Dictionnaire des rimes
Les rimes en : parcours
Mots qui riment avec "our"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "parcours".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : our , ours , ourt , ourts , ourd , ourds , oure , oures , ourre , ourres , ourg et ourgs .
- briancourt
- becquincourt
- boutencourt
- guemicourt
- cauvicourt
- bossancourt
- ellecourt
- caours
- brizambourg
-
sourd
- Dont l’acuité auditive est diminuée de façon importante ou totale, en parlant d'une personne ou d'un animal.
- Elle s’y installait dès juillet, sous la garde d’une sœur aînée de son père, tante Clara, vieille fille sourde qui aimait aussi cette solitude parce qu’elle n’y voyait pas, disait-elle, les lèvres des autres remuer et qu’elle savait qu’on n’y pouvait rien entendre que le vent dans les pins. — (François Mauriac, Thérèse Desqueyroux, Grasset, 1927)
- Devenue totalement sourde, cette cagole de Catherine ne leur prêtait nulle attention. Un mince sourire flottait sur son visage et elle lisait. — (Maurice Lemoine, Les cités interdites, Éditions de l'Encre, 1987, page 129)
- Vieux... et sourd. Une catastrophe pour le chanteur, mais pas nécessairement pour l'homme. "Être sourd n'est pas un malheur quand on sait tout ce qui se dit : ce serait même un bonheur dans ce monde de fourberies", confiait-il avec sarcasme au cinéaste Fraser. — (La Presse canadienne, L'auteur-compositeur-interprète Raymond Lévesque est décédé, radio-canada.ca, 16 février 2021)
- (Sens figuré) Qui ne tient pas compte de ce qu'on lui dit, qui refuse de comprendre.
- […] il y a le nageur intrépide qui, sourd aux appels du maître baigneur, dépasse les limites du bain surveillé, gagne la pleine mer et est emporté par une lame de fond. — (Franc-Nohain [Maurice Étienne Legrand], Guide du bon sens, Éditions des Portiques, 1932)
- Qui est peu sonore, qui rend un son étouffé.
- La pénombre le dissimulait, la rumeur sourde des vaches qui ruminaient dominait le bruit de sa respiration précipitée […] — (Louis Pergaud, « La Vengeance du père Jourgeot », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- […] et, à cet instant précis, le halètement sourd d’une locomotive et son cri rauque montant dans un jet de vapeur, m’emplirent d’un tel tumulte de sensations heurtées qu’eussé-je vu l’océan surgir et balayer de contraste le hideux mur de l’hôpital Lariboisière, ma stupéfaction n’aurait pas été plus profonde. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- Pendant que les lames attaquaient mon vaillant navire et que leurs coups sourds faisaient résonner la coque qui vibrait et se plaignait sous les chocs, je restai allongé sur ma couchette […] — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil, tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- Bientôt tes appels ne seront plus que rauquements de plus en plus sourds, beuglements de désespoir si fatigués qu’ils ne dépasseront plus ta gorge, étranglée de terreur […] — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- (Linguistique) Se dit d’un son du langage qui ne fait pas vibrer les cordes vocales.
- En français oral, les consonnes sourdes sont p, t, k, f s ʃ. Les autres sont dites sonores.
- (Sens figuré) Qui est peu sensible, qui se perçoit peu.
- Et, peu à peu, de la douceur primordiale, un peu timide et avide de tendresse de son caractère, montaient une sourde irritation, une rancœur et une révolte. — (Isabelle Eberhardt, Le Major, 1903)
- Une colère sourde et terrible, qu’il tentait vainement de refréner, l’envahit et le domina. — (Louis Pergaud, « La Vengeance du père Jourgeot », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Lorsqu’au bout de quelques semaines Elhamy la remercia, avec une cordialité souriante, du bien qu’elle avait fait à son fils, une émotion sourde étreignit sa gorge. — (Out-el-Kouloub, « Zaheira », dans Trois contes de l’Amour et de la Mort, 1940)
- (Art) Qualifie les tons qui manquent d’éclat.
- La violence de la lumière était encore atténuée par des rideaux en coton épais d’un bleu sourd. — (Joseph Kessel, Le Lion, Gallimard, 1958)
- (Sens figuré) (Péjoratif) Se dit de certaines choses qui se font secrètement, sans bruit, sans éclat.
