plein, le délié, les jambages, le corps, la queue d’une lettre.
- L’œil de cette lettre est trop petit, est trop gros.
- Bien former, mal former ses lettres.
- Lettre majuscule, minuscule.
- Lettre capitale.
- Lettre du bas de casse.
- Lettre italique.
- Message écrit sur du papier, expédié à un destinataire, généralement sous pli.
- Grégoire ! cria La Hurière, du papier blanc pour écrire une lettre, des ciseaux pour en tailler l’enveloppe ! — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre VII)
- Dans un tiroir, il y avait trente billets de mille francs, trente, attachés, par paquets de dix, avec des faveurs roses, ainsi que des lettres d’amour… — (Octave Mirbeau, Lettres de ma chaumière : La Tête coupée, A. Laurent, 1886)
- Il trouva des papiers d’un caractère absolument privé, et, entre autres, d’ardentes lettres d’amour tracées d’une grande écriture féminine. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 90 de l’édition de 1921)
- le général Sarrail […] interdit aux militaires sous ses ordres d’envoyer leurs lettres par la poste. Toutes les correspondances doivent être remises au vaguemestre. La surveillance est ainsi plus facile. — (Pierre Audibert, Les Comédies de la Guerre, 1928, page 93)
- Dans une lettre adressée au duc de Nevers, en 1208, Innocent III exhale sa rancœur contre les juifs. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- La vieille route est une fondrière que sauf le « piéton », porteur de la gazette ou de lettres, nul étranger n’emprunte plus… — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Pour communiquer une information importante à l’opinion, l’administration publique (centrale et locale) procède principalement par voie d’affichage dans ses bâtiments, ses périodiques et recourt aussi à des communiqués de presse et à des lettres d’information, ainsi qu’à la radio et à la télévision dans un certain nombre de villes et de régions. — (OCDE, Des citoyens partenaires : information, consultation et participation à la formulation des politiques publiques, 2002)
- Nous agissons en écrivant des lettres lorsque nous constatons le non-respect des règles d’utilisation de la majuscule. — (Alain Bouissière, Le Bar du subjonctif, Hatier, 1999)
- Lettre pastorale : Communication adressée par un évêque aux fidèles de son diocèse et lue en chaire par les curés.
- (Imprimerie) Caractère de métal, alliage de plomb, d’antimoine et d’étain, représentant en relief une des lettres de l’alphabet.
- Lettre grise : Grande lettre capitale ornée de certaines figures et ordinairement gravée sur bois ou sur cuivre.
- Faire de la lettre : Distribuer la composition.
- Lever la lettre : Prendre les lettres les unes après les autres dans les cassetins d’une casse et les aligner sur le composteur pour en faire des mots et des chapitres.
- Lettre moulée : Lettre imprimée.
- (Par métonymie) En parlant d’un texte, se dit du sens littéral, par opposition au sens figuré ou extensif.
- La religion comme elle était établie, organisée, hiérarchisée, ressassait une parole morte, elle avait perdu l’esprit pour la lettre. — (Éric-Emmanuel Schmitt, L’Évangile selon Pilate, prologue, Albin Michel, 2000)
- La lettre tue, mais l’esprit vivifie.
- Juger suivant la lettre de la loi.
- S’en tenir à la lettre.
- Il ne faut pas prendre cette phrase, cette expression à la lettre, au pied de la lettre.
- La chose doit s’entendre à la lettre.
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résistivimètre
?- Instrument destiné à mesurer la résistance d’un conducteur.
- Le résistivimètre avec compensation de température est un instrument indispensable pour la vérification des concentrations en sels des eaux de chaudière et d’alimentation, ainsi que pour étalonner les instruments de régulation de concentration en sels dissous. — (L’Usine Nouvelle).
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électrodynamomètre
?- Appareil électromagnétique de mesure de l'intensité d'un courant électrique.
- Wilhelm Weber développa en 1846 l'électrodynamomètre dans lequel un courant passant fait tourner un anneau suspendu a un autre anneau qui tourne quand un courant passe au travers.
