Dictionnaire des rimes
Les rimes en : monotrème
Mots qui riment avec "aime"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "monotrème".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : aime , aimes , ème , èmes , ême , êmes , em , ems , emme et emmes .
- molinghem
-
baptême
- (Bible) Immersion rituelle par laquelle on est initié à la vie spirituelle.
- (Christianisme) Sacrement par lequel on est fait chrétien et qui consiste à verser de l’eau sur la tête en prononçant les paroles sacramentelles.
- Il y a un genre de zwinglianisme sec et superficiel qui réduit la cène du Seigneur à n’être qu'un souvenir vide, et le baptême une pantomime à laquelle on se soumet par obéissance seulement. — (Le Chrétien évangélique, Vol.11, 1860, page 311)
- Mrs. Mac Nap accoucha d’un gros garçon bien constitué, […]. Mrs. Paulina Barnett fut marraine du bébé, qu’on nomma Michel- Espérance. La cérémonie du baptême s’accomplit avec une certaine solennité, et ce jour-là fut jour de fête à la factorerie, en l’honneur du petit être qui venait de naître au-delà du soixante-dixième degré de latitude septentrionale. — (Jules Verne, Le Pays des fourrures, J. Hetzel et Cie, Paris, 1873)
- […]; - le chrétien, déjà régénéré par le baptême […] attend le retour glorieux du Christ qui brisera la fatalité satanique et appellera ses compagnons de lutte dans la Jérusalem céleste. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, 1908, p.16)
- Avec les païens, le baptême suffit. Leurs péchés antérieurs leur sont immédiatement remis. C’est même pour cela que les premiers catéchumènes essayaient de retarder leur baptême le plus longtemps possible : saint Augustin, par exemple.– Saint Augustin a fait cela, dit l’abbé Vergez. J’ignorais ce détail. Il risquait gros. — (Pierre Benoit, Mademoiselle de la Ferté, Albin Michel, 1923, Cercle du Bibliophile, page 159.)
- À Rouen, les autorités firent savoir que ceux qui n’accepteraient pas le baptême seraient considérés comme hors-la-loi. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- (Par analogie) (Islam) Rite d’entrée dans l’islam pour les musulmans.
- Les tolba sont tenus d’honorer toute invitation émanant d’un membre de la communauté. Ils assistent généralement aux mariages, aux fêtes organisées à l'occasion des circoncisions, des baptêmes et des enterrements. — (Ali Amahan, Mutations sociales dans le Haut Atlas : les Ghoujdama, Paris : Éditions de la MSH & Rabat : Éditions La Porte, 1998, page 76)
- C’est à cette dernière qu’était revenu l’honneur de présider la cérémonie du baptême. On me déposa sur ses genoux. Pour commencer, elle prononça un bismillah, une manière de rendre grâce à Dieu. — (Neyla Ayssi, Les barbelés ne sont pas toujours le long des murs, Editions du Panthéon, 2019, chap. 1)
- (Par extension) Cérémonie consistant à inaugurer quelque chose ayant une certaine envergure.
- Le baptême d’une cloche. Le baptême d’un navire.
- (Belgique) Bizutage.
- Le baptême des nouveaux inscrits fait partie des traditions étudiantes.
- xème
-
quinquérèmes
- Pluriel de quinquérème.
-
vingtième
- Qui concerne l’ordinal de 20.
- Dans sa vingtième année.
- Et ne voit-on pas, en plein vingtième siècle que nous sommes, s’agiter et pérambuler des suffisances harnachées de tous les hochets flatteurs, mais dont la seule prétention constitue le mérite, des faux-cols éblouissants surmontés d’officielle sottise et, de-ci de-là, quelques gredins dont s’adorne le blason tel que le définissait Aurélien Scholl : « de galons d’or sur champs d’habits ! ». — (Henri Mériot, Les Belles Légendes de Saintonge, La Découvrance éditions, pages 134-135)
- bethlehem
-
phonème
- (Phonologie) Unité distinctive de prononciation dans une langue.
- Deux sons sont des phonèmes si, dans un mot, la substitution de l’un par l’autre entraîne un changement de sens : exemple dans « chat » et « rat », le son « ch » est le phonème ʃ et le son « r » est le phonème ʁ.
- (Médecine)(Désuet)(Très rare) Désigne, pour Carl Wernicke, les hallucinations auditives durant lesquelles le sujets entend des mots.
- [...] une acception de phonème en pathologie qui se définit comme une « Hallucination auditive dans laquelle le sujet entend des voix» (les spécialistes que j'ai consultés ignorent pourtant cet emploi, dont le professeur Réné Tissot me dit qu'il est attesté sans indication de source dans l'édition de 1972 du dictionnaire de médecine [...]). — (Cercle Ferdinand de Saussure, Société genèvoise de linguistique volume 41, Éd. Droz, 1987)
- corbehem
-
septantième
- Élément ordinal, correspondant au cardinal septante.
