Dictionnaire des rimes
Les rimes en : mande
Que signifie "mande" ?
Afficher la définitionMasquer la définitionwiktionary.org
- Panier haut d’origine hollandaise, à deux anses.
- Toute sorte de paniers et de corbeilles en osier.
- Une mande à harengs..
- Les mandes sont fait de façon d’un pot à fleurs étroites, rondes ou ovales dans le fond va toujours s’élargissant vers le haut en jusqu’assez près de son embouchure, qui se rétrécit un peu. Le couvercle est aussi d’osier. — (Jacques Savary des Bruslons, Dictionnaire Universel de Commerce)
- D’en prendre dans les mandes (du poisson de mer) pour eux ou pour qui que ce soit, et de retenir le crétin de Saint-André — (Dictionnaire rouchi-français)
- (En particulier) Panier destiné au transport de la terre à pipe.
- Les plus belles terres à pipe s’appelaient derles, on les trouvait notamment dans un gîte à Andenne, en Belgique, et dans quelques autres sites. On l’extrayait à la pioche, on la transportait dans des paniers en osier appelés mandes. — (terre à pipe sur l’encyclopédie Wikipédia )
- Contenu de ce panier.
- Du pain plein une mande.
Mots qui riment avec "ande"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "mande".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ande , andes , ende et endes .
-
hornblende
- (Minéralogie) Minéral de la famille des amphiboles calciques.
- La matrice de hornblende noir profond donnait exactement à la pierre la bonne luminosité, et ses contours correspondaient parfaitement au tracé, comme si la nature l’avait créée spécialement pour qu’elle devienne durablement la reproduction du délicat profil de Myriam. — (Gustav Meyrink, Le Golem, 1915 ; traduit de l’allemand par Jean-Pierre Lefebvre, 2003, page 151)
- Elle est composée de feldspath alcalin, de biotite et de hornblende.
-
houppelande
- (Habillement) Pardessus, long manteau.
- Le chevalier de la paix attrapa sur le col de sa houppelande je ne sais quel insecte, qu'il écrasa sur son ongle à la lueur d'un réverbère. — (Nicolas Gogol, Les âmes mortes, 1842 ; traduction de Henri Mongault, 1949)
- Nous étions en hiver, et Mongenod n’avait point de manteau, car quelques larges gouttes de neige fondue et tombées des toits, le long desquels il avait dû marché, jaspaient le collet de sa houppelande. — (Honoré de Balzac, L’Envers de l’Histoire contemporaine, 1848, premier épisode)
- Deux ceintures d'or de broderie qui sont assises sur l'espaulle senestre de deux houppelandes. — (De Laborde, Émaux)
- Cependant il est un agent de la Compagnie, qui ne doit pas quitter son poste, c’est Popof, – Popof, notre chef de train, un vrai Russe, l’air militaire avec sa houppelande plissée et sa casquette moscovite, très chevelu et très barbu. — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre V, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- Mais du moins des provisions et une grande houppelande lui furent-elles laissées pour son confort. — (Robert Louis Stevenson, Les Gais Lurons, 1881, Traduction Jean-Pierre Naugrette, 2004)
- Un jour, il me trouva dans une allée du parc, assis sur un banc de pierre ; je me rappelle que je lisais le traité de Clarke sur l’Existence de Dieu. Selon mon habitude, j’étais enveloppé dans une épaisse houppelande. « Oh ! le cher petit trésor, dit-il en s’approchant. Mon Dieu, qu’il est donc joli là, si bien empaqueté ! Oh ! ne le dérangez pas. Voilà comme il sera toujours... Il étudiera, étudiera sans cesse ; mais, quand le soin des pauvres âmes le réclamera, il étudiera encore. Bien fourré dans sa houppelande, il dira à ceux qui viendront le trouver : « Oh ! Laissez-moi, laissez-moi. » Il s’aperçut que le trait avait porté juste. — (Ernest Renan, Souvenirs d’enfance et de jeunesse, 1883, réédition Folio, page 140)
- Qu’elle était jolie avec ses yeux doux, sa barbiche de sous-officier, ses sabots noirs et luisants, ses cornes zébrées et ses longs poils blancs qui lui faisaient une houppelande ! — (Alphonse Daudet, Lettres de mon moulin / La chèvre de monsieur Seguin, 1887, (réimp.1895) Charpentier et Fasquelle, pages 37-50)
- — Je crois que neuf heures viennent de tinter à la cathédrale. Ma bonne sœur, voici le moment de partir… — Vous avez raison. Je monte chercher nos houppelandes… — (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts, Plon, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 17)
- (Sens figuré)
- 30 décembre 42 – Oh ! passer vingt-quatre heures seulement loin d’ici, vingt-quatre heures seulement déposer cette horrible houppelande qu’est l’occupation, cette non moins lourde houppelande qu’est mon passé. — (Benoîte et Flora Groult, Journal à quatre mains, Denoël, 1962, page 252)
-
revende
- Première personne du singulier du présent du subjonctif du verbe revendre.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif du verbe revendre.
