Dictionnaire des rimes
Les rimes en : microampèremètre
Mots qui riment avec "etre"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "microampèremètre".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ètre , ètres , etre , etres , être , êtres , ettre , ettres , aitre , aitres , aître et aîtres .
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fluxmètre
- (Physique) Instrument utilisé pour mesurer les variations d’un champ magnétique.
- Présentation du projet d’un fluxmètre magnétique à diodes d’état solide, utilisant l’effet du champ magnétique sur sa caractéristique de courant direct. — (Bulletin signalétique des télécommunications, volume 25, 1970)
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sulfitomètres
- Pluriel de sulfitomètre.
- lactobutyrometre
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maître
- Personne qui exerce son autorité.
- Comment un homme a-t-il pu devenir le maître d’un autre homme, et par quelle espèce de magie incompréhensible a-t-il pu devenir le maître de plusieurs autres hommes ? — (Voltaire, Dictionnaire philosophique, 1767)
- Et tous, me voyant en bons termes avec le maître tout-puissant, sont pour moi pleins d'amabilité et de prévenances. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 95)
- J’aimais à relire la vie des flibustiers […] maîtres de ces parages au XVIIe et au XVIIIe siècle, avant que l’entente franco-anglaise mît fin à cette guerre de pillage et de course. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil, tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- « Le maître de maison » désigne le chef de famille.
- (Par extension) Ce qui exerce sa domination.
- Au total, la Révolution n’est restée maîtresse du terrain qu’en Russie, après une lutte acharnée des Rouges contre les Blancs, ceux-ci soutenus par les puissances occidentales. — (Jacques Delpierrié de Bayac, Histoire du Front populaire, Fayard, 1972, page 13)
- (Éducation) Maître d’école ; enseignant dans une école primaire.
- Mêmes les gamines grandelettes peuvent prier en se rendant à l’école et au retour : ça leur fera oublier les prônes du maître d’école, ce suppôt de Satan-là. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Pàtsa s’avance en traînant les pieds, prend la craie et commence, laborieusement, à tracer : « Il n’ai pas a l’école passe qu’il a la pécole. » Éclat de rire général dans la classe. Le maître a du mal à retenir un sourire. — (Robert Dagany, La Muette d’Arenc: Marseille 1950, Le Fioupélan éditions, 2011, chapitre 45)
- Propriétaire ; patron.
- Les fermiers et les paysans n’avaient point vu de maîtres au château depuis un temps immémorial. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
- Joseph, le valet de chambre, entra, présenta à son maître un plateau de vieux laque japonais, au centre duquel une carte de visite se pavanait. — (Octave Mirbeau, Contes cruels : Gavinard)
- En qualité d’enfant du pays et je crois bien d’enfant de la maison, il avait, vis-à-vis de son maître, autant de privautés que de tendresse. « Monsieur notre maître, » disait-il toujours, soit qu’il parlât de lui ou qu’il lui parlât, et le maître à son tour le tutoyait par une habitude qu’il avait gardée de sa jeunesse et qui perpétuait des traditions domestiques assez touchantes entre le jeune chef de famille et le vieux André. — (Eugène Fromentin, Dominique, L. Hachette et Cie, 1863, réédition Gründ, pages 25-26)
- Moi, je n’ai jamais eu de maison. ç’a été d’abord l’hospice, et puis j’ai été à maîtres, et ça sera comme ça jusqu’au bout. — (Marcel Arland, Terre natale, 1938, réédition Le Livre de Poche, page 154)
- Entre eux, les tondeurs sedanais font des assemblées. Après avoir bien réfléchi et discuté avec les maîtres depuis avril, le 1er août 1750 ils décident d’engager la « cloque », c’est à dire la grève générale des sept cents compagnons, et de « muleter » les jaunes de cinquante livres d’amende selon la tradition du compagnonnage auquel ils semblent appartenir. — (Henri Manceau, Des luttes ardennaises, 1969)
- (En particulier) (Élevage) Propriétaire d’un animal domestique.
