Dictionnaire des rimes
Les rimes en : maquille
Mots qui riment avec "il"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "maquille".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : il , ils , ille , illes , ill , ile , iles , yle , yles , ylle et ylles .
-
effeuille
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de effeuiller.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de effeuiller.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de effeuiller.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de effeuiller.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de effeuiller.
-
souquenille
- (Désuet) (Habillement) Long vêtement fait de grosse toile, que prenaient les cochers et les palefreniers pour s’en couvrir quand ils pansaient les chevaux.
- Quitterons-nous nos souquenilles, monsieur ? — (Molière, L'Avare, III, 2)
- Voulez-vous gager que je l'épouse avec la casaque sur le corps, avec une souquenille si vous me fâchez ? — (Marivaux, Les Jeux de l'amour et du hasard, III, 7)
- L’épicière le contemplait d’un œil sépulcral que recouvrait parfois sa paupière longue comme une souquenille. — (Kléber Haedens, L’été finit sous les tilleuls, Le Livre de Poche, 1966, page 108)
- Mauvais vêtement, guenille, loque.
- M'ayant revêtu d'une vieille souquenille, ils me mirent dehors par les épaules. — (Lesage, Gil Blas, I, 13)
- Presque tous étaient vêtus de longues souquenilles sordides en lambeaux. — (Eugène Sue, Les Mystères de Paris, 1843)
- Après deux mois passés à suer dans d’infâmes souquenilles kaki, quelle volupté de revêtir enfin un dolman de toile immaculée ! — (Pierre Benoit, Monsieur de la Ferté, Albin Michel, 1934, Cercle du Bibliophile, page 202)
- La composition de sa souquenille défiait toute investigation : les manches et les pans étaient si graisseux, si luisants qu'on aurait dit du cuir de bottes ; par derrières ballottaient quatre basques d'où le coton s'échappait par touffes. — (Nicolas Gogol, Les Âmes mortes, 1842 ; traduction de Henri Mongault, 1949)
- Au balcon armorié sont suspendues des souquenilles et derrière une descente de lit infâme se cache une mégère en camisole qui raccommode une chaussette ; çà et là, entre une casserole et un vieux pot une tête de peu apparaît dans une fenêtre. — (Marcel Jouhandeau, Chaminadour, Gallimard, 1941 et 1953, collection Le Livre de Poche, page 73)
- Vêtement du clown paillasse.
- Le matador était un vieux coquin vêtu d’une souquenille usée, chaussé de bas jaunes, trop à jour, ayant l’air d’un Jeannot d’opéra-comique, ou d’un queue-rouge de saltimbanque. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, 1840, édition Charpentier, 1859)
- Florissac, en jeune pitre, un papillon balancé à un fil de fer lui dansant devant le nez, le feutre posé à la Jeannot, la souquenille de paillasse au dos, ressemblait à l'Antinoüs dans une toile à matelas. — (Goncourt, Ch. Demailly, 1860)
- Lévite.
- Je revois encore un pieux pèlerin, vêtu de la souquenille des juifs polonais : il déchiffrait les inscriptions hébraïques. — (Vogüé, Morts, 1899)
-
mile
- (France) Unité de mesure de longueur anglo-saxonne, valant 1 760 yards (verges), soit 5 280 pieds, ou encore exactement 1 609,344 mètres. Son symbole est mi.
- Les bois où nous sommes dominent sur plus d’un mile une des routes qui mènent hors de la ville. — (Julien Green, Moïra, 1950, réédition Le Livre de Poche, page 236)
- Il avait abandonné les commissariats de police pour ce petit journal tranquille et prospère, dans cette vallée dans histoires où la construction d’un nouveau mile sur la branche ouest de l’autoroute inter-États faisait figure d’événement cosmique. — (Philippe Labro, L’étudiant étranger, Gallimard, 1986, page 152)
- Je suis à 3623 miles de New York.Non. Ici, on parle en kilomètres.Je suis à 5 834 kilomètres et des poussières de chez moi : je suis à Paris. — (Marie Vareille, La vie rêvée des chaussettes orphelines, Éditions Charleston, 2020)
- (Par extension) (Économie) Point dans un programme de fidélité par une compagnie aérienne.
-
renquille
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de renquiller.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de renquiller.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de renquiller.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de renquiller.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de renquiller.
-
équille
- (Zoologie) Lançon , petit poisson de mer qui, à la marée basse, s’enfonce dans le sable.
