Dictionnaire des rimes
Les rimes en : mettant
Que signifie "mettant" ?
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- Participe présent de mettre.
- Vous aviez été mon nourrisson, car votre mère était morte en vous mettant au monde. — (Alexandre Dumas, Les Deux Diane, 1847, chapitre 1)
- Lorsqu’on commence à les décontenir, ces pré-adolescents trouvent d’autres dispositifs de contention, par exemple en se mettant dans des cartons, dans des tunnels de jeu, moments où ils montrent qu’ils peuvent reprendre à leur compte cette expérience psychosomatique qu’est la contention. — (Maurice Berger, Voulons-nous des enfants barbares ?, 2013)
Mots qui riment avec "an"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "mettant".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : an , ans , ant , ants , and , iant , iants , ents , ment , emp , emps , end et ends .
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abouchement
- (Vieilli) Action d’aboucher ou de s’aboucher.
- On avait ménagé un abouchement entre eux.
- L’abouchement des deux princes n’eut pas le succès qu’on en attendait.
- (Sens figuré) Entrevue, rencontre, conférence, entretien.
- (Anatomie) Union, jonction de deux vaisseaux.
- L’abouchement de deux tubes, de deux tuyaux.
- La proximité de la terminaison du canal de Wolff et du canal de Müller expliquerait l’abouchement de l’uretère dans ce dernier (vagin, utérus, utricule prostatique), à moins qu’il ne faille faire intervenir dans la genèse de ces ectopies des communications anormales entre canaux de Wolff et de Müller. — (Jean Cibert, Tumeurs de l’uretère, abouchements ectopiques de l’uretère, les urétérocèles, 1960)
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abêtissement
- Action d’abêtir.
- Mais comment pourra-ton satisfaire au besoin moral des masses ? On ne le peut que par une instruction publique généralement gratuite, […]. Mais si, comme jusqu'alors, les instituteurs sont inconsidérés, tourmentés, vexés, impayés, mal logés, à une merci ingrate, paupérisante et dégradante, sous une dépendance entravante et serve, sous le coterisme du prêtre et de quelques factotons de village, les populations ne sortiront pas de leur ignorance, resteront dans leur abêtissement et leur abrutissement, […]. — (« Abêtissement », dans Enrichissement de la langue française : dictionnaire des mots nouveaux, de Jean-Baptiste Richard de Radonvilliers, Paris : chez Pilout & Troyes : chez Laloy, 1842, page 14)
- La renaissance de la superstition, qu’il avait crue enterrée par Voltaire et Rousseau, lui semblait, dans la génération nouvelle, le signe d’un complet abêtissement. — (Ernest Renan, Souvenirs d’enfance et de jeunesse, 1883, collection Folio, page 70)
- Tant d’abêtissement aussi autour des landaus du square Carpeaux, tant de : « C’est mignon comme ça, ça ne devrait jamais grandir ! » — (Philippe Delerm, Il avait plu tout le dimanche, Mercure de France, 1998, page 106)
- À partir de là, on peut combiner les motifs existentiels de Cavell et de Sartre et mettre le doigt sur un double danger : un abêtissement vers le haut et un abêtissement vers le bas. — (Markus Gabriel, Pourquoi je ne suis pas mon cerveau, 2017)
- État d’une personne abêtie.
- L’alcool est responsable de son abêtissement.
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aisément
- D’une manière aisée.
- J’en viendrai aisément à bout.
- Je veux des chaussures que je puisse mettre aisément.
- Travailler aisément.
- Faire aisément des vers.
- Il change aisément d’avis.
- Vivre aisément.
- Ce cheval va aisément.
- Ce caractère soudain, intuitif, de la «découverte» gœthéenne, peut évidemment être aisément reproché au poète. — (Maurice Elie, Lumière, couleurs et nature, 1993)
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acidifiant
- Qui acidifie.
- Ceci montre combien est peu fondée la distinction qu’ont établie certains auteurs entre les bactéries acidifiantes et les bactéries alcalinisantes. Ces variations de réaction dépendent essentiellement de la nature du milieu. — (Émile Marchal, « Sur la production de l’ammoniaque dans le sol par les microbes », in Annales de la Société belge de microscopie, tome xvii, A. Manceaux, Libraire-Éditeur, Bruxelles, 1893)
- L’exemple du pain est frappant : certains affirment que le pain à base de farine blanche est acidifiant et que le pain à base de farine complète est alcalinisant. — (Hervé Grosgogeat, La Méthode acide-base, 2007)
- Boire au moins un litre et demi d’eau par jour et adopter une alimentation non acidifiante (pauvre en graisses animales, en sucre, et limitée en laitages), alcalinisante, riche en vitamines C et E, oligoéléments et minéraux (fruits et légumes), en plantes aromatiques et épices (curcuma) et surtout en oméga 3 (poissons gras, huiles de noix et de colza). — (France Mutuelle Magazine, n° 175, janvier-février-mars 2023, page 23)
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ans
- (Linguistique) Code ISO 639-3 de l’anserma.