- Pendant que le maître buvait des petits verres de trois-six, le chien s’était mis à rôder dans les environs, fouillant avidement les tas d’ordures […] — (Octave Mirbeau, « La Mort du chien » dans Lettres de ma chaumière, 1886)
- Le cheval qui est le compagnon fidèle de l’homme est aussi capable de le suivre dans toutes ses pérégrinations […] Comme son maître, il est cosmopolite […] — (Jean Déhès, Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France, École impériale vétérinaire de Toulouse, Thèse de médecine vétérinaire, 1868)
- La nourriture incrassante qu’elles recevaient de la main de leur maître, en les faisant passer peu à peu à l’état de poulardes, nuisait à la régularité de leur pondaison. — (Alexandre Dumas, Histoire de mes Bêtes, Michel Lévy frères, 1867, page 253)
- (Antiquité) (En particulier) Propriétaire d’un esclave.
- Le lendemain était un jour presque ordinaire. Les ordres. Les coups. La faim. la soif et la douleur. Sauf que. Le maître perd de son contrôle et de son assurance rigide. — (Véronique Olmi, Bakhita, Le Livre de Poche, 2017)
- (Par extension) (Sexualité) Celui qui prend le rôle de soumettre un partenaire, lequel accepte celui d’être soumis.
- Éducateur.
- Un troisième ami de la maison, le principal du collège d'Arbois, M. Romanet, exerça une influence décisive sur la carrière de Louis Pasteur. Ce maître, qui se proposait chaque jour d'élever davantage l'esprit et le cœur de ses collégiens, inspirait à Pasteur quelque chose de plus que le respect et la reconnaissance; c'était de l’admiration. — (René Vallery-Radot, La vie de Pasteur, Hachette, 1900, Flammarion, 1941, page 14)
- (Art) (Mélioratif) Personne qui domine un art.
- Le maître de danse lui fit observer, avec toute la politesse possible, qu'on devait dire le coude-pied, parce que , disait-il , en joignant l'exemple au précepte, le pied fait le coude en cet endroit. — (Alexandre Boniface, Manuel des amateurs de la langue française, 1re année, 1813, Paris : chez l’auteur, chez Pillet, chez Le Normant, chez Périsse & Compère, chez Alex. Johanneau, de l'Imprimerie Pillet, 1814, page 151)
- […] Marguerite, d’une aiguille d’or à la pointe arrondie, sondait les plaies avec toute la délicatesse et l’habileté que maître Ambroise Paré eût pu déployer en pareille circonstance. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre X)
- Les maîtres en droit enseignent au nombre de nombreux principes sacro-saints du droit universellement admis, un principe révélé en latin dont la traduction en français s’énonce comme suit : nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude. — (Mamadou Koulibaly, La Guerre de la France contre la Côte d’Ivoire, L’Harmattan, 2003, page 49)
- Maître du dojo.
- Titre des personnes revêtues de certaines charges.
- Maître des comptes.
- (Justice) Titre qu’on donne à un avocat, à un notaire ou à un huissier de justice en France, en Belgique et au Canada.
- (Éducation) Titre de quelqu’un qui est titulaire d’une maîtrise en France.
- (Militaire) (France) Grade donné à un sous-officier dans la Marine nationale française, situé entre son supérieur hiérarchique, le premier maître, et son subordonné, le second maître. Ce grade correspond à celui de sergent-chef dans l’armée de terre française. Les codes OTAN sont OR-7 et OR-6.
- (Franc-maçonnerie) Ancien compagnon ayant atteint le troisième et dernier degré.
- Tous les officiers d’une loge doivent être maîtres maçons. Ils sont élus annuellement.
- (Informatique) Élément depuis lequel on synchronise, par opposition à l’esclave.
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connaitre
- Faire ou avoir fait l’expérience permettant une représentation mentale de quelque chose ou quelqu’un. Avoir l’idée, la notion d’une personne ou d’une chose.
- Je ne connais cette personne que de nom, de réputation, de vue.