- Le septantième précède le septante-et-unième et suit le soixante-neuvième.
- Donnez-moi le septantième de ces gâteaux.
- (Au masculin) Fraction obtenue en divisant septante fois.
- Donnez-moi le septantième de ce gâteau.
-
thème
- (Littéraire) Sujet, matière ou proposition que l’on entreprend de prouver ou d’éclaircir.
- Quels termes saurai-je trouver, suffisamment simples dans leur sublimité, — suffisamment sublimes dans leur simplicité, — pour la simple énonciation de mon thème ? — (Edgar Poe, Eureka, 1848, traduction de Charles Baudelaire,)
- Ainsi la télévision publique est-elle un thème de débat, une posture obligée, une rhétorique de salon qui mériterait de figurer dans les mythologies des couches cultivées. — (Monique Dagnaud, L’État et les Médias: Fin de partie, Éditions Odile Jacob, 2000)
- (Sens figuré) (Familier) C’est son thème habituel, son thème favori : c’est un sujet sur lequel il revient volontiers, une chose qu’il aime à répéter.
- (Musique) Phrase musicale qui sert de sujet à une composition.
- (Linguistique) Élément d’un énoncé qui est réputé connu par les participants à la communication, placé ou marqué spécialement dans la phrase dans certaines langues. Le thème peut être sujet, COD, COI ou n’importe quoi. En français parlé, le thème est montré par une dislocation à gauche. Par exemple, le pronom moi est thème dans la phrase Moi, je connais bien cet homme et le syntagme cet homme dans Cet homme, je le connais bien.
- (Linguistique) Traduction de la langue maternelle vers une langue étrangère.
- Donner, dicter, corriger un thème à des écoliers.
- Cours de thème grec, latin, anglais.
- En thème, j’étais parfaitement nul : pourtant, j’apprenais par cœur mes leçons de grammaire, et j’avais la tête farcie de règles et d’exemples, mais je n’en comprenais pas l’usage, et je croyais en toute bonne foi qu’il était suffisant d’être capable de les réciter. Pour traduire une phrase, je cherchais les mots latins dans mon dictionnaire et je les alignais tels quels à la place des mots français : c’est pourquoi Socrate prétendait que j’étais un remarquable fabricant de solécismes et de barbarismes, alors que je ne savais même pas ce que c’était. — (Marcel Pagnol, Le temps des secrets, 1960, collection Le Livre de Poche, page 341)
- (Grammaire) Partie du mot, composée de la racine et éventuellement d’une voyelle thématique, à laquelle s’ajoutent les désinences casuelles ou verbales. En latin, par exemple, cantabamus (« nous chantions »), a pour thème cantaba-, composé du radical canta- et du suffixe formant des imparfaits ba-, -mus étant la désinence personnelle.
- Thème modal, nominal, verbal.
- (Linguistique) En arabe, partie du mot, complémentaire à la racine. Schème. Par exemple, la racine ك ت ب KTB (« écrire ») associée au thème _ā_a_a (« action réciproque ») donne كاتَبَ KāTaBa (écrire au sens de correspondre, ou s'écrire).
- (Histoire) Corps d’armée de l’empire byzantin.
- Le thème de Macédoine.
- (Histoire) Dans le Bas-Empire, circonscription administrative ardée par un thème dans le sens précédent.
- Au dixième siècle l’empire grec était divisé en thèmes.
- (Astrologie) Position où se trouvent les astres, par rapport au lieu et au moment de la naissance de quelqu’un, et dont les astrologues tirent les conséquences conjecturales appelées horoscopes.
- (Art) Genre récurrent en peinture.
- (Échecs) Énoncé d’un problème d’échecs.
- (Cartographie) Matière générale à laquelle se rapporte le sujet d’une carte thématique[1].
-
même
- Qui n’est pas autre, qui n’est pas différent. — Note : Dans ce sens, il est placé devant un nom et s’emploie généralement avec l’article défini ou l’article indéfini.
- L'intendant reçut les deux visiteurs avec la même amitié que chacun témoignait à la femme, et la même déférence que tous paraissaient accorder au jeune homme. — (Alexandre Dumas, Les Deux Diane, 1847, chap.1)
- Deux plantes de même espèce.
- Deux mêmes personnes.
- Ils ont pris tous deux le même sujet.
- Les mêmes erreurs se répètent souvent.
- Une même cause produit les mêmes effets.
- Présenté souvent sous la forme : le même que, la même que, il implique une comparaison entre deux idées et marque soit l'identité, soit la ressemblance.
- Ce garçon porte la même veste que son frère.
- Rassurez-vous, on vous fera subir le même traitement qu'à lui.
