Dictionnaire des rimes
Les rimes en : obscure
Que signifie "obscure" ?
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- Féminin singulier de obscur.
- La nuit ne se désazure Que pour s’adorer obscure — (Revue du Tarn, 1968, page 463)
Mots qui riment avec "ur"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "obscure".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ur , urs , ure , ures , ûre et ûres .
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murmure
- Bruit de voix sourd et confus.
- Et je n’entendis plus qu’un murmure confus, semblable au murmure de la marée montante, ou au rugissement sauvage qui s’élève dans le bestiaire quand on vient d’ouvrir l’arène. — (Charles Nodier, L’Apocalypse du Solitaire, dans le Bulletin du bibliophile, Paris : chez J. Techener, 1844, page 1205)
- Le sang coule à flots. Le gémissement des blessés, le murmure étouffé de ceux qui s’efforcent de se dégager de cette mêlée de mort et de mourants, navrent le cœur du soldat, auteur innocent de ce massacre. — (Alfred Barbou, Les Trois Républiques françaises, A. Duquesne, 1879)
- Brrr ! fit Bert, en se cramponnant à la balustrade, et quelques soldats auprès de lui firent entendre un murmure d’horreur. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 204 de l’édition de 1921)
- (Surtout au pluriel) Bruit et les plaintes que font des personnes mécontentes.
- Le nouvel impôt a excité de grands murmures.
- Des murmures se sont élevés contre cette mesure.
- Un début d’émeute se produit le mardi 18 mai, lorsque François Renard, marchand et notable du conseil général de la commune, refuse de vendre du blé à des habitants de Bruyères ; des murmures se développent et « sa personne et ses biens sont exposés à l’animosité du peuple » […]. — (Jean-Paul Rothiot, Bruyères et son district pendant la Révolution, Journées d’études vosgiennes, 2005)
- Plainte sourde d’une seule personne.
- Il apprit le coup qui le frappait sans se permettre le moindre murmure.
- Parole dite à voix très basse.
- Je ne sais pas écrire la poésie du cri ou de la révolte. J'expérimente plutôt le murmure. — (Nuit blanche, n° 166, printemps 2022, page 23)
- (Sens figuré) (Soutenu) (Vieilli) Mouvement secret de l’âme.
- Il eut bien de la peine à étouffer les murmures de son cœur.
- La voix de la raison étouffa en lui les murmures de l’amour.
- Les murmures du sang, les murmures de la vanité.
- Bruissement léger que font les eaux en coulant, ou le vent quand il agite doucement les feuilles des arbres, etc.
- La basse-cour, les écuries, l’étable reportées dans les bâtiments de la faisanderie et cachées par des massifs, au lieu d’attrister le regard par leurs inconvénients, mêlaient au continuel bruissement particulier aux forêts ces murmures, ces roucoulements, ces battements d’ailes, l’un des plus délicieux accompagnements de la continuelle mélodie que chante la nature. — (Honoré de Balzac, Les Paysans, 1845, première partie, chapitre dixième)
- (Médecine) Bruit léger que l’on entend en auscultant, lorsque les poumons sont sains.
- Murmure respiratoire.
- (Nom collectif) (Ornithologie) Regroupement important d’oiseaux en vol, nuage d’oiseaux, en particulier des étourneaux.
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bouture
- (Horticulture) Branche d’un arbre ou d’une plante vivace que l’on sépare de la tige et qui, étant plantée en terre, y prend racine.
- Trembley trouvait donc ici deux grands phénomènes, jusque-là regardés comme appartenant exclusivement aux végétaux, la reproduction par boutures et la multiplication par bourgeons ; mais en même temps il voyait ces prétendues plantes se nourrir à la façon des animaux chasseurs, […]. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, Les Métamorphoses et la généagénèse, Revue des Deux Mondes, 2e période, tome 3, 1856 (pp. 496-519))
- Malgré son excessive floribondité, elle donne rarement des graines, et on en est réduit à la multiplier de boutures et de couchages. — (Le Bon jardinier: nouvelle encyclopédie horticole, Maison rustique, 1882, page 175)
- La bouture, fragment de végétal apte à donner naissance à un végétal de même nature, reproduit l’individu dont elle dérive avec tous ses caractères. — (O. Bussard, Cultures légumières, 1943)
- La vigne, le cognassier, le groseillier, se multiplie facilement par boutures. — (Julien-Alexandre Hardy, Traité de la taille des arbres fruitiers, 1884)
- Pour cela nous allâmes couper une bouture d’un jeune saule, et nous la plantâmes sur la terrasse, à huit ou dix pieds de l’auguste noyer. — (Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions, 1782-1789, Livre I)
- Italienne qui pique un géranium rouge dans chaque canon de fusil, méthodiquement, comme si elle faisait des boutures. — (Jean Giraudoux, Retour d’Alsace - Août 1914, 1916)
- (Bijouterie) (Vieilli) (Désuet) Liquide pour blanchir les monnaies[1].