- les équilles minces, raidies, ressemblaient à des rognures d’étain. — (Émile Zola, Le Ventre de Paris, Georges Charpentier, Paris, 1873)
- Des rochers bas, couverts de mousses et de varechs, émergent à marée basse. On pêche la crevette et l’équille. — (Paul Gruyer, Normandie, Collection de Guides-Joanne, Librairie Hachette, 1912, p. 165)
- (Spécifiquement) Le lançon équille.
-
fossile
- (Géologie)
- (Vieilli) Qui se tire de la terre.
- Sel, charbon fossile.
- (Moderne) Pétrifié ; fossilisé.
- Malheureusement nous avons rarement des éléments suffisants pour reconstituer cette histoire avec vraisemblance. Les documents fossiles tertiaires sont assez rares. — (Henri Gaussen, Géographie des Plantes, Armand Colin, 1933, page 69)
- En 1845, New York s’ébaudissait devant le squelette d'Hydrargos, « le grand serpent des mers », long de 34 mètres. Albert Koch, qui exhibait sous ce nom le cétacé fossile Basilosaurus, avait pris soin de l’allonger en multipliant ses vertèbres, et l’imposteur fit fortune. — (Bernard Teyssedre, Le Diable et l’Enfer, Albin Michel, 1985, page 179)
- Selon Julian Andrew de l’Université d’East-Anglie, la datation de bois fossile trouvé à proximité suggère que cette forêt engloutie pourrait dater de quelque 10 000 ans, c’est-à-dire du début de l’Holocène. — (François Savatier, Une nouvelle forêt fossile au large de l’Angleterre, Pour la Science, 25 février 2015)
-
indélébile
- Ineffaçable, qu’on ne peut plus modifier ou oblitérer.
- La coloration ainsi acquise est indélébile : dès lors l’insecte ne sera homochrome que s’il demeure sur le sol dont il a pris la teinte. — (Étienne Rabaud, Le hasard et la vie des espèces, 1953, page 86)
- Encre indélébile, couleur indélébile.
- (Sens figuré) Inoubliable, impossible à altérer ou à effacer de la mémoire, de l’esprit ou de l’âme.
- J’ai essayé de vous décrire ce compère indélébile que nous sommes quelques-uns à avoir fréquenté. — (René Char, « L'Absent », Seuls demeurent dans Fureur et Mystère, Gallimard, 1962, collection « Poésie », 1967, page 39)
- Et nous avions pourtant dès lors montré nos clefs, tachées chacune aux secrets indélébiles de nos chambres interdites, ma mère si tôt perdue, les grands désordres de nos pères, cette petite sœur, 18 ans, je me souvenais mais j’ai vérifié sur la plaque, 18 ans, tu y pensais tous les jours encore me disais-tu. — (Geneviève Amyot, Je t’écrirai encore demain, « Lettre de septembre », Éditions du Noroît, Montréal, 1995, page 11)
- Le Baptême, le sacrement de l’Ordre impriment un caractère indélébile.
-
évangile
- (Religion) Récit de la vie de Jésus.
- Il y a quatre évangiles canoniques et quelques évangiles apocryphes.
- Nous mîmes sur leurs traces Jésus fils de Marie, en tant qu’avérateur de ce qui était en cours dans la Torah, et Nous lui conférâmes l’Évangile, où il y a guidance et lumière. — (Citation du Coran (V, 44-48), traduit par J. Berque, dans : Serge Lafitte, La Bible et le Coran, Presses de la Renaissance, 2015, part.1, chapitre 2)
- Le Quatrième Évangile est une de mes lectures préférées, c’est le seul qui donne du Jésus historique une image digne du personnage extraordinaire qu’il fut à coup sûr. — (Paul Veyne, Et dans l’éternité je ne m’ennuierai pas. Souvenirs, Albin Michel, 2014, page 100)
- (Bible, Religion) (Spécialement) Un des quatre récits de la vie de Jésus qui ouvrent le Nouveau Testament, respectivement attribués à Matthieu, Marc, Luc et Jean, et reconnus comme canoniques par l'Église et la majorité des confessions chrétiennes.
- Un évangile peut se définir de la sorte : un récit de quelques faits de la vie de Jésus ainsi que la présentation de son enseignement, tenus ensemble comme une (longue) introduction à la narration de son arrestation, de sa condamnation à mort, de sa crucifixion et de ses apparitions, ressuscité. — (Après Jésus. L'invention du christianisme, sous la dir. de Roselyne Dupont-Roc et Antoine Guggenheim, Albin Michel, 2020, page 411)
- (Collectivement) Ensemble des quatre évangiles canoniques.
