Dictionnaire des rimes
Les rimes en : octuor
Que signifie "octuor" ?
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- (Musique) Ensemble musical de huit instrumentistes qui jouent les différentes parties d’un même morceau.
- Un octuor de jazz.
- Partition à huit parties simultanées, destinée à être interprétée par huit solistes, avec ou sans accompagnement.
- 'Octuor' en fa majeur D. 803 de Schubert.
- Je grimpe quatre à quatre les sept étages qui conduisent chez un compositeur ami, pour lui commander un octuor (c’est la forme musicale que je préfère). — (Honoré Bostel, De quoi rire ? (2), 1962)
Mots qui riment avec "or"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "octuor".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : or , ors , ort , orts , ord , ords , aur , aurs , aure , aures , orps , ore et ores .
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tyrannosaure
?- (Zoologie) Grand dinosaure carnivore du Campanien et du Maastrichtien, de la famille des tyrannosauridés.
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ichor
?- (Médecine) Sang aqueux mêlé de pus âcre, qui est le produit d’une inflammation.
- On doit, sans perdre un instant, extirper la tumeur : opération qui exige la main d’un anatomiste, et qui n’est pas sans danger pour celui qui la pratique, l’inoculation de l’ichor gangreneux pouvant causer la mort. — (Mémoires d’agriculture, d’économie rurale et domestique, 1831, page 423)
- (Mythologie grecque)[2] Chez Homère, liquide qui coule dans les veines des dieux et leur sert de sang.
- (Géologie)[1] Substance minérale émanant du magma puis se solidifie et métamorphise certaines roches.
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pauciflore
?- (Botanique) Qualifie une plante qui a peu de fleurs ou d’inflorescences.
- Fleurs verdâtres, verticilles pauciflores, tous écartés, en longues grappes lâches et un peu feuillées; pédicelles courts, articulés vers la base. — (Rumex pulcher L., HYPPA, Unité de Malherbologie & Agronomie, INRA-Dijon [1])
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essore
?- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de essorer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de essorer.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de essorer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de essorer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de essorer.
- blanquefort
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pérore
?- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de pérorer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de pérorer.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de pérorer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de pérorer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de pérorer.
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incolore
?- (Didactique) Qui n’est pas coloré.
- COULEUR incolore, violet, pourpre, vert, jaune, orangé, rose, rose-orangé (« Padparadscha »), noir (étoilé), parfois polychrome ou dichroïque — (Jean-Claude Boulliard, Pierres précieuses : Guide pratique d’identification, page 276)
- Au fond de la place, la butte se dresse ravinée, couverte d’une herbe lépreuse, fanée comme du velours râpé, jaunâtre ou plutôt incolore. — (Jules Claretie, Le Train 17, 1877)
- (Sens figuré) Sans éclat.
- Les poëtes académiques du XVIIe et du XIIIe siècle n'auraient pas plus compris de telles inspirations que les paysans n'eussent admiré leurs odes, leurs épîtres et leurs poésies fugitives, si incolores, si gourmées. — (Gérard de Nerval, Les Filles du feu, Chansons et légendes du Valois, 1854)
- En résumé donc la définition que l'auteur donne de l'usure, — « l'accaparement subreptice, au nom du capital, de la partie des bénéfices destinée à rémunérer soit les autres parties du capital, soit le travail » — est aussi vague, aussi incolore que toutes les définitions hasardées par d'autres écrivains. — (J.-E. Horn, « Bibliographie : L'Usure, sa définition, par G. E. Marin-Darbel », dans le Journal des économistes: revue de la science économique et de la statistique, Paris : chez Guillaumin & Cie, 1859, page 467)
- – Madame Donis est jeune aussi, belle, très belle, passionnée, mariée à un homme plein de qualités, cela est certain, mais de ces qualités incolores qui constituent le genre « bon mari ». — (Hector Malot, Un mariage sous le Second Empire, 1873)
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drugstore
?- (Anglicisme) Commerce de détail ouvert sur une large plage horaire et proposant un éventail de produit allant de l’alimentation à la pharmacie en passant par le débit de tabac et le kiosque de presse.