- (Travail du cuir) (Désuet) Partie filamenteuse[1]. On les enlèvent avec une étire ou un butoir, c'est l'opération du butage.
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musculature
- (Anatomie) Ensemble des muscles du corps.
- Ils n'en sont pas moins de véritables sportifs, dotés de musculatures d'athlètes, qui n'ont rien à envier aux footballeurs ou autres rugbymen. — (En Suisse, la "lutte à la culotte" des bergers est plus à la mode que le foot, LesEchos.fr, 21 août 2010)
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désulfure
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe désulfurer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe désulfurer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe désulfurer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe désulfurer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe désulfurer.
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enjolivure
- Petit enjolivement.
- Frédéric, jamais las de cette épopée, écoutait avec des battements de cœur, rappelait parfois un détail oublié du vétérinaire, ou introduisait pieusement quelques enjolivures. — (Marcel Aymé, La jument verte, Gallimard, 1933, collection Le Livre de Poche, page 30)
- Enjoliver a servi de base à la dérivation des substantifs enjolivement, enjolivure et enjoliveur. — (Otto Ducháček, L’Évolution de l’articulation linguistique du domaine esthétique du latin au français contemporain, no 213, 1978)
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fumure
- (Agriculture) Amendement d’une terre par enfouissement de fumier.
- (Par extension) Amendement d’une terre par enfouissement de produits fertilisants.
- Mais il faut bien se garder de croire que le chaulage peut remplacer les fumures. Il les appelle au contraire, par cela même que la chaux hâte la décomposition des matières organiques, […]. — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes, E. Jolly, Charleville, 1869, page 49)
- La production des témoins ayant bénéficié de la fumure azotée était la plus élevée, que ce soit sur sol acide ou sur vertisol. — (Centre International pour l’Élevage en Afrique, Rapport annuel, 1989, page 93)
- (Par extension) Engrais ou produit fertilisant.
- Avec sa végétation exubérante de tiges et de feuilles, elle épuise fortement le sol: elle exige de bonnes fumures, et parmi les engrais chimiques réclame surtout l’azotate de soude, le chlorure de sodium et la chaux. — (La ramie, nouveau textile soyeux: communication présentée à la Société des sciences industrielles de Lyon, dans la séance du 14 février 1877, par M. Léger, Lyon : Imprimerie Storck, 1877, page 7)
- Fumier produit par les bêtes enfermées dans un parc.
- Enfin, les éléments fertilisants produits par ou avec la contribution des animaux (la fumure animale : déjections, fumier, compost), à travers le recyclage des nutriments, participent à l’entretien de la fertilité des champs. — (Lhoste Philippe, Havard Michel, Vall Éric, La traction animale, 224 p., page 26, 2010, Quae - Cta - Presses agronomiques de Gembloux)
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rature
- (Désuet) Raclure.
- Quand on voulait faire l’essai d'une masse d'argent, on en tirait quelques grains, par le moyen d’un petit instrument nommé échoppe ; on mettait cette petite quantité d’argent sur des charbons ardents, et on jugeait de son titre par sa couleur plus ou moins blanche ; cette méthode s’appelait faire l’essai à la rature ou à l’échoppe. — (Dictionnaire des arts et métiers, « Essayeur »)
- Ce qu’on enlève des peaux en les raclant.
- Les ratures servent à faire de la colle.
- (Terme de potier d’étain) Petite bande qu'on enlève en tournant l’étain sur la roue.
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meurtrissure
- Contusion avec tache livide.
- Les meurtrissures des coups qu’il a reçus.