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temps
- Durée des choses, marquée par certaines périodes, et principalement par la révolution apparente du soleil ; écart entre le déroulement de deux événements.
- Le temps, « cette image mobile / De l’immobile éternité », mesuré ici-bas par la succession des êtres, qui sans cesse changent et se renouvellent, se voit, se sent, se compte, existe. Plus haut, il n’y a point de changement ni de succession, de nouveauté ni d’ancienneté, d’hier ni de lendemain : tout y paraît, et tout y est constamment le même. — (Joubert, Pensées, essais et maximes, 1838)
- Le seul recours contre le temps est de le mesurer à ce double pas, comme ceux qui ont affaire personnellement à lui, les sentinelles, les officiers de quart. — (Jean Giraudoux, Retour d’Alsace - Août 1914, 1916)
- Le temps avait passé. Dix heures venaient de sonner à la vieille horloge comtoise. — (Louis Pergaud, Le retour, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Les heures de ces dimanches pareillement nus, glissent, lentes, torpides. Le temps semble s’être arrêté. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 92)
- L’antagonisme se traduit pas deux concepts qui bizarrement sont traduits par deux mots dans les langues anglo-saxonnes et par un seul mot dans les langues latines. Le temps en français désigne l’heure qu’il est à ma montrer et la couleur du ciel. En anglais, on dit Time et Weather, en allemand Zeit et Wetter. — (Michel Tournier, Jules Verne ou le Génie de la géographie, dans Les vertes lectures, collection Folio, 2007, page 95)
- Le temps nous apparaît comme une flèche lancée par un mystérieux archer. Quoi que nous fassions, les secondes s'écoulent, inéluctables. — (Frédéric Lenoir, Petit traité de vie intérieure, Plon (« Pocket »), 2010, page 136)
- Einstein associe l’espace et le temps dans sa théorie d’un univers à quatre dimensions.
- Tu en as mis, du temps ! Tu as été bien long.
- (Par extension) (Mythologie) Sa représentation sous la figure d’un vieillard ailé qui d’une main tient une faux, et de l’autre un sablier.
- Le Temps est représenté sous la figure d'un vieillard , tenant une faux de la main droite , et de l'autre un serpent qui se mord la queue. On lui donne des ailes, et l'on place près de lui un sablier. La faux indique que le Temps moissonne tout; le serpent qui forme un cercle désigne l'éternité, qui n'a ni commencement ni fin. Le sablier indiqué la mesure du Temps et les ailes, sa rapidité. — (Pierre Capelle, Dictionnaire d'éducation morale, de science et de littérature, Paris : chez Haut-Cœur & Gayet jeune, 2e édition, 1824, volume 2, page 483)
- Cette représentation du Temps appuyé sur ses béquilles, avec la faux posée sur le sol à côté du sablier renversé, inopérant donc, est statique, non pour peindre l'instant, mais plutôt le suspens. — (Max Engammare, L'Ordre du temps : L'Invention de la ponctualité au XVIe siècle, Librairie Droz, 2004, page 201)
- Durée limitée, par opposition à l’éternité.
- Platon a dit que le temps est une image mobile de l’éternité immobile.
- Avant tous les temps, avant les temps, avant le temps, Avant la création du monde.
- (Spécialement) Durée longue ; époque ; période ; ère.
- Tous ont successivement combattu pour ou contre les Jacobins, selon les temps & les circonstances. — (Maximilien de Robespierre, Discours contre Brissot & les girondins, 10 avril 1793)
- C’est que Marguerite était non-seulement la plus belle, mais encore la plus lettrée des femmes de son temps. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre I)
- Ah ! le temps joyeux de la stupidité, de pharisaïsme à rebours où les petits messieurs pressés se hissaient paisiblement sur la crête de la notoriété. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 133)
- Il est très difficile de savoir dans quelle mesure les foules se sont émues des événements politiques de leur temps (bien entendu, je laisse de côté les mouvements proprement populaires). Les foules n’écrivent pas leurs mémoires et ceux qui rédigent les leurs ne parlent guère d’elles. — (Julien Benda, La trahison des clercs, 1927, éd. 1946)
- Le système de Buffon sera surtout repris par le plus grand hippiatre de l’époque, le fondateur de la science vétérinaire, l’écuyer le plus célèbre de son temps : Claude Bourgelat. — (Jacques Mulliez, Les chevaux du Royaume : Histoire de l’élevage du cheval et de la création des haras, Montalba, 1983, page 213)
- (Spécialement) Succession des jours, des heures, des moments, considérée par rapport aux différents travaux, aux diverses occupations des personnes.