- Allez faire un tour du côté du drugstore. Vous les trouverez touts là. — (Boris Vian, J'irai cracher sur vos tombes, 1946)
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mirliflore
?- (Familier) Jeune homme qui se pique d’élégance, qui fait l’agréable, qui cherche à briller.
- — Ce sont là des inventions de Paris ! Voilà les idées de ces messieurs de la Capitale ! c’est comme le strabisme, le chloroforme et la lithotritie, un tas de monstruosités que le gouvernement devrait défendre ! Mais on veut faire le malin, et l’on vous fourre des remèdes sans s’inquiéter des conséquences. Nous ne sommes pas si forts que cela, nous autres ; nous ne sommes pas des savants, des mirliflores, des jolis cœurs ; nous sommes des praticiens, des guérisseurs, et nous n’imaginerions pas d’opérer quelqu’un qui se porte à merveille ! Redresser des pieds bots ! est-ce qu’on peut redresser les pieds-bots ? c’est comme si l’on voulait, par exemple, rendre droit un bossu ! — (Gustave Flaubert, Madame Bovary, 1857, édition Louis Conard, 1910, page 252)
- Fritz était là, devant la glace, vêtu comme un mirliflore. — (Erckmann-Chatrian, L’ami Fritz, 1864)
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fructidor
?- Douzième mois du calendrier républicain, correspondant généralement à l’espace compris entre le 18 août et le 17 septembre.
- Le mois de fructidor était suivi des jours complémentaires.
- Il participe au coup d'État de fructidor contre le Directoire, offrant sans le vouloir le chemin du pouvoir à Bonaparte. — (Pierre Péan, Mémoires impubliables, Albin Michel, 2020, page 494)
- hossegor
- horps
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ribord
?- Bordage que l'on confond souvent avec le gabord, et que Romme définit bordage qui est le plus voisin de la quille, et dont le bord inférieur est reçu dans la rablure de la quille.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- dinausaure
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abord
?- (Vieilli) Action d’arriver au bord, de toucher le rivage.
- Nous avons tenté l’abord inutilement. - À notre abord dans l’île, nous fûmes attaqués. - L’abord de cette côte est difficile et dangereux.
- (Par extension) Accès.
- On a tenté l’abord de ce pays. - Ce pays est d’un abord difficile.
- (Par extension) (Au pluriel) Espace entourant un lieu.
- La Cara s’est engagée d’une part, à fournir des conteneurs dont le ramassage devrait être effectué quotidiennement par la Coved, et d’autre part à assurer le nettoyage du terrain et des abords, trois fois par semaine. — (journal Sud-Ouest, édition Charente-Maritime / Charente, 9 juillet 2022, page 20)
- Tumultueux concours de monde aux abords de l’embarcadère, gens qui partent et gens qui regardent partir, recrutés parmi la population cosmopolite de Bakou. — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre III, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- Par surcroît, chaque été, des plaines du Bas-Languedoc (Hérault, Aude) montent par les drailles du Larzac et de la Montagne-Noire, vers les montagnes et jusqu’aux abords de l’Aubrac, 200 000 moutons. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- (Vieilli) Action d’approcher quelqu’un.
- Craindre l’abord de quelqu’un.
- (Par extension) Accueil fait par quelqu’un.
- Nombre de gens m'ont pris en grippe sur cette première impression, qui, plus tard, revenus de leur antipathie, m'ont témoigné une bonne et franche amitié, tout en m'avouant que mon abord les avait tout de suite agacés contre moi. — (Hippolyte de Villemessant, Mémoires d'un journaliste, 1867, tome 1)
- Seulement, je me rends compte qu’il n’apparaissait tel que je l’ai retenu que dans l’intimité du foyer, après que le contact avait dissipé les préventions que causaient son aspect et son abord. — (Joseph Caillaux, Mes Mémoires, I, Ma jeunesse orgueilleuse, 1942)
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anaphore
?- (Grammaire, Linguistique) Mot ou syntagme qui, dans un énoncé, assure une reprise sémantique d’un précédent segment appelé antécédent ou, plus simplement, rappelle par un moyen grammatical une idée déjà exprimée ou un fait qui s’est déjà produit.
