Dictionnaire des rimes
Les rimes en : pupillomètre
Mots qui riment avec "etre"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "pupillomètre".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ètre , ètres , etre , etres , être , êtres , ettre , ettres , aitre , aitres , aître et aîtres .
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diamètre
- (Géométrie) Ligne droite qui va d’un point de la circonférence d’un cercle (ou d’une sphère) à un autre point en passant par le centre. Le diamètre représente deux fois le rayon.
- On appelle rayon, toute droite CA menée du centre à la circonférence, et diamètre, toute droite DB, qui passe par le centre et qui se termine de part et d'autre à la circonférence. — (Cours de mathématiques, par Charles Bossut, membre de l'Institut National des Sciences et des Arts, etc., tome 2, Paris : chez Firmin Didot, an IX, p. 7)
- Ainsi l'échardonneur Garnett opère au moyen d'un cylindre peigneur de 0m562 de diamètre; ayant soixante peignes disposés sur sa demi-circonférence, soit une rangée de peignes par 14 millimètres de circonférence. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature; 1re partie: Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
- Viennent ensuite les conduites forcées qui mènent l'eau jusqu'aux turbines. Ces impressionnants tuyaux en acier de 1,9 à 2,3 mètres de diamètre peuvent supporter une pression de 28 bars. — (Ludovic Dupin, La centrale qui a électrifié la Bavière, dans L’Usine nouvelle, no 3252, 8 septembre 2011, page 8)
- (Mathématiques) Deux notions distinctes.
- dans un espace métrique, plus grande distance entre deux points de l'objet mathématique considéré.
- Diamètre conjugué d'une direction de sous-espace : une définition rigoureuse dépasserait les limites que se fixe un dictionnaire de langues.
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urètre
- (Anatomie) Canal par où sort l’urine.
- C’est un prostatique léger, son infirmité ne lui occasionne pas d’autres ennuis que d’être obligé, une quinzaine de fois l’an, de recourir à nous pour cathétériser son urètre obturé. — (Annales des maladies vénériennes, 1925, volume 20, page 770)'
- En 1997, après plusieurs voyages au Nord, il est conduit à la Maison d’hôtes Paekhwawon de Pyongyang, où Kim Jong-il travaille de nuit comme à l’accoutumée, pour un rendez-vous de 30 minutes avec le leader lui-même. Il a un magnétophone caché dans l’urètre. — (20 Minutes avec AFP, Enregistreur dans le pénis, Rolex en toc… Qui est «Vénus noire», l'espion sud-coréen qui rencontra Kim Jong-il? sur 20minutes.fr. Mis en ligne le 5 septembre 2018)
- gaussmètre
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empêtre
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de empêtrer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de empêtrer.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de empêtrer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de empêtrer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif présent de empêtrer.
- intensimètre
- dynametre
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hexamètre
- (Versification grecque et de Versification latine) Long de six pieds.
- L’Iliade et l’Énéide sont en vers hexamètres.
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heptamètre
- (Ancienne métrique) Se dit d’un vers qui a sept pieds.
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stadimètre
- Variante de stadiomètre.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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pantomètre
- (Géométrie) Anciennement, instrument composé de trois règles mobiles, qui servait à mesurer les angles d’un triangle.
- Instrument d’arpenteur servant à la mesure des angles.
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vumètre
- (Technique) Appareil servant à contrôler un signal électroacoustique.
- Il se fait à l’aide d'un vumètre offrant un réglage normalisé à 0 dB. Suit l’étage d’égalisation, en général à trois bandes (grave, médium, aiguë) correspondant aux réglages de tonalité que l’on retrouve sur les amplificateurs Hi-Fi. — (Pierre-Louis de Nanteuil, Dictionnaire encyclopédique du son, Dunod, 2008, page 519)
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photomètre
- (Physique) Instrument propre à évaluer l’intensité de la lumière.
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mettre
- Placer une personne, ou un animal, ou une chose dans un lieu déterminé.