- Lire l’évangile.
- Jurer sur l’évangile.
- Présenter l’évangile à baiser.
- (Religion) (Au singulier) Doctrine de Jésus-Christ.
- Je suis Polonaise, née à Sandomir, c’est-à-dire dans un pays où les légendes deviennent des articles de foi, où nous croyons à nos traditions de famille autant, plus peut-être, qu’à l’Évangile. — (Alexandre Dumas, Les Mille et Un Fantômes)
- La plupart des moralistes écoutés en Europe depuis cinquante ans, singulièrement les gens de lettres en France, invitent les hommes à se moquer de l’Évangile et à lire les règlements militaires. — (Julien Benda, La trahison des clercs : Avant-propos de la première édition, 1927, éd. 1946)
- (Religion) Livre de piété consacrés à l’usage d’une certaine classe de lecteurs et où la doctrine de l’évangile est mise à leur portée.
- L’évangile de l’enfance.
- (Par métonymie) Partie des évangiles que le prêtre lit à la messe ou que le croyant lit.
- Après l’Évangile selon saint Luc, monsieur le Curé des Hautes-Héez est monté en chaire. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Le dernier évangile, lecture du Testament qui se dit à la fin de la messe.
- Sainte Marie l'Egyptienne était peinte sans détours […] sur les miniatures pieuses des livres d’heures, en regard d’une prière ou d’un évangile. — (Pierre Louÿs, La statue de la Vérité, dans Archipel, 1932)
- Dans la tradition copte, l’évangile de la vigile de la Nativité rapporte l’apparition des anges aux bergers dans le ciel de Bethléem et leur visite à l’enfant de la crèche. L’évangile de la fête est celui de la visite des Rois mages qui offrirent à l’enfant Jésus leurs présents symboliques: l’or car il est Roi, l’encens car il est Dieu et la myrrhe car il est Homme. — (Gérard Viaud, La fête de la Nativité, progres.net.eg, 7 janvier 2021)
- (Sens figuré) Livre, document essentiel et symbolique d’une doctrine quelconque.
- C’est l’évangile du jour, se dit de quelque chose de nouveau dont tout le monde s’entretient, d’une doctrine à la mode.
- Les livres de Karl Marx sont l’évangile du communisme.
- Il croit cela comme l’évangile, il le croit fermement.
- (Sens figuré) Doctrine.
- Dès les années 1850, l'ingénieur A. Mille prêche inlassablement en faveur du tout-à-l'égout. S'agissant des immondices, il n'a qu'un évangile : il faut « nettoyer dans l'eau, les perdre à l’égout et les restituer à l'agriculture ». — (P. Strauss, « L'égout-modèle du Second Empire : « Un second Paris souterrain » », dans Idées de villes, villes idéales, sous la direction de Thierry Bonzon & al., Les cahiers de Fontenay n° 69-70, E.N.S. Fontenay/Saint-Cloud, mars 1993, page 136)
-
recompile
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe recompiler.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe recompiler.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe recompiler.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe recompiler.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe recompiler.
-
coutil
- (Textile) Toile faite de fil de chanvre ou de lin, mélangée quelquefois de coton, lissée et serrée.
- On y jette une botte de paille où le prisonnier est censé reposer et dormir,vêtu d’un pantalon de toile et d’une veste de coutil, hiver comme été. — (Victor Hugo, Le Dernier Jour d’un condamné, 1829)
- La cour d’entrée était couverte d’une immense tente de coutil cramoisi avec des étoiles en or : rien de plus élégant. — (Stendhal, Le rouge et le noir, 1830, réédition Gallimard, 2020, page 389)
- Un domestique en veste de coutil, à la barbe grisonnante et embroussaillée, s’accrochait par-derrière la voiture. — (Nicolas Gogol, Les Âmes mortes, 1842 ; traduction de Henri Mongault, 1949)
- La jouissance arriveConvulsiveTachant d’un jet subtilLe coutil. — (Théophile Gautier, Œuvres poétiques complètes, Bartillat, 2004, page 618)
- (En particulier) Enveloppe en tissu revêtant les matelas.
- Les coutils à base de laine, conservant la chaleur, sont destinés aux faces hiver, tandis que les matériaux à base de coton ou de lin servent aux faces été, car plus légers. — (« L’importance du coutil », www.lematelas.fr, 2011)
-
style
- (Botanique) Filament reliant l’ovaire au stigmate, au centre de la fleur.