- Pour mesurer un courant, je puis me servir d’un très grand nombre de types de galvanomètres ou encore d’un électrodynamomètre. — (Pierre Duhem, La théorie physique. Son objet, sa structure, 1906)
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connaitre
?- Faire ou avoir fait l’expérience permettant une représentation mentale de quelque chose ou quelqu’un. Avoir l’idée, la notion d’une personne ou d’une chose.
- Je ne connais cette personne que de nom, de réputation, de vue.
- Je ne connais rien de plus vil qu’une telle conduite.
- Faire connaitre son opinion.
- Cet enfant ne connait pas encore ses lettres.
- Connaitre le bien et le mal.
- Je ne lui connais point de défauts.
- Il connut alors que le danger devenait pressant.
- Ce chien connait bien son maitre.
- Ce cheval connait le chemin.
- La plupart des animaux connaissent les plantes qui peuvent leur être nuisibles.
- (Sens figuré) Faire acception, prendre en considération.
- Ne point connaitre, ne plus connaitre quelqu’un, quelque chose : N’en pas faire acception, ne point le prendre en considération.
- Il veut que tous soient également soumis à la discipline et il ne connait à cet égard ni parents ni amis.
- Quand il s’agit de ses intérêts, il ne connait personne.
- Ne plus connaitre quelqu’un : Le traiter comme un inconnu, l’oublier, le mépriser.
- Depuis qu’il est en place, il ne connait plus ses amis, il ne connait plus personne.
- J’estime qu’il s’est déshonoré : je ne le connais plus.
- Se faire connaitre : Dire son nom, sa qualité aux gens dont on n’est pas connu.
- Comme on lui refusait l’entrée, il se fit connaitre.
- L’auteur de ce livre ne veut pas se faire connaitre : Ne veut pas se nommer.
- On dit en des sens analogues
- Faire connaitre qui on est.
- Ne vouloir pas être connu.
- Faire ou dire quelque chose qui décèle les dispositions, les qualités bonnes ou mauvaises que l’on a.
- Caton se fit connaitre de bonne heure par son amour pour la liberté.
- Il s’est fait connaitre avantageusement.
- Acquérir une notoriété, une réputation.
- Il s’est fait connaitre par ses écrits.
- Se dit aussi en parlant des choses qu’on a étudiées, dont on a une grande pratique, un grand usage, auxquelles on s’entend bien.
- Il voudrait tout connaitre.
- Connaitre une langue, une science, un art.
- Il connait les mathématiques, le grec, le latin.
- Connaitre à fond une science, une affaire.
- Connaitre les livres, les pierreries, les tableaux, etc.
- Je ne parle point de ce que je ne connais pas.
- Il connait les ruses du métier, ce que l’expérience nous apprend à connaitre.
- Connaitre ses intérêts.
- Il n’y a rien de si connu.
- Le désir de connaitre : Le désir de s’instruire, de s’éclairer.
- Se dit, dans un sens analogue, en parlant des personnes.
- Je connais bien cet homme, et je peux compter sur lui.
- Je le connais pour ce qu’il est.
- Il a trompé bien du monde, on ne le connaissait pas.
- Cet homme gagne à être connu.
- Je le connais incapable de mentir.
- Je connais votre cœur.
- Vous me connaissez mal, si vous m’attribuez de telles intentions.
- Que vous connaissez peu les hommes !
- C’est un homme qui connait bien le monde.
- Dans le même sens, mais avec une légère nuance, il se dit pour apprécier, juger.
- Le siècle qui posséda ce grand homme ne le connut pas.
- On perdit cet écrivain lorsqu’on commençait enfin à le connatre.
- C’est un homme connu.
- Il est connu par son mérite.
- Signifie en outre avoir des liaisons, des relations avec quelqu’un.
- Connaissez-vous quelqu’un de mes juges ?
- Je n’en connais pas un.
- Il connait tout le monde.