-
affriande
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe affriander.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe affriander.
- Mais Alençon n’est pas une ville qui affriande l’étranger, elle n’est sur le chemin d’aucune capitale, elle n’a pas de hasards. — (Honoré de Balzac, La Vieille fille, 1844)
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe affriander.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe affriander.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe affriander.
-
marchande
- Femme qui exerce une activité de marchand.
- Certes, la fantaisie, l’esprit de chaque marchand ou marchande, introduisaient souvent des variantes dans les paroles de toutes ces musiques que j’entendais de mon lit. — (Marcel Proust, La Prisonnière, Gallimard, Paris, 1946 (1re édition 1923), page 146)
- (Désuet) Épouse d’un marchand en gros.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
-
quémande
- (Désuet) Celle qui mendie, qui gueuse.
- Plus que pauvre et quémande on voit la poésie — (Mathurin Régnier, Satires IV)
- ramande
-
tende
- (Boucherie) → voir tende de tranche.
- superdividende
-
hollande
- Toile très fine et très serrée qui se fabrique en Hollande
- Porcelaine de Hollande.
- Espèce de groseille.
- Espèce de pomme de terre jaune, grosse et farineuse.
- Vendre de la hollande au boisseau.
-
girandes
- Pluriel de girande.
-
multiplicande
- (Arithmétique) L’un des deux opérandes de la multiplication.
- Dans la multiplication de quatre par trois, quatre est le multiplicande, trois est le multiplicateur.
- Soit +A à multiplier par +B. La valeur absolue du produit sera composée avec la valeur absolue A du multiplicande, comme la valeur absolue B du multiplicateur est composée avec l’unité ; c’est-à-dire que, d’après les notations admises, cette valeur absolue du produit sera AB. Quant au signe du produit, comme le multiplicateur +B a le même signe que l’unité positive, ce produit aura le même signe que le multiplicande, c’est-à-dire +.Ainsi, le produit de +A par +B est +AB.Soit +A à multiplier par −B. La valeur absolue du produit sera, comme ci-dessus, AB. Mais le multiplicateur −B ayant un signe contraire à celui de l’unité positive, le produit aura un signe contraire à celui du multiplicande, c’est-à-dire −.Ainsi le produit de +A par −B est −AB. — (Hippolyte Sonnet, Algèbre élémentaire avec de nombreuses applications à la géométrie et aux questions les plus simples de physique, de mécanique, etc, 1848, p. 90)
-
agende
- (Désuet) Administration municipale.
- (Rare) Formulaire déterminant l’ordre du culte public.
- AGENDE : formulaire déterminant l’ordre du culte public ; ce mot est surtout usité en Allemagne, où les différentes agendes locales ont été en partie remplacées, sous l’influence de Bunsen, avec l’exemple et l’autorité du roi de Prusse, par une agende commune, la même pour toutes, ce qui amena de nombreuses protestations et une controverse passionnée, 1822 à 29. — (Jean-Augustin Bost, Dictionnaire d’histoire ecclésiastique, Librairie Fischbacher, Paris, 1884)
- (Rare) (Religion) Office des morts, chez les Chartreux.
-
provende
- (Rare) Provision de vivres.