- Dans la phrase « Jean n’avait pas de stylo : je lui ai prêté le mien. », « le mien » est une anaphore dont l’antécédent est « stylo ». De même dans la phrase « Oui, vous êtes déjà venu lundi, je le sais…», « le » forme une anaphore dont l’antécédent est « vous êtes déjà venu lundi ».
- (Littérature) (Rhétorique) Figure de style consistant en la répétition, la reprise d’un même segment ou d’un même mot, en tête de vers, ou en tête de phrase.
- Son anaphore, qui reflète probablement les traditions pré-nicéennes de la Cappadoce, comporte une préface dont la partie finale ne se distingue pas vraiment du type représenté par la préface déjà citée des Constitutiones Apostolorum VIII : la cour céleste chante le trisagion. — (Cinquante années d'études médiévales à la confluence de nos disciplines : actes du colloque organisé à l’occasion du cinquantenaire du CESCM, Poitiers, 1er-4 septembre 2003, Université de Poitiers : Centre d’études supérieures de civilisation médiévale, Éditions Brepols, 2005, p. 359)
- Comme dans la phrase suivante l’auteur utilise une anaphore en répétant le mot Paris : "Paris, Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! mais Paris libéré !..." — (Charles de Gaulle Discours)
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onychophore
?- Se dit des serpents qui ont des ergots à la partie postérieure du corps.
- galaure
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mort
?- (Biologie) Arrêt définitif des fonctions vitales (assimilation de nutriments, respiration, fonctionnement du système nerveux central).
- Enfin, dans tous les groupes étudiés jusqu’ici, l’individualité de chaque être se manifeste dès la première apparition du germe, dès les premiers rudimens de l’œuf, et persiste pleine et entière jusqu’à la mort. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, Les Métamorphoses et la généagénèse, Revue des Deux Mondes, 2e période, tome 3, 1856, pages 496–519)
- Ce n’est pas par lâcheté, c’est par une immense modestie que l’on renonce ce soir à la guerre, au carnage, à sa mort, à la mort surtout des autres, des camarades […] — (Jean Giraudoux, Retour d’Alsace - Août 1914, 1916)
- Ne plus s’aimer, c’est pire que de se haïr, car, on a beau dire, la mort est pire que la souffrance. — (Henri Barbusse, L’Enfer, Éditions Albin Michel, Paris, 1908)
- — Je ne connais que moi. La vie, c’est moi. Après ça, c’est la mort. Moi, ce n’est rien ; et la mort, c’est deux fois rien. — (Pierre Drieu La Rochelle, Le Feu follet (1931))
- Ton père est mort, d’une mort bête. Toutes les morts sont absurdes, d’ailleurs. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 42)
- J’avais l’impression de me noyer et une angoisse terrible, celle de la mort elle-même m’étreignit. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- Pourquoi dire que la mort viendra comme un voleur ? Tout nous y prépare. — (José Cabanis, Les cartes du temps, Gallimard, 1962, Le Livre de Poche, page 63.)
- Les mots usuels que nous trouvons [en parlant des paysans des années 1930 au Québec] pour dire la mort varient selon les réflexes des uns et des autres : « Il a perdu le souffle, il a défunté, il a trépassé, il a rendu l’âme… » Plus poétique : « Il est parti de l’autre bord, de l’autre côté; il était au bout de son fuseau. » Moins respectueux : « Il a levé les pattes, il a fini par crever. » — (Benoît Lacroix, Rumeurs à l'aube, Éditions Fides, 2015, page 213)
- Privatisée, laïcisée et comme aseptisée par la médecine depuis des décennies, la mort s’était effacée de notre imaginaire collectif ; elle resurgit soudain comme une réalité imprévisible, terriblement contagieuse et pour l’instant non maîtrisable par la science. — (Gérard Courtois, Emmanuel Macron face au Covid-19 : la revanche des passions tristes, Le Monde. Mis en ligne le 10 mai 2020)
- Moment ou lieu où cet arrêt des fonctions vitales se produit.