- J’aurais voulu visiter le fameux sanctuaire d’Atesh-Gâh ; mais il est à vingt-deux verstes de la ville, et le temps m’eût manqué. — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre III, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- Il s’acharnera au travail, il ne ménagera ni son temps, ni ses forces, à une époque où le radium et la radiothérapie profonde était encore inconnue. — (Bulletin de la Société d’obstétrique et de gynécologie de Paris, 1924, volume 3, page 403)
- Employer bien le temps. — Ménager bien le temps. — Le temps est précieux. — Il faut beaucoup de temps pour cela.
- Durée limitée.
- Ce soldat a fait son temps de service. — Prêtez-moi cela pour quelque temps. — Cela n’a pas laissé de durer un certain temps.
- Durée plus ou moins longue selon le contexte.
- Ce qui m’émerveillait le plus dans les premiers temps, c'était l’étonnante habileté de nos poneys à se tirer d'affaire au milieu d'un chaos de débris volcaniques où un piéton aurait pu difficilement trouver son chemin. — (Jules Leclercq, La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla, Paris : E. Plon & Cie, 1883, page 82)
- Cela fait un petit temps qu’on ne s’est plus vus. — Il y a un petit temps d’adaptation.
- Délai.
- Quand Napoléon III fut empoigné à Boulogne pour avoir donné une seconde représentation du débarquement à Cannes, on le jeta au cachot et on l’emmena à Paris sans lui donner le temps de changer de chemise. — (Arsène Houssaye, Les Confessions, tome IV : Souvenirs d’un demi-siècle 1830-1880, tome 4, Paris : chez E. Dentu, 1885-1891, chapitre 4)
- Je vous demande encore un peu de temps pour vous payer. — Je vous demande du temps. — Vous me donnez un temps bien court.
- Prendre du temps. — Accorder du temps. — Obtenir du temps. — Donner un an de temps.
- Loisir.
- Je n’ai pas le temps de vous parler. — Il est si occupé qu’il n’a pas le temps de lire.
- Époque déterminée.
- Payer dans le temps porté par l’obligation. — Prévenir le temps. — Devancer le temps. — Le temps approche.
- Dès que le temps sera venu, sera échu. — Marquez-moi précisément le temps. — Elle est accouchée avant le temps.
- Époque dont on parle ; cette époque-là.
- Suivants les mémorialistes conservateurs du temps, Jules Simon, d'ailleurs, ne néglige rien de ce qui peut le faire agréer par le maréchal. — (Alexandre Zévaès, Histoire de la Troisième République 1870 à 1926, Éditions Georges-Anquetil, 1926, page 145)
- Conjoncture, occasion propre, moment.
- Le temps est favorable. — Un temps plus opportun. — Laisser passer le temps de faire quelque chose.
- Ce n’est pas le temps de parler de cela. — Attendez à un autre temps. — Chaque chose a son temps.
- Il y a temps de rire et temps de pleurer, temps de parler et temps de se taire.
- Saison propre à chaque chose.
- Le temps des vendanges, de la moisson.
- Dans le temps des perdreaux, Dans le temps où l’on va à la chasse des perdreaux.
- Les siècles, les différentes époques par rapport à la chronologie, des différents âges de la vie.
- Les temps fabuleux. — Les temps héroïques. — Les temps historiques. — Du temps d’Auguste.
- Nous n’avons pas vu, nous ne verrons pas cela de notre temps. — Ils vivaient dans le même temps.
- Il était de mon temps. — Au bon vieux temps. — Dans mon jeune temps. — Au temps de ma jeunesse.
- Les jours d’action avec les camarades et les aventures lui semblaient des jours passés, des jours du vieux temps où l’on vivait chez les hommes. — (Charles-Louis Philippe, Bubu de Montparnasse, 1901, réédition Garnier-Flammarion, page 130)
- Période déterminée par rapport à l’état où sont les choses pour le gouvernement d’un pays, pour les manières de vivre, pour les modes, etc.
- Le temps approche où le grand commerce va, plus que les guerres de chevalerie, tenter les jeunes Anglais aventureux. — (André Maurois, Histoire de l’Angleterre, Fayard & Cie, 1937, page 236)
- C’était un bon temps, un temps heureux. — Un temps misérable, un temps de corruption, un temps de trouble.