- Tous les millions que je possède je les ai mis dans un grand coffre, sous le tombeau de Charlemagne, à Aix-la-Chapelle. — (Raymond Queneau, Les Derniers Jours, Gallimard, collection Blanche, 1936)
- Mettre un cheval dans l’écurie, à l’écurie; un oiseau dans une cage, en cage. — Mettre du foin dans le grenier, au grenier. — Mettre du bois dans la cheminée.
- Placer, dans un certain rapport de position, un être animé avec un autre, ou une chose avec une autre, ou un être animé avec une chose.
- On m’a mis à côté de lui à table.
- Mettre un gigot à la broche.
- Mettre des marchandises à bord d’un navire.
- Mettre la main à la plume.
- (Par extension) (Par ellipse) (Vulgaire) En parlant du pénis, permet d’évoquer un rapport sexuel.
- Tu parles d’une obsédée : tout le temps à raconter comment son mari la lui a mise !
- (Québec) Ils pensent rien qu’à se mettre, les adolescents.
- Envoyer, conduire en un lieu, y faire entrer, y établir, en parlant des personnes.
- La dame Labache ne pouvait indiquer le moment. En raison du changement d’heure, survenu la même nuit, la déposante hésitait : elle avait, en se mettant au lit, retardé sa pendule pour s’épargner la peine d’y penser le lendemain […] — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- Mettre un enfant dans un collège, au collège ; dans une pension, en pension; dans une école, à l’école.
- (Par extension) Mettre quelqu’un dans les affaires, dans le commerce, dans l’industrie.
- (Par extension) Mettre un enfant en nourrice, en apprentissage.
- (Sens figuré) Établir ; conférer un emploi.
- Mettre un prince sur le trône.
- Mettre quelqu’un dans un poste.
- Condamner à ; en parlant de certaines peines qu’on inflige, qu’on fait subir.
- Mettre un homme en prison, au cachot, aux arrêts, à l’amende.
- Mettre un enfant en pénitence.
- (Par extension) Infliger une correction.
- La vache, qu’est-ce que tu lui as mis !
- Pour le mettre ? Tu sais ce que je vais te mettre, moi ?!? — (Maëster, Sœur Marie-Thérèse des Batignolles, La Guère Sainte, Drugstore, 2008, ISBN 978-2226175601)
- « Écoutez ça, quand il parle de Lamartine ! Ouh là là, qu’est ce qu’il lui met, à Lamartine !… » — (Michel Houellebecq, La carte et le territoire, 2010, J’ai lu, page 251)
- Réduire, en parlant d'une personne.
- Mettre un homme à la mendicité, en chemise, à sec.
- Mettre quelqu’un aux abois, à quia, à bout.
- Mettre un homme à la retraite, en réforme.
- Revêtir, enfiler sur soi, en parlant de ce qui sert à l’habillement, à la parure.
- Les vieillards étaient prêts. On leur donna des galettes, on leur cousit des sacs, on leur coupa des bandelettes neuves; ils mirent des chaussures neuves, prirent avec eux une paire de lapti de rechange et partirent. — (Léon Tolstoï, Récits populaires, trad. de Charles Salomon, éditions Rencontres, Lausanne, 1961, page 378)
- Mettre sa chemise, son habit, ses souliers, ses gants, son chapeau, etc.
- Il était simplement mis, mais élégamment vêtu d'un pourpoint de drap violet foncé avec do légères broderies de soie de même couleur. — (Alexandre Dumas, Les Deux Diane, 1847, chapitre 1)
- (Quelquefois) Porter habituellement sur soi.
- Il ne met pas de manchettes.
- (Cuisine) Accommoder, apprêter d’une certaine façon, en parlant des choses qui se mangent.
- Mettre une carpe à l’étuvée, au bleu, en matelote; un poulet en fricassée; un lièvre en pâté; des épinards au jus; des œufs à la poulette; des fruits en compote.