- Or, cette année-là, comme les élections étaient fixées au 1er mai, il y eut dès le 1er avril, une propagande active et des menées sourdes de part et d’autre pour conquérir les douteux. — (Louis Pergaud, « Deux Électeurs sérieux », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Victime de l’hostilité d'Arago en France et de Humboldt en Allemagne, Paravey a la mentalité d'un persécuté. Il se plaint dès 1835 « de sourdes et odieuses manœuvres qui tendent sans cesse à se renouveler.» — (Jean-Claude Drouin, Un esprit original du XIXe siècle : le chevalier de Paravey (1787-1871), dans la Revue d'histoire de Bordeaux et du département de la Gironde, 1970, page 67)
- goussancourt
-
entour
- (Au pluriel) (Vieilli) Lieux circonvoisins.
- Une vallée environnée de bois qui formaient les entours de cette belle salle bâtie des mains de la nature. — (Chateaubriand, Natch. III, 52.)
- Tout s'égaie aux entours.Les bois sont pleins d'amours,De fleurs et d'harmonie. — (André Theuriet, Poésies, Le chemin des bois, En forêt, Le coucou ; Alphonse Lemerre éditeur, Paris, 1881, page 25)
- (Sens figuré) Ce qui entoure, ce qui concourt à.
- Allons, je veux savoir Tous les entours de ce procédé noir — (Voltaire, Enf. prod. v, 3)
- Il faut qu'ils aient certains entours et des facilités peu communes pour l'impression de ces feuilles — (Bachaum. Mém. secrets, tome XXX, page 54, dans Pougens)
- Un léger bruit venait de voler dans le profond silence, et elle avait levé la tête : quel était le médiateur divin qui passait ? peut-être le cher mort qu’elle pleurait et qu’elle croyait deviner à son entour. — (Émile Zola, Le Docteur Pascal, G. Charpentier, 1893, chapitre XIV)
- Circonlocution.
- Elle [Mme d'Alègre] épuisa tous les entours et les environs, avec une patience de ma part inexprimable. — (Saint-Simon, 475, 98)
- (Par extension) Entourage.
- Monseigneur, pour d'autres temps, leur était assuré [aux bâtards] par ses entours. — (Saint-Simon, 190, 60)
- Avec de tels entours, il fallait toute l'amitié du roi pour soutenir Chamillart. — (Saint-Simon, 70, 150)
- Nous sommes à vos pieds, madame, avec toute la colonie et tous les entours. — (Voltaire, Lettre à Mme de St-Julien, 3 octobre 1775)
- Même au temps de ma plus grande faveur auprès de madame la maréchale, j’avais toujours senti qu’il n’y avait que mon sincère attachement pour monsieur le maréchal et pour elle qui pût me rendre leurs entours supportables ; […] — (Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions, 1782-1789, Livre XI)
- La gaieté.... fait que nous nous plaisons par instinct en nous-mêmes, dans nos possessions, nos entours, notre esprit, …. — (Vauvenargues, De l'esprit humain, 23)
- Sa résolution fixée, il lui importait qu'elle ne mécontentât pas ses entours ; il pensait qu'en eux la persuasion aurait plus de zèle que l'obéissance. — (Ségur, Histoire de Napoléon v, 2)
- barboure
-
humour
- Forme d’ironie à la fois plaisante et sérieuse, sentimentale et satirique.
- Et c'est pour lui […] une chronique qui sinue à travers cent anecdotes tissée de bons mots, de plaisanteries, d'humour wallon. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Les obsèques de Jean-Jacques Sempé, dessinateur d’humour pessacais décédé à 89 ans, ont eu lieu à l’église Saint-Germain-des-Prés à Paris, hier. — (journal Sud-Ouest, édition Charente-Maritime / Charente, 20 août 2022, page 4)
- Plus de deux siècles plus tard, Constant Coquelin, ému par la déchéance de quelque ancienne gloire des tréteaux, crée une maison de retraite pour comédiens. Comme l’humour n'est jamais loin avec les histrions, il l'installe à Couilly-Pont-aux-Dames, en Seine-et-Marne... — (Christophe Barbier, Dictionnaire amoureux du théâtre, Plon, 2015)
- Être ou connaître un Belge, aller à Bruxelles ou à Gand en Thalys, s’y retrouver dans nos bières d’abbaye, fait dorénavant partie des musts. Même l’humour, sur les ondes des radios françaises, est aux mains des Belges. — (Martin Legros, La lettre de Philosophie Magazine, du 8 septembre 2020)
-
retour
- Tour en sens contraire. — Note : Dans cette acception, il ne s’emploie guère qu’au pluriel et avec le mot tours.