- En temps de paix et en temps de guerre. — Dans les temps difficiles. — Les temps sont bien changés.
- Les temps sont durs. — C’est le goût du temps. — Cela n’est pas surprenant par le temps qui court.
- Phase, étape.
- Le projet se déroulera en deux temps. — Un moteur quatre temps.
- Moment précis, en escrime ou en exercices militaires, pendant lesquels il faut faire certains mouvements qui sont distingués et séparés par des pauses.
- Pousser une botte en deux temps, en trois temps. — Temps d’arrêt.
- (Danse, Musique) Chacune des principales divisions de la mesure, dont les unes sont plus marquées que les autres dans l’exécution, quoique d’ailleurs elles soient égales en durée.
- Et voici que des guirlandes de jeunes filles, fleurs rieuses dans leurs corolles couleur de ciel, couleur d'eau, couleur de feuille, essaient la cadence des rondes dont le cornemusiste joufflu guidera aigrement les temps. — (Marcel Brion, La reine Jeanne, Éditions Robert Laffont, 1944, chapitre 1)
- Mesure à deux temps, à trois temps, à quatre temps. — La mesure se divise en temps forts et en temps faibles.
- Rythme, en parlant de métrique de la phrase ou du vers.
- Les temps forts. — Le temps marqué.
- Une des pauses ou un des silences qu’on observe entre certaines phrases, entre certains mots, dans une déclamation.
- Lorsqu’on parle en public, il est bon d’observer des temps entre certains mots, entre certaines phrases.
- Après ce vers, il y a un temps à garder. — Prendre un temps.
- Là, j’ai pris un temps de sociétaire. C’est le temps de silence, bien long, que prend un sociétaire sûr de lui, avant de lâcher une réplique « à effet ». — (Jacques Charon, Moi, un comédien, 1975, page 64, note 1)
- (Grammaire) Quelqu’une des différentes formes qui marquent dans les verbes le moment auquel se rapporte l’action ou l’état dont on parle.
- Un lecteur m'écrit « La prof de français nous a dit qu'il est inutile d'apprendre à conjuguer le passé simple, car c'est un temps archaïque, aujourd'hui complètement inusité ». — (François Cavanna, « Fessons la prof ! » dans Plus je regarde les hommes, plus j'aime les femmes, éditions Albin Michel, 2005)
- Disposition de l’air ; état de l’atmosphère ; climat du moment.
- On établit un service aérostatique. Chaque jour, lorsque le temps le permet, un ou plusieurs ballons sont lancés. — (Général Ambert, Récits militaires : L’invasion (1870), Bloud & Barral, 1883, page 165)
- Depuis quelques jours, le temps s’est enfin remis au beau. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 110)
- La fatigue, le temps morne (j’entends de la pluie dans le soir), l’ombre qui augmente ma solitude et m’agrandit malgré tous mes efforts et puis quelque chose d’autre, je ne sais quoi, m’attristent. — (Henri Barbusse, L’Enfer, Éditions Albin Michel, Paris, 1908)
- Le temps s’était gâté tout à fait, et les dirigeables, gênés par la nécessité de tenir tête au vent, manœuvraient malaisément. Les rafales, accompagnées de grêle et de tonnerre, se succédaient, accourant du sud sud-est. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 238 de l’édition de 1921)
- Le temps était très beau avec vent faible et houle de l’ouest-nord-ouest. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- Sous le porche, un boueux attendait l’arrivée de la voiture en songeant que, par un temps pareil, elle ne viendrait sans doute pas. — (Francis Carco, Brumes, Éditions Albin Michel, Paris, 1935, page 62)
- La célébration du mouloud, de la nativité du Prophète, à laquelle je viens d’assister, fut un beau spectacle surtout en raison du temps superbe dont il a été favorisé. — (Frédéric Weisgerber, Au seuil du Maroc Moderne, Institut des Hautes Études Marocaines, Rabat : Les éditions de la porte, 1947, page 234)
- Sur toute l’Ardenne, le temps s’était levé. Le ciel était bleu éblouissant, la neige étincelait au soleil. — (Georges Blond, L’Agonie de l’Allemagne 1944-1945, Fayard, 1952, p.155)
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adoptant
- (Droit) Personne qui adopte quelqu’un légalement.
- En effet, votre ambition ne se borne pas à améliorer les modalités de l’adoption, en ce qui concerne les conditions de l’abandon et du choix éventuel des adoptants, mais également à rechercher, sans préjugés ni parti pris, ce qui peut et devrait être fait pour que l’enfant délaissé trouve les meilleures chances d’épanouissement pour le présent et l’avenir. — (Simone Veil, discours à un colloque sur l’adoption, 2004, dans Simone Veil, Mes combats, Bayard, 2016, page 411)
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acquittement
- Action d’acquitter, en parlant de dettes ou d’engagements.