- Placer ou employer d’une certaine manière, en parlant de l’argent qu’on possède.
- Mettre son argent, ses fonds dans une entreprise industrielle.
- Mettre son argent en rentes, en viager, à fonds perdu.
- Il a mis beaucoup d’argent au jeu.
- (Agriculture) Ensemencer, planter, employer d’une certaine manière, en parlant des terres.
- On combat l’ivraie annuelle par des assolements; elle ne repousse pas dans un champ mis en luzerne ou en trèfle; s'il est ensemencé en pois gris ou en vesces, elle se trouve étouffée; enfin, elle périt sous les binages […]. — (Ch. de Bussy, Dictionnaire usuel et pratique d'agriculture et d’horticulture, Paris : Humbert libraire-éditeur, 1863, page 390)
- Mettre une terre en blé, en orge, en seigle, en avoine. — Il a mis son terrain en vigne, en bois, en jachère.
- Écrire sur le papier, dans un livre.
- Il a mis cette remarque en marge.
- Il a mis son nom au bas de la lettre.
- Il fut mis sur la liste.
- Il mit ses raisons par écrit.
- Mettre un mot en italiques.
- (Au sens physique ou moral) Faire passer d’un état à un autre, en parlant des personnes et des choses — Note : Dans cette acception, le complément est souvent précédé de la préposition en.
- Mettre une chose en morceaux, en pièces, en poudre, en poussière, en cendre.
- Mettre une vigne en espalier.
- Mettre une armée en bataille, en ligne.
- Mettre du latin en français.
- Mettre des paroles en musique.
- Les 180 rescapés qui se trouvaient à bord de l’Ocean Viking ont enfin pu débarquer la nuit dernière à Porto Empedocle, en Sicile, après 11 jours d’une attente inutile qui a mis des vies en danger. — (180 rescapés débarqués cette nuit après 11 jours d’attente insupportable, sosmediterranee.fr, 7 juillet 2020)
- (Quelquefois) Ajouter à quelque chose une partie qui y manque.
- Ça me fait penser à allumer la téloche pour regarder les infos de 9 h. J'attrape la télécommande et je mets la dix. — (Boris Tzaprenko, Noti Flap, vol.2 : Tribulations détectivesques méziguifères, (autoédition), 2013, page 96)
- Mettre un manche à un balai, un pied à une table, une corde à un violon, un bouton à un habit, une roue à une voiture, un fer à un cheval.
- (Par extension) Action, pour un marchand, d’ajouter de la marchandise dans la partie destinée à un client.
- Alors, ma bonne dame, qu’est-ce que je vous mets ?
- Alors, conformément à la tradition, vous avez droit à trois vœux… Je vous mets quoi ? — (Maëster, Sœur Marie-Thérèse des Batignolles, Sur la Terre comme au ciel…, Fluide Glacial, 2004, ISBN 978-2858154012)
- Employer ses qualités et ses dispositions morales, les manifester dans ses actions, dans ses discours, dans ses ouvrages.
- Mettre de la bonne foi, de l’adresse, de la réserve, de la modération, du mystère, de la discrétion dans sa conduite.
- Mettre de la passion, de la haine, du ressentiment, de la colère, de l’injustice dans une action.
- Mettre de la douceur, de la sévérité, de l’aigreur, de la dureté dans ses discours, dans ses réprimandes.
- Mettre de la chaleur, de la vivacité dans ses paroles.
- Mettre de l’esprit, du jugement, du goût, de l’imagination, de l’art, du sentiment dans ses écrits.
- Mettre de l’âme, de l’expression dans son chant, de l’accent dans son langage.
- (Absolument) Miser.
- Mettre au jeu. : Mettre à la loterie.
- (Familier) Admettre, supposer. — Note : Il est alors généralement suivi de que et d’un verbe conjugué à l’indicatif ou au subjonctif.