- Je ne connais rien de plus vil qu’une telle conduite.
- Faire connaitre son opinion.
- Cet enfant ne connait pas encore ses lettres.
- Connaitre le bien et le mal.
- Je ne lui connais point de défauts.
- Il connut alors que le danger devenait pressant.
- Ce chien connait bien son maitre.
- Ce cheval connait le chemin.
- La plupart des animaux connaissent les plantes qui peuvent leur être nuisibles.
- (Sens figuré) Faire acception, prendre en considération.
- Ne point connaitre, ne plus connaitre quelqu’un, quelque chose : N’en pas faire acception, ne point le prendre en considération.
- Il veut que tous soient également soumis à la discipline et il ne connait à cet égard ni parents ni amis.
- Quand il s’agit de ses intérêts, il ne connait personne.
- Ne plus connaitre quelqu’un : Le traiter comme un inconnu, l’oublier, le mépriser.
- Depuis qu’il est en place, il ne connait plus ses amis, il ne connait plus personne.
- J’estime qu’il s’est déshonoré : je ne le connais plus.
- Se faire connaitre : Dire son nom, sa qualité aux gens dont on n’est pas connu.
- Comme on lui refusait l’entrée, il se fit connaitre.
- L’auteur de ce livre ne veut pas se faire connaitre : Ne veut pas se nommer.
- On dit en des sens analogues
- Faire connaitre qui on est.
- Ne vouloir pas être connu.
- Faire ou dire quelque chose qui décèle les dispositions, les qualités bonnes ou mauvaises que l’on a.
- Caton se fit connaitre de bonne heure par son amour pour la liberté.
- Il s’est fait connaitre avantageusement.
- Acquérir une notoriété, une réputation.
- Il s’est fait connaitre par ses écrits.
- Se dit aussi en parlant des choses qu’on a étudiées, dont on a une grande pratique, un grand usage, auxquelles on s’entend bien.
- Il voudrait tout connaitre.
- Connaitre une langue, une science, un art.
- Il connait les mathématiques, le grec, le latin.
- Connaitre à fond une science, une affaire.
- Connaitre les livres, les pierreries, les tableaux, etc.
- Je ne parle point de ce que je ne connais pas.
- Il connait les ruses du métier, ce que l’expérience nous apprend à connaitre.
- Connaitre ses intérêts.
- Il n’y a rien de si connu.
- Le désir de connaitre : Le désir de s’instruire, de s’éclairer.
- Se dit, dans un sens analogue, en parlant des personnes.
- Je connais bien cet homme, et je peux compter sur lui.
- Je le connais pour ce qu’il est.
- Il a trompé bien du monde, on ne le connaissait pas.
- Cet homme gagne à être connu.
- Je le connais incapable de mentir.
- Je connais votre cœur.
- Vous me connaissez mal, si vous m’attribuez de telles intentions.
- Que vous connaissez peu les hommes !
- C’est un homme qui connait bien le monde.
- Dans le même sens, mais avec une légère nuance, il se dit pour apprécier, juger.
- Le siècle qui posséda ce grand homme ne le connut pas.
- On perdit cet écrivain lorsqu’on commençait enfin à le connatre.
- C’est un homme connu.
- Il est connu par son mérite.
- Signifie en outre avoir des liaisons, des relations avec quelqu’un.
- Connaissez-vous quelqu’un de mes juges ?
- Je n’en connais pas un.
- Il connait tout le monde.
- Je vous le ferai connaitre.
- Je ne connais point cet homme-là, ni ne veux le connaitre.
- Nous vous connaissons depuis longtemps.
- (Par euphémisme) Avoir des relations sexuelles.
- Casanova a connu plus d'une centaine de femmes dans sa vie. Casanova, l'amour à Venise
- Sentir, éprouver, tant au sens physique qu’au sens moral.
- On ne connait point l’hiver à la Martinique.
- Vous êtes heureux de n’avoir jamais connu le mal de dents, le mal de tête.