- La petite coupure de la veille était encore rouge et irritée, mais une meurtrissure violacée s’étendait à présent à toute ma pommette. — (Anne O’Brien, Le lys et le léopard, 2014)
- Le logis de l’impasse Saint-Mittre resta hermétiquement clos et garda ses secrets. On devina seulement que Macquart devait battre Adélaïde, bien que jamais le bruit d’une querelle ne sortît de la maison. À plusieurs reprises, elle reparut, la face meurtrie, les cheveux arrachés. D’ailleurs, pas le moindre accablement de souffrance ni même de tristesse, pas le moindre souci de cacher ses meurtrissures. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, G. Charpentier, Paris, 1871, chapitre II ; réédition 1879, page 53)
- Les rides creusées au coin de la bouche et le long des ailes du nez, les lèvres sèches de fièvre, le pli des sourcils contractés, les meurtrissures des paupières, l’énervement des mains gantées de noir qui maniaient un rouleau de papier, sans doute quelque mémoire justificatif, tous les détails enfin de celle physionomie révélaient les tortures de l’idée fixe ; […] — (Paul Bourget, Le Disciple, 1899, page 84)
- L’âge de ces cavaliers, le dessin de leurs traits, la forme de leurs corps, ne comptaient pas pour le batcha. Ce qui mettait chacun d’eux au-dessus des mortels ordinaires, c’étaient les meurtrissures, les cicatrices qu’il portait. — (Joseph Kessel, Les Cavaliers, Gallimard, 1967)
- Tache sur les fruits, causée par leur chute ou par leur froissement.
- Ces fruits sont pleins de meurtrissures.
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colature
- (Pharmacie) Filtration, séparation d’une liqueur d’avec ce qu’elle contient de plus grossier.
- (Par extension) (Ordinairement) La liqueur filtrée elle-même.
- Colature de sirop de chicorée.
- Eau perdue par infiltration à travers les matériaux naturels (terre, gravier, sable,...) qui forment une rigole d'irrigation.
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bordure
- Ce qui garnit, orne ou renforce le bord de quelque chose.
- Le massif dioritique de Lesterps, que la route de Bussière-Boffy recoupe transversalement sur 3 kilomètres, est en disposition synclinale : les gneiss plongent sous la diorite aussi bien à l'Ouest, près de Lesterps, que sur la bordure est. — (Maurice Chenevoy, Contribution à l'étude des schistes cristallins de la partie nord-ouest du Massif Central français, Imprimerie Nationale, 1958, page 25)
- La bordure d’un bas-relief.
- La bordure d’une tapisserie.
- La bordure d’un chapeau, d’un soulier.
- Bordure de galon.
- Les bordures d’un parterre.
- Bordure de buis, de gazon, de fraisiers, de lavande, etc.
- (Sens figuré) De temps en temps un rayon d’aurore, ou un verre de gin, c’est là ce qu’on appelle le bonheur. Une mince bordure de bien autour de l’immense suaire du mal. — (Victor Hugo, L’Homme qui rit, 1869, édition 1907)
- (Marine) (Vieilli) Bord inférieur d'une voile déployée.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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roulure
- Action de rouler, état de ce qui est roulé.
- (Foresterie, Menuiserie) Défaut de grume apparaissant lorsque des cernes n’adhèrent pas l’une à l’autre ; sur bois vif, ce défaut se remplit de fluide.
- La roulure peut être provoquée par des efforts mécaniques (vent) qui tendent à plier l’arbre dont les cernes sont d’épaisseurs irrégulières. — (Emmanuelle Brunin, Christophe Heyninck et Delphine Arnal, Carnet d’assistance pour l’évaluation qualitative des bois sur pied et abattus, Forêt wallonne, 2012, ISBN 2-9600251-6-4)
- (Populaire) Femme de mauvaise vie, prostituée.
- C’était Satin, avec un chapeau et une voilette, prenant des airs de dame en visite. Une jolie roulure ! murmura Prullière. — (Émile Zola, Nana, 1881)
- Entre parenthèses on assure que j’ai lâché ignominieusement ma femme pour aller vivre aux crochets d’une roulure. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 207)
- La fille de bar dont je fus amoureux à quinze ans, parce qu'elle était lesbienne, qu'elle avait une voix éraillée et que je l`avais entendue geindre durant une rage de dents, – vague roulure qui purement et simplement m’entôla, ne couchant même pas avec moi et s`enfuyant avec l`argent que, comme un jobard, je lui avais donné, ce qui inimaginablement m`humilia. — (Michel Leiris, L’âge d’homme, 1939, collection Folio, page 144.)
- Raphaële, une Marseillaise, roulure des ports de mer, jouait le rôle indispensable de la belle Juive, maigre, avec des pommettes saillantes plâtrées de rouge. — (Guy de Maupassant, La Maison Tellier, 1881)
- (Populaire) (Par extension) (Péjoratif) (Injurieux) Personne méprisable.
- Eh bien, toutes ces gonzesses, c’est rien. T’as pas idée ! C’est moins que rien : des ordures, des roulures, bonnes à t’entuber comme personne, si peu qu’tu lâches la main. — (Francis Carco, Images cachées, Éditions Albin Michel, Paris, 1928)
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encoignure
- Endroit où aboutissent deux murailles qui font un coin.
