Dictionnaire des rimes
Les rimes en : mazout
Mots qui riment avec "ou"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "mazout".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ou , ous , out , outs , oux , oup , oups , oût , oûts , oue et oues .
-
bantoue
- Féminin singulier de bantou.
-
grigou
- Celui qui, ayant de quoi vivre, affecte la pauvreté pour servir de prétexte à une avarice sordide.
- – Voyez-vous le vieux grigou, dit Mme Vauquer à Vautrin, comme ses yeux s’allument ! — (Honoré de Balzac, Le Père Goriot)
- Écoute, je vais te montrer que je ne suis pas un grigou. Achète mon étalon, je te donnerai les âmes par-dessus le marché. — (Nicolas Gogol, Les Âmes mortes, 1842 ; traduction d’Henri Mongault, 1949)
- « On ne peut pas toujours suivre le conseil de ce vieux grigou de Benjamin Franklin.– Benjamin Franklin ? répéta son interlocuteur.– Mais oui, tourte : « Ça ne coûte rien ; c’est sans danger ; c’est agréable. » — (Julien Green, Moïra, 1950, réédition Le Livre de Poche, page 105)
- falgoux
-
joujou
- Jouet d’enfant.
- Voici venir la Saint-Martin et ses brandons, Noël et ses bougies, le jour de l’an et ses joujoux, les Rois et leur fête, le Carnaval et sa marotte. — (Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit, 1842)
- Sur l’autre rive, le Châlet des Îles, comme verni de la veille, avait des luisants de joujou neuf. — (Émile Zola, La Curée, 1871)
- Elle aimait les fleurs, les roses surtout,Et le cher bambin, le dimanche,Lui apportait des roses blanchesAu lieu d’acheter des joujoux. — (Charles-Louis Pothier, Les Roses blanches, 1926)
- (Péjoratif) — Je revenais, à la date indiquée, de le changer contre un petit bulldog de cinq millimètres, plus transportable, et je l’avais posé sur la table. Eugénie le vit et me dit : « Mais, ce n’est pas une arme, ça, c’est un joujou. » — (Jean Marie Lazare Caubet, Souvenirs : 1860-1889, Éditions L. Cerf, 1893, page 230)
- (Sens figuré) Personne agréable, distrayante et sans profondeur.
- À force de s’occuper des moyens de rencontrer madame de Chasteller dans un salon, le désir de briller aux yeux des habitants de Nancy, que Lucien commençait à mépriser plus peut-être qu’il ne fallait, fut remplacé, comme mobile d’actions, par l’envie d’occuper l’esprit, si ce n’est l’âme, de ce joli joujou. — (Stendhal, Lucien Leuwen, 1834)
-
roudoudou
- (Confiserie) (Populaire) Confiserie constituée de caramel coloré coulé dans un contenant individuel de petite taille, habituellement une coquille de coquillage.
- On s’écrasait autour du cirque, des loteries à la vaisselle, des marchands de roudoudous. — (Marcel E. Grancher, Sous le pavillon noir, Éditions Gutenberg, 1944, page 131.)
- — Tiens, lui dit-il en tendant vingt sous, tu t'achèteras du roudoudou. — Du roudoudou, sans blague ? Je suis plus une môme. Je me paierai des cibiches. — (Roland Dorgelès, Le Marquis de la Dèche, Éditions Albin Michel, 1971, chap. 1)
- « Chez Bébé » était un lieu de perdition pour les gourmands. C’est là que passaient toutes nos petites économies, en achats de bonbons de toutes sortes, de pochettes-surprises, de bâtons de réglisse et des fameux « roudoudous », sorte de sucre mou, coloré en rouge, vert ou jaune, contenu dans de petits fonds de boîte en bois, et qui vous collaient aux dents et aux doigts. On en avait deux pour un sou. Les roudoudous étaient la tentation suprême. Offrir un roudoudou à un ami était le fin du fin. Et pourtant, malgré sa grande vogue, le roudoudou était, quand on y pense, une bien médiocre friandise. — (Édouard Bled, « Mes écoles », Robert Laffont, 1977, page 64.)
- Quand on m’amenait un prisonnier, celui-ci n’avait qu’une idée : s’évader. Alors, il y avait des tractations, il me disait :« Si tu me paies un roudoudou quand tu auras un sou, je ne me débinerai pas. »L’affaire se concluait et le jeu se poursuivait. Mais quand il y avait plusieurs prisonniers, je ne pouvais payer ces roudoudous à tout le monde avec un sou ! — (Édouard Bled, J’avais un an en 1900, Fayard, 1987, Le Livre de Poche, page 17.)