- Il ne connaissait plus le sommeil.
- Connaitre le plaisir, la peur.
- Il n’a jamais connu la haine, la jalousie, etc.
- Son cœur allait bientôt connaitre l’amour.
- Il ne connait point la crainte.
- J’ai connu l’infortune.
- Pratiquer une chose, l’admettre, s’y conformer, s’y soumettre ; dans ce sens, il se joint ordinairement avec la négation.
- En Angleterre, on ne connait point la loi salique.
- Cet usage n’est point connu dans tel pays.
- Ce peuple ne connait point les raffinements du luxe.
- Il ne connait point ces vains ménagements.
- Sa rage ne connut plus de frein.
- Ce cheval connait la bride, les éperons, etc.
- Ne point connaitre de supérieur, de maitre : N’avoir point de supérieur, de maitre, ou prétendre n’en point avoir, et ne pas vouloir obéir.
- Je ne connais de maitre que vous, que lui, etc.
- Il ne connait plus rien : Sa passion le domine tellement qu’aucune considération n’est capable de l’arrêter.
- Sa fureur ne connait plus rien.
- Avoir autorité et compétence pour juger de certaines matières. En ce sens, il se construit toujours avec de ou un équivalent.
- Ce juge connait des matières civiles et criminelles.
- Il en connait en première instance.
- Il en connait par appel.
- Il ne peut pas connaitre de cela.
- (Pronominal) Prendre une juste idée de soi-même, de ses forces, de sa dignité, etc.
- « Connais-toi toi-même » est une des plus belles maximes de la philosophie antique.
- Je me connais, à sa vue il me serait impossible de me contenir.
- Apprenez à mieux vous connaitre.
- Ne point se connaitre, ne plus se connaitre : Se dit d’une personne que la passion met hors d’elle-même.
- Un homme sage et qui sait se connaitre.
- Il ne se connait plus.
- Se connaitre à quelque chose, en quelque chose : Savoir en bien juger.
- Il se connait en mérite, en poésie.
- Vous connaissez-vous à cela ?
- Je m’y connais mieux que vous.
- Il ne s’y connait point du tout.
- (Pronominal) En parlant des choses, être connu, être perçu d’une façon.
- (Proverbial) (Sens figuré), L’arbre se connait à ses fruits : Une doctrine se juge par ses conséquences.
- (Pronominal) S'utilise avec comme sujet une compétence, et comme COD celui qui la possède[1].
- L’informatique, ça me connait.
- frigorimètre
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taximètre
- Compteur qui enregistre le parcours fourni par une voiture de place et indique, d’après cette distance et d’après le temps écoulé, la somme à payer.
- Tarif des fiacres à taximètre. — Voit. à deux places, tarif de jour dans Paris et hors de l’enceinte fortifiée (attente ou marche lente) : 75 c. pour 1,200 m. ou pour 9 min. d’occupation, 10 c. en plus pour chaque 400 m. en plus ou 3 min. en plus. — (Adolphe Laurent Joanne, Paul Joanne, Paris, 1876)
- Fiacre équipé d'un compteur.
- Certains fiacres furent munis d’un compteur qui indiquait le prix de la course ; donc plus de marchandages ! Ils étaient signalés par des lanternes bleutées. On les appelait les taximètres. Enfin, apparurent les automobiles de louage qui prirent le nom de taxis. — (Édouard Bled, J’avais un an en 1900, Fayard, 1987, page 176)
- Taxi.
- Et surtout vous prendrez bien garde dans les rues de la capitale de ne pas vous faire écraser par les taximètres automobiles... — (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts, Plon, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 383)
- (Marine) Instrument dérivé de la boussole et qui indique l'axe d'un navire par rapport à l'axe du méridien.