- On commence par dire, mettons, que les éléphants c’est trop gros, trop encombrant, qu’ils renversent les poteaux télégraphiques, piétinent les récoltes, qu’ils sont un anachronisme, et puis on finit par dire la même chose de la liberté – la liberté et l’homme deviennent encombrants à la longue… — (Romain Gary, Les Racines du ciel, Gallimard, 1980 (1re édition 1956), page 222)
- J’étais effrayée, voire sottement hilare à l’idée de papoter sur la météo baskets aux pieds et seins à l’air avec, mettons, Jean-Michel Apoual du chalet d’à côté, sandales aux pieds mais surtout sexe à l’air (que les choses soient claires : c’est impossible de ne pas regarder). — (Johanna Luyssen, « Les Teutons à l’air », Libération, 21 août 2018)
- Mettez que je n’ai rien dit.
- Mettons que ce soit vrai.
- Faire consister. — Note : Il est alors suivi de la préposition à et d’un verbe à l’infinitif.
- Mettre sa gloire, son plaisir, son bonheur à faire quelque chose.
- Je mets mon orgueil à vous imiter.
- Faire participer. — Note : Il est alors suivi de la préposition de.
- On le met de toutes les fêtes, de toutes les corvées.
- Faire parler. — Note : Il est alors suivi de la préposition sur.
- On le mit sur ce chapitre.
- Temps nécessaire.
- Nous avons mis deux heures pour venir
- Commencer. (pronominal)
- Il se met à pleuvoir.
- Déposer quelqu’un, au terme d’un déplacement dans un véhicule.
- La voiture la mit au coin de la petite rue de La Chaise. — (Anatole France, Le Lys rouge, 1894, réédition Le Livre de Poche, page 99)
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connaitre
- Faire ou avoir fait l’expérience permettant une représentation mentale de quelque chose ou quelqu’un. Avoir l’idée, la notion d’une personne ou d’une chose.
- Je ne connais cette personne que de nom, de réputation, de vue.
- Je ne connais rien de plus vil qu’une telle conduite.
- Faire connaitre son opinion.
- Cet enfant ne connait pas encore ses lettres.
- Connaitre le bien et le mal.
- Je ne lui connais point de défauts.
- Il connut alors que le danger devenait pressant.
- Ce chien connait bien son maitre.
- Ce cheval connait le chemin.
- La plupart des animaux connaissent les plantes qui peuvent leur être nuisibles.
- (Sens figuré) Faire acception, prendre en considération.
- Ne point connaitre, ne plus connaitre quelqu’un, quelque chose : N’en pas faire acception, ne point le prendre en considération.
- Il veut que tous soient également soumis à la discipline et il ne connait à cet égard ni parents ni amis.
- Quand il s’agit de ses intérêts, il ne connait personne.
- Ne plus connaitre quelqu’un : Le traiter comme un inconnu, l’oublier, le mépriser.
- Depuis qu’il est en place, il ne connait plus ses amis, il ne connait plus personne.
- J’estime qu’il s’est déshonoré : je ne le connais plus.
- Se faire connaitre : Dire son nom, sa qualité aux gens dont on n’est pas connu.
- Comme on lui refusait l’entrée, il se fit connaitre.
- L’auteur de ce livre ne veut pas se faire connaitre : Ne veut pas se nommer.
- On dit en des sens analogues
- Faire connaitre qui on est.
- Ne vouloir pas être connu.
- Faire ou dire quelque chose qui décèle les dispositions, les qualités bonnes ou mauvaises que l’on a.
- Caton se fit connaitre de bonne heure par son amour pour la liberté.
- Il s’est fait connaitre avantageusement.
- Acquérir une notoriété, une réputation.
- Il s’est fait connaitre par ses écrits.
- Se dit aussi en parlant des choses qu’on a étudiées, dont on a une grande pratique, un grand usage, auxquelles on s’entend bien.
- Il voudrait tout connaitre.
- Connaitre une langue, une science, un art.
- Il connait les mathématiques, le grec, le latin.