- lamalou
- bascous
-
mandchou
- (Géographie) Relatif à la Mandchourie, aux Mandchous ou à la langue mandchoue.
- Au deux millième coup, Mony rendit l’âme, Le soleil était radieux. Les chants des oiseaux mandchous rendaient plus gaie la matinée pimpante. — (Guillaume Apollinaire, Les Onze Mille Verges ou les Amours d'un Hospodar, chapitre 9, 1907)
- Le service était fait par des maîtres d'hôtel mandchous, en longues tuniques de soie bleue fumée. — (Pierre Benoit, Le Soleil de minuit, Albin Michel, 1930, réédition Le Livre de Poche, page 33)
- lamayou
- menoux
-
toux
- (Médecine) Expiration spasmodique et bruyante de l’air, accompagnée d’un mouvement convulsif du larynx et de la trachée-artère.
- Bien qu’il fût Islandais pur sang, il semblait supporter difficilement le climat de son pays : il était affligé d'une toux opiniâtre. — (Jules Leclercq, La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla, Paris : E. Plon & Cie, 1883, page 78)
- Souvent, sa poitrine était douloureusement secouée par une toux prolongée et terrible qui teintait de rouge son mouchoir… — (Isabelle Eberhardt, Yasmina, 1902)
- Longue marche dans le brouillard. Le régiment tousse, moins la compagnie du lieutenant Viard, où la toux est punie et où les soldats se rattrapent sur l’éternuement. — (Jean Giraudoux, Retour d’Alsace - Août 1914, 1916)
- Il y a trois choses que l’on ne peut dissimuler, disaient les Ottomans, ce sont : l’amour, la toux et la misère. — (Ivo Andrić, Le Pont sur la Drina, 1945 ; traduit du serbo-croate par Pascale Delpech, 1994, page 290)
- Le signe clinique le plus évident d’une maladie respiratoire est sans doute la toux. Cette manifestation est le résultat d’une irritation de la surface interne de la trachée et des bronches (les voies aériennes inférieures joignant chacun des poumons à la trachée). La toux est une réaction réflexe, involontaire, destinée à expectorer des éléments étrangers présents dans ces voies respiratoires ; une toux persistante indique que ces organes sont affectés par une maladie […] — (Archie Hunter, Gerrit Uilenberg, Christian Meyer, et al., Santé animale, volume 1. Généralités, collection Agricultures tropicales en poche, Cirad/CTA/Karthala/MacMillan, 2006, page 88)
- casteljaloux
- vernoux
-
alquifoux
- (Vieilli) Sulfure de plomb naturel, utilisé en poterie.
- Les poteries sont quelquefois vernissées. Avant de les cuire, on les plonge alors dans un chaudron où l'on fait fondre un mélange d’alquifoux et de sable ; par la cuisson il se forme un silicate de plomb et d'alumine, espèce de verre fusible qui recouvre toute la surface. — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes, E. Jolly, Charleville, 1869, page 63)
- Cuisson gaz du Mardi 19 Juin: Nombreux essais d'alquifoux (Sulfure de Plomb) en mélange avec le minium (Oxyde Plomb) dans ce four. De bons résultats, le minium favorisant la fusion de l'alquifoux, qui est vraiment de moyenne qualité en ce moment. — (François Fresnais; Poterie de Sampigny les Maranges : Saône et Loire : France)
- vintrou
-
bagou
- Bavardage où il entre de la hardiesse, de l’effronterie, et même quelque envie de faire illusion ou de duper.
- Il n’a pas d’esprit, ni de connaissances réelles, il n’a que du bagou.
- Il prouva qu’il montait bien à cheval ; il avait du bagou, on en fit un cavalier. — (Stendhal, Lucien Leuwen, 1834)
- Lucie et Dosia s’émerveillaient, riaient, s’indignaient, craignaient l’interrompre, toutes à l’admiration de ce bagou. — (Paul Adam, Chair molle, 1885)
- Fallait-il discuter d’une affaire où le bagou et la ruse étaient de mise ? « Laisse-moi parler », disait ma grand-mère. — (Marcel Arland, Terre natale, 1938, réédition Le Livre de Poche, page 146)
- Le bagou de cet homme était celui d'un commis voyageur, mais soudain sa voix grasse devenait précieuse. Alors il parlait meubles et livres. — (Patrick Modiano, Une jeunesse, Gallimard, collection Folio, 1981, page 21)
- Invariablement, le sauveur arrivait sale, décharné, le ventre creux, le regard fixe et doté d’un bagou à se faire écouter des libellules. — (Eric-Emmanuel Schmitt, L'Évangile selon Pilate, Albin Michel, 2000, prologue)
- (Acadie) Ragots.