- Le Limettier acide (C. Aurantium, sous-espèce aurantifolia, var. proper), a le fruit limoniforme, terminé par un mamelon quelquefois surmonté par un style persistant. — (Encyclopédie biologique, vol.2 à 3, 1928, page 86)
- Le style est long car il est nécessaire de tenir haut le stigmate de façon à ce que les abeilles puissent s'y cogner. Cela oblige le tube pollinique à se lancer dans une odyssée difficile et cette épreuve permet à la plante de jauger ses prétendants. — (David George Haskell, 2 avril : L'empire des fleurs, dans Un an dans la vie d'une forêt, traduit de l'anglais (États-Unis) par Thierry Piélat, éd. Flammarion, 2018)
- (Vieilli) Sorte de poinçon ou de grosse aiguille, avec la pointe de laquelle les anciens écrivaient sur des tablettes enduites de cire.
- A ses pieds luisait un objet d’ivoire. Il le ramassa : c’était une tablette à écrire, d’où, pendait un style d’argent. — (Pierre Louÿs, Aphrodite, Mercure de France, Paris, 1896)
- Aiguille d’un cadran solaire.
- Poser un style.
- Ce style est mal posé.
- Manière d'exprimer par écrit les pensées.
- En bon Champenois, il célébra le vin de Champagne dans une ode en vers iambiques, dont le style vif et pétillant, présente la belle image de cette charmante liqueur. — (Jean-Baptiste-Joseph Boulliot, Biographie ardennaise ou Histoire des ardennais, Paris : Ledoyen, 1830, page 259)
- Plus tard, lorsqu'il m'arriva d’être reporter dans un journal, on m'envoya visiter à la Toussaint les cimetières de Paris afin d'évoquer dans un style décent la douleur des familles […]. — (Francis Carco, Maman Petitdoigt, La Revue de Paris, 1920)
- Le style ne doit faire qu’un avec l’idée, comme le sabre avec la main. — (Maurice G. Dantec, Le théâtre des opérations : Journal métaphysique et polémique 1999, Paris, Éditions Gallimard, 2000)
- Cependant l'un n'implique pas forcément l'autre, et dieu sait que même aujourd’hui il ne suffit pas de tenir un stylo pour avoir une plume. Le style en effet ne se confond pas avec l'écriture, et bien des gens écrivent qui n'ont pourtant aucun style, sauf à l'entendre au sens large : il y a certes un style administratif, très reconnaissable, un style publicitaire... À l'inverse, parfois, quelques mots suffisent : "Impossible rentrer ce soir stop Mensonge suit", ça a du style, avouez du style télégraphique. — (Camille Laurens (écrivain), Tissé par mille, éditions P.O.L., 2005)
- Manière d’agir ou de parler.
- Elle fréquentait les cocktails, skiait et s'adonnait au shopping de luxe, et elle n'était pas du style à traverser le pays pour venir au chevet d'une sœur aînée atteinte du sida. — (Marcia Rose, Service des urgences, traduit de l'américain par Thierry Arson, Éditions Archipoche (L'Archipel), 2017, chap. 32)
- (Art) Manière d'exécuter particulière à un artiste, à une époque, à un pays.
- […]; flétrissez aussi le charlatanisme de ces pseudo-virtuoses qui ont obtenu des succès apocryphes à New-York ou en Californie, et qui, […], viennent défigurer sur nos grandes scènes lyriques des partitions dont elles ridiculisent la majesté par les exagérations de leur style exotique. — (Stéphen de La Madelaine, Études pratiques de style vocal, T.1, 1868, page 18)
- Ces bois, étendus sur une centaine d’hectares, rejoignaient les deux ailes du château, une ancienne demeure, de style Louis XIII, à l’allure de ce qu’on appelle encore dans certaines campagnes une « maison de noblesse ». — (Alphonse de Châteaubriant, Monsieur des Lourdines, chap.1, 1910)
- (Par extension) Caractère de la composition.
- Le vénérable pont sur le Tarn a non seulement de hautes arches en ogive, mais ses piles de briques, entre les les voûtes et au-dessus des avant-becs, sont percées de baies du même style. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Vocabulaire, tournure, jargon caractéristique d’un langage administratif ou technique.
- On peut utiliser le style publicitaire sans faire de la publicité pour autant.
- Le style administratif est, pour une bonne part, responsable de la mauvaise image de l’administration.