- Je vous le ferai connaitre.
- Je ne connais point cet homme-là, ni ne veux le connaitre.
- Nous vous connaissons depuis longtemps.
- (Par euphémisme) Avoir des relations sexuelles.
- Casanova a connu plus d'une centaine de femmes dans sa vie. Casanova, l'amour à Venise
- Sentir, éprouver, tant au sens physique qu’au sens moral.
- On ne connait point l’hiver à la Martinique.
- Vous êtes heureux de n’avoir jamais connu le mal de dents, le mal de tête.
- Il ne connaissait plus le sommeil.
- Connaitre le plaisir, la peur.
- Il n’a jamais connu la haine, la jalousie, etc.
- Son cœur allait bientôt connaitre l’amour.
- Il ne connait point la crainte.
- J’ai connu l’infortune.
- Pratiquer une chose, l’admettre, s’y conformer, s’y soumettre ; dans ce sens, il se joint ordinairement avec la négation.
- En Angleterre, on ne connait point la loi salique.
- Cet usage n’est point connu dans tel pays.
- Ce peuple ne connait point les raffinements du luxe.
- Il ne connait point ces vains ménagements.
- Sa rage ne connut plus de frein.
- Ce cheval connait la bride, les éperons, etc.
- Ne point connaitre de supérieur, de maitre : N’avoir point de supérieur, de maitre, ou prétendre n’en point avoir, et ne pas vouloir obéir.
- Je ne connais de maitre que vous, que lui, etc.
- Il ne connait plus rien : Sa passion le domine tellement qu’aucune considération n’est capable de l’arrêter.
- Sa fureur ne connait plus rien.
- Avoir autorité et compétence pour juger de certaines matières. En ce sens, il se construit toujours avec de ou un équivalent.
- Ce juge connait des matières civiles et criminelles.
- Il en connait en première instance.
- Il en connait par appel.
- Il ne peut pas connaitre de cela.
- (Pronominal) Prendre une juste idée de soi-même, de ses forces, de sa dignité, etc.
- « Connais-toi toi-même » est une des plus belles maximes de la philosophie antique.
- Je me connais, à sa vue il me serait impossible de me contenir.
- Apprenez à mieux vous connaitre.
- Ne point se connaitre, ne plus se connaitre : Se dit d’une personne que la passion met hors d’elle-même.
- Un homme sage et qui sait se connaitre.
- Il ne se connait plus.
- Se connaitre à quelque chose, en quelque chose : Savoir en bien juger.
- Il se connait en mérite, en poésie.
- Vous connaissez-vous à cela ?
- Je m’y connais mieux que vous.
- Il ne s’y connait point du tout.
- (Pronominal) En parlant des choses, être connu, être perçu d’une façon.
- (Proverbial) (Sens figuré), L’arbre se connait à ses fruits : Une doctrine se juge par ses conséquences.
- (Pronominal) S'utilise avec comme sujet une compétence, et comme COD celui qui la possède[1].
- L’informatique, ça me connait.
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humidimètre
?- Appareil de mesure de l’humidité.
- Dans les entreprises du bois, le taux d’humidité est mesuré à l’aide d’un humidimètre. — (Gilles Mille, Dominique Louppe, Mémento du forestier tropical, 2015)
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uromètre
?- Aréomètre disposé de manière à donner la densité de l’urine.
- Pour déterminer la densité de l’urine, on a recours a l’uromètre ou pèse-urines. — (Jacques Carles, Précis des maladies des reins, 1907)
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gypsomètre
?- Appareil qui permet de déterminer la teneur des vins en sulfate de potassium.
- En conséquence, nous avons établi un support découpé à jour, dans le genre de celui de notre gypsomètre et de notre support à tubes à essais ; ce support porte dix tubes numérotés, en cristal très transparent, aussi semblables que possible entre eux comme diamètre: chaque tube est jaugé exactement à 200cc (1/5e de litre). — (Jules Dujardin, Lucien Dujardin, Notice sur les instruments de précision appliqués à l'oenologie, 1923)
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salpêtre
?- (Chimie) Nitrate de potassium, substance qui se forme naturellement sur les vieux murs, les plâtras, etc.