- Connaitre à fond une science, une affaire.
- Connaitre les livres, les pierreries, les tableaux, etc.
- Je ne parle point de ce que je ne connais pas.
- Il connait les ruses du métier, ce que l’expérience nous apprend à connaitre.
- Connaitre ses intérêts.
- Il n’y a rien de si connu.
- Le désir de connaitre : Le désir de s’instruire, de s’éclairer.
- Se dit, dans un sens analogue, en parlant des personnes.
- Je connais bien cet homme, et je peux compter sur lui.
- Je le connais pour ce qu’il est.
- Il a trompé bien du monde, on ne le connaissait pas.
- Cet homme gagne à être connu.
- Je le connais incapable de mentir.
- Je connais votre cœur.
- Vous me connaissez mal, si vous m’attribuez de telles intentions.
- Que vous connaissez peu les hommes !
- C’est un homme qui connait bien le monde.
- Dans le même sens, mais avec une légère nuance, il se dit pour apprécier, juger.
- Le siècle qui posséda ce grand homme ne le connut pas.
- On perdit cet écrivain lorsqu’on commençait enfin à le connatre.
- C’est un homme connu.
- Il est connu par son mérite.
- Signifie en outre avoir des liaisons, des relations avec quelqu’un.
- Connaissez-vous quelqu’un de mes juges ?
- Je n’en connais pas un.
- Il connait tout le monde.
- Je vous le ferai connaitre.
- Je ne connais point cet homme-là, ni ne veux le connaitre.
- Nous vous connaissons depuis longtemps.
- (Par euphémisme) Avoir des relations sexuelles.
- Casanova a connu plus d'une centaine de femmes dans sa vie. Casanova, l'amour à Venise
- Sentir, éprouver, tant au sens physique qu’au sens moral.
- On ne connait point l’hiver à la Martinique.
- Vous êtes heureux de n’avoir jamais connu le mal de dents, le mal de tête.
- Il ne connaissait plus le sommeil.
- Connaitre le plaisir, la peur.
- Il n’a jamais connu la haine, la jalousie, etc.
- Son cœur allait bientôt connaitre l’amour.
- Il ne connait point la crainte.
- J’ai connu l’infortune.
- Pratiquer une chose, l’admettre, s’y conformer, s’y soumettre ; dans ce sens, il se joint ordinairement avec la négation.
- En Angleterre, on ne connait point la loi salique.
- Cet usage n’est point connu dans tel pays.
- Ce peuple ne connait point les raffinements du luxe.
- Il ne connait point ces vains ménagements.
- Sa rage ne connut plus de frein.
- Ce cheval connait la bride, les éperons, etc.
- Ne point connaitre de supérieur, de maitre : N’avoir point de supérieur, de maitre, ou prétendre n’en point avoir, et ne pas vouloir obéir.
- Je ne connais de maitre que vous, que lui, etc.
- Il ne connait plus rien : Sa passion le domine tellement qu’aucune considération n’est capable de l’arrêter.
- Sa fureur ne connait plus rien.
- Avoir autorité et compétence pour juger de certaines matières. En ce sens, il se construit toujours avec de ou un équivalent.
- Ce juge connait des matières civiles et criminelles.
- Il en connait en première instance.
- Il en connait par appel.
- Il ne peut pas connaitre de cela.
- (Pronominal) Prendre une juste idée de soi-même, de ses forces, de sa dignité, etc.
- « Connais-toi toi-même » est une des plus belles maximes de la philosophie antique.
- Je me connais, à sa vue il me serait impossible de me contenir.
- Apprenez à mieux vous connaitre.
- Ne point se connaitre, ne plus se connaitre : Se dit d’une personne que la passion met hors d’elle-même.
- Un homme sage et qui sait se connaitre.
- Il ne se connait plus.
- Se connaitre à quelque chose, en quelque chose : Savoir en bien juger.
- Il se connait en mérite, en poésie.