- M. Santi a inventé un instrument qu'il nomme taximètre azimutal, qui sert à déterminer toutes les positions de l'axe du navire par rapport au méridien. — (Le Baron et Brissé, Album de l'Exposition universelle [de 1856], Éd. Abeille impériale, Paris 1857)
- Sur les grands navires, il y a un taximètre à chaque extrémité de la passerelle ; mais, sur un petit navire, on devra souvent se contenter, en guise de taximètre, d'un compas de relèvement qui aura un cercle gradué [...]. — (A travers le monde, Volumes 3 à 4, Éd. Hachette, 1897)
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clinomètre
- Appareil mesurant l'inclinaison d'un plan par rapport à l'horizontale, par exemple, la pente d'un terrain.
- Elle porte un clinomètre à chaque extrémité, ces deux appareils ayant une position fixe l'un par rapport à l'autre. — (Henri Cambefort, Forages et sondages: leur emploi dans les travaux publics, 1959)
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hygromètre
- (Métrologie) Instrument servant à mesurer le degré d’humidité ou de sécheresse de l’air.
- Plus tard, anémomètres et hygromètres compléteront la panoplie des outils de mesure. — (France Mutuelle Magazine, n° 175, janvier-février-mars 2023, page 46)
- L’hygromètre à fibres fonctionne grâce à la variation de la longueur de certaines fibres en fonction de l’humidité. — (Marcel Thouin, Résoudre des problèmes scientifiques et technologiques au préscolaire et au primaire, 2019)
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permettre
- Donner liberté, pouvoir de faire, de dire.
- […] il n’est pas permis, excepté sur le théâtre, d'avoir l'air aussi pittoresque que vous, avec vos flanelles blanches, votre chemise mauve et votre cravate violet foncé ! Si j'étais votre grand-mère, je vous enverrais changer de costume. — (Florence Louisa Barclay, Le rosaire, traduit de l'anglais par E. de Saint-Segond, Éditions Payot, 1925, page 26)
- Il n’a fait que ce que la loi lui permettait.
- Les lois ne permettent pas l’exportation de telle denrée, ne permettent pas le port de certaines armes.
- Il n’est pas permis de se venger soi-même.
- Permettez que je m’absente.
- Vous me permettrez ou
- Permettez-moi de vous dire, de vous faire remarquer. Formule de politesse dont on fait usage en disant à quelqu’un une chose contraire au sentiment, à l’opinion qu’il vient de manifester.
- On dit aussi simplement, dans le même cas : Permettez. On adresse encore cette formule à une personne à laquelle on cause quelque dérangement.
- Lafcadio ne doit pas tarder à… Il a seulement été jusque chez le… Oh ! permettez !… — (André Gide, Les Caves du Vatican, 1914)
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chevêtre
- (Charpenterie) Pièce de bois ou de métal dans laquelle on emboîte les soliveaux d’un plancher ou fermant la trémie d'un escalier.
- (Serrurerie) (Vieilli) Barre de fer pour soutenir un bout de solive.
- (Chirurgie) Bandage dont on se sert lors de la fracture ou de la luxation de la mâchoire inférieure.
- (Construction) Élément horizontal coiffant un ou plusieurs poteaux et servant à l’appui du tablier d’un pont.
- (Vieilli) Licou.
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admettre
- Recevoir par choix, faveur ou condescendance.
- Admettre quelqu’un dans une société, dans une compagnie, à sa table.
- Admettre quelqu’un au nombre de ses amis.
- Admettre à la participation des sacrements.
- Il fut admis à l’audience du Prince.
- Admettre quelqu’un à se justifier. Permettre qu’il expose ce qui peut le justifier, consentir qu’il se justifie dans les formes.
- Admettre quelqu’un à faire preuve, admettre à la preuve.
- Admettre quelqu’un à faire valoir ses droits à une pension de retraite.
- Admettre les raisons, les excuses de quelqu’un. Les recevoir pour bonnes, pour valables.
- Admettre une requête.
- Reconnaître pour véritable.