- Dans le temps, les hommes s'attroupaient chez le barbier du village pour causer, transmettre ou entendre les plus récents ragots, qui au pays s'appelaient du bagou. — (Antonine Maillet, Clin d’œil au Temps qui passe, Leméac, 2019, page 167)
- cercoux
- auroux
-
coup
- Impression que fait un corps sur un autre en le frappant.
- Le docteur Paul était ensuite venu, brillamment expliquer à la barre comment les coups avaient occasionné, en effet, seize blessures. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- C’est ainsi que, le 21 adar 4996 (1236), un pêcheur chrétien étant mort des coups que lui avait portés un juif au cours d’une rixe, la foule envahit la juiverie vicomtale, avec l’intention de la mettre à sac. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- J’ai vu des prisonniers jetés à coups de matraque d’un étage à l’autre et qui, hébétés par la torture et les coups, ne savaient plus que murmurer en arabe les premières paroles d’une ancienne prière. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- Et crescendo, la querelle s’envenime en injures, bien sûr, et non en coups, car les deux gondoliers savent pratiquer l’art de « rompre le fer ». — (Annarosa Poli, L’Italie dans la vie et dans l’œuvre de George Sand, Centre interuniversitaire de recherche sur le voyage en Italie, 1960, page 116)
- Instinctivement Éric esquive le coup, bascule en arrière en entraînant l’homme dans sa chute et l’envoie bouler à quelques mètres. — (Michel Remoissenet, Ondes et catastrophes : Du soliton au tsunami, Books on Demand, 2008, page 111)
- Frapper un coup ou deux coups à une porte avec le marteau.
- Faire tomber une grêle de coups sur les épaules de quelqu’un.
- (Sens figuré) Se dit en parlant des choses qui nuisent, qui causent un sentiment pénible, etc.
- On affirme trop souvent qu’après la première génération félibréenne et les œuvres de Roumanille, d’Aubanel et de Mistral, la littérature de langue d’oc n’a point soutenu sa valeur, et que, Mistral disparu, le Félibrige a reçu un coup mortel. — (Émile Ripert, Le Félibrige, Armand Collin, 1924, page 129)
- Il a déjà réussi à faire renvoyer un policier. Il continuera à faire de sales coups jusqu’au bout. — (Ronan Farrow, Annick Cojean, Ronan Farrow : « Ce qui se passe autour de Roman Polanski et d’Adèle Haenel est prometteur », Le Monde. Mis en ligne le 18 novembre 2019)
- Il supporte les coups du sort, du destin, de la fortune avec une noble résignation.
- Cette défaite porta un coup funeste à la gloire de ce prince.
- Son autorité chancelante allait recevoir un dernier coup.
- Cette entreprise a porté un coup à sa fortune.
- Ce chagrin porta un coup à sa santé.
- Décharge et bruit que font les armes à feu lorsqu’on les tire.
- J’avais oublié le cran d’arrêt […] Pour un peu, je pressais la gâchette sans que le coup partît. — (Gaston Cherpillod, Les Changelins, L’Âge d’Homme, 1981, page 147)
- On chantait presque tous les mois des Te Deum pour quelque nouvelle victoire, et le canon de l’arsenal tirait ses vingt et un coups, qui vous faisaient trembler le cœur. — (Erckmann-Chatrian, Histoire d’un conscrit de 1813, J. Hetzel, 1864)
- Mais, saperlotte ! tâchons donc que tout ça se passe tranquillement ; ça vaudrait beaucoup mieux. Puisque nous avons le suffrage universel, il n’y a plus besoin de coups de fusil. — (Émile-Ambroise Thirion, La Politique au village, Fischbacher, 1896, page 248)
- Tirer des coups de canon, de fusil.
- Évènement imprévu qui a frappé quelqu’un soudainement.
- Ce fut un coup de massue, un coup de foudre, un coup de tonnerre pour lui.
- Coup de fortune, de bonheur, de malheur, de hasard.
- Coup du ciel, d’en haut, de la Providence, de la grâce.
- Mort sur le coup.
- Son que rendent certains corps lorsqu’ils viennent à être frappés.
- Un coup de cloche, de tambour, de tam-tam.
- Au coup de minuit, de midi, de trois heures, etc. : Au moment où minuit, où midi, où trois heures, etc., sonnent.
- Je suis arrivé au Monte-Carlo sur le coup de onze heures. — (Jo Barnais, Mort aux ténors, chapitre IX, Série noire, Gallimard, 1956, page 75)
- Action rapide et momentanée.