- Vous connaissez-vous à cela ?
- Je m’y connais mieux que vous.
- Il ne s’y connait point du tout.
- (Pronominal) En parlant des choses, être connu, être perçu d’une façon.
- (Proverbial) (Sens figuré), L’arbre se connait à ses fruits : Une doctrine se juge par ses conséquences.
- (Pronominal) S'utilise avec comme sujet une compétence, et comme COD celui qui la possède[1].
- L’informatique, ça me connait.
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réémettre
- Émettre une nouvelle fois (par exemple un timbre-poste).
- Émettre ce qui a été reçu.
- Les radiations absorbées par la feuille de verre portée à température de la pièce, sont réémises selon une loi de corps noir. — (Laurent Joret, Vitrages à isolation thermique renforcée, Techniques de l’ingénieur n° C3 635, p. 4)
- Les équipements de télécommunications, que l'on appelle des répéteurs, assurent les mêmes fonctions qu'un relai hertzien : ils reçoivent les émissions provenant de la Terre et les réémettent vers la Terre après amplification et transposition en fréquence. — (Télécommunications spatiales, ouvrage collectif, vol. 1, éd. Masson, 1982, p. 2)
- frigorimètre
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vacuomètre
- (Physique) Dispositif indiquant le degré de vide régnant dans une enceinte.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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pénétromètre
- (Métrologie) Appareil pour déterminer la consistance ainsi que le degrés de viscosité des matériaux.
- L’essai au pénétromètre consiste essentiellement à faire pénétrer dans l’échantillon de graisse un cône sous l’influence de son poids : plus la graisse est molle ou peu consistante, plus le cône pénètre profondément dans l’échantillon. — (Revue Agricole de l’Afrique du Nord, 1959)
- (Géologie) Appareil destiné à mesurer la dureté d’un matériau en le pénétrant.
- Le dispositif le plus simple comprend une masse coulissante venant frapper une butée et provoquant ainsi l’enfoncement du pénétromètre par chocs successifs. — (Denis Baize, Petit lexique de pédologie, Éditions Quae, 2004)
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être
- Définir un état, une caractéristique du sujet. Note : En grammaire, ce type de verbe est appelé une copule, et le mot qu’il introduit est un attribut. En linguistique, il existe différentes manières de caractériser ces constructions attributives, existentielles, locatives ou posturales qui peuvent être introduites en français par être.
- Les anciens avaient justement montré le rôle de l’organisme vivant comme cause génératrice des maladies, les éléments extérieurs en étant les causes provocatrices. — (Joseph Grasset, Traité élémentaire de physiopathologie clinique, tome 2, Éditions Coulet, 1911, page 13)
- De fait, René se sentait apaisé plus que ne l’eût été aucun mortel en un lieu moins épouvantable qu'un franc-bord de canal au milieu de la nuit. — (Jean Lahougue, « Un amour de René Descartes », chapitre 8, dans le recueil de nouvelles: La Ressemblance et autres abus de langage, Paris : les Impressions nouvelles, 1989)
- — D’où est-il ?— Il est de Paris.
- Se situer, se trouver, rester, spécifiant une location, une situation.
- Nous sommes en ville.
- (Absolument) Exister.
- Je suis l’homme qui est en proie à une idée fixe, et cette idée est que vous soyez député de la Gironde. Cela sera-t-il ? — (Hector Malot, Un mariage sous le Second Empire, 1873)
- Je pense, donc je suis. — (René Descartes)
- Être, ou ne pas être, c’est là la question.Y a-t-il plus de noblesse d’âme à subirla fronde et les flèches de la fortune outrageante,ou bien à s’armer contre une mer de douleurset à l’arrêter par une révolte ? — (William Shakespeare, Hamlet, prince de Danemark acte III, scène 1)
- Il n’est plus, il est mort.
- L’Algérie française était ; elle n’est plus. — (Alexis Jenni, L’Art français de la guerre, 2011, page 604)
- (Impersonnel) (Soutenu) Il y a.