- Nous sommes si éloignés de connaître tous les agens [sic] de la nature, et leurs divers modes d’action ; qu’il ne serait pas philosophique de nier les phénomènes, uniquement parce qu’ils sont inexplicables dans l’état actuel de nos connaissances. Seulement, nous devons les examiner avec une attention d’autant plus scrupuleuse, qu’il paraît plus difficile de les admettre ; et c’est ici que le calcul des probabilités devient indispensable, pour déterminer jusqu’à quel point il faut multiplier les observations ou les expériences, afin d’obtenir en faveur des agens [sic] qu’elles indiquent, une probabilité supérieure aux raisons que l’on peut avoir d’ailleurs, de ne pas les admettre. — (Pierre-Simon de Laplace, Essai philosophique sur les probabilités, Mme Ve Courcier, Paris, 1814 (2e édition))
- Notre grand botaniste Tournefort, se fondant principalement sur les observations qu’il avait faites dans la grotte d’Antiparos, et, comme l’a dit Fontenelle, transformant tout en ce qu’il aimait le mieux, avait admis la végétation des pierres. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, Les Métamorphoses et la généagénèse, Revue des Deux Mondes, 2e période, tome 3, 1856 (pp. 496-519))
- Si l’on admet que, pour végéter, la plante doive retirer du sol les principes minéraux qui lui sont nécessaires, il n’y a plus d’espèces préférantes ni indifférentes, mais uniquement des espèces propres à tel ou tel sol. — (Bulletin de la Société Botanique de France, vol.5, page 73, 1858)
- En admettant donc que les engrais fertilisent le sol en suppléant à la déperdition des matières azotées contenues dans les débris végétaux qui s'épuisent, débris renfermés dans le sol, on peut poser le principe fondamental suivant : « […] ». — (Jean-Augustin Barral, « Application de la chimie à l'agriculture, I : Culture », dans le Journal d'agriculture pratique et de jardinage, sous la direction de Alexandre Bixio, 2e série, tome 1 (juillet 1843-juin 1844), Paris : Librairie agricole de la Maison Rustique, p. 247)
- Les honnêtes gens dorment à cette heure là. Oh ! Il y a bien quelques insomniaques qui reluquent entre les lattes des persiennes, mais personne ne l’admettra jamais. — (André Jacques, Une aventure d'Alexandre Jobin, tome 3 : La Commanderie, Éditions Québec Amérique, 2009)
- (Sens figuré) Autoriser ; permettre.
- Admettre cette préséance, c’est léser l’esprit républicain, porter atteinte aux principes de 89, faire fi des sacrifices consentis par les révolutionnaires de 1830 à 1871, […] ! — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Émile Abdou faillit s’étrangler. Des pétasses qui l’envoyaient aux pelotes avec des airs de garde-chiourme, il ne pouvait l’admettre. — Passez-moi votre Directeur ou je fais un scandale, tonitrua Émile Abdou Cambalele. — (Luc Couillard, Les Soleils du Baboukari, Éditions Les 3 Orangers, 2014)
- Cette affaire n’admet point de retard. — Cette substance admet dans sa composition tel élément.
- Accepter l'accès ou la présence.
- Il se fit admettre à bord d’un brick qui partait de Boston sans son fret habituel de bois, et dont le capitaine se proposait de« rentrer chez lui », à South Shields. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 418 de l’édition de 1921)
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voltmètre
- (Métrologie) (Électricité) Instrument de mesure spécialisé dans la mesure des tensions électriques.
- Dans ce cas, la tension mesurée par le voltmètre varie lorsqu’on inverse la polarité de la tension à mesurer et la mesure n’a plus de sens. — (Émile Fromy, Mesures en radiotechnique, Dunod, 1958, page 77)
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pelvimètre
- (Obstétrique) Instrument pour mesurer les diamètres du bassin.
- Cette appréciation peut d'ailleurs se faire sans l'aide d'instruments, par la palpation seule ; le pelvimètre semble devenir de plus en plus une pièce de musée. — (Helvetica Medica Acta, volume 5, 1938)
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lettre
- Chacun des caractères d’un alphabet représentant un son, voyelle ou consonne.