- La veuve de Henri II était vêtue de ce deuil qu’elle n’avait point quitté depuis la mort de son mari. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, C. Lévy, 1886)
- Cette chapelle renferme le tombeau de l’évêque Radulphe, dont l’inscription donne la date de 1266, comme étant celle de la mort du prélat. — (Eugène Viollet-le-Duc, La Cité de Carcassonne, 1888)
- (Soutenu) (Rhétorique) La mort peut être souvent personnifiée → voir Mort.
- Stendhal dit quelque part que le soldat ne craint pas la mort, parce qu’il espère bien l’éviter par son industrie ; cela s’appliquait tout à fait à ce genre de guerre que nous faisions. — (Alain, Souvenirs de guerre, Hartmann, 1937, page 102)
- La mort fauche. Elle fauche à tort et à travers. Peu lui importe. Ceux qu’elle a visés, elle va les chercher là où ils semblent le plus en sécurité. — (Jacques Mortane, La Guerre des airs : Traqués par l’ennemi, Baudinière, 1929, page 40)
- L’impitoyable mort.
- Ce malheureux appelait la mort.
- (En particulier) Peine capitale, peine qui consiste dans la suppression de la vie. → voir peine de mort.
- Le régime antérieur avait été encore plus terrible dans la répression des fraudes, puisque la déclaration royale du 5 août 1725 punissait de mort le banqueroutier frauduleux […] — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, chap. VI, La Moralité de la violence, 1908, page 272)
- Deux jours après, je passai devant le conseil de guerre, qui, après plaidoirie d’un avoué allemand, me condamna à mort pour espionnage […] — (Jacques Mortane, Missions spéciales, 1933, page 31)
- Sentence, arrêt de mort : Condamnation qui porte la peine de mort.
- (Par hyperbole) Grandes douleurs.
- Cette cruelle maladie lui fait souffrir mille morts.
- Souffrir mort et passion.
- (Par hyperbole) Grands chagrins.
- La conduite de son fils lui a mis la mort dans l’âme.
- (Sens figuré) Fin, cessation d’activité.
- Seuls, dans un des versants caillouteux de la forêt, deux ou trois vieux hêtres accusaient, par quelques feuilles roussies prématurément, l’arrivée prochaine de l’automne et la mort de l’été. — (Louis Pergaud, Un satyre, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- (Sens figuré) Ruine, destruction.
- Les réquisitions forcées sont la mort du commerce.
- Le monopole est la mort de l’industrie.
- (Cartes à jouer) Treizième arcane du tarot de Marseille (aussi appelée « arcane sans nom »).
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condor
?- (Zoologie) Espèce de vautour de l’Amérique du Sud, un des plus grands oiseaux connus.
- Des oiseaux passaient à grand bruit d’ailes, et le moindre d’entre eux, par suite de cette illusion d’optique, paraissait plus grand qu’un condor ou un gypaète. — (Jules Verne, Le Pays des fourrures, J. Hetzel et Cie, Paris, 1873)
- Des nuées de condors, de vautours et d’urubus vinrent tournoyer au-dessus des cadavres, sur lesquels ils s’abattirent en poussant des cris aigus et firent une horrible curée de chair humaine, …. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- Le condor andin, l’un des plus grands oiseaux du monde qui pèse de 9 à 15 kilos, est en danger critique d’extinction en Colombie et figure sur la liste rouge des espèces menacées de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) qui en dénombre 6.700 spécimens. — (Le Courrier du Vietnam, Colombie : recensement inédit du condor des Andes, menacé d’extinction, lecourrier.vn, 17 février 2021)
- (Golf) (Extrêmement rare) Performance d’un joueur ou d’une joueuse qui réussit quatre coups sous le par.
- Ordre Bolivien de chevalerie.
- Ordre du Condor.
- escassefort
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néocore
?- (Antiquité) Bedeau chargé de garder les temples et d'y entretenir la propreté.
- Le néocore chargé de veiller à la décoration et à la propreté des lieux saints, et de jeter de l’eau lustrale sur ceux qui entrent dans le temple. — (BARTHÉL., Anach. ch. 21)
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perfore
?- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de perforer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de perforer.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de perforer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de perforer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de perforer.
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dors
?- Première personne du singulier de l’indicatif présent de dormir.
- Deuxième personne du singulier de l’indicatif présent de dormir.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de dormir.
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anor
?- Pluriel de ana, aïeux.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.