- Plus tard, quelques puissances cherchèrent à faire admettre comme objet de contrebande, les matières que l’industrie pouvait transformer en moyens de défense, telles que le salpêtre, le soufre, le fer, le plomb. — (Anonyme, Droit maritime. De la Neutralité, Revue des Deux Mondes, 1829, tome 1)
- Le coton ainsi préparé est traité par une solution de salpêtre et d’acide sulfurique à la température de 85°. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature; 1re partie: Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
- L’ampoule […] se balançait poussiéreuse, au bout de son fil, sous la voûte basse où le salpêtre faisait des croûtes. — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- La poudre noire est stable à température ambiante, mais un petit apport d’énergie suffit à amorcer la réaction, en l’occurrence une combustion lors de laquelle le salpêtre joue le rôle de comburant en libérant de l’oxygène, celui-ci oxydant le soufre et le carbone (les combustibles). — (Loïc Mangin, L’explosif « Secret de la Hollande », Pour la Science, 11 mai 2021)
- (Minéralogie) Nom traditionnel pour le nitre, espèce minérale naturelle identique au nitrate de potassium.
- (Sens figuré) (Vieilli) Vivacité du tempérament.
- Ce salpêtre étonnant, cette jeunesse ravivée et pleine de mots enthousiastes, de lyrisme fou, de respects perdus, la ravirent. — (Joris-Karl Huysmans, Marthe, histoire d’une fille, 1877)
- "un enfant qui est un vrai salpêtre", soit un enfant intenable selon le Larousse du XXe siècle
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pluviomètre
?- Instrument qui mesure la quantité d’eau de pluie tombée.
- Le pluviomètre est généralement relevé une fois par jour (en Suisse, tous les matins à 7h30). — (André Musy, Christophe Higy, Hydrologie: Une science de la nature, 2004)
- (Sens figuré) Ce qui enregistre les précipitations.
- À deux reprises, coïncidant justement avec les deux extensions glaciaires, la hauteur des lacs, véritables pluviomètres de l’époque, a passé par un maximum. — (Albert de Lapparent, Abrégé de géologie, 1886)
- culetre
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mettre
?- Placer une personne, ou un animal, ou une chose dans un lieu déterminé.
- Tous les millions que je possède je les ai mis dans un grand coffre, sous le tombeau de Charlemagne, à Aix-la-Chapelle. — (Raymond Queneau, Les Derniers Jours, Gallimard, collection Blanche, 1936)
- Mettre un cheval dans l’écurie, à l’écurie; un oiseau dans une cage, en cage. — Mettre du foin dans le grenier, au grenier. — Mettre du bois dans la cheminée.
- Placer, dans un certain rapport de position, un être animé avec un autre, ou une chose avec une autre, ou un être animé avec une chose.
- On m’a mis à côté de lui à table.
- Mettre un gigot à la broche.
- Mettre des marchandises à bord d’un navire.
- Mettre la main à la plume.
- (Par extension) (Par ellipse) (Vulgaire) En parlant du pénis, permet d’évoquer un rapport sexuel.
- Tu parles d’une obsédée : tout le temps à raconter comment son mari la lui a mise !
- (Québec) Ils pensent rien qu’à se mettre, les adolescents.
- Envoyer, conduire en un lieu, y faire entrer, y établir, en parlant des personnes.
- La dame Labache ne pouvait indiquer le moment. En raison du changement d’heure, survenu la même nuit, la déposante hésitait : elle avait, en se mettant au lit, retardé sa pendule pour s’épargner la peine d’y penser le lendemain […] — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- Mettre un enfant dans un collège, au collège ; dans une pension, en pension; dans une école, à l’école.
- (Par extension) Mettre quelqu’un dans les affaires, dans le commerce, dans l’industrie.