- Apparence d’un objet ou d’une personne. Ensemble de caractéristiques définissant son identité.
- Partez à la découverte de votre style vestimentaire !
- Inutile de débattre sur le style de cette voiture, ce n’est qu’une affaire de goût.
- (Familier) Comportement habituel d’un individu.
- Ce n’est pas son style de partir comme ça, sans crier gare.
- Attachez vous de l’importance au style de conduite des autres conducteurs ?
- (Familier) Type, genre affectionné ou recherché.
- Ce mec là, ce n’est vraiment pas mon style.
- Cette radio diffuse mon style de musique.
- Genre, utilisé pour cataloguer quelqu’un ou quelque chose, souligner son appartenance à une catégorie.
- Un incident de ce style s’était déjà produit dans l’usine.
- Un diplôme de ce style serait sans doute la clef de la réussite.
- (Chronologie) Désigne le mode de datation du calendrier (grégorien ou républicain).
- — Vers la fin de vendémiaire, an VII, époque républicaine qui, dans le style actuel, correspond au 20 octobre 1799, deux jeunes gens, partis de Bonn dès le matin, étaient arrivés à la chute du jour aux environs d’Andernach, petite ville située sur la rive gauche du Rhin, à quelques lieues de Coblentz. — (Honoré de Balzac, L'Auberge rouge, 1831)
-
roupille
- (Populaire) (régionalisme provençal) (rare au singulier) chose de peu de valeur, usée ou en mauvais état, guenille, rougne.
- Il est encore revenu des puces avec un sac de roupilles !
-
projectile
- (Didactique) Tout corps lancé par une force quelconque.
- On a brûlé ce qui tombait sous la main et les livres ont servi de combustibles comme ils avaient servi de projectiles. La première chose qui avait été lancée sur les CRS, c'est une bible ! — (David Dufresne, « L'héritage : Les grandes heures du CPE », chap. 6 de Maintien de l'ordre, Hachette Littératures, 2007)
- D’énormes fumigènes rouges et une bombe agricole illuminèrent le virage de Boulogne, et différents projectiles fusèrent en direction du terrain sous les cris de : « CRS marseillais ! » Des agents de sécurité couraient dans tous les sens, […]. — (Serguei Dounovetz, Le rap de la Butte-aux-Cailles, Syros (collection Souris noire), 2011, p. 16)
- (En particulier) (Armement) Balle, obus, et en général de tout corps lancé par une arme de jet ou une arme à feu.
- Alors des flammes aveuglantes jaillirent dans toutes les directions autour du point où le projectile toucha terre, et l’homme qui avait sauté devint, pendant quelques secondes, un éclat de feu et disparut… entièrement. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 240 de l’édition de 1921)
- Ce soir-là, […], je pris ma première leçon d'artillerie. Je connus, à un bruit étrange, croissant, entièrement nouveau, que des projectiles arrivaient, tels des oiseaux criards ; […] ; l'instant d'après ils plongeaient au-dessus de notre toit et éclataient comme à notre nez, criblant l'autre maison et le carrefour. — (Alain, Souvenirs de guerre, Hartmann, 1937)
- Entre 1952 et 1999, environ 500 000 projectiles ont été tirés dans les eaux du lac par l'armée canadienne afin d'effectuer des tirs de pratique. — (Raphaël Brouillette, « Un projet pour retirer 20 000 obus du lac Saint-Pierre », Le journal de Montréal, 10 novembre 2020)
-
cantabile
- (Italianisme) (Musique) (Désuet) Propre à chanter, à être chanté, à faire briller la voix.
-
condyle
- (Anatomie) Tête articulaire d'un os, proéminente et arrondie.
- Le condyle externe et le condyle interne du fémur.
- Le condyle de l'humérus ou capitulum.
- Les condyles de la mâchoire, etc.
- Pour l’anatomiste, il n’existe qu’un condyle au coude : c’est la voussure arrondie qui fait face à la cupule radiale, comme la trochlée fait face aux surfaces articulaires cubitales. — (Revue médicale de la suisse romande, Volume 64, 1944)
-
embrouille
- Situation embrouillée, confuse
- (Par extension) Résultat de celle-ci.
