Dictionnaire des rimes
Les rimes en : manancourt
Mots qui riment avec "our"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "manancourt".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : our , ours , ourt , ourts , ourd , ourds , oure , oures , ourre , ourres , ourg et ourgs .
- coulours
- bonnecourt
- beaucourt
-
vautour
- (Ornithologie) Oiseau rapace charognard, à tête et à col nus.
- Un vautour fait des ronds dans le ciel, en silence. — (André Duvignac, Comme des oiseaux, 1983)
- En Inde, le traitement du cheptel au diclofénac est dévastateur pour les vautours. — (journal Sud-Ouest, édition Charente-Maritime / Charente, 20 août 2022, page 33)
- (Sens figuré) Personne dure, avide et motivée par l’appât du gain.
- Puis, comme la terre a des limites, malheureusement, et que l’appétit de tous ces vautours n’en avait pas, lorsqu’elle fut épuisée et qu’elle eût été accaparée toute, on créa des « fiefs en l’air », qui n’ayant pas de base, pas d’appui sur le sol, reposaient sur des rentes et des redevances incorporelles. — (Eugène Bonnemère, Histoire des Paysans, tome I : Le servage, Librairie Fischbacher, Paris, 1886, page 150)
- (En particulier) (Vieilli) Terme péjoratif désignant le propriétaire du logement.
- Voici le huit, le jour du terme :Nous n’avons pas le premier sou.Mais j’attends Vautour de pied ferme,Qu’il vienne et je lui tords le cou. — (Eugène Pottier, Logements insalubres, dans Chants révolutionnaires, E. Dentu, Paris, 1887)
- Tu penses bien que je vais pas payer mon vautour ! d’autant que je lui dois plus de quinze jours. — (Paul Vialar, Les Faux-fuyants, Julliard, 1953, page 118)
- (Sens figuré) Être ou chose qui attend l’affaiblissement de sa victime.
- C'est ce qu'a exprimé naïvement Leibnitz et ce que répètent avec lui tous les esprits dont l'intelligence est le vautour : « Il n'est pas nécessaire de vivre, mais il est nécessaire de penser. » — (Remy de Gourmont, Le Chemin de Velours - Nouvelles dissociations d'idées, Mercure de France, 1902, éd. 1911, p. 173)
- Ce jour-là, il buvait froidement la peur dans mes yeux. Mi-vautour, mi-loup. — (Amina Danton, La tangente, Gallimard (NRF), 2009, page 181)
- (Héraldique) Meuble représentant l’animal du même nom dans les armoiries. Il se blasonne comme le faucon. À rapprocher de aiglat, aigle, aiglette, aiglettes, aiglons, émerillon, épervier, faucon et gerfaut.
- D’azur à deux vautours d’argent affrontés, enchaînés d’or par le cou, qui est de la famille Le Valois → voir illustration « armoiries avec 2 vautours »
-
court
- De petite longueur ou qui n’a pas la longueur moyenne des objets du même genre.
- L’ouvrier se sert d’une lame courte et tranchante, engagée dans un manche d’os, avec laquelle il pratique, au bas de l’arbre, une entaille circulaire et assez profonde pour arriver jusqu’à l’aubier. — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes, E. Jolly, Charleville, 1869, page 174)
- Les îles Galapagos, mon escale prévue, n’étaient qu’à huit cent milles à vol d’oiseau, mais malgré la courte distance, c’était une longue traversée. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil, tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- Le seul moyen de se garantir d’oignons, & même de toute incommodité aux pieds, c’est d’être absolument en garde contre les chaussures trop courtes. — (Nicolas Laurent Laforest, L’art de soigner les pieds : contenant un traité sur les cors, verrues, durillons, oignons, engelures, les accidens des ongles & leur difformité, Paris : chez l’auteur & Maison de M. Bourdet et Versailles : Blaizot, 1781, page 77)
- La glace tire vers le bleu car elle absorbe les longueurs d’onde élevées, qui correspondent aux couleurs plus rouges, et laissent donc s’échapper les longueurs d’onde plus courtes, les couleurs bleutées, qui sont ensuite captées par nos yeux.— (Robin George Andrew, Le mystère des icebergs vert émeraude (enfin) élucidé ?, National Geographic, 2 septembre 2019)
- (Familier) Qui est en petite quantité, insuffisant.
- Courte pitance.
- Le bouillon est un peu court, mettez-y de l’eau.
- (Sens figuré) Borné (en parlant de l’esprit ou de l’intelligence).
- Avoir l’esprit court, l’intelligence courte.
- (Par ellipse) Plus court chemin.