- Vous aurez là un ensemble [...] d’une poésie toute Moyen-Âge, quoique le monument n’ait été construit qu’en 1602 en acquittement d’un vœu fait quatre ans auparavant à propos de je ne sais quelle épidémie. — (Gustave Flaubert et Maxime Du Camp, Par les champs et les grèves (Voyage en Bretagne), 1886, Le Livre de poche, page 182-183, 2012)
- L’acquittement, l’entier acquittement des dettes, des frais d’une succession.
- (Droit criminel) Renvoi d’un accusé déclaré non coupable.
- Dans ce cas, il se peut que le seul espoir d'acquittement pour les défendeurs soit de convaincre le jury de la justesse de leur cause, et la défense politique devient alors clairement préférable. — (Denis Allard, Santé mentale et processus sociaux: Volumes 17 à 18, 1985)
- M. le juge d’instruction Guillot demande, avec raison, que l’on enferme aussi étroitement ces candidats à la folie, ces demi-fous, demi-criminels, demi-responsables dont l’acquittement est arraché à la faiblesse et à la crédulité des jurys. — (Polydore Fabreguettes, De la responsabilité des criminels, 1892, page 31)
- Gérard Chemla, avocat de parties civiles, le reconnaît : il s’attendait « à tout, notamment à d’éventuels acquittements ». — (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 14 décembre 2022, page 6)
- (Informatique) Confirmation, par l’utilisateur d’une machine, qu’il a vu et pris en compte un signal ou un message de la machine.
- La procédure ne peut reprendre qu’après acquittement du message d’erreur.
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permettant
- Participe présent de permettre.
- Parallèlement à la rivière, afin de régulariser le cours de l’eau, les paysans ont d’abord creusé puis cimenté un canal de dérivation équipé de batardeaux, ouvrages permettant de régler le débit de l’eau. — (Michelle Jeanguyot, Nour Ahmadi, Grain de riz, grain de vie, CIRAD/Magellan & Cie, 2002, page 55)
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purement
- (Didactique) D’une manière pure, avec pureté.
- (En particulier) D’une manière pure et innocente.
- Vivre purement.
- (En particulier) Avec une grande propriété d’expressions, en n’employant que des tours conformes à l’usage et au génie de la langue.
- Parler, écrire purement.
- (En particulier) D’une manière exacte, correcte.
- Dessiner purement.
- Uniquement ; simplement.
- S'il y eut des saintes et des martyres, en revanche point de papesses ou seulement de clergeonnes. La messe est purement virile. — (Roger Judrin, Goûts et couleurs: portrait abécédaire, Plon, 1966, p.108)
- En 1910, Ehrlich avait réussi à obtenir le premier exemple d'un médicament antimicrobien purement synthétique. Il s'agissait du salvarsan, en l'occurrence un composé contenant de l'arsenic (…). — (Graham L. Patrick, Chimie pharmaceutique, traduit par Paul Depovere, De Boeck, 2002, page 376)
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systématiquement
- De manière complète et avec une méthode précise.
- Nous allons procéder systématiquement à l’analyse de chaque dossier.
- Les enquêteurs ont fouillé la maison du suspect systématiquement, de fond en comble.
- (Familier) À chaque occasion.
- Nous employons ici systématiquement comme liquide de contraste des solutions triiodées hydrosolubles de faible concentration (25 % à 35 % max.). — (André A. Arianoff, La sphinetérotomie de l’oddi en chirurgie biliaire: Indications, techniques, résultats, Éditions Arscia, 1968, page 50)
- On dit bien souvent que les bons développeurs sont feignants. En effet, ils cherchent systématiquement à réaliser toute tâche en déployant le moins d'effort possible. — (Louis-Guillaume Morand & Thomas Garcia, Windows 7 avancé, 2e édition, Éditions Eyrolles, 2011, p. 327)
- Ainsi, dans de nombreuses institutions, tous les mémoires sont systématiquement soumis au logiciel de détection de plagiat Ephorus avant transmission aux enseignants. — (Michel Kalika, Le mémoire de master, éd. Dunod, 4e éd., 2016, p. 119)
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acheminant
- Participe présent du verbe acheminer.
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prévoyant
- Qui juge par avance qu'une chose devrait arriver.
- Les prévoyantes paroles de son père retentissaient derechef à son oreille, et sa conscience lui reprochait d'en avoir méconnu la sagesse. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
- Qui s’assure à l’avance des conséquences de ce qui va ou ce qui peut arriver.