- Rien à voir, le vicelard dans la pègre, pour situer les choses en gros, c'est celui qui louvoie, saisit l’occase des bonnes arnaques avec un minimum de risques... celui qui sait mener les bonnes embrouilles, qui manœuvre pour s'en sortir... s'arracher à la scoumoune. — (Alphonse Boudard, Saint Frédo, Flammarion, 1993, chap.1)
- — Vous êtes au courant de l’arnaque ? C'est l’hypercherie ! L’embrouille totale. Tout est truqué. Silbermann, ça vous dit quelque chose ? C'est lui le cerveau de la magouille ! — (Frédéric Lasaygues, Back to la Zone, Paris : Éditions J'ai lu, 1992)
-
dépouille
- Peau qui, au moment de la mue, se détache du corps des serpents et de certains insectes.
- La dépouille d’un serpent.
- La dépouille d’un ver à soie.
- Les Ophidiens ou serpents sortent de leur peau comme d’un fourreau ; les Batraciens se débarrassent de leurs vieilles dépouilles au moyen de mouvements rapides et saccadés. — (Albert Granger, Histoire naturelle de la France, 4e partie, « Reptiles, batraciens », Émile Deyrolle, Paris, 1890, pages 4-5)
- Peau de bête féroce.
- La dépouille d’un tigre.
- Hercule se revêtit de la dépouille du lion de Némée.
- Près de là, le marché aux fourrures étalait des dépouilles d’animaux sans nombre, venues soit de la haute Sibérie, soit des bords de la mer Caspienne. - L’ours blanc, le renard bleu, l’hermine, étaient les moindres curiosités de cette incomparable exhibition. — (Gérard de Nerval, Les Filles du feu, Angélique, 1854)
- (Sens figuré) Linge qu’on a quitté.
- Elle avait d’abord lavé la dépouille des hommes et les torchons de cuisine : il lui restait le linge fin des petits et son idée était qu’il fût très propre. — (Ernest Pérochon, Nêne, 1920)
- (Littéraire) Corps d’un défunt.
- Ils me disent que ce bûcher est destiné à consumer ma dépouille mortelle et à m’ouvrir un chemin douloureux, mais court, vers un monde meilleur. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- Ce sont d’abord les saints ayant foi en la révélation qui, prochainement et du jour au lendemain, disparaîtront tous de ce monde pour être transportés au ciel, sans laisser ici-bas aucune dépouille mortelle. — (Une station sur les côtes d'Amérique, II. New-York et la société américaine, dans La revue des deux mondes, 1862, page 197)
- Tu ne pensais qu’à cette chair de ta chair qui allait être ensevelie et qui était au moment de pourrir ; tandis que moi, l’incrédule, j’éprouvais devant ce qui restait de Marie, tout ce que signifie le mot « dépouille ». J’avais le sentiment irrésistible d’un départ, d’une absence. Elle n’était plus là ; ce n’était plus elle. — (François Mauriac, Le Nœud de vipères, Grasset, 1933, réédition Le Livre de Poche, pages 81-82)
- C’était la mascotte de l’équipe. Elle l’a fait taxidermiser quand il est mort à l’âge de vingt-trois ans. En frôlant la cheminée, je pus constater à quel point la dépouille confinait au cauchemardesque. — (Serge Brussolo, Agence 13 : Le chat aux yeux jaunes, volume 3, Fleuve Noir, 2011)
- (Sens figuré) (Littéraire) Succession d’une personne, et particulièrement des dignités, des emplois qui deviennent vacants par sa mort.
- C’était un homme qui occupait beaucoup de places : les ambitieux auront là une riche dépouille à se partager.
- Toute chose dont on s’empare ou que l’on acquiert au détriment, au préjudice d’autrui.
- Il voulait me déposséder et s’enrichir de mes dépouilles.
- Ses biens furent confisqués, et les dénonciateurs eurent une part de sa dépouille.
- C’est un plagiaire impudent, qui s’enrichit, qui se pare des dépouilles d’autrui.
- (En particulier) Tout ce qu’on enlève à l’ennemi.
- Si, lors de la distribution des dépouilles, les vainqueurs ont appliqué aux vaincus la brutale formule du væ victis, cela ne veut pas dire que dans leur camp même le principe égalitaire ait été respecté. — (Victor Margueritte, Avortement de la S.D.N. (1920-1936), Flammarion, 1936, page 78)
- (Art, Métallurgie) Pente, inclinaison prévue sur les parties latérales d’un modèle afin d’assurer un parfait démoulage en vue de son extraction lors de la réalisation du moule.
- (Métallurgie) (Par extension) En usinage, espace laissé par un outil de découpe pour permettre l’élimination des copeaux de matière. → voir angle de dépouille.