- Pendant deux ou trois heures, la plage est animée par toute cette population, qui vient lui demander sa provende quotidienne. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, « L’Archipel de Chausey, souvenirs d’un Naturaliste », Revue des Deux Mondes, tome 30, 1842)
- (Sens figuré) Son petit œil cosaque, étincelant sous un sourcil de chanvre gris, rafle sur les tables toute provende imprimée, qui prendra le chemin de la bibliothèque et ne reverra plus la lumière… — (Sidonie-Gabrielle Colette, La Maison de Claudine, Hachette, 1922, réédition Le Livre de Poche, 1960, page 16)
- Cela le surprenait et le désemparait : à mesure que le souci de sa provende relâchait sa terrible étreinte, qu'il se sentait mieux assuré de vivre, son découragement augmentait. — (Maurice Genevoix, Raboliot, quatrième partie, chapitre 2, 1925, page 220 de la réédition du Livre de Poche)
- J’avais marché plus de soixante heures… Mais je n’avais pas couvert quinze milles. J’étais las de regarder devant moi, à ma droite, à ma gauche, en quête d’une impossible provende… — (Maurice Constantin-Weyer, Un homme se penche sur son passé, 1928, réédition Nelson, page 133)
- Aussi en prévision des revendications gargantuesques de son estomac, Bob charrie-t-il en tous lieux un sac cyclopéen bourré de provendes diverses. — (Samivel, L’Amateur d’abîmes, 1940, réédition Le Livre de Poche, page 85)
- Mamitate fit cependant bonne provende, sans l’avouer, d’un petit nombre de ces moralités tranchantes « traînées dans les ruisseaux des Halles ». — (Richard Jorif, Le Burelain, éditions François Bourin, 1989, page 43)
- (Agriculture) Fourrage, mélange de divers aliments très nourrissants qu’on donne aux bestiaux.
- Le silence de la nuit laissait entendre vaguement, et le bruit que faisaient les chevaux en mangeant leur provende ou en piaffant, et le murmure des eaux du Rhin, et ces espèces de rumeurs indéfinissables qui animent une auberge pleine quand chacun s’y couche. — (Honoré de Balzac, L’Auberge rouge, 1831)
- Don Ramon mit pied à terre […] ôta la bride de son cheval, afin qu’il pût manger la provende qu’il lui donna. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- De temps à autre, il laissait traîner ses naseaux à fleur de sol, humait les touffes d’herbe dure, en mordait une poignée, la mâchait dans une grande dépense de salive. Il fallait qu’il eût bien faim pour rechercher pareille provende. — (Joseph Kessel, Les Cavaliers, Gallimard, 1967)
- Watt ne vit pas la bourrique, ou la chèvre, mais la bourrique, ou la chèvre, vit Watt. Elle le regarda s’éloigner, à pas lents, sur la route, et finalement disparaître. Elle se figurait peut-être qu’il y avait dans les sacs quelque bonne provende pour elle. Sitôt les sacs hors de vue, elle laissa retomber sa tête, parmi les orties. — (Samuel Beckett, Watt, 1968)
- (Par extension) (Sens figuré) Matière à réflexion, inspiration.
- Un sérail est organisé comme une fiction, une dictature aussi. Quand le rideau se déchire, c’est la comédie délirante du langage qui devient l’ultime bouclier : c’est pourquoi un romancier trouve volontiers sa provende dans les apocalypses.— (Marc Lambron, « Yamina Khadra imagine les derniers jours de Kadhafi… », Le Point, no 2 240, 13 août 2015)
-
chalande
- Femme qui éprouve de l'intérêt pour une autre, s'attache à elle, galant.
- (Commerce) Celle qui achète ordinairement chez un même marchand.
-
offrande
- Don que l’on offre à Dieu, aux saints ou à l’église.
- Offrande agréable à Dieu.
- Faire une offrande.
- Les offrandes et les aumônes.
- Les offrandes votives, ainsi que les boucliers enlevés à l’ennemi dans le cours de la guerre Médique, étaient suspendus en dehors de l’édifice. — (François-René de Chateaubriand, Itinéraire de Paris à Jérusalem, 1811)
- Don que l’on offre à une divinité, aux idoles ou à un temple.