- Allez par là, c’est le plus court.
- Il arriva le premier, parce qu’il avait pris le plus court.
- Prendre au plus court.
- — Il faut rentrer, maman, rentrons par le plus court. — (François Mauriac, Un adolescent d’autrefois, Flammarion, 1969, page 286)
- Prompt, facile, expéditif.
- Il eût été plus court de faire ce que je vous ai conseillé.
- J’ai trouvé plus court de ne rien répondre.
- Qui est de peu de durée.
- La courte nuit d’été lui parut cependant interminablement longue. Il éprouvait une sensation désagréable d’insécurité et il s’imaginait, sans la moindre raison, que le jour la dissiperait. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 98 de l’édition de 1921)
- Une lettre de change à courte échéance.
- Il est mort après une courte maladie.
- Concis, peu développé.
- Votre lettre est beaucoup trop courte.
- Les règles doivent être courtes et claires.
- Ce prédicateur, cet avocat fut court.
- Il est court dans ses explications.
- (Familier) Petit, courtaud.
- Il est court sur pattes.
- (Grammaire anglaise) Se dit d’un adjectif comportant une seule syllabe, ou deux auquel cas il se termine obligatoirement par un -y.
- Les adjectifs pretty et doggy sont dits courts parce qu’ils ne comportent que deux syllabes et terminent par -y.
- Les adjectifs good et fat sont dits courts puisqu’ils ne sont constitués que d’une syllabe.
-
ksour
- Pluriel de ksar.
- begnecourt
- auboncourt
- dolancourt
- bayecourt
- bouttencourt
- bouvancourt
-
amour
- (Psychologie) Sentiment intense et agréable qui incite les êtres à s’unir.
- Dans Thomas l’imposteur, il avait combiné à une apparence de psychologie « rudimentaire » des aperçus ou constats très fins et pénétrants, dépatinant les sentiments les plus convenus (amour, plaisir, ambition), les sortant du lieu commun. — (Pierre-Marie Héron, Cocteau, 2010, page 138)
- Non, l’amour, sentiment naïf et chaste qui se voile de pudeur et de fierté au sanctuaire du cœur, n’est point cette tendresse cavalière qui répand les larmes de la coquetterie par les yeux du masque de l’innocence ! — (Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit, 1842)
- […] l’entière affection de cet homme, qui répondit par un amour unique à un unique amour, tout avait réconcilié cette pauvre femme avec la vie. — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- Or savez-vous quels sont ses deux instincts naturels, irrésistibles dans l’ordre psychique? c’est l’amour et la liberté. Ces deux instincts naturels se sont socialement combattus jusqu’à présent ; il a fallu que l’homme immolât ou plutôt subordonnât l’un à l’autre. — (Alexandre Dumas fils, La question du divorce, 1880, 12e éd., page 131)
- Déjà, Jacques aimait Yasmina, follement, avec toute l’intensité débordante d’un premier amour chez un homme à la fois très sensuel et très rêveur en qui l’amour de la chair se spiritualisait, revêtait la forme d’une tendresse vraie… — (Isabelle Eberhardt, Yasmina, 1902)
- L’amour, par l’enthousiasme qu’il engendre, peut produire le sublime sans lequel il n’y aurait point de morale efficace. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, chapitre VII, La morale des producteurs, 1908, page 342)
- L’homme a inventé les dieux et il a créé l’amour avec son cortège de sensibleries ridicules ou criminelles. L’amour a donné naissance au poète, puis au psychologue et, pour couronner l’humaine sottise, à cet enfonceur de portes ouvertes qui s’est baptisé psychanalyste. Le paladin du refoulement et l’écuyer servant la Haute Dame Libido. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 118)
- Personne que je sache, n’a encore osé dire que l’amour tel qu’on l’imagine de nos jours est la négation pure et simple du mariage que l’on prétend fonder sur lui. — (Denis de Rougemont, L’Amour et l’Occident, 1946)
- Je percevais au tremblement de leur voix, au miel de leurs paroles, cette terrible servitude qui les liait à ce qu’on nomme l’amour, d’un mot trop doux parce qu’on ne veut pas lui donner son véritable visage de bestialité et d’animalité. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 32)
- Je veux mourir ès amoureux combats, Soûlant l'amour, qu'au sang je porte enclose, Toute une nuit au milieu de tes bras. — (Pierre de Ronsard, Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse)
- Affection profonde pour quelqu’un ou quelque chose. (Psychologie) Affect éprouvé lié à la libido qui fait tendre le sujet vers un objet affectif qui peut être une autre personne ou une partie d’une autre personne ou un objet[3].