- Tu as pensé aux serviettes ! Tu as été prévoyant.
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commencement
- Ce par quoi une chose commence ; la première partie d’une chose qui a ou qui doit avoir une durée, une suite, un progrès, une étendue.
- Je restai à cette fenêtre tant que je pus distinguer cette route, qui, à un quart de lieue du château, faisait un coude et se perdait dans le commencement d'une forêt. — (Alexandre Dumas, Les Mille et Un Fantômes)
- […], l’hiver arriva plus tôt que d’habitude, vers le commencement de novembre. Il ne commença point par de la neige, mais par un froid sec et de grandes gelées. — (Erckmann-Chatrian, Histoire d’un conscrit de 1813, J. Hetzel, 1864)
- Cette église se compose d’une nef dont la construction remonte à la fin du XIe siècle ou au commencement du XIIe, et d’un transept avec abside et chapelles, datant du commencement du XIVe siècle. — (Eugène Viollet-le-Duc, La Cité de Carcassonne, 1888)
- Principe, cause première.
- Le commencement de la philosophie pour Descartes, c’est le doute ; cela seul est toute sa méthode. C'est la proclamation du droit au libre examen. L'avenir de la philosophie est attaché à ce principe. — (Jules Simon, Introduction de: « Œuvres de Descartes », édition Charpentier à Paris, 1845)
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encastrement
- Action d’encastrer ou résultat de cette action.
- Traditionnellement, l’analyse du comportement des auto-élévatrices par des profondeurs d’eau faibles ou moyennes (inférieures à 50-60 mètres) est effectuée en «statique» sans tenir compte de l’encastrement des jambes dans le sol. — (Pierre Le Tirant, Christian Pérol, Stabilité et opération des auto-élévatrices, 1991)
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traversant
- Qui traverse.
- Quelques-uns de ces logements situés au rez-de-chaussée seront traversants. — (Le Mil-N -- Un nouveau projet démarre dans le Mile-End, sur le Plateau Mont-Royal, Le Devoir.com, 16 oct 2010)
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abandonnant
- Participe présent du verbe abandonner.
- A l’entrée de Porfirio, il se leva précipitamment, comme si on l’eût surpris dans une besogne malpropre, abandonnant une mince lame de liège qu’il chapuisait. — (Jean Anglade, Le fils de Tibério Pulci, 1959)
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méchant
- Mauvais, contraire de bon.
- De méchante humeur, de mauvaise humeur.
- Après le souper elle joua au quinze, elle perdit de mauvaise grâce, paya de plus mauvaise grâce encore, & se coucha de fort méchante humeur. — (Pierre-François Godard de Beauchamps, Funestine, dans Le Cabinet des fées, ou collection choisie des contes des fées, et autres contes merveilleux, volume 31, Barde, Manget & Cie / Cuchet, Genève / Paris, 1786, page 35)
- Faut croire qu’il avait le réveil bien méchant, cet animal-là ; car, au premier mot que j’essayai de lui dire, il se mit à tirer son sabre… — (Alphonse Daudet, Le Prussien de Bélisaire, dans Contes du lundi, 1873, Fasquelle, réédition Le Livre de Poche, 1974, page 68)
- Ce jour-là, l’ancien garde-du-corps semblait moins disposé que jamais à lier conversation avec son perruquier. Il s’était réveillé de fort méchante humeur ; sa maigre figure était rigide, ses yeux gris restaient fixés droit devant eux, ses sourcils avaient l’air de deux accents circonflexes, et son nez d’aigle était plus pincé que d’habitude. — (André Theuriet, Le Mariage de Gérard, 1875)
- Il a une méchante mine, il a mauvaise mine.
- (Québec) Sentir méchant : Sentir mauvais.
- (En parlant de choses) Qui ne vaut rien dans son genre, qui est maigre ou insuffisant, de mauvaise qualité ou dans un état déplorable, minable, miteux. Note : Dans cette acception, il précède toujours le nom.