- Le patriarche Trâm, âgé de 65 ans, est le maître de cérémonie. Les jeunes préparent différentes offrandes (cochons, poules et chèvres) afin que le patriarche puisse indiquer aux divinités l’organisation de la fête. — (Mai Huong, Célébration de la nouvelle nhà rông chez les Bahnar, lecourrier.vn, 18 avril 2021)
- Il se dit encore, par extension, de tout don que l’on fait à un organisme ou à une personne.
- Veuillez bien accepter, agréer ma modeste offrande.
- Si vous arrivez à me montrer quelque chose de plus bête qu’un proverbe, je vous fais immédiatement offrande d’un demi-kilogramme de cerises anglaises, denrée somptueuse pour la saison. — (Alphonse Allais, Pas pressé, in Œuvres posthumes, novembre 1887, Éditions Robert Laffont, coll. Bouquins, 1990, page 149)
- Il aima ses larges yeux calmes, la noblesse de son front, toute la pureté de ce visage où s’épanouissait cependant une bouche sensuelle, aux lèvres tendues, une bouche en offrande. — (Maurice Leblanc, Voici des ailes, 1898, réédition Éditions François Bourin, collection Libretto, 1999, page 56)
- Mais quelle est donc cette exquise créature qui nous fait l’offrande de sa visite ? — (Maëster, Sœur Marie-Thérèse des Batignolles, La Guère Sainte, Drugstore, 2008, ISBN 978-2226175601)
- Cérémonie qui se pratique aux messes dans lesquelles le prêtre, tourné vers le peuple, présente la paix à baiser et reçoit les offrandes des fidèles.
- Aller à l’offrande.
- Donner à l’offrande.
- Présenter le pain bénit à l’offrande.
- Ma mère était morte trois jours plus tôt, et dans l’église avait lieu la cérémonie si fâcheuse de l’offrande : toute l'assistance longeait le cercueil, et déposait une pièce dans un plateau, tout en baisant un crucifix que tenait le prêtre. J'étais debout à ma place, et regardais. Je pensais à cette file de gens, à ce bruit de sous, à ce voile noir sur une caisse, et je me disais qu'il n'y avait aucun rapport entre tout cela et ma peine, mais qu'il s'agissait d'une formalité inévitable, et que bientôt on me laisserait seul. — (José Cabanis, Les cartes du temps, Gallimard, 1962, Le Livre de Poche, page 152)
- rolande
-
commende
- (Histoire) Administration temporaire des revenus d’un bénéfice donnée autrefois par l’autorité ecclésiastique en attendant la nomination du titulaire.
- La commende était une dérogation au droit commun.
- (Histoire) Bénéfice donné par le roi à un séculier pour une abbaye régulière avec permission de disposer des fonds.
- Après sa mort, la commende fut introduite dans l'abbaye et ce devint, comme pour la plupart des monastères auxquels on l'imposa, le signal et le principe d'une décadence profonde et rapide. « Désormais, dit Mgr Péchenard, […] l'abbé n'est plus ni le chef réel, ni le modèle obligé de sa communauté. Il est nommé par la puissance séculière. C'est quelque séculier, cardinal, évêque, prêtre, simple tonsuré, parfois un étranger à l'état ecclésiastique. — (Dr J. Jailliot, Recherches sur l'Abbaye de Chehery, dans la Revue d'Ardenne & d'Argonne : scientifique, historique, littéraire et artistique, publiée par la Société d'études ardennaises "La Bruyère", Sedan : impr. Laroche, mars 1896, n°3, page 89)
- Mais, rappelle sœur Anne Claire, c'est surtout la commende, cet accord entre le pape et le roi de France (1516) prévoyant que les abbés seraient nommés par le roi, qui a détérioré la vie communautaire. — (Martine de Sauto, Une abbaye témoin d'une histoire tourmentée, Journal La Croix, page 11, 26-27 juillet 2014)
-
retende
- Première personne du singulier du présent du subjonctif du verbe retendre.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif du verbe retendre.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.