- Le cercle de lumière projeté par la lanterne l’éclairait faiblement, et il ressemblait, dans cette zone de clair-obscur, à ces sombres statues de chevaliers, toujours debout à l’encoignure de quelque tombe noire sous les chapelles gothiques. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
- Ce sont là de ces bonheurs d’employé, de ces joies de prison que connaissent seulement ces pauvres êtres rapetissés dont toute la vie tient dans une encoignure. — (Alphonse Daudet, Un teneur de livres , dans Contes du lundi, 1873, Fasquelle, réédition Le Livre de Poche, 1974, page 156)
- « Comme il est tard ! » se dit le brave homme, et il se dépêche ; mais le pavé glisse, les rues sont noires, et puis dans ce diable de vieux quartier, qui date du temps où les voitures étaient rares, il y a un tas de tournants, d’encoignures, de bornes devant les portes à l’usage des cavaliers. — (Alphonse Daudet, Conte de Noël. — Un réveillon dans le Marais, dans Contes du lundi, 1873, Fasquelle, réédition Le Livre de Poche, 1974, page 190)
- Tous les jours, après avoir acheté sa feuille d’un sou à l’encoignure du faubourg Saint-Honoré, il allait chercher ses deux petits pains, puis il entrait au ministère à la façon d’un coupable qui se constitue prisonnier. — (Guy de Maupassant, En famille, dans La maison Tellier, 1891, réédition Le Livre de Poche, page 127)
- Les bâtiments et le sol de la cour, recouverts et dallés de céramique, s’unissaient au pied des murs par des encoignures arrondies… — (Pierre Louÿs, Les Aventures du roi Pausole, 1901)
- Les truands se dissimulaient dans toutes les encoignures des maisons, et gare au bon bourgeois cousu d’or, qui rentrait trop tard chez lui. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 43)
- […], je lis avec effarement, à plusieurs encoignures, des affiches enluminées […]. « Engagez-vous dans l'armée coloniale ! » s’écrie l’autre, toute enluminée de perroquets, toute rehaussée de nudités affriolantes. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- À l’encoignure du quai d’Anjou se tenait encore le magasin de nouveautés à l’enseigne « Au Petit Matelot », tel que l’avait connu César Birotteau quand il vint y acheter six chemises de toile pour s’attirer les bonnes grâces de Mlle Constance. — (Édouard Bled, « Mes écoles », Robert Laffont, 1977, page 268)
- Là un maître d’hôtel nous installa à une table située en encoignure, près d’un escalier menant à la piste de danse. — (Anne Garréta, Sphinx, page 35, 1986, Grasset, éd. 2002)
- (Par extension) Petit meuble en forme d’armoire ou d’étagère propre à être placé dans les coins des appartements.
- Une encoignure de bois de cerisier.
- (Sens figuré)
- 17 novembre 41 – Oh ! La vie vous pousse de plus en plus dans l’encoignure ; on ne peut pas se sauver et pour finir on est coincé entre la vieillesse et la mort et votre compte est bon. — (Benoîte et Flora Groult, Journal à quatre mains, Denoël, 1962, page 193)
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monture
- Animal (cheval, âne, mulet, etc.) que l’on monte.
- Quant aux montures destinées au service des voyageurs, c’étaient de ces petits chevaux de race espagnole, noirs ou grisâtres de robe, […] bêtes douces et courageuses qui sont fort estimées. — (Jules Verne, Aventures de trois Russes et de trois Anglais, 1872)
- À peine nos montures avaient-elles un assez large espace pour marcher deux de front. — (Alexandre Dumas, Les Mille et Un Fantômes)
- Faits prisonniers par les dragons prussiens, nous avions été emmenés jusqu’à Vrigne-aux-Bois au grand trot de nos montures. — (Victor Thiéry, Après la défaite : Souvenirs et impressions d’un prisonnier de guerre en Allemagne, Paris : chez Frinzine, Klein & Cie, 1884, page 17)
- Parfois les rênes s'échappent de nos doigts engourdis, et nos montures aveuglées, tournant le dos à la tempête, refusent d'avancer. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 36)
- Accompagné de trois cavaliers, il approchait de Troyes : avec sa monture, il y avait donc quatre chevaux. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- (Sens figuré) — Vers le sud, à cent mètres environ au-dessus des eaux, chevauchant, telles des Valkyries, les étranges montures dont la mécanique européenne avait été l’inspiratrice, les Japonais s’avançaient sur leurs monoplans rouges. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 312 de l’édition de 1921)
- (Art) Action de monter un objet, un outil, un bijou ; résultat de cette action.
- (Par extension) Travail de l’ouvrier qui l’a monté.