- S’emploie sans article et se place immédiatement après un nom ou un pronom pour marquer plus expressément la personne ou la chose dont on parle. Il a alors même sens que lui-même, elle-même, eux-mêmes.
- Décédé à Paris le 11 novembre 1872, des suites d’une albuminurie, son corps a été transporté le soir même pour être inhumé dans un caveau de famille, à Sedan. — (Eugène Dupont, Notice nécrologique de François Clément Sauvage, dans La vie rémoise, vol.4, 1869-1872)
- Beaucoup de ces tournures, et particulièrement les idiotismes de figures, constituent des bizarreries dans la langue même qui les a enfantées ; […]. — (Auguste Kerckhoffs, Cours complet de Volapük, contenant thèmes et versions, avec corrigés et un vocabulaire de 2500 mots, Paris : librairie H. Le Soudier, 6e éd., 1886, page 58)
- Cette religieuse naît, le 26 mai 1605, à Anvers, pendant les guerres qui désolent la Flandre, au moment même où le Prince Maurice de Nassau investit la ville. — (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
- Par ailleurs, il existe un ferrier gallo-romain à Bonval, un autre dans le village même de Villethierry. — (J. Prampart, « Le cimetière mérovingien de Villethierry (Yonne) », dans la Revue archéologique de l'est et du centre-est, Vol. 34-35, Éditions du CNRS, 1983, page 349)
- Il se met aussi après les noms qui désignent quelques qualités, pour exprimer qu’elles sont au plus haut degré dans la personne dont on parle.
- Dieu est la sagesse même, la miséricorde même.
- Cette femme est la bonté même.
- Placé après le pronom qu’il modifie, il sert à insister sur la personne, sur l’identité — Note : Dans ce cas-là, il est lié au pronom par un trait d’union, que certains auteurs d'ailleurs suppriment aujourd'hui.
- → voir moi-même, toi-même, soi-même, lui-même, elle-même, nous-mêmes, vous-mêmes, eux-mêmes et elles-mêmes.
- Combattre contre un autre soi-même — (Corneille)
- terdeghem
- verlinghem
-
dixième
- Qui concerne l’ordinal ou la fraction dixième.
- Les cannes flèchent au mois d'août, c'est-à-dire, vers le dixième mois de leur plantation ; au moment de la floraison la canne est creuse; aussi se garde-t-on bien de la récolter à cette époque ; […]. — (L.-J Blachette & Frédéric-Salvator Zoéga, Nouveau manuel complet du fabricant et du raffineur de sucre… , collection Manuels Roret, Paris : Librairie Encyclopédique de Roret, 1833, page 22)
- Le Gouvernement a renouvelé pour la dixième fois, en 1865, le grand concours biennal de composition musicale, institué par l'arrêté royal du 19 septembre 1840. — (Bulletin de l'Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique, 1865, 34e année, 2e série, vol.20, p.326)
- Un reporter qui ne précise pas, c’est un géomètre qui néglige de pousser ses calculs jusqu’à la dixième décimale. — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre II, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- (Désuet) (Lui dixième, elle dixième ou en dixième) Avec neuf autres.
- Étant capitaine de grenadiers au régiment de Tournon, il entra, lui dixième, dans Coni, ville des États sardes, et, abattu sous trente-trois blessures, il fut fait prisonnier. — (Marie-Antoine-Alphonse Du Bouvot de Chauvirey, La Terre de Chauvirey, 1865)
- killem
- guilhem
-
rem
- (Métrologie) Symbole du rem, unité d’équivalent de dose de radiation, remplacée par le sievert.
- seninghem
-
septième
- Qui concerne l’ordinal ou la fraction septième.
- Pour la septième semaine, Céline Parzys mettra à l’honneur le patrimoine culinaire de la Charente-Maritime. — (journal Sud-Ouest, édition Charente-Maritime / Charente, 20 août 2022, page 8)
- Et si Marie Gouze, dite Olympe de Gouges, devenait la septième femme honorée au Panthéon (5e), à Paris… — (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 7 novembre 2022, page 2)
- (Désuet) (Lui septième, elle septième ou en septième) Avec six autres.
- Dans une pointe sur la Vieille-Castille que nous avons racontée, il attaqua, lui septième, une brigade ennemie qui escortait un convoi dont il avait résolu de s’emparer : cette brigade venait de repousser l’attaque d’un bataillon carliste tout entier. — (François Ducuing, La Guerre de montagne, 1851)
-
alem
- Ancien étendard ottoman.