- […] ce cœur qui s’ignorait soi-même avait tourné toutes ses pensées vers ses enfants, qu’elle s’était mise à adorer de toutes les forces virginales de l’amour maternel, le plus beau et le plus sain de tous. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- De toutes les villes du département du Nord, Douai est, hélas! celle qui se modernise le plus, où le sentiment innovateur a fait les plus rapides conquêtes, où l’amour du progrès social est le plus répandu. — (Honoré de Balzac, La Recherche de l’Absolu, 1834)
- […] j’avais tâché d’en donner l’impression à Françoise en ne laissant pas paraître devant elle ma souffrance, parce que, même au moment où je l’éprouvais avec une telle violence, mon amour n’oubliait pas qu’il lui importait de sembler un amour heureux, un amour partagé, surtout aux yeux de Françoise qui, n’aimant pas Albertine, avait toujours douté de sa sincérité. — (Marcel Proust, Albertine disparue, in À la recherche du temps perdu, 1927)
- Je regarde MM. les délibérants aux assemblées d’élection et les députés aux États-généraux comme des juges aux pieds desquels tous ceux qu’anime l’amour du bien public doivent apporter le tribut de leurs pensées. — (Comte de Sanois, Questions proposées à toutes les assemblées, par un membre de la noblesse de celle de Meaux, 13 mars 1789)
- « Amour cérébral ? » Ne m’ennuyez pas avec cette sottise. Direz-vous que l’amour qui précipitait ces foules ingénues vers le tombeau du Christ était cérébral ? Et croyez-vous qu’on aime autrement la France ? — (Vercors, La marche à l’étoile, éditions de Minuit, 1943, éd. 1946, page 29)
-
discours
- (Linguistique) Actualisation de la langue ; suite de mots qu’on emploie concrètement pour exprimer sa pensée.
- En proposant le passage, incessant, d’un discours ordinaire au champ de la science, en devenant un « agitateur de mots », le vulgarisateur se donne un joli rôle: celui de l’intermédiaire, du « passeur de mots ». — (Sabine Pétillon-Boucheron, Les détours de la langue: étude sur la parenthèse et le tiret double, page 299, éditions Peeters, 2002)
- Les parties du discours.
- Discours direct, indirect.
- (Désuet) Exposé ou traité sur un sujet quelconque.
- Ce que nous disons, Sire, n'est pas une hyperbole, ni un discours cérébrin ; nous l'avons vu, en l'année 1612, au chapitre général des jacobins. — (Louis-Clair de Beaupoil de Sainte-Aulaire, Histore de la fronde, chap.15 : 1651, Paris : chez Baudouin frères, 1827, vol.2, p.345)
- La véridicité se confirme donc quand le discours dit vrai conformément à son être, quand se présente en ressemblance la chose du discours. Elle diffère nécessairement d'un discours à l'autre. — (François Bousquet, La Vérité, Éditions Beauchesne, 1983, page 104)
- Le 5 mars 1946, le discours de Churchill à Fulton, évoquant le « rideau de fer », peut être considéré comme l'un des prémices de la guerre froide. […]. Le 21 août, un discours d'Andreï Jdanov, à Leningrad, inaugure le « jdanovisme » , le « réalisme socialisme » érigé en dogme politico-culturel. — (Pierre Jeanneret, Popistes: histoire du Parti ouvrier et populaire vaudois, 1943-2001, Editions d'en bas, 2002, p. 69)
- (Souvent au pluriel) Propos de la conversation, choses que l’on dit dans le commerce habituel de la vie.
- Discours sensé.
- Discours impertinent, extravagant.
- Discours à perte de vue.
- De vains discours.
- Trêve de discours.
- Faire des discours en l’air.
- Cela fera plus d’effet sur lui que tous les discours.
- Où veut-il en venir avec ces discours ?
- Où tend ce discours ?
- (Spécialement) Texte lu ou propos improvisés devant un public.