- La monture de cet éventail, de ce bijou a été exécutée avec goût. Il en a coûté tant pour la monture.
- Ce qui sert à assembler, à supporter, à fixer la partie ou les parties principales d’un objet, d’un outil.
- La monture d’une scie, d’un télescope.
- (En particulier) Métal employé pour assembler, réunir, encadrer les différentes pièces dont se forment une tabatière, un étui, un vase, un bijou quelconque.
- Une monture de vermeil, d’or, d’argent. La monture d’une bague.
- (En particulier) Partie des lunettes qui maintient les verres.
- Par une fenêtre ouverte, elle aperçut un piano sur lequel jouaient à quatre mains deux filles portant les mêmes lunettes à monture d’écaille. — (Jane Thynne, Le jardin d’hiver, traduit de l’anglais par Sophie Bastide-Foltz, Éditions JC Lattès, 2016, chapitre 4)
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mure
- Dans les salines, l’eau de mer qui reste après la cristallisation du sel, et l’eau saturée de sel après qu’on lui a fait subir l’évaporation.
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forure
- (Serrurerie) Trou fait avec un foret.
- La forure de cette clef est ronde, est en trèfle, en étoile, etc.
- […] : Il n'eut pas plutôt pris haleine, qu'il tira de la poche de son pourpoint une clef d'une petitesse remarquable ; il souffla dedans pour s'assurer si la forure était bien nette, et il l'appliqua à tous les cadres les uns après les autres. […]. — (Théophile Gautier, La cafetière, chapitre II)
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torture
- Souffrance cruelle, tourment qu’on fait souffrir.
- Il se flattait, grâce aux trente hommes résolus qu’il commandait, de s’emparer facilement des deux chasseurs qu’il se proposait de faire mourir dans des tortures atroces. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- Quand j’atteignais un rat d’un bon coup de fouet, le ronge-maille sifflait avec fureur, hérissait tous ses poils et s’élançait avec désespoir contre le fouet lui-même, instrument de sa torture ; […]. — (Anonyme, Varia, dans Revue moderne, volume 41, 1867, page 668)
- J’ai vu des prisonniers jetés à coups de matraque d’un étage à l’autre et qui, hébétés par la torture et les coups, ne savaient plus que murmurer en arabe les premières paroles d’une ancienne prière. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- (Spécialement) Souffrance physique qu’on infligeait à quelqu’un par voie de justice.
- Lorsque le chevalier de La Barre […] fut convaincu d’avoir chanté des chansons impies, et même d’avoir passé devant une procession de capucins sans avoir ôté son chapeau, les juges d’Abbeville, gens comparables aux sénateurs romains, ordonnèrent, non seulement qu’on lui arrachât la langue, qu’on lui coupât la main, et qu’on brûlât son corps à petit feu ; mais ils l’appliquèrent encore à la torture pour savoir précisément combien de chansons il avait chantées, et combien de processions il avait vues passer, le chapeau sur la tête. — (Voltaire, Dictionnaire philosophique, 1769)
- Je le trouvai vivement ému par la nouvelle d’une interpellation à la Chambre des Communes au sujet des tortures qu’il aurait fait infliger à un ancien pacha de Meknès, El-Hadj Ben Aïssa et à sa femme Lalla Batoul, qui auraient succombé à leur supplice. — (Frédéric Weisgerber, Au seuil du Maroc Moderne, Institut des Hautes Études Marocaines, Rabat : Les éditions de la porte, 1947, page 238)
- L’opposant Alexeï Navalny a accusé ses géôliers de le soumettre à une forme de torture par privation de sommeil, dans une plainte aux services de sécurité russe publiée jeudi sur son site. — (AFP, Russie : interrogations sur l’état de santé de Navalny, Le Journal de Québec, 25 mars 2021)
- (Par hyperbole) Forte contrariété ; embarras pénible ; vive impatience.
- Certes, j'ai pris la précaution, torture, de ne pas m'arrêter devant le km de rayon charcuterie, saucissons affriolants, jambons crus carrément putassiers, qui hument malgré le froid. — (Christian Brissart, L’Odeur de l’Eau, Éditions Black-Out, 2009, p. 12)
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palmature
- (Médecine) Nom donné à la difformité qui confère aux mains un aspect palmé. Les phalanges des doigts sont reliées par une membrane qui s'apparente à la palmure des palmipèdes.
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dur
- (Linguistique) Code ISO 639-3 du dii.
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photogravure
- (Art) Ensemble des procédés qui permettent d’appliquer la photographie à la gravure.