- J’ai donc rédigé un long billet, intitulé Attention manip : le “pacte 2012” de “l’Institut pour la Justice”, où je démontais point par point le procédé sur la forme, et le message sur le fond. Je n’y reviendrai pas, il n’est que de le lire. — (Maître Eolas, Eolas contre Institut pour la Justice : Episode 1. Le Compteur Fantôme., 14 janvier 2019 → lire en ligne)
- Il est des hommes que la résistance anime, il en est d’autres qu’elle décourage.
- (Impersonnel) Le moment de la journée. Note : Dans certaines régions, le démonstratif est utilisé à la place du pronom impersonnel afin de demander : C’est quelle heure ?
- — Quelle heure est-il ?— Il est quatorze heures cinquante huit.
- Il est l’heure de partir.
- Il est tard.
- Le jour de la semaine ou la date du moment.
- Pendant cette année 1912 je travaillais d’arrache-pied. Nous étions en mars et le certificat d'étude était pour la mi-juin. — (Joseph Ligneau, Comment j'ai passé le certificat d'études 1912, édité par Didier H Touchet, Tampa Florida L.L.C., 2016, page 67)
- — Quel jour sommes-nous ?— Nous sommes mardi.
- Nous sommes le deux novembre deux mille sept.
- (Familier) Aller, se rendre. Note : Avec l’auxiliaire avoir.
- Avez-vous été à Paris la semaine dernière ?
- (Auxiliaire) Verbe auxiliaire servant à former les temps composés de certains verbes intransitifs indiquant un mouvement ou un changement d’état et tous les verbes réflexifs.
- Il est passé.
- Il est tombé.
- Il s’est trompé.
- (Auxiliaire) Verbe auxiliaire servant à former la forme passive.
- Quand il sera aimé.
- (Familier) (Construit avec sur ou dessus) S’occuper d’une affaire particulière, s’en occuper.
- — Je suis sur un dossier là... C’est vraiment pas du propre. — (2017, Fares C. aka John Mitzewich)
- (Familier) (Construit avec à) Posséder.
- C'est la voiture à Paul.
- rompometre
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variomètre
- Instrument de bord qui indique la vitesse verticale d'un aéronef (vitesse ascensionnelle ou taux de chute).
- Contrairement à ce que pourrait croire un profane, la montée ne se conduit pas d'après les indications du variomètre, mais exclusivement d'après les indications de l'anémomètre et du tachymètre. — (Germain Coutaud, Yves Teissier , Le pilotage des avions modernes, 1957, éditions Que sais-je, page 81)
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tachymètre
- Appareil de mesure indiquant en continu la vitesse angulaire d’une machine tournante, par exemple l’arbre de sortie d’un moteur.
- Un compte-tours moteur est une sorte de tachymètre.
- (Populaire) Instrument servant à mesurer la vitesse.
- Il a l’œil constamment rivé sur le tachymètre.
- Le conducteur jeta un coup d’œil sur son tachymètre, où l’aiguille blanche se déplaçait en éventail, de gauche à droite, sur les chiffres verts marquant les vitesses de 20 en 20 km/h. — (Pascal Lainé, La dentellière, Gallimard, 1974, réédition Folio, page 157)
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entrefenêtre
- Espace entre deux fenêtres.
- Liénard a créé pour cette pièce des modèles de meubles : fauteuils, meubles d'entrefenêtre fermés par deux portes cintrées ornées de chutes de fruits et fleurs et destinés à recevoir des bustes. (Salon des congrès au Quai d’Orsay).
- Une table surmontée d’un miroir occupait l’entrefenêtre. — (François Ridwulf, Récit de Mariana sur un complot anglais à Rome en l’Année Sainte 1675, 2017)
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vélocimètre
- Appareil de mesure de la vitesse, en particulier celle d’un fluide.