- Et le petit appartement de l’abbé, tendu d’un méchant papier neuf et carrelé de rouge, fleurait la tombe. — (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
- Le voyageur qui s’embarque sur le méchant petit bateau qui fait trois fois par semaine le service entre Algésiras et Tanger, jouit à mesure que tourne l’hélice d’un spectacle véritablement beau. — (Wladimir d’Ormesson, La Question de Tanger in La Revue de Paris, 1922)
- À l’entrée du carrefour se trouvait un méchant groseillier sur lequel séchaient des guenilles. — (Honoré de Balzac, La Comédie humaine : Scènes de la vie à la campagne : Le Médecin de campagne, 1833, page 8)
- Des chenets à 3.000 francs comme occasion et un dîner composé d’un méchant poulet grillé, voilà ce que nous a rapporté notre journée de Rouen ; et par là-dessus, la rentrée dans la capitale de tous les Rouennais de Paris a amené un retard de deux heures au train. — (Edmond et Jules de Goncourt, Journal, 1880, page 69)
- Et les méchants petits meubles d’hôtel, en pitchpin verni, mal d’aplomb sur des jambes trop grêles ! — (Georges Simenon, Le fou de Bergerac, Fayard, 1932, réédition Le Livre de Poche, page 27)
- Le tout en assez mauvais état, comme le méchant bout de tapis par terre, les chaises paillées et les rideaux en faux Gobelins qui avaient cet aspect définitivement poussiéreux et passé qui enlève tout courage pour en entreprendre le nettoyage. — (Elsa Triolet, Le premier accroc coûte deux cents francs : nouvelles, 1945, page 121)
- (En parlant d’une personne du point de vue de sa fonction) Sans valeur, incompétent.
- Un méchant orateur.
- Un méchant avocat.
- Dites donc une fois pour toutes que c’est l’homme qui honore la fonction, et qu’un bon ouvrier rend plus de services à la société qu’un méchant écrivain. — (Marie Roch Louis Reybaud, Jérôme Paturot à la recherche d’une position sociale, 1844)
- (En parlant de traits ou d’attributs psychologiques) Qui ne remplit pas correctement sa fonction, défectueux.
- Est-ce Vienne ou Valence qu’habite Mlle Sophie de Rivières ? Ma méchante mémoire m’a tenu incertain entre ces deux villes ; mais nous n’avons pris terre ni dans l’une ni dans l’autre. — (M. de Guérin, Correspondance, 1837)
- (En parlant d’événements) Qui provoque des désagréments, des ennuis, désagréable, déplaisant, pénible.
- La mer est méchante ce matin, les plaisanciers ne sortent pas.
- — Si les chemins sont aussi méchants que l’an dernier, dit-elle, on ne pourra pas aller à la messe de minuit. — (Louis Hémon, Maria Chapdelaine, J.-A. LeFebvre, Montréal, 1916)
- Diable ! Diable ! Voilà une méchante affaire […] mais tout cela pourra faire chez moi un esclandre. — (Alfred de Vigny, Chatterton, iii, 4, 1835)
- En un instant, il fut entouré par une bande de jeunes boutiquiers qui ne demandaient qu’à lui faire un méchant parti. — (André Theuriet, Le Mariage de Gérard, 1875)
- Les événements les plus graves ont souvent leur source dans de méchants petits hasards de rien du tout.— (René Boylesve, La leçon d’amour dans un parc, Calmann-Lévy, 1920, réédition Le Livre de Poche, page 25)
- (Québec) De mauvais goût.
- Cette soupe est méchante.
- Pas mangeable, c’te mousse-là ! C’est pas qu’est ben méchante, est pas agréable au goût, that’s all. Pourtant, en-dessous, c’est bon, c’est à se licher les babines… Même si tu t’étouffes avec un gros morceau envalé de travers, t’en crèveras pas, ça t’apprendra à perdre patience, avance ta montre tandis que c’est encore le temps. — (Jean-Marie Poupart, Chère touffe, c’est plein plein de fautes dans ta lettre d’amour : Roman, Éditions du Jour, 1973)
-
incluant
- (Lexicologie) Catégorie générique d’objets par laquelle est défini le référent (le signifié) d’un mot dans un dictionnaire (complétée par les traits différenciateurs permettant de le distinguer des autres membres de cette catégorie, et donc des autres mots).
- Fonte : alliage de fer et de carbone [...]Cette définition du Petit Robert se compose de l’incluant (« alliage »), qui nomme la catégorie générale à laquelle appartient le référent, et de traits différentiateurs (« fer » et « carbone ») qui le distinguent des autres alliages (laiton, bronze, etc.), c’est-à-dire des autres référents nommés de la catégorie. « Alliage » est l’incluant ou l’hyperonyme de « fonte ». La définition est ordonnée (incluant placé, en général, en premier), hiérarchisée et distinctive. — (Alise Lehmann et Françoise Martin-Berthet, Lexicologie : Sémantique, morphologie et lexicographie, Armand Collin, 2018, chapitre 3)
- Par opposition aux « vrais » incluants, les faux incluants ne permettent pas de répondre de façon minimale à la question : Qu’est-ce que le concept X ? Le faux incluant n’évoque pas le genre de concepts auquel appartient le défini et, de ce fait, le recours à un faux incluant est souvent considéré comme la marque d’une définition inadéquate. Ainsi, si l’on définit « bouillie » par : « Farine que l’on fait bouillir dans du lait ou de l’eau jusqu’à ce qu’elle ait la consistance d’une pâte plus ou moins épaisse », la définition n’est pas satisfaisante puisque la bouillie n’est pas un type de farine. — (Robert Vézina, Xavier Darras, Jean Bédard et Micheline Lapointe-Giguère, La rédaction de définitions terminologiques, Office québécois de la langue française, 2009, page 10)
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coulant
- Qui coule aisément.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Sens figuré) Qui est fait aisément, naturellement, qui ne sent pas le travail.