- Le portrait de l'auteur, reproduit par le curieux procédé de la photogravure, ornait la page du titre. — (Pierre Louÿs, Les aventures du roi Pausole, 1901)
- Gravure faite par ce procédé.
- Le plan couché et les photogravures de cette Basilique illustrent un intéressant volume que je vous prêterai. — (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
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givrure
- (Bijouterie) Tache d’un blanc mat sur un diamant provenant de l’éclat qu’y a fait l’outil du mineur ou du lapidaire.
- Il fut surpris; il s’était attendu à trouver une givrure à la place du crapaud; mais elle était si ténue qu’elle échappait au premier regard. — (Gérald Messadié, Saint-Germain, l'homme qui ne voulait pas mourir, volume 1, 2005)
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soudure
- Action de souder ; le résultat de ce travail.
- Le polypropylène est difficilement collable. La technique adoptée est la soudure au miroir ou par rotation. — (Marc Carrega & Vincent Verney, Matières plastiques, Dunod, 2012, 3e éd., p. 117)
- Le principe est basé sur une ondulation longitudinale d'un feuillard inox en 304 L, un spiralage du feuillard ondulé sur un mandrin donnant le diamètre intérieur souhaité, une soudure en continu du feuillard et un contrôle de la soudure. — (H. Dridi, Conduites flexibles cryogéniques, dans Nouvelles technologies pour l'exploration et l'exploitation des ressources de pétrole et de gaz, Editions TECHNIP, 1986, , vol.2, page 1311)
- Endroit par où les deux pièces de métal sont soudées.
- Le principe est basé sur une ondulation longitudinale d'un feuillard inox en 304 L, un spiralage du feuillard ondulé sur un mandrin donnant le diamètre intérieur souhaité, une soudure en continu du feuillard et un contrôle de la soudure. — (H. Dridi, Conduites flexibles cryogéniques, dans Nouvelles technologies pour l'exploration et l'exploitation des ressources de pétrole et de gaz, Editions TECHNIP, 1986, , vol.2, page 1311)
- Le tuyau est crevé à la soudure.
- (Par extension) Composition métallique fusible, qui sert à souder, à unir ensemble des pièces de métal.
- (Linguistique) Suppression du trait d’union.
- Le Rapport, dans sa grande indulgence, étend aussi la soudure à divers composés à premier élément verbal et second élément nominal ou autre, tels que « (d’)arrachepied », « couvrepied », « croquemadame », « croquemonsieur », « croquemort », « fourretout », « passepartout », « porteclé », « portefeuille », « portemonnaie », « tapecul », « tirebouchon », « tournedos », etc. — (Claude Hagège, Dictionnaire amoureux des Langues, Plon/Odile Jacob, 2009, page 528, ISBN 978-2-259-20409-5)
- (Sens figuré) Chevauchement de deux périodes d'approvisionnement d'un produit.
- (Sens figuré) Chevauchement de deux périodes budgétaires.
- Est-ce qu’il ne pouvait pas donner sa paie d’un seul coup, au lieu de la débiter en tranches sous prétexte qu’on ne faisait jamais la soudure ? La soudure ! Belle fichaise. Comme s’il ne valais pas mieux vivre quelques bonnes journées – au risque d’en jeûner quelques autres – plutôt que de grignoter des miettes tout le mois. — (Hervé Bazin, Chapeau bas, Seuil, 1963, Le Livre de Poche, page 248)
- Période entre deux récoltes, pendant laquelle la production agricole est nulle, en particulier à cause de la sécheresse.
- Ajoutez encore la montée du « péril luthérien », les gelées de l’hiver 1523-1524 de sorte que la soudure du printemps fut difficile, les processions qu'on avait multipliées dans Paris soit à cause du temps, soit à cause de la guerre. — (Jean Delumeau, La Peur en Occident, 1978, Fayard, page 175.)
- […] leur ration alimentaire quotidienne a tendance à diminuer du fait des difficultés de la soudure. — (Sophie Bessis, Comité français pour l'UNICEF, Institut Panos, Les enfants du Sahel, 1992)
- La durée de la période de soudure est toujours de plusieurs mois et peut atteindre six mois et plus dans les années de sécheresse. — (Cahiers O.R.S.T.O.M. – Série Sciences humaines: Volume 12, 1985)
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caricature
- Image satirique dans laquelle l’artiste représente d’une manière grotesque, bouffonne, les personnes qu’il veut tourner en dérision.
- La caricature est une arme très dangereuse. Les Français excellent dans la caricature.