- Et le ch dur, par quoi le remplacer ? Ici je me sépare de Ronsard, qui voulait qu’on le remplaçât par le k. Non ; le k n’est pas une lettre française, c’est une lettre à air barbare, cela doit venir du Kamtchatka. — (Émile Faguet, Simplification simple de l’orthographe, 1905)
- Épinal ! Nous descendons. À 425 kilomètres de Paris 326 mètres d’altitude, nous apprend la plaque bleue aux lettres blanches apposée dans la gare […] — (Gustave Fraipont, Les Vosges, 1923)
- Près du commissariat […] un magasin de nouveauté s’intitulait, en lettres énormes également : À la Belle Polonaise […] — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- Il en conclut que si Guillaume aime tant cette lettre K, c’est parce qu’elle affecte l’allure d’un soldat prussien marchant au pas de l’oie. — (Bruno de Perthuis, Du Kapitaine à la Grande Guerre des K, dans Images de l’étranger, Pulim, 2006, page 155)
- Écrire un nombre en lettres ou en toutes lettres : L’écrire, non en chiffres, mais avec les mots qui correspondent aux chiffres.
- (Par extension) (Typographie) Police de caractères ou manière de représenter les lettres.
- Puis, en grosses lettres, cette phrase : « Plus il y aura d'acheteurs de blé, meuniers ou négociants, plus les agriculteurs vendront le leur facilement et cher. ». — (Annales de la Chambre des députés : Débats parlementaires, Paris : Imprimerie du journal officiel, 1921, page 1002)
- Lettre gothique, italienne, bâtarde, ronde ou française, cursive ou courante.
- (Typographie) Chacun des caractères individuels d’une police.
- Le plein, le délié, les jambages, le corps, la queue d’une lettre.
- L’œil de cette lettre est trop petit, est trop gros.
- Bien former, mal former ses lettres.
- Lettre majuscule, minuscule.
- Lettre capitale.
- Lettre du bas de casse.
- Lettre italique.
- Message écrit sur du papier, expédié à un destinataire, généralement sous pli.
- Grégoire ! cria La Hurière, du papier blanc pour écrire une lettre, des ciseaux pour en tailler l’enveloppe ! — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre VII)
- Dans un tiroir, il y avait trente billets de mille francs, trente, attachés, par paquets de dix, avec des faveurs roses, ainsi que des lettres d’amour… — (Octave Mirbeau, Lettres de ma chaumière : La Tête coupée, A. Laurent, 1886)
- Il trouva des papiers d’un caractère absolument privé, et, entre autres, d’ardentes lettres d’amour tracées d’une grande écriture féminine. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 90 de l’édition de 1921)
- le général Sarrail […] interdit aux militaires sous ses ordres d’envoyer leurs lettres par la poste. Toutes les correspondances doivent être remises au vaguemestre. La surveillance est ainsi plus facile. — (Pierre Audibert, Les Comédies de la Guerre, 1928, page 93)
- Dans une lettre adressée au duc de Nevers, en 1208, Innocent III exhale sa rancœur contre les juifs. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- La vieille route est une fondrière que sauf le « piéton », porteur de la gazette ou de lettres, nul étranger n’emprunte plus… — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Pour communiquer une information importante à l’opinion, l’administration publique (centrale et locale) procède principalement par voie d’affichage dans ses bâtiments, ses périodiques et recourt aussi à des communiqués de presse et à des lettres d’information, ainsi qu’à la radio et à la télévision dans un certain nombre de villes et de régions. — (OCDE, Des citoyens partenaires : information, consultation et participation à la formulation des politiques publiques, 2002)
- Nous agissons en écrivant des lettres lorsque nous constatons le non-respect des règles d’utilisation de la majuscule. — (Alain Bouissière, Le Bar du subjonctif, Hatier, 1999)
- Lettre pastorale : Communication adressée par un évêque aux fidèles de son diocèse et lue en chaire par les curés.
- (Imprimerie) Caractère de métal, alliage de plomb, d’antimoine et d’étain, représentant en relief une des lettres de l’alphabet.