- (Par extension) Mettre un enfant en nourrice, en apprentissage.
- (Sens figuré) Établir ; conférer un emploi.
- Mettre un prince sur le trône.
- Mettre quelqu’un dans un poste.
- Condamner à ; en parlant de certaines peines qu’on inflige, qu’on fait subir.
- Mettre un homme en prison, au cachot, aux arrêts, à l’amende.
- Mettre un enfant en pénitence.
- (Par extension) Infliger une correction.
- La vache, qu’est-ce que tu lui as mis !
- Pour le mettre ? Tu sais ce que je vais te mettre, moi ?!? — (Maëster, Sœur Marie-Thérèse des Batignolles, La Guère Sainte, Drugstore, 2008, ISBN 978-2226175601)
- « Écoutez ça, quand il parle de Lamartine ! Ouh là là, qu’est ce qu’il lui met, à Lamartine !… » — (Michel Houellebecq, La carte et le territoire, 2010, J’ai lu, page 251)
- Réduire, en parlant d'une personne.
- Mettre un homme à la mendicité, en chemise, à sec.
- Mettre quelqu’un aux abois, à quia, à bout.
- Mettre un homme à la retraite, en réforme.
- Revêtir, enfiler sur soi, en parlant de ce qui sert à l’habillement, à la parure.
- Les vieillards étaient prêts. On leur donna des galettes, on leur cousit des sacs, on leur coupa des bandelettes neuves; ils mirent des chaussures neuves, prirent avec eux une paire de lapti de rechange et partirent. — (Léon Tolstoï, Récits populaires, trad. de Charles Salomon, éditions Rencontres, Lausanne, 1961, page 378)
- Mettre sa chemise, son habit, ses souliers, ses gants, son chapeau, etc.
- Il était simplement mis, mais élégamment vêtu d'un pourpoint de drap violet foncé avec do légères broderies de soie de même couleur. — (Alexandre Dumas, Les Deux Diane, 1847, chapitre 1)
- (Quelquefois) Porter habituellement sur soi.
- Il ne met pas de manchettes.
- (Cuisine) Accommoder, apprêter d’une certaine façon, en parlant des choses qui se mangent.
- Mettre une carpe à l’étuvée, au bleu, en matelote; un poulet en fricassée; un lièvre en pâté; des épinards au jus; des œufs à la poulette; des fruits en compote.
- Placer ou employer d’une certaine manière, en parlant de l’argent qu’on possède.
- Mettre son argent, ses fonds dans une entreprise industrielle.
- Mettre son argent en rentes, en viager, à fonds perdu.
- Il a mis beaucoup d’argent au jeu.
- (Agriculture) Ensemencer, planter, employer d’une certaine manière, en parlant des terres.
- On combat l’ivraie annuelle par des assolements; elle ne repousse pas dans un champ mis en luzerne ou en trèfle; s'il est ensemencé en pois gris ou en vesces, elle se trouve étouffée; enfin, elle périt sous les binages […]. — (Ch. de Bussy, Dictionnaire usuel et pratique d'agriculture et d’horticulture, Paris : Humbert libraire-éditeur, 1863, page 390)
- Mettre une terre en blé, en orge, en seigle, en avoine. — Il a mis son terrain en vigne, en bois, en jachère.
- Écrire sur le papier, dans un livre.
- Il a mis cette remarque en marge.
- Il a mis son nom au bas de la lettre.
- Il fut mis sur la liste.
- Il mit ses raisons par écrit.
- Mettre un mot en italiques.
- (Au sens physique ou moral) Faire passer d’un état à un autre, en parlant des personnes et des choses — Note : Dans cette acception, le complément est souvent précédé de la préposition en.
- Mettre une chose en morceaux, en pièces, en poudre, en poussière, en cendre.
- Mettre une vigne en espalier.
- Mettre une armée en bataille, en ligne.
- Mettre du latin en français.
- Mettre des paroles en musique.