- Yohanân ressemblait à une caricature de prophète : trop maigre, trop barbu, trop hirsute, couvert d'immondes peaux de chameau autour desquelles bruissaient et voltigeaient des mouches attirées par la puanteur. — (Eric-Emmanuel Schmitt, L'Évangile selon Pilate, Albin Michel, 2000. Prologue)
- Quelles boules ! dit Bixiou à du Bruel, quelle belle caricature si on les dessinait sous forme de raies, de dorades, et de claquarts (nom vulgaire d’un coquillage) dansant une sarabande ! — (Honoré de Balzac, Les Employés, édition définitive)
- Ni les religions et leurs intégristes, ni les idéologies et leurs militants, ni les bien-pensants et leurs préjugés ne doivent pouvoir entraver le droit à la caricature, fût-elle excessive. — (Cabu, cité dans Le Canard enchaîné, 14 janvier 2015)
- (Par extension) Portrait grossier ou peu flatteur d'un personnage, souvent en parlant d’ouvrages littéraires.
- La caricature qu’elles avaient faite de l’étrangère, et le portrait flatteur qui était venu ensuite, avaient également de la ressemblance avec mademoiselle de Risthal. — (Julie de Quérangal, Philippe de Morvelle, Revue des Deux Mondes, T.2,4, 1833)
- (Sens figuré) Personne ridiculement accoutrée.
- Voyez cette femme : quelle caricature !
- (Sens figuré) Représentation outrée.
- A. Comte avait fabriqué une caricature du catholicisme, dans laquelle il n'avait conservé que la défroque administrative, policière et hiérarchique de cette Église ; […]. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, Chap.IV, La grève prolétarienne, 1908, p.194)
- Et pour les hacktivistes, l'humour est aussi un outil. « On accepte toutes les caricatures, tous les foutages de gueule, affirme Okhin, parce qu'on sait que nos adversaires ne les acceptent pas du tout. — (Amaelle Guiton, Hackers: Au cœur de la résistance numérique, Au Diable Vauvert, 2013)
- La conséquence est simple : nous devons accepter par avance les caricatures de nous-même, car le caricaturé accepte d'être caricaturable. La raison critique est actrice de ses propres progrès. — (Charles Coutel, Les philosophes des Lumières, nos contemporains, dans Marianne, n°878 du 8 janvier 2016, page 58)
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rayure
- Entaille, trace, éraflure faite sur une surface polie par un objet contondant.
- Les rayures d’une glace.
- Rainure hélicoïdale ménagée dans l’âme du canon d’une arme à feu, afin d’augmenter la stabilité du projectile en lui imposant un mouvement de rotation (canon rayé).
- Rayures en spirale.
- Impulsion parasite de courte durée qui traverse le signal vidéo à peu près au niveau du noir de référence sur l’oscilloscope de contrôle.
- Bande d’une certaine largeur contrastant par rapport au fond.
- Et ce Daniel Buren qui veut installer des colonnes à rayures dans la cour de l’Élysée. Qu'il aille s'amuser ailleurs, je ne sais pas moi, au Conseil d’État, ça leur fera les pieds à ces fainéants ! — (Laurent Gerra et Pascal Fioretto, Lettres cachées de François M. à Anne: Les aventures de tonton, éd. J'ai Lu, 2017)
- « Pourquoi les mouches détestent-elles les rayures ? Et qu’ont-elles de si terrible pour avoir poussé les zèbres à changer de robe ? » Deux énigmes au lieu d’une. — (Nathaniel Herzberg, Le mythe des rayures des zèbres en prend un coup, sur Le Temps (www.letemps.ch), vendredi 12 février 2016)
- L’âne de Somalie serait à l’origine de toutes les formes domestiques ; il est reconnaissable grâce aux rayures transversales sur ses pattes. — (Djillali Hadjouis, Le crâne des Vertébrés quadrupèdes et bipèdes, 2021, page 26)
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maillure
- Ensemble des taches ou mouchetures qui se forment sur les plumes d’un oiseau.
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écriture
- Procédé qui permet de représenter un langage avec des symboles ou des lettres.