- D’un coup de rasoir, je lui coupai la tête, et le tronc, d’où un flot de sang s’échappait, gigota quelques secondes sur le parquet. — (Octave Mirbeau, Lettres de ma chaumière : La Tête coupée, A. Laurent, 1886)
- Les portières sont refermées, après la visite du contrôleur. Un dernier coup de sifflet annonce que le train va se mettre en marche… — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre I, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- Lier plusieurs notes d’un coup d’archet. — Un coup de gosier. — Un coup de ciseau.
- (Par extension) Ce qu’on fait rapidement, légèrement, ou sans y apporter le même soin que de coutume.
- Je suis trop pressé pour me faire coiffer, un coup de peigne suffira.
- Donnez un coup de balai à cette chambre.
- Dans la vie de Clémence Dufour, il y avait quand même pas mal de vaisselles, de patins à l’entrée du salon, de « petits coups à donner » sur la table, avant de mettre le couvert. — (Philippe Delerm, Il avait plu tout le dimanche, Mercure de France, 1998, page 68)
- (Par métonymie) Petite quantité de quelque chose.
- Mettre un coup de peinture, de Tipex, d’engrais.
- Mouvement impétueux, comme du vent qui souffle sur la mer, d’une tempête.
- Coup de vent, de mistral.
- Un coup de mer écarta leurs vaisseaux, les jeta, les poussa sur les côtes.
- Manière de jouer, chance au jeu.
- Il a fait un beau coup.
- Action humaine inattendue.
- Les affaires de banque je n'y comprends peut-être pas grand-chose, mais les mauvais coups, je les sens et je dis que cette affaire n'est pas catholique. — (Jacqueline Mirande, Étranger, d'où viens-tu ?, Casterman, 1974, chapitre 2)
- Heureux coup.
- C’est un coup de génie, de désespoir.
- Fois.
- Il a réussi du premier coup.
- Il a encore trois coups à jouer.
- J’ai eu du chagrin de savoir que ton neveu s’était fait refuser aux postes encore un coup. — (Marcel Aymé, La jument verte, Gallimard, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 25)
- Quantité que l’on boit en une fois.
- Pour l’Ogre il se remit à boire ravis d’avoir de quoy si bien regaler ses amis. Il but une douzaine de coups plus qu’à l’ordinaire, ce qui luy donna un peu dans la teste, et l’obligea de s’aller coucher. — (Charles Perrault, Histoires ou Contes du temps passé, Paris, Barbin 1697, page 209.)
- On peut voir à la terrasse des petits cafés des gens qui prennent l’apéro en famille pour tuer le dimanche comme l’homme à la bêche prend un coup de blanc le matin pour « tuer le ver » avant de retrousser ses manches, se cracher dans les mains avant d'empoigner son outil […]. — (Blaise Cendrars, La banlieue de Paris , chap. Ouest, Guilde du Livre/Pierre Seghers, 1949, dans les Œuvres complètes, tome 7, Éditions Denoël, 1963, page 155)
- « Tu bois des coups le samedi soir, et le dimanche matin tout le monde se réunit autour du même centre d’intérêt, la cafetière, pour passer la gueule de bois. » — (Stéphanie Maurice, La passion du tuning, Seuil, 2015, collection Raconter la vie, page 11)
- Acte sexuel expéditif.
- J’ai tiré mon coup.
- T’as cassé mon coup.
- C’était pas un bon coup.
- (Nouvelle-Calédonie) Partie, sortie[1].
- Un coup de chasse.
- Un coup de pêche.
- Un coup de fête.
- chanteloup
-
troue
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de trouer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de trouer.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de trouer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de trouer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de trouer.
- clergoux
-
écroue
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe écrouer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe écrouer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe écrouer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe écrouer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe écrouer.
-
cantaloup
- (Botanique) Sorte de melon à côtes saillantes et rugueuses.
- La pastèque nous fit grand bien ; cette pulpe rose dans cette écorce verte a quelque chose de frais et de désaltérant qui fait plaisir à voir. À peine y a-t-on mordu qu’on est inondé jusqu’au coude d’une eau légèrement sucrée d’un goût très-agréable, et qui n’a aucun rapport avec le jus de nos cantaloups. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
- Derrière, le long des étagères, il y avait des files de melons, des cantaloups couturés de verrues, des maraîchers aux guipures grises, des culs-de-singe avec leurs bosses nues. — (Émile Zola, Le Ventre de Paris, Georges Charpentier, Paris, 1873)
- – Êtes-vous de ceux, Monsieur de la Fleurissoire, qui préfèrent les prétentieux melons du Nord, les sucrins, les prescots, que sais-je, les cantaloups, à nos ruisselants melons d’Italie ? — (André Gide, Les Caves du Vatican, 1914)
- charroux
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.