- Les 180 rescapés qui se trouvaient à bord de l’Ocean Viking ont enfin pu débarquer la nuit dernière à Porto Empedocle, en Sicile, après 11 jours d’une attente inutile qui a mis des vies en danger. — (180 rescapés débarqués cette nuit après 11 jours d’attente insupportable, sosmediterranee.fr, 7 juillet 2020)
- (Quelquefois) Ajouter à quelque chose une partie qui y manque.
- Ça me fait penser à allumer la téloche pour regarder les infos de 9 h. J'attrape la télécommande et je mets la dix. — (Boris Tzaprenko, Noti Flap, vol.2 : Tribulations détectivesques méziguifères, (autoédition), 2013, page 96)
- Mettre un manche à un balai, un pied à une table, une corde à un violon, un bouton à un habit, une roue à une voiture, un fer à un cheval.
- (Par extension) Action, pour un marchand, d’ajouter de la marchandise dans la partie destinée à un client.
- Alors, ma bonne dame, qu’est-ce que je vous mets ?
- Alors, conformément à la tradition, vous avez droit à trois vœux… Je vous mets quoi ? — (Maëster, Sœur Marie-Thérèse des Batignolles, Sur la Terre comme au ciel…, Fluide Glacial, 2004, ISBN 978-2858154012)
- Employer ses qualités et ses dispositions morales, les manifester dans ses actions, dans ses discours, dans ses ouvrages.
- Mettre de la bonne foi, de l’adresse, de la réserve, de la modération, du mystère, de la discrétion dans sa conduite.
- Mettre de la passion, de la haine, du ressentiment, de la colère, de l’injustice dans une action.
- Mettre de la douceur, de la sévérité, de l’aigreur, de la dureté dans ses discours, dans ses réprimandes.
- Mettre de la chaleur, de la vivacité dans ses paroles.
- Mettre de l’esprit, du jugement, du goût, de l’imagination, de l’art, du sentiment dans ses écrits.
- Mettre de l’âme, de l’expression dans son chant, de l’accent dans son langage.
- (Absolument) Miser.
- Mettre au jeu. : Mettre à la loterie.
- (Familier) Admettre, supposer. — Note : Il est alors généralement suivi de que et d’un verbe conjugué à l’indicatif ou au subjonctif.
- On commence par dire, mettons, que les éléphants c’est trop gros, trop encombrant, qu’ils renversent les poteaux télégraphiques, piétinent les récoltes, qu’ils sont un anachronisme, et puis on finit par dire la même chose de la liberté – la liberté et l’homme deviennent encombrants à la longue… — (Romain Gary, Les Racines du ciel, Gallimard, 1980 (1re édition 1956), page 222)
- J’étais effrayée, voire sottement hilare à l’idée de papoter sur la météo baskets aux pieds et seins à l’air avec, mettons, Jean-Michel Apoual du chalet d’à côté, sandales aux pieds mais surtout sexe à l’air (que les choses soient claires : c’est impossible de ne pas regarder). — (Johanna Luyssen, « Les Teutons à l’air », Libération, 21 août 2018)
- Mettez que je n’ai rien dit.
- Mettons que ce soit vrai.
- Faire consister. — Note : Il est alors suivi de la préposition à et d’un verbe à l’infinitif.
- Mettre sa gloire, son plaisir, son bonheur à faire quelque chose.
- Je mets mon orgueil à vous imiter.
- Faire participer. — Note : Il est alors suivi de la préposition de.
- On le met de toutes les fêtes, de toutes les corvées.
- Faire parler. — Note : Il est alors suivi de la préposition sur.
- On le mit sur ce chapitre.
- Temps nécessaire.
- Nous avons mis deux heures pour venir
- Commencer. (pronominal)
- Il se met à pleuvoir.
- Déposer quelqu’un, au terme d’un déplacement dans un véhicule.
- La voiture la mit au coin de la petite rue de La Chaise. — (Anatole France, Le Lys rouge, 1894, réédition Le Livre de Poche, page 99)
- bicetre
-
pyrhéliomètres
?- Pluriel de pyrhéliomètre.