- Les tours et retours d’un labyrinthe.
- (Chasse) Action du cerf qui revient sur lui-même, c’est-à-dire sur les mêmes voies, pour les confondre et dérouter les chiens.
- (Sens figuré) Ruse, artifice.
- Cet homme a des retours habiles, des retours qu’on ne peut pas démêler.
- Action de revenir, de retourner.
- Sur le chemin du retour, vers notre maison, je musardai pour me donner loisir de la réflexion. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 46)
- Sur le chemin du retour Djinn leva deux lapins et une outarde, que nous fléchâmes aussi, enrichissant notre tableau de chasse en le diversifiant. — (Laurent Sauphanor, Mona raconte Lisa, chez l'auteur/Iggybook, 2018)
- Il est parti sans espérance de retour.
- (Sens figuré) (Familier) Contrecoup, d’une réaction résultant d’une émotion.
- Il sentit qu’elle était sincère et que, par un retour de tendresse féminine, elle oubliait leur désaccord, et tremblait pour lui. — (Maurice Leblanc, La Comtesse de Cagliostro, 1924)
- « Je vous demande pardon, Xavier, reprenait Blanche Frontenac qui avait de « bons retours ». Il faut m’excuser, je ne tiens pas toujours mes nerfs… » — (François Mauriac, Le Mystère Frontenac, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 22)
- Elle m’attire à elle et j’éclate en sanglots comme autrefois quand j’étais pardonné après une colère et qu’elle disait : « Tu as de bons retours. » — (François Mauriac, Un adolescent d’autrefois, Flammarion, 1969, page 238)
- Arrivée au lieu d’où l’on était parti.
- Je passe quelques jours à Serbonnes, jusqu'au 15 août. Au retour j’apprends quelques détails rétrospectifs. — (Michel Corday, L'envers de la guerre, volume 1 : 1914-1916, Flammarion, 1932, page 143)
- Rentrée dans un emploi.
- Son retour aux affaires.
- Choses qui reviennent.
- […], de même que les représentants plus militants de l'islam radical, qui réclament aujourd'hui, à cor et à cri, le retour de la religion au cœur de la vie politique, insistent sur l'incompatibilité entre l'islam et la notion laïque de nationalisme arabe. — (Panayiotis Jerasimof Vatikiotis, L’Islam et l’État, 1987, traduction d’Odette Guitard, 1992, page 132)
- Le retour du printemps.
- (Commerce) Maritime,
- Les retours d’un navire, Les marchandises qu’il a rapportées en échange de celles qu’il avait portées et les bénéfices qui en résultent.
- (Banque) Renvoi qui est fait d’un effet impayé, du lieu sur lequel il était tiré à celui d’où il a été tiré.
- Compte de retour, Compte des sommes dues à cette occasion.
- (Librairie) Renvoi à l’éditeur des volumes qui ne sont pas vendus, et aussi de ces volumes mêmes.
- (Architecture) Encoignure d’un bâtiment, de l’angle formé par une partie de construction qui fait saillie en avant d’une autre.
- Il y a un grand corps de logis en face et une galerie en retour.
- Profil d’un entablement, d’une corniche, etc., qui ressaute.
- Retour d’équerre, retour à angle droit.
- (Sens figuré) du changement, de la vicissitude des affaires.
- Il y a eu en sa faveur un grand retour d’opinion.
- (Sens figuré) Reconnaissance, réciprocité de sentiments, de services, etc.
- L’amitié demande du retour.
- (Droit) Réversion, du droit en vertu duquel les ascendants rentrent dans la possession des choses qu’ils ont données à leurs descendants, lorsque ceux-ci viennent à mourir sans enfants.