- Nous établirons donc l'outil avec une dépouille ≥ de 30° au sommet, ce qui assurera une dépouille admissible de de 4°30 par rapport à la fraise aux points ou celle-ci possède le plus fort engagement. — (Produire, usinage et outillage modernes, Revue technique des industries mécaniques et électromécaniques, Volume 5, 1922)
-
barbille
- (Vieilli) Filament au flan des monnaies.
-
idylle
- Petit poème à sujet pastoral ou amoureux.
- Oh ! les chastes églogues ! Oh ! les idylles chantées par les poètes ! Oh ! les paysanneries enrubannées et naïves qui défilent, conduites par la muse de Mme Deshoulières, au son des flageolets et des tambourins ! — (Octave Mirbeau, Le Tripot aux champs, Le Journal, 27 septembre 1896)
- Dans un souvenir pastoral, les vers d'une triste idylle écrite par La Fontaine flottèrent devant sa mémoire rêveuse. — (Pierre Louÿs, Les aventures du roi Pausole, 1901)
- (Sens figuré)
- Liaison romantique, aventure amoureuse qui ne reste pas toujours chaste.
- Devant ce réveil navré de Paris, elle se trouvait prise d'un attendrissement de jeune fille, d'un besoin de campagne, d'idylle, de quelque chose de doux et de blanc. - Oh ! vous ne savez pas ? dit-elle en revenant à Steiner, vous allez me mener au bois de Boulogne, et nous boirons du lait. — (Zola, Nana, 1880)
- Moi qui connais bien Hélène, je n'ai guère été étonné de la voir entamer une idylle avec un homme jeune, de vingt ans son cadet. Elle est ce qu'on appelle aujourd'hui une cougar. — (François Robin, Landerneau revivra : Une ville en campagne, L'Harmattan, 2013, p.210)
- Amour naïf et tendre vécu affectivement par deux êtres dans la fraîcheur d'un sentiment idéalisé. Relation rêvée dans un climat idéal.
- Partie de la trop aimable idylle florianesque, son histoire d'amour peu à peu s'était assombrie jusqu'à prendre les couleurs arrières du roman flaubertien, qui dit l'universelle maldonne. — (Philippe Berthier, Figures du fantasme: un parcours dix-neuviémiste, Presses Universitaires du Mirail, 1992, p.164)
-
dérouille
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de dérouiller.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de dérouiller.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de dérouiller.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de dérouiller.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de dérouiller.
-
fille
- Femme depuis sa naissance jusqu’à son mariage.
- Nous autres jeunes filles françaises, nous sommes livrées par nos familles comme des marchandises, à trois mois, quelquefois fin courant. — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- Dès minuit, le père Canquoëlle pouvait ourdir toutes les trames, recevoir des espions et des ministres, des femmes et des filles, sans que qui que ce soit au monde s’en aperçût. — (Honoré de Balzac, Splendeurs et misères des courtisanes, 1838-1847, première partie)
- Cette gentillesse qui abrégeait les formes et supprimait les fadaises ridicules que tout garçon se croit tenu de débiter à la belle fille dont il essaie de faire sa maîtresse, m’avait séduit. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- François Cadet, un bel homme, un beau garçon dont les filles s’éprennent d’abord, pour qui elles se jalousent et se déchirent. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 31)
- (Spécialement) Jeune fille encore vierge.
- Que cherche Colombe ? Depuis qu’elle n’est plus fille, tient-elle à devenir la femme de tout le monde ? J'ai honte de mon amie. — (Éric-Emmanuel Schmitt, Le Poison d’amour, éditions Albin Michel, Paris, 2014, page 116)
- Enfant de genre féminin considérée par rapport à ses parents.
- […] il vint des Vieux Marais habiter à Manise comme brigadier, avec sa fille, une belle bachelle de dix-sept ans tout au plus. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Il traita d’abord Joséphine de putain, chose affirma-t-il qui ne l’étonnait guère attendu qu’elle était la fille de sa mère, […]. — (Louis Pergaud, Joséphine est enceinte, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Quand il a des filles, un père de famille ne doit pas plus laisser introduire un jeune homme chez lui sans le connaître, que laisser traîner des livres ou des journaux sans les avoir lus. — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- Dans chaque dechra on trouve une à deux familles maraboutiques. Les mrabtin font remonter leur généalogie au prophète Mohamed par l'intermédiaire de sa fille Fatima et de son gendre Ali. — (Aīssa Ouitis, Les contradictions sociales et leur expression symbolique dans le Sétifois, Société nationale d'édition et de diffusion, 1977, page 94)
- (Par extension) Femme célibataire.