- TABLALEM, s. m. (Hist. mod.) titre que l’on donne chez les Turcs à tous les gouverneurs des provinces ; on le donne aux visirs, bachas, begs. Alem est un large étendart porté sur un bâton, surmonté d’un croissant ou d’une demi-lune. Le tabl est un tambour. Les gouverneurs sont toujours précédés de ces choses. — (L’Encyclopédie)
- L’émir alem, vulgairement miralem, porte-enseigne de l’empire, est directeur de tous les intendans, & fait porter devant lui une cornette mi-partie de blanc & de verd. — (L’Encyclopédie)
- On porte devant lui trois queues de cheval tressées avec art. Un étendard de couleur verte, nommé alem, & deux autres étendards fort larges, qu’on nomme bairak. Les autres bachas n’ont point un tabulchana si considérable ; ils ne font porter devant eux que deux queues de cheval avec les trois étendards. Un beg n’a qu’une seule queue de cheval avec les étendards. Les officiers inférieurs n’ont qu’un sanjak, ou étendard, & ils ne font point porter la queue de cheval devant eux. — (L’Encyclopédie)
- parthem
-
blême
- Très pâle, plus que pâle. — Note d’usage : S’utilise surtout en parlant du visage, du teint.
- Un cadavre, visage blême, ricanait là, sous la lune. — (Paul et Victor Margueritte, Le Désastre, Plon-Nourrit & Cie, 86e éd., p. 163)
- Adieu, vous voyez trop en mon visage blêmeQue m’arracher à vous c’est m’ôter à moi-même. — (Jean de Mairet, Sophonisbe III, 4 — cité par Littré)
- À cet objet d’horreur, l’œil troublé, le teint blême,J’ai demeuré longtemps plus morte que lui-même. — (Jean de Rotrou, Antigone I, 2 — cité par Littré)
- La main des Parques blêmesDe vos jours et des miens se joue également. — (Jean de la Fontaine, Fables XI, 8 — cité par Littré)
- La disette au teint blême et la triste famine […] — (Nicolas Boileau, Le Lutrin V — cité par Littré)
- Mais doit-il vouloir que pour lui nous ayons toujours le teint blême ? — (François de Malherbe, III, 1 — cité par Littré)
- (Par extension) Qualifie un objet d’une couleur très pâle.
- Un matin blême.
- Le destin … est jaloux qu’on passe deux fois au-delà du rivage blême. — (François de Malherbe, VI, 17 — cité par Littré)
- Il dit : Un souffle impur, exhalé sur l’autel, des cierges allumés chasse la flamme blême. — (Masson, Helvétiens, v — cité par Littré)
- Il avait tout terni sous ses mains effrontées.Les blêmes voluptés sur sa trace ameutéesSortaient, pour l’appeler, de leur repaire impurQuand son ombre passait à l’angle de leur mur. — (Victor Hugo, Les Chants du crépuscule, XIII, 1835 — cité par Littré)
- lems
- warhem
-
anathème
- (Christianisme) Sentence de malédiction qui retranche de la communion de l’Église.
- Si quelqu’un dit que tous les chrétiens ont le pouvoir d’annoncer la parole de Dieu et d’administrer les sacrements ; qu’il soit anathème. — (Concile de Trente, 6e session, 13 janvier 1547; traduit dans Abrégé chronologique des conciles généraux, de A.J.A. Gautier, 1836)
- Alors il étendit les bras du côté de Sion ; et, la taille droite, le visage en arrière, les poings fermés, lui jeta un anathème, croyant que les mots avaient un pouvoir effectif. — (Gustave Flaubert, Trois Contes : Hérodias, 1897)
- Heureusement, messieurs, nous ne sommes plus au temps où l’on pouvait s’émouvoir des anathèmes perfectionnés que le Syllabus prodigue à ceux qui le méconnaissent, et nous ne ferons pas aux républicains, même les plus timides, l’injure de croire qu’ils puissent se déterminer par des arguments de ce genre. — (Discours d’Émile Combes à Auxerre, 4 septembre 1904)
- (Sens figuré) (Soutenu) Réprobation ; blâme solennel.
- La bonne compagnie de Verrières commençait à s’indigner de ce que ses anathèmes faisaient si peu d’impression sur M. de Rênal. — (Stendhal, Le rouge et le noir, 1830, réédition Gallimard, 2020, page 231)
- Don Ramon courba la tête sous cet anathème ; le front pâle et l’âme remplie de remords cuisants, il rentra lentement dans l’hacienda. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- C'était toujours des anathèmes épouvantables contre ceux qui étaient justement en train de lui lécher le cul, des gâtés-pourris-crasse qui se demandaient avec des airs ténébreux de quoi ils pourraient bien avoir envie dans la vie. — (Réjean Ducharme, L'hiver de force, Gallimard, 1973, page 112)
- (Par extension) Personne qui est un objet d’opprobre, d’exécration.
- Car c’est une loi singulière que ce peuple d’anathèmes n’ait pu assumer la réprobation collective dont il s’honore qu’au prix fabuleux du protagonisme éventuel de l’individu. — (Léon Bloy, Le Salut par les Juifs, Joseph Victorion et Cie, 1906)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.