- Les ascendants reprennent ce qu’ils ont donné par droit de retour, sans charges ni hypothèques.
- Retour ou soulte de partage, Ce qu’on ajoute au lot d’un des cohéritiers, pour le compléter.
- (Interprétation) Interprétation depuis une langue A vers une langue B, c’est à dire depuis une langue maternelle (ou langue utilisée comme langue cible en temps normal) vers une autre.
- En cabine arabe, il est pratiquement indispensable d’avoir un retour vers l’anglais ou le français sur le marché institutionnel.
- Son ou images produits par un artiste et qui lui sont renvoyés immédiatement afin qu'il ait une meilleure perception de ce qu'il produit.
- Ça fait quatre ans que je streame, et mon seul vieweur [spectateur], c’est mon retour vidéo, se marre-t-il. — (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 9 septembre 2022, page 14)
- frocourt
- autricourt
- daillecourt
- bazoncourt
- ennebourg
-
atour
- Sorte de hennin de petite taille porté par les femmes au Moyen Âge.
- Parure de femme
- Cet attirail, qui justifie le mot atours, bientôt inexplicable, était en damas de grand prix ce soir là, car Mme Soudry possédait cent habillements plus riches les uns que les autres. — (Honoré de Balzac, Les Paysans (1823))
- (Par extension) (Au pluriel) Tenue d’apparat.
- Les gens comme les bêtes étaient ornés de leurs plus somptueux atours. — (Out-el-Kouloub, « Zariffa », dans Trois Contes de l’Amour et de la Mort, 1940)
- L'après-midi ces dames et demoiselles parées de leurs plus beaux atours se pavanaient en grappes serrées tout le long de la rue centrale (seule rue large) en jacassant et grignotant des pépons de courges et pastèques grillées et salées. — (Aurore Lebouteux, Regards sur le passé, La Pensée universelle (1973), page 19)
- On aura beau nous avoir vanté les fêtes tranquilles et sans essoufflement, on constate que pour la grande majorité des mortels, elles représentent un moment où l’on sort ses plus beaux atours, comme on disait au temps de nos grands-parents. — (Mathieu Bock-Côté, Le mou nous étouffe!, Le journal de Québec, 29 décembre 2020)
- elancourt
- francourt
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accoure
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de accourir.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de accourir.
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contour
- Limite externe de la surface d’un corps, surtout en parlant des objets arrondis.
- Le vieillard appartenait aux modèles affectionnés par les mâles pinceaux de Schnetz ; c’était un visage brun dont les rides nombreuses paraissaient rudes au toucher, un nez droit, des pommettes saillantes et veinées de rouge comme une vieille feuille de vigne, de contours anguleux, tous les caractères de la force, même là où la force avait disparu ; ses mains calleuses, quoiqu'elles ne travaillassent plus, conservaient un poil blanc et rare ; son attitude d’homme vraiment libre faisait pressentir qu’en Italie il serait peut-être devenu brigand par amour pour sa précieuse liberté. — (Honoré de Balzac, La Peau de chagrin, 1831)
- Ces montagnes, en raison de leur constitution géologique, sont plus que n'importe quelles autres soumises à l'influence de l'érosion. Les Basses-Alpes s'usent, s'écroulent lentement, modifient leurs contours, tendent à s'aplanir. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Silhouette, profil, périmètre, ligne de délinéation.
- À contre-lumière, elle était difficilement identifiable. Sa silhouette montrait les contours d'une longue robe descendant jusqu'aux chevilles, une écharpe autour du cou et une épaisse tignasse tombant sur les épaules. — (Patrick Sant-Anna, Les naufragés du destin, Publibook, 2011, page 109)
- Des contours dessinés avec précision.
- Tracer des contours.
- Enceinte.
- C'est seulement sous Charles II que le sénéchalat prend ses contours définitifs. — (Riccardo Rao, Les grands officiers dans les territoires angevins / I grandi ufficiali nei territori angioini, Publications de l’École française de Rome, 2016, p. 135)
- Le contour d’une forêt.
- (Suisse) Virage.
- (Cartographie) Trait délimitant une surface[1].
- (Cartographie) Trait ou ligne de changement de couleur ou de valeur d'un graphisme, qui en délimite l'ensemble ou des éléments[1].
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.