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bathymètre
?- Appareil de mesure des fonds marins, généralement en utilisant la réflexion d’une onde acoustique.
- Le sonar et le bathymètre du submersible avaient rendu l’âme avant lui, et Mahnmut avait commis le plus antique et le plus grave des crimes que peut commettre un capitaine : il avait fait échouer son navire. — (Dan Simmons, Ilium, 2003)
- bathymètre : Instrument destiné à mesurer la profondeur de la mer. — (bathymètre, Dictionnaire hydrographique (S-32) de l’Organisation hydrographique internationale (OHI), 2010)
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paître
?- Brouter l’herbe, la manger sur la racine, ou se nourrir de certains fruits tombés par terre, en parlant des animaux.
- (Intransitif) — […] il allait probablement être réduit à l’expédient ordinaire des chevaliers errants, qui, en pareille occasion, laissaient leurs chevaux paître et se couchaient eux-mêmes sur la terre […]. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- (Intransitif) — La laine est achetée soit dans les endroits où transhument les moutons, soit dans les endroits où ils paissent pendant la saison sèche. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature; 1re partie: Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
- (Intransitif) — Ils paissent sur des landes granitiques ou dans les dépressions plus humides des plateaux caussenards. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- (Transitif) — Le sol, au pied des collines, se tapissait d’une herbe courte, que les rennes paissaient avec avidité, et qui devait les nourrir pendant l’hiver. — (Jules Verne, Le Pays des fourrures, J. Hetzel et Cie, Paris, 1873)
- (Transitif) — Deux ou trois chevaux qui n’avaient pas eu la velléité de fuir, paissaient tranquillement leurs pois grimpants. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- (Transitif) — Une vache qui paissait l’herbe abroutie du talus, leva son mufle vers lui… — (Octave Mirbeau, Rabalan)
- (Poétique) (Soutenu) Faire paître, mener paître.
- Allons voir le chevrier qui paît ses chèvres barbues. — (Pierre Louÿs, Les Aventures du roi Pausole, 1901)
- Eh bien ! voilà Toine Balou, notre berger, qui s’en va paître ses moutons autour du bosquet de la Chapelle. — (Charles Deulin, Les Muscades de la Guerliche)
- Est-ce la cabane des bûcherons […], ou celle des bergers qui paissent leurs chèvres exténuées sur ces pentes stériles? — (Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit, 1842)
- Anselme en paissant ses moutons l'avait découverte dans une clairière, plus loin que la Gayolle, à mi-chemin de Belles-Tuiles. — (Henri Bosco, L’Âne Culotte, 1937)
- (Sens figuré) (Rare) Conduire dans la religion.
- Le curé de Melotte paissait depuis trente longues années le petit troupeau que le Seigneur, par l’intermédiaire de son archevêque, […], avait commis à sa garde. — (Louis Pergaud, Le Sermon difficile, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- (Fauconnerie) Donner à manger (à un oiseau).
- radiamètre
- rigidimètre
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démettre
?- Retirer d’un emploi, d’une charge, d’une dignité.
- Puis, à partir de mars 1974, appliquant « la tactique du salami » il commença à se débarrasser l’un après l’autre de la plupart de ses ministres parchamis, soit en les réaffectant à des postes de moindre importance, soit en les démettant carrément. — (Jacques Lévesque & Gilles Labelle, L'URSS en Afghanistan: de l'invasion au retrait, page 33, Éditions Complexe, 1990)
- (Pronominal) Il s’est démis de sa charge en faveur d’un tel. - Dioclétien se démit de l’Empire.
- Quand la France aura fait entendre sa voix souveraine, croyez-le bien, Messieurs, il faudra se soumettre ou se démettre. — (Léon Gambetta, ’Discours de Lille, 15 août 1877)
- (Justice) (À la voix active) Débouter.
- (Chirurgie) Déplacer un os, disloquer.
- Se démettre le pied. - On lui a démis le poignet en jouant. - Son poignet se démit.