- L’écriture transporte d’un sens à l’autre la pensée. La parole communique la pensée de la bouche à l’oreille par le son ; l’écriture saisit le son insaisissable au passage, le transforme en signes ou en lettres, et communique ainsi la pensée de la main aux yeux. — (Alphonse de Lamartine, Gutenberg)
- Sans croire en aucune manière à la divination des âmes par l’écriture, il était sensible à la forme des lettres comme à une sorte de dessin qui peut avoir aussi son élégance. — (Anatole France, Le Lys rouge, 1894, réédition Le Livre de Poche, pages 178-179)
- Il eut tort de citer le mot de Voltaire, qui est beaucoup trop décisif et immodéré : « L’écriture est la peinture de la voix ; plus elle est ressemblante, meilleure elle est », et qui conduirait à l’orthographe individuelle, c’est-à-dire à une confusion telle qu’on ne se comprendrait jamais quand on s’écrirait les uns aux autres. — (Émile Faguet, Simplification simple de l’orthographe, 1905)
- L’écriture est précisément cet acte qui unit dans le même travail ce qui ne pourrait être saisi ensemble dans le seul espace plat de la représentation. — (Roland Barthes. L’empire des signes. Paris, Flammarion, 1980, page 22)
- Toute l'écriture est de la cochonnerie. — (Antonin Artaud, Le Pèse-nerfs, dans Oeuvres complètes, I, Paris, Gallimard, 1954, page 120)
- (Par extension) Manière dont on trace ces caractères.
- Ces textes funéraires sont tous d'une écriture négligée, maigre et anguleuse; et le papyrus trouvé sur la momie de Pétaménoph étant le plus récent, porte encore par cela même des traces plus marquées de la décadence de l’art graphique égyptien sous la domination gréco-romaine. — (Frédéric Cailliaud, Voyage à Méroé, au fleuve Blanc, au-delà de Fâzoql, t. 4, 1827, page 27)
- Il trouvait aux Archives, non pas seulement les papiers administratifs des derniers siècles, mais les chartes du moyen âge. Il les fallait lire, il en fallait déchiffrer l’écriture, distinguer les formules, déterminer les dates, […]. — (Henri Wallon, Notice sur la vie et les travaux de M. Joseph-Natalis de Wailly, membre de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres , dans les Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1888, vol.32, n°6 , page 556)
- À propos de Modeste Mignon, il annonce joyeusement à son amie : « Encore soixante-dix feuillets de mon écriture… Ce sera fini demain. » — (Octave Mirbeau La Mort de Balzac, 1907)
- Il trouva des papiers d’un caractère absolument privé, et, entre autres, d’ardentes lettres d’amour tracées d’une grande écriture féminine. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 90 de l’édition de 1921)
- L’écriture retenait l’attention de nos maîtres. Ils nous apprenaient l’anglaise ou cursive, la fine bien sûr, la moyenne et la grosse, la ronde, la bâtarde et même la gothique. Ils voulaient que nous eussions d’abord une écriture régulière et lisible, puis belle et élégante sans fioritures. Nous avions tout un jeu de plumes dans un petit étui. — (Édouard Bled, « Mes écoles », Robert Laffont, 1977, page 50)
- (Par extension) Chose écrite.
- L’amîn est celui dont l’écriture, dans les contrats, actes et autres documents, fait foi. Il doit donc bénéficier de la confiance de toutes les parties. — (Paul Bonnenfant, Sanaa: Architecture domestique et société, CNRS Éditions, 2014, page 92)
- (Par extension) Marque ou une trace qui code une signification.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Philosophie) Ensemble des procédés et des systèmes signifiants par lesquels les hommes ont transcrit matériellement, à travers les âges, leurs paroles et leurs pensées.
- (Par extension) Système d’écriture.
- L’écriture latine, de même origine que la grecque, s’est géométrisée de manière analogue. — (Marcel Samuel Raphaël Cohen, La grande invention de l’écriture et son évolution, volume 1, 1958)
- Ainsi, en dépit du fait que le logogramme chinois est souvent peu informatif quant à sa prononciation, l’information phonologique contenue dans l’écriture est exploitée pour prononcer les caractères rares. — (Ronald Peereman, « La médiation phonologique dans la reconnaissance des mots écrits », dans La reconnaissance des mots dans les différentes modalités sensorielles, sous la direction de Régine Kolinsky, José Morais & Juan Segui, Presses Universitaires de France, 1991)
- (Au pluriel) (Religion) La Bible ; les Écritures.
- Les évangéliques et les catholiques, tout en étant différents, se retrouvent sur de nombreux points, comme les questions d'éthique. La principale différence est l'autorité de la Bible, les évangéliques ont un rapport très personnel aux écritures, ils s'y réfèrent, ils la lisent régulièrement, […]. — (Franck Poiraud, Les évangéliques dans la France du XXIe siècle, Edilivre/Editions APARIS, 2007, page 210 (différant corrigé en différents))
- Dessin et peinture, quand on parle d’une icône religieuse.
- L’écriture de l’icône me procure une telle joie que j’ai eu envie de la partager. — (Anne Truffert)
- L’écriture d’icônes, technique d’art sacré chrétien, a pour vocation de faire participer à la liturgie et à la vie de ’'Église dans la prière. — (Jérôme Lescure)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.