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soumettre
- Réduire, ranger sous la puissance, sous l’autorité, mettre dans un état de dépendance.
- C'est ce qui permit à une minorité conquérante, politiquement et socialement dominante, de populations surtout chrétiennes, païennes et zoroastriennes, de consolider l'Islam et de soumettre rapidement les mondes sémitiques et iranien. — (Panayiotis Jerasimof Vatikiotis, L’Islam et l’État, 1987, traduction d’Odette Guitard, 1992)
- Soumettre à l’obéissance d’un souverain, une province à ses lois, à son empire, tout un pays, les rebelles.
- Après une longue résistance, les provinces révoltées se soumirent.
- (Sens figuré) Subordonner.
- Un projet qui reste soumis aux circonstances.
- Je soumets cette proposition à votre agrément.
- L’écriture oblige les hommes à soumettre leur esprit à Dieu.
- Soumettre ses idées à celles de quelqu’un : subordonner ses idées à celles d’un autre, être prêt à s’en désister, s’il y est contraire.
- Je soumets dans cette affaire mes idées aux vôtres.
- Soumettre ses lumières, ses opinions, ses sentiments à ceux d’autrui.
- Soumettre une chose au jugement, à la critique de quelqu’un : s’engager à déférer au jugement qu’il en portera.
- Je vous prie de lire toute la pièce, je la soumets à votre jugement.
- Se soumettre à un jugement arbitral.
- Se soumettre aux ordres, à la volonté de quelqu’un : conformer ses actions, ses sentiments.
- Nous devons nous soumettre entièrement à la volonté de Dieu.
- Se soumettre à quelque chose, à souffrir quelque chose : s’engager, consentir à subir quelque chose.
- Je me soumets à tout ce qu’il vous plaira.
- Se soumettre à une intervention chirurgicale.
- (Sens figuré) Remettre ou livrer à l’examen ou à la décision de quelqu’un.
- À l’encontre des autres routes d’Europe, celles du Royaume Uni n’avaient jamais été soumises à aucun essai organisé de redressement et d’aplanissement, et c’est à cela sans doute qu’il faut attribuer leur caractère pittoresque. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 47 de l’édition de 1921)
- La France demande que soit soumise au Tribunal de La Haye la question de savoir si le pacte franco-soviétique est compatible avec Locarno. — (Victor Margueritte, Le cadavre maquillé : La S.D.N. (Mars-Septembre 1936), Flammarion, 1936, p.34)
- Soumettez-lui votre article, votre manuscrit.
- Ce projet fut soumis à l’examen d’une commission.
- Considérer en détail, pour juger.
- Un travail conduit démocratiquement serait réglementé par des arrêtés, surveillé par une police et soumis à la sanction de tribunaux distribuant des amendes ou de la prison. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, Chap.VII, La morale des producteurs, 1908, p.347)
- Soumettre une chose à l’analyse : l’analyser, la décomposer, pour connaître de quels éléments elle est formée.
- Appliquer un procédé ou une procédure sur.
- Avant d'être envoyé au moulin, le blé est préalablement soumis chez les cultivateurs à un vannage qui en sépare une partie des corps les plus légers. — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes, E. Jolly, Charleville, 1869, page 107)
- Les insectes qui consomment du S. demissum, ou que l'on soumet au jeûne, n'arrivent pas à cette chitinisation et leurs élytres restent molles. — (René Guy Busnel, Études physiologiques sur le Leptinotarsa decemlineata Say, Paris : libr. E. Le François, 1939, p.110)
- (Foresterie, Droit) (France) Faire acte de soumission d’une parcelle au régime forestier.
- En application des articles L.211-1 et R.214-1 du nouveau code forestier, les bois et forêts susceptibles d’aménagement, d’exploitation régulière ou de reconstitution, et les terrains à boiser des collectivités locales ou des établissements publics locaux peuvent être soumis au régime forestier […]. — (Banque des territoires, Forêt communale, mai 2015 → lire en ligne)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.