- Ce qui tourmentait et désolait et retournait le curé de Melotte, c’était le dévergondage des filles et des garçons du pays. — (Louis Pergaud, Le Sermon difficile, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Maman s’imaginait que toute la ville connaissait mon aventure. Personne ne voudrait plus m’épouser. Elle avait cette idée fixe que je resterais fille. — (François Mauriac, Le Nœud de vipères, Grasset, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 46)
- (Vieilli) (Par ellipse) Fille d’honneur ; demoiselle d’honneur.
- elle [Louise de Savoie] mena toutes ſes filles — (Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves, 1678)
- (Vieilli) Servante ; employée.
- En sabots, les manches relevées sur leurs bras blancs, les filles balayaient le devant des boutiques. — (Francis Carco, Brumes, Éditions Albin Michel, Paris, 1935, page 158)
- (Par ellipse) (Familier) Fille de joie ; prostituée.
- La place Pigalle, passé deux heures du matin, est le refuge des noctambules professionnels. Des musiciens, des nègres, des filles, des invertis se donnent rendez-vous dans les bars et voient souvent l’aube se lever sans que la chance leur ait souri. — (Francis Carco, Images cachées, Éditions Albin Michel, Paris, 1928)
- Le long des boutiques éclairées, des ombres se succédaient sans hâte. Il y avait des nègres, quelques Chinois, des blancs. Tous reluquaient les filles. — (Francis Carco, Brumes, Éditions Albin Michel, Paris, 1935, page 41)
- Il arrive aussi, mais cet usage tend à disparaitre au début de la IIIe République, que les filles racolent en arpentant à tour de rôle le trottoir situé devant la maison. — (Alain Corbin, Les filles de noce, 1978)
- (Poétique) (Littéraire) (Soutenu) Descendante issue de telle ou telle lignée, ou native de tel ou tel pays.
- La fille des césars.
- Une fille du peuple.
- (Christianisme) Nom que l’on donne aux religieuses de certaines communautés.
- Les filles de saint Vincent de Paul.
- Les filles du Carmel, de la Charité.
- (Sens figuré) (Vieilli) Établissement qui est de la fondation et de la dépendance d’un autre.
- Ces abbayes sont filles de Cîteaux.
- C’est une fille, une des filles de Cluny.
-
sourcille
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de sourciller.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de sourciller.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de sourciller.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de sourciller.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de sourciller.
-
déverrouille
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de déverrouiller.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de déverrouiller.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de déverrouiller.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de déverrouiller.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de déverrouiller.
-
asile
- (Histoire) Privilège d’inviolabilité accordé à certaines personnes et à certains lieux chez les anciens.
- Les athlètes se rendant aux jeux jouissaient chez les grecs du droit d’asile.
- Certains temples servaient d’asile à tous les suppliants.
- (Par extension) Refuge où l’on se met à l’abri des poursuites de la justice, d’une persécution, d’un danger, etc.
- Trouver un asile dans la maison d’un ami.
- Les églises servaient quelquefois d’asile aux criminels.
- Vous souffrez ; vous avez faim et soif ; soyez le bienvenu. Et ne me remerciez pas, ne me dites pas que je vous reçois chez moi. Personne n’est ici chez soi, excepté celui qui a besoin d’un asile. — (Victor Hugo, Les Misérables, I, 2, 3 ; 1862)
- (Sens figuré) Séjour, habitation.
- Cet endroit désolé semblait être l’asile naturel de la misère et du désespoir. — (Honoré de Balzac, Un épisode sous la Terreur, 1831)
- Asile agréable, délicieux, champêtre.
- Tout, dans cet asile, respire l’innocence et la paix.
- L’asile de la vertu, des plaisirs, de la volupté.
- (En particulier) Maison où une personne qui n’a pas de quoi subsister trouve une retraite dans sa mauvaise fortune.
- Il ne savait où donner de la tête, il a trouvé un asile chez un de ses amis.
-
rutile
- (Minéralogie) Minéral composé de dioxyde de titane de formule TiO2.
- L’électrode rutile contient principalement du TiO2 dans l’enrobage. — (Différences entre l’électrode rutile et basique, metaltop.fr)
- Les électrodes à enrobage rutile et rutilo-cellulosique sont les plus employées pour les travaux de « bricolage ». — (La Soudure à l’arc pour les nuls, metal-connexion.fr)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.