- Style coulant.
- Vers coulants.
- Prose coulante.
- Son parler si coulant fut interrompu net, comme jadis celui de cet homme faible qui, devant le pouvoir, venait de désavouer son ami arrêté pour opinions politiques par la police, fut averti par le chant du coq. — (Stendhal, Lucien Leuwen, 1834)
- (Œnologie) Qualifie un vin agréable à boire et qui passe aisément.
- Leur caractère était celui d'un vin très coulant, bouqueté et agréable; puis ils sont devenus plus corpsés [sic] et plus durs, et leur souplesse a disparu. — (Bordeaux et la Gironde, Association française pour l’avancement des sciences, Éd. G. Gounouilhou, 1895)
- (Peinture) Qui procède par des courbes légères et qui est plus facile que correct.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Familier) Qualifie une personne qui est accommodante en matière d’intérêt.
- Malgré la haute piété et la probité reconnue de M. de Moirod, on était sûr qu’il serait coulant, car il avait beaucoup d’enfants. — (Stendhal, Le rouge et le noir, 1830, réédition Gallimard, 2020, page 157)
- Je gardais le silence, je me mettais à rire, et tout finit par là ; c’est-à-dire qu’elle me crut d’abord sot, puis elle s’arrêta à la pensée que j’étais bon et d’humeur très coulante. — (Fiodor Dostoïevski, traduction de Ely Halpérine-Kaminsky, Le Joueur)
- Si les procureurs et leurs substituts se montraient en général coulants, les juges d’instruction pouvaient se montrer des emmerdeurs redoutables, même dans le cas d’une enquête pour meurtre. — (Michel Houellebecq, La carte et le territoire, 2010, J’ai lu, page 324)
- Les défenseurs du lait cru ont été coulants, en acceptant que le camembert AOP puisse être élaboré au lait pasteurisé. — (Camembert: la bataille de Normandie est finie sur paris-normandie.fr, Société Normande d'Information et de Communication. Mis en ligne le 22 février 2018)
- Je l’ai trouvé très coulant.
- (Québec) (Familier) Glissant.
- Fais attention, la route est coulante ce soir à cause de la glace.
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aboutissant
- (Extrêmement rare) Qui aboutit en un lieu, en parlant de voiries.
- Cette maison, revêtue d’ardoises, se trouvait entre un passage et une ruelle aboutissant à la rivière. — (Gustave Flaubert, Trois Contes, 1877)
- J’ai donc repris la file des passants qui s’engageaient dans une des rues aboutissantes et nous avançâmes par saccades […] — (Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, Denoël et Steele, Paris, 1932, éd. mars 1942, page 155)
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livrant
- Participe présent de livrer.
- Avec le fond de serrage mobile I on évite les désagréments que cause souvent le fond de serrage immobile; par exemple, si le socle est bossué, il est impossible, avec le fond de serrage immobile, de le débossuer sans démonter le cylindre J et le fond de serrage, ce qui est très-coûteux et très-difficile; pour faire ce travail on est souvent obligé de revernir la lampe; cela arrive même aux lampes neuves, en les livrant, et surtout en les expédiant. — (Description des machines et procédés pour lesquels des brevets d’invention ont été pris sous le régime de la loi du 5 juillet 1844, XLVIII, 1864)
- Le nain Ilioucha était parmi eux, hilare, effréné, grotesque, se livrant à un kozatchok endiablé. — (Louis Dumur, Les loups rouges, 1932, page 22)
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accrochant
- Participe présent du verbe accrocher.
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acclimatement
- Adaptation d’un être, d’un organisme à un milieu nouveau.
- « J'ai étendu aux langues les notions d'acclimatement et d'acclimatation utilisées en écologie. On dit qu'il y a acclimatement lorsqu'une espèce animale ou végétale déplacée survit dans son nouveau milieu mais ne s'y reproduit pas, et acclimatation lorsqu'elle y survit et s'y reproduit » — (Louis-Jean Calvet Le marché aux langues, Les effets linguistiques de la mondialisation)
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venant
- Qui vient.
- Les derniers venants.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.