- Lettre grise : Grande lettre capitale ornée de certaines figures et ordinairement gravée sur bois ou sur cuivre.
- Faire de la lettre : Distribuer la composition.
- Lever la lettre : Prendre les lettres les unes après les autres dans les cassetins d’une casse et les aligner sur le composteur pour en faire des mots et des chapitres.
- Lettre moulée : Lettre imprimée.
- (Par métonymie) En parlant d’un texte, se dit du sens littéral, par opposition au sens figuré ou extensif.
- La religion comme elle était établie, organisée, hiérarchisée, ressassait une parole morte, elle avait perdu l’esprit pour la lettre. — (Éric-Emmanuel Schmitt, L’Évangile selon Pilate, prologue, Albin Michel, 2000)
- La lettre tue, mais l’esprit vivifie.
- Juger suivant la lettre de la loi.
- S’en tenir à la lettre.
- Il ne faut pas prendre cette phrase, cette expression à la lettre, au pied de la lettre.
- La chose doit s’entendre à la lettre.
-
tonomètre
- (Métrologie) (Ophtalmologie) Appareil permettant de mesurer la pression intra-oculaire.
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oscillomètre
- Instrument propre à mesurer des oscillations.
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scléromètre
- (Minéralogie) Instrument propre à fournir une sorte de mesure de la force qu’on emploie pour vaincre la dureté d’un minéral, c’est-à-dire pour le rayer à l’aide d’une pointe.
- Instrument pour mesurer la densité de la poterie.
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radiogoniomètre
- Récepteur radio permettant de déterminer la position d’un poste émetteur par triangulation.
- Le radiogoniomètre fut employé pendant la guerre pour déceler la position de postes clandestins.
- Pour résoudre ce mystère, un technicien de l'ANFR, l'agence nationale des fréquences, s'est rendu sur place, à Messanges, avec un véhicule-laboratoire tout équipé, doté d'un radiogoniomètre sur le toit, un appareil de détection d'ondes hostiles. — (Renaud Biondi-Maugey, Sans le savoir, un père de famille prive ses voisins d'internet et de téléphone dans les Landes, France Bleu Gascogne, 2022)
- Récepteur radio permettant à un avion ou à un navire de connaître instantanément et avec précision sa position et son cap en captant des balises fixes au sol dont la position est connue.
- Depuis de nombreuses années, la plupart des navires ont un radiogoniomètre de bord et peuvent faire le point en mesurant le relèvement de quelques radiophares à rayonnement circulaire. — (Louis Leprince-Ringuet, Grandes découvertes du xxe siècle, éditeur Larousse, 1956)
- L’aviation se sert également à bord d’un radiogoniomètre perfectionné qui peut, à volonté, donner des relèvements par lecture directe (radiocompas) ou conduire l’avion vers le radiophare choisi (homing). — (Louis Leprince-Ringuet, Grandes découvertes du xxe siècle, éditeur Larousse, 1956)
- elaiometre
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goniomètre
- (Géométrie, Minéralogie) Instrument qui sert à mesurer les angles.
- Cet appareil, comme tous les goniomètres, sert à mesurer les angles. — (Cécile Michaut, Patrimoine scientifique : ces instruments sauvés de l’oubli, Le Monde. Mis en ligne le 18 décembre 2018)
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acétimètre
- (Chimie) Instrument pour reconnaître les sophistications du vinaigre.
- L’acétimètre est un acidimètre servant à mesurer la concentration d’un liquide en acide acétique.
- En tout autre cas, le service recourt à l’emploi d’un instrument spécial : l’acétimètre Salleron, qui permet de déterminer la catégorie à laquelle appartiennent les produits imposables. — (Joseph Caillaux, Albert Touchard, Georges Privat-Deschanel, Les Impôts en France : traité technique, 1904)
- radiospectromètre
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sonomètre
- Appareil destiné à mesurer, en décibels, le niveau sonore.
- exposimètre
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.