- Mais Mirabeau était réellement l’âme de la Constituante. […] ; le souffle qui animait ses discours faisant de ce tribun le véritable souverain de la Chambre. — (Alfred Barbou, Les Trois Républiques françaises, A. Duquesne, 1879)
- […] ; car dans un discours du 11 mai 1907, à la Chambre des députés, Jaurès m’a appelé le « métaphysicien du syndicalisme », sans aucun doute avec une intention ironique. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, 1908, note de bas de page 57)
- Lorsque l’interprète me traduisit le sens général du discours, je fus émerveillé. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- Tout le monde a déjà subi l’épreuve des discours sans fin pendant lesquels on réprime difficilement ses bâillements. — (Saladin, Jean-Christophe, Mieux parler en public, Vuibert, Paris, 2004)
- De tout temps, il y a eu des discours. Ce ne sont que des mots, mais lorsqu'ils sont prononcés dans un contexte précis, ils ont le pouvoir d'informer, de sensibiliser, d'expliquer, de convaincre, de faire réfléchir et parfois de changer le cours de l'histoire. Au siècle dernier, l'Europe n'aurait peut-être pas subi un sort aussi effroyable si Hitler n'avait pas maîtrisé l'art du discours. De l'autre côté du spectre, certains discours de Martin Luther King, de Nelson Mandela et de Barack Obama ont contribué à changer les mentalités, à faire évoluer les esprits et à rendre le monde meilleur. — (Gilles Trudeau, Discours gagnants – Petit guide de rédaction, Linguatech éditeur, Montréal. 2018, p. 159)
- (Spécialement) (Désuet) Dans les lycées et les collèges, exercice destiné à former les élèves aux principes de la composition.
- Prix de discours français, de discours latin.
-
bonjour
- Formule de salutation utilisée lorsqu’on rencontre quelqu’un. Note : Selon le moment de la journée, on utilisera bonjour ou bonsoir.
- Bonjour, monsieur le Président.
- Bonjour, mon ami.
- Cependant la prairie s’était peuplée. D’un pré à l’autre, on disait : « Bonjour » ou « Beau temps » ; c’était tout. — (Marcel Arland, Terre natale, 1938, réédition Le Livre de Poche, page 107)
- Formulation de salutation utilisée lorsqu’on quitte quelqu’un dans la journée comme on dirait bonne journée, ou la nuit bonsoir, bonne soirée. Note : Emploi courant au Québec mais très rare en France, quoique consigné dans le Trésor de la langue française[1] ou le Grand Larousse de la langue française[2].
- S’élançant vivement dans la voiture, il prit les rênes, donnant à Pierre à peine le temps de se placer près de lui, et lança le cheval au grand trot.– Bonjour, monsieur Charles !– Adieu, mes enfants !– Bonjour, monsieur Pierre !– Bon voyage ! bonne santé !– Que le bon Dieu vous conduise ! — (Pierre-Joseph-Olivier Chauveau, Charles Guérin, G.H. Cherrier, éditeur, Montréal, 1853, I, 2, pages 19–20)
- Bien le bonjour !
- (Québec) Bonsoir. (S'utilise là où les Français disent bonsoir).
- (Populaire) (Péjoratif) Interjection marquant une réticence, un refus[3], un jugement de médiocrité.
- Un verre ça va, trois verres, bonjour les dégâts. — (Slogan du Comité français d’éducation pour la santé, 1984)
- Une fois, à une exécution, je m’approche d’une fille. Pour rigoler, je lui fais : « Vous êtes de la famille du pendu ? »… C’était sa sœur. Bonjour l’approche ! — (Alexandre Astier, Kaamelott, Livre I, 2005, épisode La Coccinelle de Madenn)
- Tu as tort, disait-elle, elle va s'y habituer, et après, bonjour ! — (Pierre Lemaitre, Le Silence et la Colère, Calmann-Lévy, 2023)
- (Rare) Formule de politesse utilisée lorsqu’on quitte quelqu’un au téléphone :
- Par formalisme, à la place de au revoir, puisque l’on ne peut pas voir son interlocuteur au téléphone ou que l’on ne l’a jamais rencontré ; ou éventuellement, pour signifier à son interlocuteur que l’on n’a pas envie de le revoir, alors qu’il s’attendait à la formule courante au revoir.
- davenescourt
-
fribourg
- Nom donné au gruyère suisse, caractérisé par le fait qu’il n’a pas de trous, contrairement au gruyère produit en France.
- Les professionnels ont ainsi l’habitude de dire que le comté et le beaufort, produits en France, mais aussi le fribourg et l’appenzeller, produits en Suisse, sont des « gruyères ». Par déformation, on s’est mis à appeler gruyère tout fromage un peu dur avec des trous. — (Périco Légasse, Les bons comptes font les vrais fromages et le gruyère restera suisse, Marianne, 28/08/2010)
- Pour vos pâtes, remplacez le gruyère râpé par du beaufort, du fribourg, de l’appenzell, de la mimolette ou encore de la tomme. — (Leslie Gogois et Aude de Galard, Recettes au fromage, Hachette, 2007)
- bellancourt
- baudoncourt
- englancourt
- gercourt
- biecourt
- auberchicourt
- bellicourt
- gezaincourt
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.