- Elle prétendait avoir la jambe cassée mais, en réalité, ce n'était que la rotule démise. — (Georges Simenon, Le Blanc à lunettes, chapitre VI, Gallimard, 1937)
- Michel s’en tire avec un pied démis et une longue plaie peu profonde au mollet, qui a donné contre une pierre. — (Marguerite Yourcenar, Archives du Nord, Gallimard, 1977, page 218)
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pulsomètre
?- (Médecine) Ancien appareil destiné à mesurer le pouls, inventé par Galilée vers 1590.
- (Mécanique) Pompe utilisant le principe de l'Airlift avec de la vapeur d'eau.
- L'appareil fonctionne donc indéfiniment et sans qu'on ait besoin de s'en occuper avec une régularité parfaite ; et c'est parce que le battement de la soupape de la vapeur est comparable au pouls animal que l'on à donné à l'appareil le nom de pulsomètre. — (Louis Poillon, Traité théorique et pratique des pompes et machines á élever les eaux, éd. E. Bernard & cie., 1888)
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fréquencemètre
?- (Métrologie) Instrument de mesure destiné à afficher la fréquence d'un signal périodique.
- Mais concrètement la mesure de la fréquence consiste à enregistrer la fréquence instantanée à l’aide d’un fréquencemètre. — (Didier Chollet, Nager un crawl performant, 2015)
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naître
?- Commencer à vivre ; venir au monde.
- Tous les hommes sont frères ; ils apportent, en naissant, des droits égaux aux avantages que la société procure. Ils ne diffèrent entre eux que par les facultés personnelles ; […]. — (Achille de Jouffroy, Avertissement aux souverains sur les dangers qui menacent l'Europe, page 34, 1831)
- […] ; tout le monde dit que la France se dépeuple, qu’il naît de moins en moins d’enfants, et que l’Allemagne, dont la population augmente toujours, finira par avoir deux fois autant de soldats que nous. — (Émile Thirion, La Politique au village, page 321, Fischbacher, 1896)
- Je naquis au temps où les cerisiers sont pareils à des communiantes, quand tout le pays n’est plus que blancheur à perte de vue, au long des chemins et des routes, […]. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 17)
- Se trouver en naissant dans certaines conditions ; avoir des dispositions naturelles.
- Je ne suis pas un homme d’action, moi, je suis un rêveur. Je n’étais pas né pour être roi, j’étais né pour être poëte. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre III)
- Tirer son origine, être d’une certaine extraction.
- Il est né de parents illustres, obscurs.
- (Religion) Opération de la vie divine par laquelle le Fils est engendré du Père de toute éternité.
- Le Verbe est né avant tous les temps.
- (Botanique) Sortir de terre, commencer à pousser.
- L’herbe commence à naître.
- Les fleurs naissent au printemps.
- Prendre un commencement ; commencer d’être physiquement ou dans le temps.
- Pavlov ne s’est pas borné à abdiquer simplement la psychologie en tant que science. Il voyait naître en lui le sentiment d’hostilité irréconciliable envers cette « alliée de la physiologie » qui n’a pas fait ses preuves. — (E. Asratian, I. Pavlov : sa vie et son œuvre, page 78, Éditions en langues étrangères, Moscou, 1953)
- Le jour naissait. Feempje se dressa sur son séant et ne reprit lourdement ses esprits qu'après quelques minutes. — (Francis Carco, Brumes, Éditions Albin Michel, Paris, 1935, page 56)
- (Sens figuré) (Construit avec de) Tirer son origine de, être produit par.
- Beaucoup de maladies naissent de l’intempérance.
- Les affaires naissent les unes des autres.
- Il est né de là une foule de procès.
- Cette découverte est née du hasard.
- Faire naître des doutes, des scrupules, des soupçons.
- (Construit avec à) Se dit d’une personne ou d’une collectivité qui se met à un ordre d’idées nouveau, qui commence une vie nouvelle.
- Naître à la vie politique.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.